- Vous voyez, très gentil . On frappa à la porte, et Barbara Bigood entra
dans le bureau. C'était une jeune fille à la vingtaine et aux yeux
porcins... Elle embrasa la pièce du regard, remarqua Harry, le fixa un
instant, et s'effondra sur le sol de surprise.
- Mon dieu ! cria Hermione .
- Heu...Oui...Un sortilège d'amnésie...Puissant...Puissant. Ron s'agenouilla près de Bigood et lui ficha une grande claque, elle se redressa d'un bond.
- Harry Potter ! Il était là, là, juste là ! Elle désigna l'endroit où Harry se tenait encore, porta la main à son coeur et murmura un juron qui fit fronçer les sourcils à Hermione.
- Potter...Un revenant.
- Debout ! Mme Bigood, j'aimerais que vous l'examiniez.
- Houuuuuuu ! S'il me permet...
- Il permet. Dit fermement Sirius. L'infirmière prit alors Harry, l'observa sur toute les coutures et déclara avec un soupir de mécontentement.
- Un manque de vitamines C évident. C'est bien normal, étant donné que vous avez vécu dans la nature de... Je dirais, le nord de l'Australie. Harry ne le savait pas, mais, il pouvait affirmer que ça pouvait être là-bas, sur une île déserte, où seul les gobelins régnaient. Sirius brandit sa baguette, penaud, en demandant à Harry de se cacher. Il se retourna et l'infirmière reçut son maléfice. Elle ne l'aperçut pas, Sirius la renvoya dans l'infirmerie et il soupira, soulagé. Il se dirigea vers une coupe de fruit et saisit une orange.
- Tiens, Harry, mange ça. Dit-il à son filleul. Harry eut l'impression, que Sirius n'allait plus penser qu'a lui pendant quelques semaines. Il observa son parrain du coin de l'œil. Il portait une toge émeraude une robe de velours par-dessous. Ses mains laissaient stagner ses veines comme un vieillard et il était légerement courbé en avant. Néanmoins, il marchait avec force et droiture. Harry se dit que Sirius, était le genre de personne, qui savait redresser les choses.
La nuit réduisit le bureau à quelques formes sombres lorsque Sirius éteint les torches. Il paraissait plus joyeux que jamais et ébouriffa les cheveux de Harry avant de descendre en sautillant sur les escaliers de marbres. Harry s'était rasé et avait dut revêtir une robe noire à longues manches (il paraissait que le noir lui allait très bien). Il descendit à sa suite. Hermione, Ron et Thomas étaient rentrés chez eux, ne désirant pas être présent au banquet qu'on donnait en l'honneur de Harry.
La grande salle fut sans doute la pièce qui émotionna le plus, notre pauvre Harry. Toutes ces chandelles, les quatre tables alignées et le plafond étoilé qui brillait pour lui ce soir-là. Des journalistes étaient assit à la table des enseignants, lorgné méchamment par les professeurs. Harry les contempla tous, une joie sans bornes le submergeant, particulièrement chez Hagrid et le professeur Lupin. Il s'assit, alors que Sirius se levait sur l'estrade. Déjà, les flashs crépitaient sur lui. Le silence s'installa dans la salle après qu'il eut fit un signe de la main et prit un air étrangement grave et malicieux, que Harry comprenait très bien.
- Chers élèves, chers professeurs, chers invités,
Aujourd'hui, L'incroyable est arrivé. Quelqu'un est revenu parmi nous. Quelqu'un qui a accompli, le rêve de milliers de sorciers. Celui qui a vaincu les forces du mal. Qui a affronté la puissance ténébreuse de Lord Voldemort. Et, aujourd'hui, il est assit parmi nous. A cette table. Je vous demande de célébrer ce soir, le retour de Harry Potter. Le silence demeura un instant. Puis des murmures parcoururent l'assemblée alors que Sirius faisait signe à Harry de venir. Il releva la tête, évitant le regard des gens, de tous ses anciens professeurs, et rejoignit Sirius qui sonorisa sa voix. Le silence se fit à nouveau.
