Rien à dire, j'ai sorti ça de ma tête, j'ai essayé de faire bien...Ce sera
peut-être contre vos Fois pottériales...Bonne lecture quand même.
Une histoire que j'ai écrite il y a longtemps, alors, ne me demandez pas de faire ci ou ca... Parce qu'elle est déjà écrite et terminée, mais attention, je ne publierais la suite qu'après que vous écriviez des rewiews....
Une Statue.
Grise.
Abîmée.
D'un goût malhabile.
Il est assit à ses pieds, sur l'auréole même de sa gloire.
Il est mort et enterré.
Normalement.
Une statue.
Représentant un jeune garçon, brandissant sa baguette magique, les lunettes rondes de travers, une cicatrice en éclair barrant son front de pierre. Heroique, courageux, brave.
Harry Potter.
Et il est là, en indien, faisant le compte des quelques gallions qui lui restent. Cinq ans, on l'a cru mort et on le croit toujours. Il n'y a eut qu'un vieil ahuri pour contester la fin pénible du héros en racontant qu'il l'avait aperçu, dans les hautes chaînes des Pyrénées.
Harry Potter. Il a triomphé du Seigneur des Ténèbres. Il n'est plus qu'une histoire formidable qu'on raconte à ses enfants, au coin du feu. Et Voldemort, n'est plus qu'un mauvais Lord, déchu de son trône, qu'il avait forgé lui-même. Un méchant vaincu, qu'on ne craint plus. Potter se redresse avec quelques grognements, passe une main dans ses cheveux. Il se lève et contemple avec sympathie l'horreur de garnement qu'ils ont marqué à son effigie.
« Gloire à Harry Potter, le garçon qui a triomphé des forces du mal et qui est mort en sauvant le monde magique, du puissant sorcier Lord Voldemort. »Lit-il sur une plaque de cuivre. Il sourit, caresse sa barbe et jette une cape sur ses épaules. L'aube est terminée, laisse place au plein jour. Pré au Lard se réveille. Les villageois sortent, se promène sur la place. Personne ne fait attention à Harry, si ce n'est qu'un chien errant et deux vieilles commères qui le trouvent bizarres sous sa capuche noire. Vers midi, il s'est éloigné du monument, assit dans une ruelle entre cours et jardins. Une voiture à chevaux se gare devant le jardin le plus proche. Harry l'entend, ne le voit pas. Des éclats de voix retentissent.
- Il faudra que je demande à Georges si l'on peut parquer les chevaux autres part qu'ici. Disait une voix d'homme, assez familière. Néanmoins, Harry ne se retourna pas. Puis une voix d'enfant :
- M'man, on ira chez le magasin de bonbons ? Demandait une petite fille (apparemment).
- Pas maintenant, mon ange. Répondait sa maman. On frappait à une porte. Une explosion venant de l'intérieur de la maison, puis un grincement. Harry, distrait, n'écoutait qu'a moitié.
- Eh, Salut la smala ! Disait une voix moqueuse, d'homme pas sérieux.
- Entrez, entrez, on attendait Shannon pour faire le repas...
- Ouais, génial ! Répondait la petite fille.
- J'interdis... disait la maman, tandis que son mari se mettait à rire. La porte claquait bruyamment tandis que les éclats de voix retentissaient de partout, et le silence se réinstallait dans la ruelle. Harry se retourna et observa la haute maison grise, avec un jardin mal entretenu ou une balançoire et un bac à sable pourrissaient paisiblement. Deux minutes plus tard, Shannon ouvrait la porte et sortait avec un assortiment de pelle et de râteau jouets. Elle disposait tranquillement sa charge, regardait autour d'elle, puis sortait une bourse de sa poche. Une lueur de malice passa dans les yeux d'Harry. Apparemment, cette petite tenait à tout prix à ses bonbons. Il sortit un paquet de chocogrenouille de sa poche alors que la petite fille franchissait la barrière qui les séparaient.
