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Dumbledore. Depuis qu'il savait qu'il était surveiller, Harry n'agissait plus de la même manière. Bien sûr, il s'avait que la maison des Dursley lui donnait une protection contre Voldemort, mais il ne se sentais guerre plus en sécurité ici que à Poudlard! Harry c'était toujours demander pourquoi le Seigneur des Ténèbres, qui faisait bien à la grand majorité des sorciers, pour de pas dit la totalité, craignait t'il Dumbledore. D'après Harry, il ne s'agissait que d'un vieux sorcier qui dirigeait une école de sorcellerie. Harry avait toujours éprouvé une grande admiration pour Dumbledore, mais jamais n'aurai t'il pensé qu'il aurai pu combattre Voldemort aussi facilement. Il avait resté bien impressionner de combat qu'il avait vue à la fin de l'année scolaire, l'année précédente. Depuis, il se s'entait plus en sécurité à Poudlard que n'importe ou ailleurs. À vrai dit, jamais il ne s'était sentit en sécurité au 4, privet Drive , auprès de son oncle Vernont et sa tant Pétunia. - Nous continuons ce bulletin de nouvelles avec la mort tragique d'un homme de 80 ans, suite à une chute de plusieurs étages d'un immeuble abritant des personnes âgés. Chris Olanzo à été recueillir le témoignage d'une locataire, dit la voix d'un annonceur de nouvelles. Le commentaire de Maugrey Fol Œil et du reste de l'Ordre du Phénix avait bien amélioré la qualité de vie de Harry. L'Oncle Vernont lui donnait le droit d'écouter les informations avec eux, le soir. Harry ne s'en plaignait pas, mais maintenant qu'il était en contact avec Ron et Hermione et qu'il ne leurs cachaient plus rien, la nécessité d'écouter les informations moldue était d'une importance secondaire. Par contre, Harry lisait de comble en fond Gazette du Sorcier, pour être sûr de ne pas faire la même erreur que l'année précédente. Il se rappelait très bien le fait que la Gazette avait parlé de lui indirectement pendant toute l'été sans qu'il ne s'en rendre compte, car il lisait seulement la première page. À la fin du bulletin d'informations, Harry monta les marche pour se rendre à sa chambre, en prenant bien soin de s'arrêter à la toilette pour se brosser les dents et faire ses besoins, et s'étendit dans son lit en pensant, comme à chaque soir, à son parrain. Sirius, comme il lui manquait. Il aurait bien donné tout son compte de Gringott (la banque des sorciers) pour pouvoir lui parler de tout et de rien. Il repensa comme l'année précédente avait été une année difficile pour lui. Il avait non seulement perdu son parrain, mais aussi perdu le droit de joué au Quidditch, de parler à Hagrid, et plusieurs autre petit détails qui rendait sa vie à Poudlard si intéressante à l'habitude. Il espérait tellement que cette année soit comme c'est autres année, sans anicroche. Mais il savait très bien que cela avait peu de chance de se réaliser. Mais une choses au moins le réconfortait: il avait le Ministère de la Magie de son coté. Depuis que Voldemort c'était battu en duel avec Dumbledore, l'année passé, dans les local du Ministère, Cornelius Fudge avait bien été obliger d'admettre qu'il était de retour. L'article de Rita Skeeter, qui avait parut à la fin du trimestre scolaire de Poudlard, avait aussi amélioré les conditions de vie de Harry. Le monde ne le prenait plus pour un "débile", comme la Gazette du Sorcier l'avait prétendue pendant toute l'année, mais plutôt comme un héros. Sur ces pensé, Harry s'endormit... Le lendemain matin, en se levant, Harry pris son crayon et fit un X sur son calendrier qu'il avait lui même confectionner pour compter le nombre de jours avant le retour à Poudlard. Il lui restait exactement 2 semaines avant son retour à l'école. Il déscendie à la cuisine pour manger son petit déjeuner quand il vit une lettre, sur un parchemin, ce qui signifiais qu'elle venait du monde des sorciers. - Ton hibou ta apporté cela hier, grogna son Oncle. Il se précipita à la table pour l'ouvrir:
Salut Harry! Nous t'invitons à venir passer les deux dernières
Semaine au Terrier avec nous! Nous attendons ta réponses.
Les Weasley Les Weasley étaient la famille que Harry aimait le plus car ils avaient toujours été très accueillants avec lui. La mère de Ron, Mrs Weasley, était sans doute une des personnes que Harry aimait le plus. - Les Weasley veulent que j'aille passer les deux dernière semaines chez eux, je peux? Dit Harry d'une voix neutre pour être sûr de ne pas paraître trop heureux d'y aller, ce qui aurait donner une occasion à son Oncle de lui enlever quelque choses d'ont il avait vraiment envie. - Il iront te porter à la gare? Dit Vernont - Sûrement, continua Harry sur le même ton. - Si tu leurs dit qu'ils viennent te chercher avec un voiture normal, c'est d'accord, dit Vernont qui était content de se débarrassé d'Harry, mais mécontent de lui accorder un plaisir supplémentaire. Harry courut dans sa chambre, retourna le papier à l'envers et écrit:
Mon Oncle veut bien à condition que vous vernier me chercher
À la façon Moldu.