- Bonsoir. Dit Harry en tentant un vague sourire. Il déglutit, parcourrant la foule des élèves qui l'écoutaient, certains l'air perplexe. Harry se mordit la lèvre en cherchant ses mots.
- Je sais que je ne ressemble plus à l'adolescent que j'étais... Avant. Il renifla et poursuivit : J'ai grandi, les temps changent et pendant ces cinq ans, j'ai apprit le sens de la vie. Une boule monta dans sa gorge et lorsqu'il respira, il eut l'impression que son ventre n'était plus qu'une boule contractée. Il retint ses larmes.
- Je me souviens de Poudlard, comme de ma maison, ce château, j'y ai construit les fondations de ma vie. J'ai connu la peur, la tristesse et la joie...Et... Les gens commençaient à se pencher en avant en déchiffrant la moindre parcelle de ses traits. Les journalistes tournaient autour de lui comme des mouches. Sirius souriait à ses côtés en l'encourageant par des tapes sur l'épaule. Mais, surtout, ce fut le sourire des gens, qui donnèrent à Harry de l'espoir et de la force. Des larmes avaient une fois de plus inondé ses yeux.
- Je suis heureux d'être ici. Il passa une main dans ses cheveux. -Ce matin je n'étais rien, rien qu'une parcelle de ce monde, un inconnu. Je me suis dévoilé, après un long voyage. Une... Une épreuve... Très... dure. La moitié de son dernier mot fut couverte par une salve assourdissante d'applaudissements. Les élèves s'étaient levés sur leurs bancs. La moitié d'entres eux pleuraient, de joie, d'émotion. Harry laissa les larmes couler sur ses joues et se retourna. Hagrid se tenait devant lui. Il se blottit dans son étreinte puissante et le serra avec les dernières forces qui lui restaient. Hagrid pleurait également et il salua Harry en ébouriffant ses cheveux plus qu'ils ne l'étaient déjà. Il l'écarta pour le regarder.
- Ah, nom d'une cornemuse, j'ai jamais été aussi heureux de ma vie ! Harry se mit à rire et s'échappa des bras épais. Il se tourna vers un vieil homme dont les cernes et les cheveux gris étaient facilement reconnaissable. Pour tout accueil, Lupin lui souri. Puis, Harry l'étouffa dans ses bras une fraction de seconde.
Il passa ainsi de bras en bras, distribuant des sourires à tout le monde, rencontrant les nouveaux professeurs. Neville eut une grimace gênée et serra timidement la main de Harry. Il était devenu grand et robuste si bien qu'Harry eut peine à le reconnaître. Les gens ne cessèrent d'applaudir lorsque qu'un homme élégant fit une entrée fracassante avec ses gardes du corps. C'était le ministre. Il enjamba la salle en quelques pas et s'arrêta devant Harry, un sourire conquérant aux lèvres.
- Bonsoir Harry, enchanté de te revoir enfin. Dit-il en empoignant sa main et en la secouant en tout sens. Harry remarqua ses cheveux roux, ses lunettes carrée et son air supérieur.
- Percy ? Percy, c'est toi ? Percy sourit et acquiesça. Percy Weasley, ministre du monde britannique sorcier. Harry, abasourdi, serra deux ou trois main sans s'en apercevoir, puis, on l'assit à table et il reprit ses esprits.
C'était sans aucun doute le banquet le plus fantastique qu'on eut préparé à Poudlard. De tout, il y avait de tout. Et c'était préparé avec minutions. Harry saisit un radis et observa sa forme. Il avait été taillé en forme de sapin.
- Alors Harry, demain, tu vas faire la tournée des grands ducs ! ... Où plutôt... Journalistes ! S'écria Percy en plantant une cuillère dans une montagne de choux-fleurs crus. Harry hocha la tête. Bien que ce genre de visite de lui plaise guère, il devrait faire le tour de l'Europe sur un tapis pourpre entouré de gardes et harassé par une horde de fan. Il poussa un soupir. Pourquoi n'avait-il pas l'esprit de Percy ? Lui ça l'amusait...
