Harry ouvrit un œil, puis l'autre. Il les referma, et se retourna dans son
lit en grognant, alors qu'un coup de tension tournoyait dans sa tête.
Depuis, trois jours, il avait parcouru le monde entier en s' écrasant d'
une cheminée à l'autre pour être aveuglé par les flashs des appareils
photos, couvert de suie, exaspéré et désespéré. Il était un peu heureux
malgré tout, car il était dans son lit, était choyé par tous et avait revu
presque tous ses camarades d'enfance. Il revint sur cette pensée en
fronçant les sourcils, il devait absolument prendre le thé avec Hagrid
cette après-midi ! Egalement : Il avait revu les Weasley, mais on ne lui
avait pas expliqué comment s'était produit les mariages de Ginny et Bill.
Avec DELACOUR, ET MALEFOY ! ! ! Pardi ! Il pensait à ça en somnolant, puis
il se leva, pour mettre fin à cette engourdissant morose (engendré par le
fait de reposer trop longtemps sur son coussin trop douillet, en plus après
c'est le torticolis ! Je ne vous dis pas !). Il s'extirpa de ses
couvertures et se prépara à une longue promenade de bon matin, avant de
s'arrêter chez Hagrid.
Harry tenta de sortir le plus discrètement possible par une porte secrète que la carte des maraudeurs lui avait communiqué il y a bien longtemps. Il décala quelques centaines de marches hautes, traversa un couloir en verre, sous le lac, qui dévoilait d'étranges créatures et émergea finalement dans la forêt interdite après un nouvel escalier. La cabane de Hagrid se trouvait à l'opposé exact de cette partie de Poudlard. Harry s'enfonça un peu plus dans la forêt et puis se contenta de contourner le parc. Alors qu'il passait devant les portes, il vit Rusard qui essayait de calmer les journalistes, en les noyant sous les menaces et eut un sourire méprisant, pour ces mouchards sans limites. Il observait toujours l'entrée quand il rencontra un obstacle et s'étendit sur la mousse molle du sol. Il cligna des yeux, cherchant à tâtons sa baguette dans sa poche et il fut rassuré en détaillant un corps de cheval et un buste ainsi qu'une tête penchée sur lui. Il se releva en grognant de douleur et s' éleva à la hauteur d' un jeune centaure qui l'observait de ses yeux caves et gouffre. Il avait une fourrure de fauve et une chevelure brune descendait, emmêlée et sale jusqu'à ses épaules. Il attendit que Harry se relève, puis lui tendit la main. Harry la serra. Il secoua ses cheveux et dit :
- Veuillez ne pas rester trop longtemps, Harry Potter, notre rassemblement va avoir lieu au plus profond de la forêt dans quelques minutes. Je suis honoré d'avoir enfin fait votre connaissance, mon père, Firenze, a déjà parlé de vous. Harry s'écarta alors qu'il s'apprêtait à foncer au plus sombre de la forêt.
- Enchanté. S'écria- t'il en levant le bras pour le saluer. Le mi-cheval, mi-humain, fit de même et s'enfonça dans les bois. Harry poursuivit sa route en croisant d'autres centaures qui ne crurent pas bon de lui adresser la parole et se contentèrent d'un regard. Il atteignit au bout d'une demi- heure de chemin en empruntant détours et virages, il arriva devant la porte de chêne de la maison de Hagrid, qui semblait prête à s'écrouler. Il frappa à la porte et se fit accueillir par le chien alors qu'il entrait. Un coup d'oeil par la fenêtre lui assura que Rubeus était en train de soigner ses citrouilles avec un anti-parasites. Il poussa la porte du potager et salua son vieil ami. Hagrid l'étouffa dans ses bras et rentra lui préparer un thé. Harry passa une matinée mémorable, il se cassa le bout d'une dent sur un des biscuits de Hagrid. Il regretta seulement que Ron et Hermione ne soient pas avec lui pour faire baver Crokdur sur quelqu'un d'autre que lui.
- Harry ! Harry, ouvres ! C'est Sirius ! Harry repoussa sa chaise et jeta sa serviette sur la table.
- Dis-moi, Sirius, je ne peux jamais manger tout s...Il ne put terminer sa phrase, car Sniffle lui sautait dessus.
- J'EN AI MARRE DES CHIENS ! ! Je n'aurai jamais de chien ! hurla Harry en repoussant farouchement le cabot. Le directeur paru offusqué.
- Fais attention à tes paroles ! N'oublies pas que je suis moi-même un impétueux canin !