Harry. Il plia le parchemin en deux, et le posa sur le bord de sa table de travail. Il ouvrit sa fenêtre de chambre et Hedwidge se précipita sur lui. Elle tenait dans c'est pas un parchemin avec l'étampe Poudlard. Harry déplia le parchemin.
M. Potter,
Voici le résulta de vos examens BUSE de fin d'année:
Défense contre les forces du mal - Optimal
Métamorphose – Optimal
Divination – Échoué
Potions – Bien
Histoire – Pourrait faire mieux
Soin au créature magique – Très bien
Botanique – Très bien
Suite à ces notes, nous avons l'honneur de vous annoncer que vous
Avez accumuler cinq BUSE sur un total maximum de sept.
Les sixième année de Poudlard ont, comme à chaque année, le choix
Des cours dont ils veulent assisté. Évidemment, cela va avec le choix de carrière
Dont vous voulez être éligible Une lettre avec de plus amples informations sur votre
Choix (Selon la rencontre avec le professeur McGonagall) Vous sera envoyé avec vos
Fourniture scolaire.
Le directeur, Dumbledore. Harry pris le parchemin devant parvenir au Weasley et l'attacha à la patte de Hedwidge. Il la regarda partir dans le ciel bleu. Harry reçu, le lendemain, la confirmation qu'il partirai pour le Terrier dans trois jours et aussi que les Weasley allaient venir les chercher avec un "automovile" comme avait écrit M. Weasley. Les trois jours suivants passèrent beaucoup plus vite que les précédant car Harry savait qu'il serait bientôt à plusieurs kilomètres des Dursleys. Dudley s'avait montré beaucoup plus calme que l'année précédant avec Harry, sûrement à cause de l'apparition des Détracteurs. Un jour avant son départ, les Dursley devait aller à Londres pour acheter le nouvelle uniforme scolaire de Dudley. - Harry? Il faudra que tu aille chez Mrs. Figg quelques heures, le temps que nous allions faire nos commissions. Dit la tante Pétunia qui ne savait pas que Harry attendait ce moment depuis qu'il était revenue au 4, privet Drive. - D'accord, dit Harry en jouant une fois de plus la comédie. En arrivant chez Mrs. Figg, Harry n'avait pas le même sentiment qu'a l'habitude, car il savait très bien qu'il n'allait pas passer son après- midi à regarder les photos de ces vieux chats. Il cogna trois petits coups à la porte. Une demoiselle d'un cinquantaines d'années venait d'ouvrir la porte. C'est petit yeux brun et c'est très de vieillesses lui donnait un aire méprisant, mais Harry s'avait très bien qu'elle ne l'était point. - Bonjour Harry, dit calmement Mrs. Figg - Salut! Répondit Harry d'un ton joyeux... Il avait vraiment hâte de lui poser les questions qu'il avait soigneusement préparer la veille. Ils entrèrent dans la vielle maison. Harry constata que la majorité des meubles présent dans le hall aurait eu besoin d'un petit coup de nettoyage. La quasi-totalité de la maison aussi en aurait eu besoin. Harry auta c'est souliers et les rangea soigneusement dans la garde-robe. - Tu veut quelque chose à boire ou à manger? proposa Mme Figg. - Euh... oui, s'il vous plait, lui répondit Harry d'un ton gêner. Elle ne lui avait jamais proposé, auparavant, quelque choses à boire ou à manger. Elle s'avait plutôt contenté de lui montré son album photos de c'est vieux chats. Ils aillèrent dans la cuisine ce cherche quelque choses à boire quand Harry remarqua la Gazette du sorcier traînée sur le comptoir, à coté de la cafetière. Mrs. Figg remarqua le regarde de Harry. - À quoi bon te cacher que je suis une Cracmol maintenant? Harry détourna son regarde. Il lui semblait tellement bizzard qu'une sorcière se trouve à quelque pas de la maison des Dursleys. Par la suite, ils allèrent s'assoire sur la divan, dans le salon. - Je peut m'imaginer que tu à un tas que questions à me poser, lanca Mme Figg à Harry - Oui, répondit sagement Harry. - Vas-y. - Pourquoi Dumbledore à t'il besoin de me faire surveiller si j'ai la protection de la maison des Dursley? Dit Harry d'un ton questionneur. - Bonne question, répondit Mrs. Figg d'un air songeur. Certes, la protection que le professeur t'a expliqué a la fin du trimestre est un bonne protection contre Voldemort, mais elle est inutile contre ces mangemorts et tout ces partisans. Il fallait alors quelqu'un qui passerait inaperçu pour te surveiller en cas d'attaques. Un sorcier aurait eu bien de la misère à s'adapter au fait d'utilisé aucune magie. Dumbledore à alors penser à demander à un Moldu de te surveiller, mais il n'en à pas eu l'occasion, car je me suis porté