- Eh ! Lança t'il d'une voix rauque. Shannon se retourna.
- Tiens. Dit-il. La fillette parut hésiter.
- Je ne veux pas de mal. Shannon mit ses mains derrière son dos et s'avança d'avant en arrière, mal à l'aise.
- Ma maman, elle dit toujours qu'on ne doit rien accepter des étrangers. Harry tendit le bras pour la convaincre et elle parut très ennuyée, confrontée entre deux règles.
- Quel age as-tu ?
- Quatre ans. Et je vous assure, Tante Fleur, le dit aussi qu'on doit pas faire confiance aux étrangers. Et aussi tante Pénélope... Harry rejeta son capuchon sur ses épaules et Shannon sursauta.
- Eh ! Vous ressemblez au garçon sur les photos de maman ! S'écria t'elle. Sans la barbe, bien sûr. Rectifia t'elle avec un geste nerveux. Harry fut parcouru d'un frisson violent. Il se souvenait très bien de l'album qu'Hermione remplissaient chaque année, de leurs visages souriants...
- Comment s'appelle ta maman ? Dit-il en attendant anxieusement la réponse.
- Ca, je le dis pas non plus. C'était toute l'éducation d'Hermione, ne dit rien à ceux que tu ne connais pas et tchic et tchac... Harry tenta une autre approche.
- Ton papa, s'appelle... Ronald Weasley, c'est ça ? La fillette ouvrit des yeux ronds en même temps qu'une bouche rose. Harry sentait son cœur faire le kangourou dans son estomac.
- J'ai raison, hein ? Et ta maman, c'est Hermione...
- Oui. Souffla simplement Shannon. Mais une voix parvint de la fenêtre ouverte au premier étage.
- Shannon ? Shannon ? La fillette se précipita dans le jardin en arrachant le chocogrenouille des mains d'Harry, qui était dans un état de choc profond.
- Merci, monsieur ! Cria t'elle en poussant la porte en chêne.
Et c'est parti pour le deuxième, j'y travaille!
Une histoire que j'ai écrite il y a longtemps, alors, ne me demandez pas de faire ci ou ca... Parce qu'elle est déjà écrite et terminée, mais attention, je ne publierais la suite qu'après que vous écriviez des rewiews....
Une Statue.
Grise.
Abîmée.
D'un goût malhabile.
Il est assit à ses pieds, sur l'auréole même de sa gloire.
Il est mort et enterré.
Normalement.
Une statue.
Représentant un jeune garçon, brandissant sa baguette magique, les lunettes rondes de travers, une cicatrice en éclair barrant son front de pierre. Heroique, courageux, brave.
Harry Potter.
Et il est là, en indien, faisant le compte des quelques gallions qui lui restent. Cinq ans, on l'a cru mort et on le croit toujours. Il n'y a eut qu'un vieil ahuri pour contester la fin pénible du héros en racontant qu'il l'avait aperçu, dans les hautes chaînes des Pyrénées.
Harry Potter. Il a triomphé du Seigneur des Ténèbres. Il n'est plus qu'une histoire formidable qu'on raconte à ses enfants, au coin du feu. Et Voldemort, n'est plus qu'un mauvais Lord, déchu de son trône, qu'il avait forgé lui-même. Un méchant vaincu, qu'on ne craint plus. Potter se redresse avec quelques grognements, passe une main dans ses cheveux. Il se lève et contemple avec sympathie l'horreur de garnement qu'ils ont marqué à son effigie.
« Gloire à Harry Potter, le garçon qui a triomphé des forces du mal et qui est mort en sauvant le monde magique, du puissant sorcier Lord Voldemort. »Lit-il sur une plaque de cuivre. Il sourit, caresse sa barbe et jette une cape sur ses épaules. L'aube est terminée, laisse place au plein jour. Pré au Lard se réveille. Les villageois sortent, se promène sur la place. Personne ne fait attention à Harry, si ce n'est qu'un chien errant et deux vieilles commères qui le trouvent bizarres sous sa capuche noire. Vers midi, il s'est éloigné du monument, assit dans une ruelle entre cours et jardins. Une voiture à chevaux se gare devant le jardin le plus proche. Harry l'entend, ne le voit pas. Des éclats de voix retentissent.
