Voici sous le thème de la dernière bataille une vision de celle-ci sous
l'œil de Drago Malefoy. IL y a des clin d'œil entre les deux( ma fin).
Bonne lecture. À oui je sais, elle est extrêment courte. J'adore les
reviews et ça l'aide toujours pour mettre la troisième partie plus vite !
Pour la liberté.......
S'il avait su à quel point il regrettait le geste qu'il avait posé il y avait déjà maintenant 2 ans. Il n'aurait jamais accepter une décision aussi à la légère. Mais aurait-il eu le choix de décider de son sort ? Non, bien-sur que non. Et c'est maintenant, au beau milieux de la bataille, qu'il était presque trop tard, qu'il prenait enfin lui-même une décision. Il ne voulait pas devenir un fidèle de ce fou. Il ne souhaitait pas être comme ce pseudo père. Ce père, cet homme, qui fier du pouvoir octroyé par le magistrat de la magie noire, se permettait de blesser tout ceux qui l'entouraient. Sa mère souffrait depuis qu'elle l'avait épousé. Elle avait succombée à son désir de rester éternelle jeune et belle, elle avait cru les belles paroles de cet homme à la crinière blonde. Maintenant elle aussi en souffrait. N'es-ce pas un sort semblable que son patronyme de nom Narcisse avait subi ? Même cet elfe de maison complètement idiote avait préféré fuir leur maison. Mais pouvait-il appeler cet endroit de terreur une maison ? Non, une prison était plus semblable. Cet endroit froid, dure ou la peur règne a tous les coins de corridors, ou les murs ont yeux et oreilles, où il faut mieux rester enfermer la nuit dans la penderie de peur de voir sugir le monstre de nos peurs qui est nul autre que son père.
Malgré tout Drago avait voulu que son père soit fier de lui. Au moins uniquement une fois. Il avait été préfet de Serpentard, capitaine de quiddicht, avait eu de bons résultats et avait fréquenté les seuls amis que son père lui disait de confiance. Mais rien n'avait pus jamais le rendre fier de lui. Il savait que jamais son père ne serait fier de lui quoiqu'il fasse. Maintenant il comprenait que Lucius Malefoy était un être profondément égoïste, rancunier et imbu de pouvoir. Que jamais il ne changerait. Au fond de lui Drago savait qu'il ne restait qu'une unique chose à faire pour se débarrasser de tout ce poids sur ses épaules, de toute cette rancœur au fond de lui.
Il sortit brutalement de ses pensées lorsque non loin de lui il entendit une immense explosion et que son père lui ordonnait de tuer la fille Weaslay qui s'avançait dans la foule et qui venait de lancer un doloris sur ce con de Goyle. Comment aurait-il pus la tuer ? Elle ne faisait que sauver sa peau et celle de ses amis. Et Drago ressentait une envie de meurtre, mais elle était destinée à cet homme qui avait fait de son enfance un cauchemar. Qui lui avait pris le peu de dignité qu'il avait, qu'il lui avait enlevé le reste de sa confiance en lui. Il n'en pouvait plus.
Derrière lui la lune brillait, des feux de guerres étaient allumés et les cris retentissaient dans la nuit. Ses profonds yeux bleus s'étaient éclairés d'une étrange lueur que son père ne remarqua pas, trop occupé à faire souffrir un auror. Il riait à gorge déployée en voyant cette masse de chair endolorie se tordre de douleur et lorsque enfin s'acheva les cris de douleur de l'homme il se retourna et vit la lueur de démence parcourant les yeux de son fils.
« Enfin tu deviendrais un vrai Malefoy. Ne me fait pas honte et tue-là mon fils. De toute
manière une bouche de moins ou de plus à nourrir pour ce pauvre Arthur ne sera pas une
grosse perte. Allez et montre-moi que Voldemort de t'a pas choisi pour rien. »
« Nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn !!!!!! Jamais, j'en ai assez de toi, de Voldemort, de tes projets
pour mon futur, jamais plus tu ne m'ordonneras quoi que se soit. C'est complètement fini le
temps ou je me laissais faire. Maintenant regarde-moi, regarde ton fils, car se soir je fais le
chois de te tuer. Avada Kedavra.
Malefoy père ne vit que la fureur de son fils, il n'entendit que son corps inerte tomber sur le sol durement. Sa dernière pensée fut qu'il se vengerait mais il était déjà trop tard car il tait mort.
Drago prit une profonde respiration et il vit Ronald au loin le regarder et lui faire un clin d'œil et il comprit que peut-être maintenant il s'était fait de nouveaux amis, de vrais. Il comprit que l'avenir venait de s'ouvrir devant lui, que maintenant il serait maître de lui-même, qu'il pourrait enfin faire ses propres choix. Une liberté durement acquise, au prix extrême de la mort.
Enfin le vent se soulevait de nouveau pour lui.
Mais ce n'est que plus tard lorsque Voldemort fut détruit, que Ronald s'était enfui et que Dumbledore lui dit qu'il avait fait le bon choix qu'il prit connaissance de toutes les portes qui n'était plus fermées pour lui. Mais il avait commis un meurtre impardonnable, celui de son père, qui le hanterait malgré tout, la nuit lorsque dehors la lune scintillerait et qu'un vent de mort soufflerait.