volontaire pour faire ta protection. - Alors vous avez passez 16 ans de votre vie à me surveiller? Dit Harry d'un air surpris. - Non! J'ai juste pris la décision de vivre en Moldu normal. J'ai renoncé à vivre avec les autres sorciers. Je vie alors comme une simple Moldue, mais en prenant soin de toujours avoir un œil sur toi, répondit Mrs. Figg avec un sourire. - Mais pourquoi l'été dernier Mondingus me surveillait t'il aussi? Demanda Harry. - Voyons Harry, tu n'est pas très rapide! Qu'avais besoin Celui-Dont-Ont-Ne- Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom pour prendre possession de la prophétie? - De moi, dit Harry qui n'avait pas du tout compris le lien. - Je suis une Cracmol... Bien sûr, je pouvais te surveiller, mais je ne pouvais te défendre! Dumbledore avait besoin de quelqu'un pour te défendre, en plus de moi pour te surveiller, il à alors réunie un petit groupe de personnes qui se relayais pour te surveiller pendant toute l'été, répondit Mrs. Figg. - Depuis que je suis née, il à un petit groupe de sorcier qui me protège? Demanda Harry. - Non! Bien sûr que non Harry. Seulement depuis le retour de Tu-Sais-Qui. Répondit Mrs. Figg - Mais pourquoi Dumbledore tien t'il tellement à me protéger? Demanda Harry. Bien sûr, Voldemort avait besoin de moi l'année dernier – Harry continue à parler sans se rendre compte de la grimace que Mrs. Figg avait fait en entendant le nom – mais avant, pourquoi veut il tant me surveiller? - Harry, dit Mrs. Figg d'un ton sérieux. Tu n'a pas encore compris qui est Dumbledore? - Bien sûr, c'est le directeur de Poudlard! Dit Harry d'un ton agacé. - Pas dans ce sens Harry! Il ne t'a donc jamais révéler qui représentais t'il vraiment? Lanca-t-elle - Non, répondit Harry qui sentais son cœur battre de plus en plus fort. Qui était donc Dumbledore. Il avait toujours été un grand sorcier et le directeur de Poudlard pour Harry, mais qu'essayais t'elle de lui faire comprendre? - Je ne pense pas que je devrait te révéler ceci Harry. Mais puis-ce-que nous somme dans le sujet, autant mieux te le dire, avoua Mrs. Figg. Ton père et ta mère ont toujours été très proche de Dumbledore. Même après ses études, ton père avait garder le contact avec lui. Quand il à su que tes parents étaient morts, il à tout de suite demander à l'être. - À être quoi? Dit Harry en haussant le ton. - Ton père adoptif! Cria Mrs. Figg. Qui d'autre aurait bien pu l'être? Sirius, bien sûr – Harry eu un pincement au cœur – mais il était emprisonné à Azkaban. Hagrid? Non, il était bien trop irresponsable. Les Dursleys? Dumbledore y à bien penser. Ils était les seuls qui te restait, et en plus, tu avait la protection contre Tu-Sais-Qui chez eux. Mais Dumbledore ne pouvait te confié à des Moldu, il n'avait alors aucun autre choix. Il ta adopté. Il savait bien sûr que la protection contre Celui-Dont-Ont-Ne-Doit- Pas-Prononcer-Le-Nom ne servait plus à rien, car la maison des Dursleys ne serai pas TA maison. Il à alors penser à quelque chose. Il pouvait t'adopter et te faire vivre chez les Dursleys, comme ça leur maison serai aussi la tienne. C'est ce qu'il fit, en prenant bien soin d'expliquer le tout à ta tante Pétunia. - Alors Dumbledore est mon... Père? Murmura Harry à lui même, mais Mrs. Figg l'entendue aussi. - Oui, par un contrat magique, tant que Dumbledore sera vivant, tu sera sous sa protection, et il devra assurer ta sécurité. Répondit Mrs. Figg. Dumbledore, mon père? Pensa Harry. Il n'était pas déçu, mais plutôt surpris. Il ne l'avait jamais vue comme quelqu'un de sa famille, jamais. Il le percevais plus comme un signe d'autorité, comme un directeur! Pourquoi Dumbledore ne lui avait jamais révéler ceci? - Pourquoi Dumbledore ne m'a t'il jamais révéler qu'il était mon père? Lanca Harry d'un ton furieux? - Pourquoi? Ça me paraît simple Harry, répondit Mrs. Figg en souriant. Tu aurai passé pour son protégé devant tous tes collège de classe, et ils aurai penser que tu bénifirai de plus de privilèges qu'eux. Et même si il t'aurai dit de garder cela pour toi, lance Mrs. Figg qui venait de voir Harry ouvrir la bouche, tu aurai été le voir plus souvent à son bureau, et plein d'autres petits détails. Pour ton bien, il à garder cela secret. Harry ne pensait plus à rien d'autre qu'au fait que Dumbledore était son père. Même en arrivant chez eux, vers 5h00, il ne pris pas le temps de manger et monta directement à sa chambre en s'installa