- Il faudra que je demande à Georges si l'on peut parquer les chevaux autres part qu'ici. Disait une voix d'homme, assez familière. Néanmoins, Harry ne se retourna pas. Puis une voix d'enfant :
- M'man, on ira chez le magasin de bonbons ? Demandait une petite fille (apparemment).
- Pas maintenant, mon ange. Répondait sa maman. On frappait à une porte. Une explosion venant de l'intérieur de la maison, puis un grincement. Harry, distrait, n'écoutait qu'a moitié.
- Eh, Salut la smala ! Disait une voix moqueuse, d'homme pas sérieux.
- Entrez, entrez, on attendait Shannon pour faire le repas...
- Ouais, génial ! Répondait la petite fille.
- J'interdis... disait la maman, tandis que son mari se mettait à rire. La porte claquait bruyamment tandis que les éclats de voix retentissaient de partout, et le silence se réinstallait dans la ruelle. Harry se retourna et observa la haute maison grise, avec un jardin mal entretenu ou une balançoire et un bac à sable pourrissaient paisiblement. Deux minutes plus tard, Shannon ouvrait la porte et sortait avec un assortiment de pelle et de râteau jouets. Elle disposait tranquillement sa charge, regardait autour d'elle, puis sortait une bourse de sa poche. Une lueur de malice passa dans les yeux d'Harry. Apparemment, cette petite tenait à tout prix à ses bonbons. Il sortit un paquet de chocogrenouille de sa poche alors que la petite fille franchissait la barrière qui les séparaient.
- Eh ! Lança t'il d'une voix rauque. Shannon se retourna.
- Tiens. Dit-il. La fillette parut hésiter.
- Je ne veux pas de mal. Shannon mit ses mains derrière son dos et s'avança d'avant en arrière, mal à l'aise.
- Ma maman, elle dit toujours qu'on ne doit rien accepter des étrangers. Harry tendit le bras pour la convaincre et elle parut très ennuyée, confrontée entre deux règles.
- Quel age as-tu ?
- Quatre ans. Et je vous assure, Tante Fleur, le dit aussi qu'on doit pas faire confiance aux étrangers. Et aussi tante Pénélope... Harry rejeta son capuchon sur ses épaules et Shannon sursauta.
- Eh ! Vous ressemblez au garçon sur les photos de maman ! S'écria t'elle. Sans la barbe, bien sûr. Rectifia t'elle avec un geste nerveux. Harry fut parcouru d'un frisson violent. Il se souvenait très bien de l'album qu'Hermione remplissaient chaque année, de leurs visages souriants...
- Comment s'appelle ta maman ? Dit-il en attendant anxieusement la réponse.
- Ca, je le dis pas non plus. C'était toute l'éducation d'Hermione, ne dit rien à ceux que tu ne connais pas et tchic et tchac... Harry tenta une autre approche.
- Ton papa, s'appelle... Ronald Weasley, c'est ça ? La fillette ouvrit des yeux ronds en même temps qu'une bouche rose. Harry sentait son cœur faire le kangourou dans son estomac.
- J'ai raison, hein ? Et ta maman, c'est Hermione...
- Oui. Souffla simplement Shannon. Mais une voix parvint de la fenêtre ouverte au premier étage.
- Shannon ? Shannon ? La fillette se précipita dans le jardin en arrachant le chocogrenouille des mains d'Harry, qui était dans un état de choc profond.
- Merci, monsieur ! Cria t'elle en poussant la porte en chêne.
Et c'est parti pour le deuxième, j'y travaille!