- Et on se demande pourquoi ? dit Harry en lui faisant place sur le divan en écartant une bonne douzaine de chaussettes sales .Sirius s'assit.
- Enfin ! soupira-t' il. J'étais venu de donner les cadeaux que tes fans t'envoient, depuis quelques jours ! Autant te dire qu'ils sont nombreux.
- Les fans ou les cadeaux ? ironisa son filleul.
- Les deux, les fans plus que les cadeaux, je crois ! répondit Sirius. Il agita sa baguette magique et dans un « pof ! », un amphigouri de paquet, un agrégat de fleurs et un fatras de lettres voltigèrent dans les airs et se posèrent ensuite brutalement par terre. Harry considéra certaines z'- horreurs innées de cadeaux avec amusement, mais s'en détourna bien vite. Sirius se levait déjà. Il le salua et regarda avec soulagement Sniffle quitter son giron et se précipiter à la suite de son maître. Il se remit à table et finit son dîner.
Charlie avala sa bouchée avec un sourire avant de répondre.
- Elle m'envoyait des lettres depuis ta quatrième années Harry. Un jour, elle est venue à la maison, et comme je lui plaisait, elle a continué et comme je l'aimais bien, je l'accueillais avec plaisir. Voilà, c'est tout. Ca été la même chose avec Ginny et truc muche, sauf, qu'elle est venue vers lui en temps qu'étudiante en psychologie magique. Harry se mordit la joue pour ne pas rire. Par Contre, Bill rit à la pensée de Draco, un pauvre orphelin sans cœur à moitié dingue. Il prit son petit garçon Siméon sur ses genoux et dit :
- Allons, ce n'est pas bien de se moquer comme ça. D'autant plus que son état est à peine amélioré. Cette phrase fut suivie de l'hilarité générale. Peu à peu, tout le monde reprit son sérieux.
- Je sais que c'est méchant de dire ça, mais il est tellement désagréable parfois ! Je me demande comme Ginny peut le supporter ! Ce garçon est insensé ! murmura Fleur. Ils étaient dehors, dans la charmante maison blanche des Weasley- Delacour, dans les alentours de Gringgot- forêt. Voilà plus de deux semaines que Harry avait été déclaré vivant, et il pouvait à présent à nouveau profiter de la vie normalement. Ron et Hermione avec leur fille étaient venu avec lui et il avouait être heureux et repu comme un pape. Il s'aisa sur sa chaise de jardin et se mit à somnoler en écoutant à moitié les conversations qui tournaient autours de lui. Comme il était facile de vivre sa vie sans aucun problème majeur comme la menace de Voldemort ! Harry s'endormit dans un faible sommeil. Il entendit un bébé pleurer...Shannon surêment, il n'eut plus le courage d'y penser. Il étira sa face d'un sourire béni et laissa tomber ses bras lourdement. Le soleil se couchait sur la cimes verte des arbres, les oiseaux piaillaient, la vie continuait, et Harry Potter était en vie.
Harry tenta de sortir le plus discrètement possible par une porte secrète que la carte des maraudeurs lui avait communiqué il y a bien longtemps. Il décala quelques centaines de marches hautes, traversa un couloir en verre, sous le lac, qui dévoilait d'étranges créatures et émergea finalement dans la forêt interdite après un nouvel escalier. La cabane de Hagrid se trouvait à l'opposé exact de cette partie de Poudlard. Harry s'enfonça un peu plus dans la forêt et puis se contenta de contourner le parc. Alors qu'il passait devant les portes, il vit Rusard qui essayait de calmer les journalistes, en les noyant sous les menaces et eut un sourire méprisant, pour ces mouchards sans limites. Il observait toujours l'entrée quand il rencontra un obstacle et s'étendit sur la mousse molle du sol. Il cligna des yeux, cherchant à tâtons sa baguette dans sa poche et il fut rassuré en détaillant un corps de cheval et un buste ainsi qu'une tête penchée sur lui. Il se releva en grognant de douleur et s' éleva à la hauteur d' un jeune centaure qui l'observait de ses yeux caves et gouffre. Il avait une fourrure de fauve et une chevelure brune descendait, emmêlée et sale jusqu'à ses épaules. Il attendit que Harry se relève, puis lui tendit la main. Harry la serra. Il secoua ses cheveux et dit :
- Veuillez ne pas rester trop longtemps, Harry Potter, notre rassemblement va avoir lieu au plus profond de la forêt dans quelques minutes. Je suis honoré d'avoir enfin fait votre connaissance, mon père, Firenze, a déjà parlé de vous. Harry s'écarta alors qu'il s'apprêtait à foncer au plus sombre de la forêt.