confortablement dans son lit pour penser à ce qu'il venait de découvrir. Il était mélanger entre la joie et le questionnement. Pourquoi Dumbledore ne lui avait-il jamais révéler qui était t'il vraiment? Il comprenait très bien le point de vue de Mrs Figg qui disait qu'il aurait eu tendance à le prendre plus comme un père que comme un directeur, mais il lui semblait qu'il aurait été assez mature pour comprendre le fait qu'il ne devait divulguer ce secret à quiconque! Sur c'est pensées, Harry s'endormis. Le lendemain matin, Harry se leva tard dans la matinée. Il avait rêver que les Weasleys arrivaient avec la Ford Anglia volante chez les Dursleys, et qu'ils rataient leur atterrissage pour venir d'écraser dans la maison. En désendant les marches, Harry entendit Dudley entendit crier après sa mère, car il avait eu moin de patates que l'oncle Vernon au petit déjeuner. Harry pris plaisir à arriver d'une humeur parfaite en plein milieux de la cuisine pendant que sa tante, son oncle et son cousin était en train de se disputer. « Pour une fois qu'il ne crie pas après moi» pensa Harry. - Les Wezlay arrivent aujourd'hui, lance Vernon à Harry en le voyant entré dans la cuisine. Avec tout les propos d'hier, Harry avait complètement oublié que les Weasley venait le cherche aujourd'hui! - Les Weasley, rectifia Harry en souriant. Il était en effet surpris que son oncle est essayé de prononcer le nom d'une famille "bizzard" selon lui.
- J'espère qu'il arriveront pas par notre cheminée, grommela t'il en se souvenant très bien de comment ils étaient venue chercher Harry deux ans auparavants, avec la poudre de cheminette. - Je les aient averties de venir à la façon Mold... de votre façon, repris Harry en voyant son oncle devenir rouge. Un hibou traversa la pièce par la fenêtre entrouverte de la cuisine et laissa tombé l'exemplaire d'aujourd'hui de La Gazette du Sorcier. L'oncle Vernon lança un regarde noire à Harry qui de sortir de la pièce avec son journal. Il alla s'asseoir dans le salon pour lire les nouvelles du mondes des sorciers. Harry vit tout de suite, en première page, qu'une bête quelconque avait tué un village au complet, dans le nord. Ils, ou elles, comme disait la Gazette, avait détruit tout sur son passage, et avait tué la totalité des habitants du village. Aucun survivants n'avait été retrouvé parmis les ruines des bâtiments, et on comptai au dessus de 500 mots. Il était évident qu'aucun être humain, et Harry compris tout de suite qu'il voulais parler de Voldemort, ne saurai capable de tué un telle quantité d'humains. La Gazette avait alors attribué se massacre à un groupe d'animaux, sans données plus de détails. Harry ne connaissait pas beaucoup d'animal qui aurait été capable de tué tant de personnes. Mis à part les centaures (que Harry savait très violent avec les humains), il ne voyait pas qu'elle sorte d'animaux auraient pus assassinés un telle somme de sorciers. Harry se rendit compte que les Weasley n'avaient pas donné d'heures pour leurs arrivé à privet Drive. Pour ne pas prendre de chance, Harry prépara c'est bagages (Sa chouette, ces livres, son chaudrons, ect.) et les plaça devant la porte d'entré – ce qui rendit l'oncle Vernon et la tante Pétinua nerveux. – - Si quelqu'un vien en visite surprise, que pensera t'il? Avait grogner Vernon à Harry, qui n'avait prêter aucune attention à son commentaire. Vers cinq heure de l'après midi, on entendis un bruit de moteur d'automobile passé devant la maison et s'arrêter. Harry courut devant la fenêtre pour voir si il s'agissait bien des Weasley. Il vite alors, assit dans l'auto, deux tête rouquine, et il sût qu'il s'agissait de Arthur Weasley et de Ron, son fils. Harry eu alors un pincement au cœur. Les Weasley roulait à bord d'une... Ferrari! Une minute après, Vernon se plaça derière et Harry senti alors son oncle pousser un petit crie. Harry se retourna et vit Vernon, la bouche ouvert, fixer le signe "Ferrari" en avant de l'auto. - Il se sont au moins forcé, grogna Vernon. - Tu n'est pas content ?, répondit Harry d'un ton provoqueur. Harry alla ouvrir la porte au moment ou les Weasley s'apprêtais à cogner - Salut! Dit Harry d'un ton joyeux. - Bonjour Harry, répondit Mrs Weasley. Harry n'avait pas vue que Mrs Weasley et Hermione étaient eux aussi venue le chercher, et il fût très content de les voir. Après quelques brefs salutations, Harry pris ses bagages et les installa dans la valise.