La mort pour la vie....... Une dure réalité que Drago Malefoy venait de comprendre. Fin
Pour la liberté.......
S'il avait su à quel point il regrettait le geste qu'il avait posé il y avait déjà maintenant 2 ans. Il n'aurait jamais accepter une décision aussi à la légère. Mais aurait-il eu le choix de décider de son sort ? Non, bien-sur que non. Et c'est maintenant, au beau milieux de la bataille, qu'il était presque trop tard, qu'il prenait enfin lui-même une décision. Il ne voulait pas devenir un fidèle de ce fou. Il ne souhaitait pas être comme ce pseudo père. Ce père, cet homme, qui fier du pouvoir octroyé par le magistrat de la magie noire, se permettait de blesser tout ceux qui l'entouraient. Sa mère souffrait depuis qu'elle l'avait épousé. Elle avait succombée à son désir de rester éternelle jeune et belle, elle avait cru les belles paroles de cet homme à la crinière blonde. Maintenant elle aussi en souffrait. N'es-ce pas un sort semblable que son patronyme de nom Narcisse avait subi ? Même cet elfe de maison complètement idiote avait préféré fuir leur maison. Mais pouvait-il appeler cet endroit de terreur une maison ? Non, une prison était plus semblable. Cet endroit froid, dure ou la peur règne a tous les coins de corridors, ou les murs ont yeux et oreilles, où il faut mieux rester enfermer la nuit dans la penderie de peur de voir sugir le monstre de nos peurs qui est nul autre que son père.
Malgré tout Drago avait voulu que son père soit fier de lui. Au moins uniquement une fois. Il avait été préfet de Serpentard, capitaine de quiddicht, avait eu de bons résultats et avait fréquenté les seuls amis que son père lui disait de confiance. Mais rien n'avait pus jamais le rendre fier de lui. Il savait que jamais son père ne serait fier de lui quoiqu'il fasse. Maintenant il comprenait que Lucius Malefoy était un être profondément égoïste, rancunier et imbu de pouvoir. Que jamais il ne changerait. Au fond de lui Drago savait qu'il ne restait qu'une unique chose à faire pour se débarrasser de tout ce poids sur ses épaules, de toute cette rancœur au fond de lui.
Il sortit brutalement de ses pensées lorsque non loin de lui il entendit une immense explosion et que son père lui ordonnait de tuer la fille Weaslay qui s'avançait dans la foule et qui venait de lancer un doloris sur ce con de Goyle. Comment aurait-il pus la tuer ? Elle ne faisait que sauver sa peau et celle de ses amis. Et Drago ressentait une envie de meurtre, mais elle était destinée à cet homme qui avait fait de son enfance un cauchemar. Qui lui avait pris le peu de dignité qu'il avait, qu'il lui avait enlevé le reste de sa confiance en lui. Il n'en pouvait plus.
Derrière lui la lune brillait, des feux de guerres étaient allumés et les cris retentissaient dans la nuit. Ses profonds yeux bleus s'étaient éclairés d'une étrange lueur que son père ne remarqua pas, trop occupé à faire souffrir un auror. Il riait à gorge déployée en voyant cette masse de chair endolorie se tordre de douleur et lorsque enfin s'acheva les cris de douleur de l'homme il se retourna et vit la lueur de démence parcourant les yeux de son fils.
« Enfin tu deviendrais un vrai Malefoy. Ne me fait pas honte et tue-là mon fils. De toute
manière une bouche de moins ou de plus à nourrir pour ce pauvre Arthur ne sera pas une
grosse perte. Allez et montre-moi que Voldemort de t'a pas choisi pour rien. »
« Nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn !!!!!! Jamais, j'en ai assez de toi, de Voldemort, de tes projets
pour mon futur, jamais plus tu ne m'ordonneras quoi que se soit. C'est complètement fini le
temps ou je me laissais faire. Maintenant regarde-moi, regarde ton fils, car se soir je fais le
chois de te tuer. Avada Kedavra.
Malefoy père ne vit que la fureur de son fils, il n'entendit que son corps inerte tomber sur le sol durement. Sa dernière pensée fut qu'il se vengerait mais il était déjà trop tard car il tait mort.
Drago prit une profonde respiration et il vit Ronald au loin le regarder et lui faire un clin d'œil et il comprit que peut-être maintenant il s'était fait de nouveaux amis, de vrais. Il comprit que l'avenir venait de s'ouvrir devant lui, que maintenant il serait maître de lui-même, qu'il pourrait enfin faire ses propres choix. Une liberté durement acquise, au prix extrême de la mort.
Enfin le vent se soulevait de nouveau pour lui.
Mais ce n'est que plus tard lorsque Voldemort fut détruit, que Ronald s'était enfui et que Dumbledore lui dit qu'il avait fait le bon choix qu'il prit connaissance de toutes les portes qui n'était plus fermées pour lui. Mais il avait commis un meurtre impardonnable, celui de son père, qui le hanterait malgré tout, la nuit lorsque dehors la lune scintillerait et qu'un vent de mort soufflerait.
La mort pour la vie....... Une dure réalité que Drago Malefoy venait de comprendre. Fin