Malgré que Harry soit reconnu à présent par toute la popu, ce n'est pas la fin... Merci pour vos gentils rewiews.
- Mon dieu ! cria Hermione .
- Heu...Oui...Un sortilège d'amnésie...Puissant...Puissant. Ron s'agenouilla près de Bigood et lui ficha une grande claque, elle se redressa d'un bond.
- Harry Potter ! Il était là, là, juste là ! Elle désigna l'endroit où Harry se tenait encore, porta la main à son coeur et murmura un juron qui fit fronçer les sourcils à Hermione.
- Potter...Un revenant.
- Debout ! Mme Bigood, j'aimerais que vous l'examiniez.
- Houuuuuuu ! S'il me permet...
- Il permet. Dit fermement Sirius. L'infirmière prit alors Harry, l'observa sur toute les coutures et déclara avec un soupir de mécontentement.
- Un manque de vitamines C évident. C'est bien normal, étant donné que vous avez vécu dans la nature de... Je dirais, le nord de l'Australie. Harry ne le savait pas, mais, il pouvait affirmer que ça pouvait être là-bas, sur une île déserte, où seul les gobelins régnaient. Sirius brandit sa baguette, penaud, en demandant à Harry de se cacher. Il se retourna et l'infirmière reçut son maléfice. Elle ne l'aperçut pas, Sirius la renvoya dans l'infirmerie et il soupira, soulagé. Il se dirigea vers une coupe de fruit et saisit une orange.
- Tiens, Harry, mange ça. Dit-il à son filleul. Harry eut l'impression, que Sirius n'allait plus penser qu'a lui pendant quelques semaines. Il observa son parrain du coin de l'œil. Il portait une toge émeraude une robe de velours par-dessous. Ses mains laissaient stagner ses veines comme un vieillard et il était légerement courbé en avant. Néanmoins, il marchait avec force et droiture. Harry se dit que Sirius, était le genre de personne, qui savait redresser les choses.
La nuit réduisit le bureau à quelques formes sombres lorsque Sirius éteint les torches. Il paraissait plus joyeux que jamais et ébouriffa les cheveux de Harry avant de descendre en sautillant sur les escaliers de marbres. Harry s'était rasé et avait dut revêtir une robe noire à longues manches (il paraissait que le noir lui allait très bien). Il descendit à sa suite. Hermione, Ron et Thomas étaient rentrés chez eux, ne désirant pas être présent au banquet qu'on donnait en l'honneur de Harry.
La grande salle fut sans doute la pièce qui émotionna le plus, notre pauvre Harry. Toutes ces chandelles, les quatre tables alignées et le plafond étoilé qui brillait pour lui ce soir-là. Des journalistes étaient assit à la table des enseignants, lorgné méchamment par les professeurs. Harry les contempla tous, une joie sans bornes le submergeant, particulièrement chez Hagrid et le professeur Lupin. Il s'assit, alors que Sirius se levait sur l'estrade. Déjà, les flashs crépitaient sur lui. Le silence s'installa dans la salle après qu'il eut fit un signe de la main et prit un air étrangement grave et malicieux, que Harry comprenait très bien.
- Chers élèves, chers professeurs, chers invités,
Aujourd'hui, L'incroyable est arrivé. Quelqu'un est revenu parmi nous. Quelqu'un qui a accompli, le rêve de milliers de sorciers. Celui qui a vaincu les forces du mal. Qui a affronté la puissance ténébreuse de Lord Voldemort. Et, aujourd'hui, il est assit parmi nous. A cette table. Je vous demande de célébrer ce soir, le retour de Harry Potter. Le silence demeura un instant. Puis des murmures parcoururent l'assemblée alors que Sirius faisait signe à Harry de venir. Il releva la tête, évitant le regard des gens, de tous ses anciens professeurs, et rejoignit Sirius qui sonorisa sa voix. Le silence se fit à nouveau.
- Bonsoir. Dit Harry en tentant un vague sourire. Il déglutit, parcourrant la foule des élèves qui l'écoutaient, certains l'air perplexe. Harry se mordit la lèvre en cherchant ses mots.