Dumbledore. Depuis qu'il savait qu'il était surveiller, Harry n'agissait plus de la même manière. Bien sûr, il s'avait que la maison des Dursley lui donnait une protection contre Voldemort, mais il ne se sentais guerre plus en sécurité ici que à Poudlard! Harry c'était toujours demander pourquoi le Seigneur des Ténèbres, qui faisait bien à la grand majorité des sorciers, pour de pas dit la totalité, craignait t'il Dumbledore. D'après Harry, il ne s'agissait que d'un vieux sorcier qui dirigeait une école de sorcellerie. Harry avait toujours éprouvé une grande admiration pour Dumbledore, mais jamais n'aurai t'il pensé qu'il aurai pu combattre Voldemort aussi facilement. Il avait resté bien impressionner de combat qu'il avait vue à la fin de l'année scolaire, l'année précédente. Depuis, il se s'entait plus en sécurité à Poudlard que n'importe ou ailleurs. À vrai dit, jamais il ne s'était sentit en sécurité au 4, privet Drive , auprès de son oncle Vernont et sa tant Pétunia. - Nous continuons ce bulletin de nouvelles avec la mort tragique d'un homme de 80 ans, suite à une chute de plusieurs étages d'un immeuble abritant des personnes âgés. Chris Olanzo à été recueillir le témoignage d'une locataire, dit la voix d'un annonceur de nouvelles. Le commentaire de Maugrey Fol Œil et du reste de l'Ordre du Phénix avait bien amélioré la qualité de vie de Harry. L'Oncle Vernont lui donnait le droit d'écouter les informations avec eux, le soir. Harry ne s'en plaignait pas, mais maintenant qu'il était en contact avec Ron et Hermione et qu'il ne leurs cachaient plus rien, la nécessité d'écouter les informations moldue était d'une importance secondaire. Par contre, Harry lisait de comble en fond Gazette du Sorcier, pour être sûr de ne pas faire la même erreur que l'année précédente. Il se rappelait très bien le fait que la Gazette avait parlé de lui indirectement pendant toute l'été sans qu'il ne s'en rendre compte, car il lisait seulement la première page. À la fin du bulletin d'informations, Harry monta les marche pour se rendre à sa chambre, en prenant bien soin de s'arrêter à la toilette pour se brosser les dents et faire ses besoins, et s'étendit dans son lit en pensant, comme à chaque soir, à son parrain. Sirius, comme il lui manquait. Il aurait bien donné tout son compte de Gringott (la banque des sorciers) pour pouvoir lui parler de tout et de rien. Il repensa comme l'année précédente avait été une année difficile pour lui. Il avait non seulement perdu son parrain, mais aussi perdu le droit de joué au Quidditch, de parler à Hagrid, et plusieurs autre petit détails qui rendait sa vie à Poudlard si intéressante à l'habitude. Il espérait tellement que cette année soit comme c'est autres année, sans anicroche. Mais il savait très bien que cela avait peu de chance de se réaliser. Mais une choses au moins le réconfortait: il avait le Ministère de la Magie de son coté. Depuis que Voldemort c'était battu en duel avec Dumbledore, l'année passé, dans les local du Ministère, Cornelius Fudge avait bien été obliger d'admettre qu'il était de retour. L'article de Rita Skeeter, qui avait parut à la fin du trimestre scolaire de Poudlard, avait aussi amélioré les conditions de vie de Harry. Le monde ne le prenait plus pour un "débile", comme la Gazette du Sorcier l'avait prétendue pendant toute l'année, mais plutôt comme un héros. Sur ces pensé, Harry s'endormit... Le lendemain matin, en se levant, Harry pris son crayon et fit un X sur son calendrier qu'il avait lui même confectionner pour compter le nombre de jours avant le retour à Poudlard. Il lui restait exactement 2 semaines avant son retour à l'école. Il déscendie à la cuisine pour manger son petit déjeuner quand il vit une lettre, sur un parchemin, ce qui signifiais qu'elle venait du monde des sorciers. - Ton hibou ta apporté cela hier, grogna son Oncle. Il se précipita à la table pour l'ouvrir:
Salut Harry! Nous t'invitons à venir passer les deux dernières
Semaine au Terrier avec nous! Nous attendons ta réponses.
Les Weasley Les Weasley étaient la famille que Harry aimait le plus car ils avaient toujours été très accueillants avec lui. La mère de Ron, Mrs Weasley, était sans doute une des personnes que Harry aimait le plus. - Les Weasley veulent que j'aille passer les deux dernière semaines chez eux, je peux? Dit Harry d'une voix neutre pour être sûr de ne pas paraître trop heureux d'y aller, ce qui aurait donner une occasion à son Oncle de lui enlever quelque choses d'ont il avait vraiment envie. - Il iront te porter à la gare? Dit Vernont - Sûrement, continua Harry sur le même ton. - Si tu leurs dit qu'ils viennent te chercher avec un voiture normal, c'est d'accord, dit Vernont qui était content de se débarrassé d'Harry, mais mécontent de lui accorder un plaisir supplémentaire. Harry courut dans sa chambre, retourna le papier à l'envers et écrit:
Mon Oncle veut bien à condition que vous vernier me chercher
À la façon Moldu.