- Enchanté. S'écria- t'il en levant le bras pour le saluer. Le mi-cheval, mi-humain, fit de même et s'enfonça dans les bois. Harry poursuivit sa route en croisant d'autres centaures qui ne crurent pas bon de lui adresser la parole et se contentèrent d'un regard. Il atteignit au bout d'une demi- heure de chemin en empruntant détours et virages, il arriva devant la porte de chêne de la maison de Hagrid, qui semblait prête à s'écrouler. Il frappa à la porte et se fit accueillir par le chien alors qu'il entrait. Un coup d'oeil par la fenêtre lui assura que Rubeus était en train de soigner ses citrouilles avec un anti-parasites. Il poussa la porte du potager et salua son vieil ami. Hagrid l'étouffa dans ses bras et rentra lui préparer un thé. Harry passa une matinée mémorable, il se cassa le bout d'une dent sur un des biscuits de Hagrid. Il regretta seulement que Ron et Hermione ne soient pas avec lui pour faire baver Crokdur sur quelqu'un d'autre que lui.
- Harry ! Harry, ouvres ! C'est Sirius ! Harry repoussa sa chaise et jeta sa serviette sur la table.
- Dis-moi, Sirius, je ne peux jamais manger tout s...Il ne put terminer sa phrase, car Sniffle lui sautait dessus.
- J'EN AI MARRE DES CHIENS ! ! Je n'aurai jamais de chien ! hurla Harry en repoussant farouchement le cabot. Le directeur paru offusqué.
- Fais attention à tes paroles ! N'oublies pas que je suis moi-même un impétueux canin !
- Et on se demande pourquoi ? dit Harry en lui faisant place sur le divan en écartant une bonne douzaine de chaussettes sales .Sirius s'assit.
- Enfin ! soupira-t' il. J'étais venu de donner les cadeaux que tes fans t'envoient, depuis quelques jours ! Autant te dire qu'ils sont nombreux.
- Les fans ou les cadeaux ? ironisa son filleul.
- Les deux, les fans plus que les cadeaux, je crois ! répondit Sirius. Il agita sa baguette magique et dans un « pof ! », un amphigouri de paquet, un agrégat de fleurs et un fatras de lettres voltigèrent dans les airs et se posèrent ensuite brutalement par terre. Harry considéra certaines z'- horreurs innées de cadeaux avec amusement, mais s'en détourna bien vite. Sirius se levait déjà. Il le salua et regarda avec soulagement Sniffle quitter son giron et se précipiter à la suite de son maître. Il se remit à table et finit son dîner.
Charlie avala sa bouchée avec un sourire avant de répondre.
- Elle m'envoyait des lettres depuis ta quatrième années Harry. Un jour, elle est venue à la maison, et comme je lui plaisait, elle a continué et comme je l'aimais bien, je l'accueillais avec plaisir. Voilà, c'est tout. Ca été la même chose avec Ginny et truc muche, sauf, qu'elle est venue vers lui en temps qu'étudiante en psychologie magique. Harry se mordit la joue pour ne pas rire. Par Contre, Bill rit à la pensée de Draco, un pauvre orphelin sans cœur à moitié dingue. Il prit son petit garçon Siméon sur ses genoux et dit :
- Allons, ce n'est pas bien de se moquer comme ça. D'autant plus que son état est à peine amélioré. Cette phrase fut suivie de l'hilarité générale. Peu à peu, tout le monde reprit son sérieux.
- Je sais que c'est méchant de dire ça, mais il est tellement désagréable parfois ! Je me demande comme Ginny peut le supporter ! Ce garçon est insensé ! murmura Fleur. Ils étaient dehors, dans la charmante maison blanche des Weasley- Delacour, dans les alentours de Gringgot- forêt. Voilà plus de deux semaines que Harry avait été déclaré vivant, et il pouvait à présent à nouveau profiter de la vie normalement. Ron et Hermione avec leur fille étaient venu avec lui et il avouait être heureux et repu comme un pape. Il s'aisa sur sa chaise de jardin et se mit à somnoler en écoutant à moitié les conversations qui tournaient autours de lui. Comme il était facile de vivre sa vie sans aucun problème majeur comme la menace de Voldemort ! Harry s'endormit dans un faible sommeil. Il entendit un bébé pleurer...Shannon surêment, il n'eut plus le courage d'y penser. Il étira sa face d'un sourire béni et laissa tomber ses bras lourdement. Le soleil se couchait sur la cimes verte des arbres, les oiseaux piaillaient, la vie continuait, et Harry Potter était en vie.