- Je sais que je ne ressemble plus à l'adolescent que j'étais... Avant. Il renifla et poursuivit : J'ai grandi, les temps changent et pendant ces cinq ans, j'ai apprit le sens de la vie. Une boule monta dans sa gorge et lorsqu'il respira, il eut l'impression que son ventre n'était plus qu'une boule contractée. Il retint ses larmes.
- Je me souviens de Poudlard, comme de ma maison, ce château, j'y ai construit les fondations de ma vie. J'ai connu la peur, la tristesse et la joie...Et... Les gens commençaient à se pencher en avant en déchiffrant la moindre parcelle de ses traits. Les journalistes tournaient autour de lui comme des mouches. Sirius souriait à ses côtés en l'encourageant par des tapes sur l'épaule. Mais, surtout, ce fut le sourire des gens, qui donnèrent à Harry de l'espoir et de la force. Des larmes avaient une fois de plus inondé ses yeux.
- Je suis heureux d'être ici. Il passa une main dans ses cheveux. -Ce matin je n'étais rien, rien qu'une parcelle de ce monde, un inconnu. Je me suis dévoilé, après un long voyage. Une... Une épreuve... Très... dure. La moitié de son dernier mot fut couverte par une salve assourdissante d'applaudissements. Les élèves s'étaient levés sur leurs bancs. La moitié d'entres eux pleuraient, de joie, d'émotion. Harry laissa les larmes couler sur ses joues et se retourna. Hagrid se tenait devant lui. Il se blottit dans son étreinte puissante et le serra avec les dernières forces qui lui restaient. Hagrid pleurait également et il salua Harry en ébouriffant ses cheveux plus qu'ils ne l'étaient déjà. Il l'écarta pour le regarder.
- Ah, nom d'une cornemuse, j'ai jamais été aussi heureux de ma vie ! Harry se mit à rire et s'échappa des bras épais. Il se tourna vers un vieil homme dont les cernes et les cheveux gris étaient facilement reconnaissable. Pour tout accueil, Lupin lui souri. Puis, Harry l'étouffa dans ses bras une fraction de seconde.
Il passa ainsi de bras en bras, distribuant des sourires à tout le monde, rencontrant les nouveaux professeurs. Neville eut une grimace gênée et serra timidement la main de Harry. Il était devenu grand et robuste si bien qu'Harry eut peine à le reconnaître. Les gens ne cessèrent d'applaudir lorsque qu'un homme élégant fit une entrée fracassante avec ses gardes du corps. C'était le ministre. Il enjamba la salle en quelques pas et s'arrêta devant Harry, un sourire conquérant aux lèvres.
- Bonsoir Harry, enchanté de te revoir enfin. Dit-il en empoignant sa main et en la secouant en tout sens. Harry remarqua ses cheveux roux, ses lunettes carrée et son air supérieur.
- Percy ? Percy, c'est toi ? Percy sourit et acquiesça. Percy Weasley, ministre du monde britannique sorcier. Harry, abasourdi, serra deux ou trois main sans s'en apercevoir, puis, on l'assit à table et il reprit ses esprits.
C'était sans aucun doute le banquet le plus fantastique qu'on eut préparé à Poudlard. De tout, il y avait de tout. Et c'était préparé avec minutions. Harry saisit un radis et observa sa forme. Il avait été taillé en forme de sapin.
- Alors Harry, demain, tu vas faire la tournée des grands ducs ! ... Où plutôt... Journalistes ! S'écria Percy en plantant une cuillère dans une montagne de choux-fleurs crus. Harry hocha la tête. Bien que ce genre de visite de lui plaise guère, il devrait faire le tour de l'Europe sur un tapis pourpre entouré de gardes et harassé par une horde de fan. Il poussa un soupir. Pourquoi n'avait-il pas l'esprit de Percy ? Lui ça l'amusait...
Malgré que Harry soit reconnu à présent par toute la popu, ce n'est pas la fin... Merci pour vos gentils rewiews.