Harry. Il plia le parchemin en deux, et le posa sur le bord de sa table de travail. Il ouvrit sa fenêtre de chambre et Hedwidge se précipita sur lui. Elle tenait dans c'est pas un parchemin avec l'étampe Poudlard. Harry déplia le parchemin.
M. Potter,
Voici le résulta de vos examens BUSE de fin d'année:
Défense contre les forces du mal - Optimal
Métamorphose – Optimal
Divination – Échoué
Potions – Bien
Histoire – Pourrait faire mieux
Soin au créature magique – Très bien
Botanique – Très bien
Suite à ces notes, nous avons l'honneur de vous annoncer que vous
Avez accumuler cinq BUSE sur un total maximum de sept.
Les sixième année de Poudlard ont, comme à chaque année, le choix
Des cours dont ils veulent assisté. Évidemment, cela va avec le choix de carrière
Dont vous voulez être éligible Une lettre avec de plus amples informations sur votre
Choix (Selon la rencontre avec le professeur McGonagall) Vous sera envoyé avec vos
Fourniture scolaire.
Le directeur, Dumbledore. Harry pris le parchemin devant parvenir au Weasley et l'attacha à la patte de Hedwidge. Il la regarda partir dans le ciel bleu. Harry reçu, le lendemain, la confirmation qu'il partirai pour le Terrier dans trois jours et aussi que les Weasley allaient venir les chercher avec un "automovile" comme avait écrit M. Weasley. Les trois jours suivants passèrent beaucoup plus vite que les précédant car Harry savait qu'il serait bientôt à plusieurs kilomètres des Dursleys. Dudley s'avait montré beaucoup plus calme que l'année précédant avec Harry, sûrement à cause de l'apparition des Détracteurs. Un jour avant son départ, les Dursley devait aller à Londres pour acheter le nouvelle uniforme scolaire de Dudley. - Harry? Il faudra que tu aille chez Mrs. Figg quelques heures, le temps que nous allions faire nos commissions. Dit la tante Pétunia qui ne savait pas que Harry attendait ce moment depuis qu'il était revenue au 4, privet Drive. - D'accord, dit Harry en jouant une fois de plus la comédie. En arrivant chez Mrs. Figg, Harry n'avait pas le même sentiment qu'a l'habitude, car il savait très bien qu'il n'allait pas passer son après- midi à regarder les photos de ces vieux chats. Il cogna trois petits coups à la porte. Une demoiselle d'un cinquantaines d'années venait d'ouvrir la porte. C'est petit yeux brun et c'est très de vieillesses lui donnait un aire méprisant, mais Harry s'avait très bien qu'elle ne l'était point. - Bonjour Harry, dit calmement Mrs. Figg - Salut! Répondit Harry d'un ton joyeux... Il avait vraiment hâte de lui poser les questions qu'il avait soigneusement préparer la veille. Ils entrèrent dans la vielle maison. Harry constata que la majorité des meubles présent dans le hall aurait eu besoin d'un petit coup de nettoyage. La quasi-totalité de la maison aussi en aurait eu besoin. Harry auta c'est souliers et les rangea soigneusement dans la garde-robe. - Tu veut quelque chose à boire ou à manger? proposa Mme Figg. - Euh... oui, s'il vous plait, lui répondit Harry d'un ton gêner. Elle ne lui avait jamais proposé, auparavant, quelque choses à boire ou à manger. Elle s'avait plutôt contenté de lui montré son album photos de c'est vieux chats. Ils aillèrent dans la cuisine ce cherche quelque choses à boire quand Harry remarqua la Gazette du sorcier traînée sur le comptoir, à coté de la cafetière. Mrs. Figg remarqua le regarde de Harry. - À quoi bon te cacher que je suis une Cracmol maintenant? Harry détourna son regarde. Il lui semblait tellement bizzard qu'une sorcière se trouve à quelque pas de la maison des Dursleys. Par la suite, ils allèrent s'assoire sur la divan, dans le salon. - Je peut m'imaginer que tu à un tas que questions à me poser, lanca Mme Figg à Harry - Oui, répondit sagement Harry. - Vas-y. - Pourquoi Dumbledore à t'il besoin de me faire surveiller si j'ai la protection de la maison des Dursley? Dit Harry d'un ton questionneur. - Bonne question, répondit Mrs. Figg d'un air songeur. Certes, la protection que le professeur t'a expliqué a la fin du trimestre est un bonne protection contre Voldemort, mais elle est inutile contre ces mangemorts et tout ces partisans. Il fallait alors quelqu'un qui passerait inaperçu pour te surveiller en cas d'attaques. Un sorcier aurait eu bien de la misère à s'adapter au fait d'utilisé aucune magie. Dumbledore à alors penser à demander à un Moldu de te surveiller, mais il n'en à pas eu l'occasion, car je me suis porté volontaire pour faire ta protection. - Alors vous avez passez 16 ans de votre vie à me surveiller? Dit Harry d'un air surpris. - Non! J'ai juste pris la décision de vivre en Moldu normal. J'ai renoncé à vivre avec les autres sorciers. Je vie alors comme une simple Moldue, mais en prenant soin de toujours avoir un œil sur toi, répondit Mrs. Figg avec un sourire. - Mais pourquoi l'été dernier Mondingus me surveillait t'il aussi? Demanda Harry. - Voyons Harry, tu n'est pas très rapide! Qu'avais besoin Celui-Dont-Ont-Ne- Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom pour prendre possession de la prophétie? - De moi, dit Harry qui n'avait pas du tout compris le lien. - Je suis une Cracmol... Bien sûr, je pouvais te surveiller, mais je ne pouvais te défendre! Dumbledore avait besoin de quelqu'un pour te défendre, en plus de moi pour te surveiller, il à alors réunie un petit groupe de personnes qui se relayais pour te surveiller pendant toute l'été, répondit Mrs. Figg. - Depuis que je suis née, il à un petit groupe de sorcier qui me protège? Demanda Harry. - Non! Bien sûr que non Harry. Seulement depuis le retour de Tu-Sais-Qui. Répondit Mrs. Figg - Mais pourquoi Dumbledore tien t'il tellement à me protéger? Demanda Harry. Bien sûr, Voldemort avait besoin de moi l'année dernier – Harry continue à parler sans se rendre compte de la grimace que Mrs. Figg avait fait en entendant le nom – mais avant, pourquoi veut il tant me surveiller? - Harry, dit Mrs. Figg d'un ton sérieux. Tu n'a pas encore compris qui est Dumbledore? - Bien sûr, c'est le directeur de Poudlard! Dit Harry d'un ton agacé. - Pas dans ce sens Harry! Il ne t'a donc jamais révéler qui représentais t'il vraiment? Lanca-t-elle - Non, répondit Harry qui sentais son cœur battre de plus en plus fort. Qui était donc Dumbledore. Il avait toujours été un grand sorcier et le directeur de Poudlard pour Harry, mais qu'essayais t'elle de lui faire comprendre? - Je ne pense pas que je devrait te révéler ceci Harry. Mais puis-ce-que nous somme dans le sujet, autant mieux te le dire, avoua Mrs. Figg. Ton père et ta mère ont toujours été très proche de Dumbledore. Même après ses études, ton père avait garder le contact avec lui. Quand il à su que tes parents étaient morts, il à tout de suite demander à l'être. - À être quoi? Dit Harry en haussant le ton. - Ton père adoptif! Cria Mrs. Figg. Qui d'autre aurait bien pu l'être? Sirius, bien sûr – Harry eu un pincement au cœur – mais il était emprisonné à Azkaban. Hagrid? Non, il était bien trop irresponsable. Les Dursleys? Dumbledore y à bien penser. Ils était les seuls qui te restait, et en plus, tu avait la protection contre Tu-Sais-Qui chez eux. Mais Dumbledore ne pouvait te confié à des Moldu, il n'avait alors aucun autre choix. Il ta adopté. Il savait bien sûr que la protection contre Celui-Dont-Ont-Ne-Doit- Pas-Prononcer-Le-Nom ne servait plus à rien, car la maison des Dursleys ne serai pas TA maison. Il à alors penser à quelque chose. Il pouvait t'adopter et te faire vivre chez les Dursleys, comme ça leur maison serai aussi la tienne. C'est ce qu'il fit, en prenant bien soin d'expliquer le tout à ta tante Pétunia. - Alors Dumbledore est mon... Père? Murmura Harry à lui même, mais Mrs. Figg l'entendue aussi. - Oui, par un contrat magique, tant que Dumbledore sera vivant, tu sera sous sa protection, et il devra assurer ta sécurité. Répondit Mrs. Figg. Dumbledore, mon père? Pensa Harry. Il n'était pas déçu, mais plutôt surpris. Il ne l'avait jamais vue comme quelqu'un de sa famille, jamais. Il le percevais plus comme un signe d'autorité, comme un directeur! Pourquoi Dumbledore ne lui avait jamais révéler ceci? - Pourquoi Dumbledore ne m'a t'il jamais révéler qu'il était mon père? Lanca Harry d'un ton furieux? - Pourquoi? Ça me paraît simple Harry, répondit Mrs. Figg en souriant. Tu aurai passé pour son protégé devant tous tes collège de classe, et ils aurai penser que tu bénifirai de plus de privilèges qu'eux. Et même si il t'aurai dit de garder cela pour toi, lance Mrs. Figg qui venait de voir Harry ouvrir la bouche, tu aurai été le voir plus souvent à son bureau, et plein d'autres petits détails. Pour ton bien, il à garder cela secret. Harry ne pensait plus à rien d'autre qu'au fait que Dumbledore était son père. Même en arrivant chez eux, vers 5h00, il ne pris pas le temps de manger et monta directement à sa chambre en s'installa confortablement dans son lit pour penser à ce qu'il venait de découvrir. Il était mélanger entre la joie et le questionnement. Pourquoi Dumbledore ne lui avait-il jamais révéler qui était t'il vraiment? Il comprenait très bien le point de vue de Mrs Figg qui disait qu'il aurait eu tendance à le prendre plus comme un père que comme un directeur, mais il lui semblait qu'il aurait été assez mature pour comprendre le fait qu'il ne devait divulguer ce secret à quiconque! Sur c'est pensées, Harry s'endormis. Le lendemain matin, Harry se leva tard dans la matinée. Il avait rêver que les Weasleys arrivaient avec la Ford Anglia volante chez les Dursleys, et qu'ils rataient leur atterrissage pour venir d'écraser dans la maison. En désendant les marches, Harry entendit Dudley entendit crier après sa mère, car il avait eu moin de patates que l'oncle Vernon au petit déjeuner. Harry pris plaisir à arriver d'une humeur parfaite en plein milieux de la cuisine pendant que sa tante, son oncle et son cousin était en train de se disputer. « Pour une fois qu'il ne crie pas après moi» pensa Harry. - Les Wezlay arrivent aujourd'hui, lance Vernon à Harry en le voyant entré dans la cuisine. Avec tout les propos d'hier, Harry avait complètement oublié que les Weasley venait le cherche aujourd'hui! - Les Weasley, rectifia Harry en souriant. Il était en effet surpris que son oncle est essayé de prononcer le nom d'une famille "bizzard" selon lui.
- J'espère qu'il arriveront pas par notre cheminée, grommela t'il en se souvenant très bien de comment ils étaient venue chercher Harry deux ans auparavants, avec la poudre de cheminette. - Je les aient averties de venir à la façon Mold... de votre façon, repris Harry en voyant son oncle devenir rouge. Un hibou traversa la pièce par la fenêtre entrouverte de la cuisine et laissa tombé l'exemplaire d'aujourd'hui de La Gazette du Sorcier. L'oncle Vernon lança un regarde noire à Harry qui de sortir de la pièce avec son journal. Il alla s'asseoir dans le salon pour lire les nouvelles du mondes des sorciers. Harry vit tout de suite, en première page, qu'une bête quelconque avait tué un village au complet, dans le nord. Ils, ou elles, comme disait la Gazette, avait détruit tout sur son passage, et avait tué la totalité des habitants du village. Aucun survivants n'avait été retrouvé parmis les ruines des bâtiments, et on comptai au dessus de 500 mots. Il était évident qu'aucun être humain, et Harry compris tout de suite qu'il voulais parler de Voldemort, ne saurai capable de tué un telle quantité d'humains. La Gazette avait alors attribué se massacre à un groupe d'animaux, sans données plus de détails. Harry ne connaissait pas beaucoup d'animal qui aurait été capable de tué tant de personnes. Mis à part les centaures (que Harry savait très violent avec les humains), il ne voyait pas qu'elle sorte d'animaux auraient pus assassinés un telle somme de sorciers. Harry se rendit compte que les Weasley n'avaient pas donné d'heures pour leurs arrivé à privet Drive. Pour ne pas prendre de chance, Harry prépara c'est bagages (Sa chouette, ces livres, son chaudrons, ect.) et les plaça devant la porte d'entré – ce qui rendit l'oncle Vernon et la tante Pétinua nerveux. – - Si quelqu'un vien en visite surprise, que pensera t'il? Avait grogner Vernon à Harry, qui n'avait prêter aucune attention à son commentaire. Vers cinq heure de l'après midi, on entendis un bruit de moteur d'automobile passé devant la maison et s'arrêter. Harry courut devant la fenêtre pour voir si il s'agissait bien des Weasley. Il vite alors, assit dans l'auto, deux tête rouquine, et il sût qu'il s'agissait de Arthur Weasley et de Ron, son fils. Harry eu alors un pincement au cœur. Les Weasley roulait à bord d'une... Ferrari! Une minute après, Vernon se plaça derière et Harry senti alors son oncle pousser un petit crie. Harry se retourna et vit Vernon, la bouche ouvert, fixer le signe "Ferrari" en avant de l'auto. - Il se sont au moins forcé, grogna Vernon. - Tu n'est pas content ?, répondit Harry d'un ton provoqueur. Harry alla ouvrir la porte au moment ou les Weasley s'apprêtais à cogner - Salut! Dit Harry d'un ton joyeux. - Bonjour Harry, répondit Mrs Weasley. Harry n'avait pas vue que Mrs Weasley et Hermione étaient eux aussi venue le chercher, et il fût très content de les voir. Après quelques brefs salutations, Harry pris ses bagages et les installa dans la valise.
