Merci a toutes celles et ceux qui mon reviewer ça m'a fait très plaisir que
vous apprécier continuer de m'écrire, soit pour me jeter des tomates ou des
fleures. Ba pour ceux que ça intéresse, il y aura une suite a cette fiction
dont je ne donne pas de renseignement, j'ai déjà pour la dernière
révélation 4 autres chapitres prêts pour la publication et pour la suite
j'en n'ai 3 extrêmement gros environ 2o pages world! A bientôt toutes les
suggestions son apprécier et lu attentivement.
Chapitre 4 : Black ?
Et Malfoy chou est de retour.
Disclamer : Y'a rien a moi sauf l'intrigue et quelques persos qui ne sont pas encore apparus !
££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££
"Draco, Mon maître et moi avons décidé que tu étais enfin prêt à rejoindre nos rangs. Tiens-toi prêt jeudi, nous viendrons te chercher. Ne me déçoit pas, c'est un honneur qui t'ai fait.
Lucius"
Draco froissa lentement le parchemin jauni dans sa main et le jeta dans les flammes. Toujours les mêmes mots froids et pittoresques. Il regarda le papier se tordre dans les flammes avant de disparaître en fumée. Il ne les rejoindrait pas, sa vie était plus importante que le fait de devenir Mangemort et de se prosterner devant Voldemort. Une espérance de vie très courte, c'est tout ce que ça lui rapporterait ! Un moment passa, silencieux et remplie d'attente puis, ses yeux se perdirent dans les abîmes du feu rougeoyant.
Son père était vraiment stupide, ridicule même. Sa mâchoire se contracta. Jamais Voldemort ne lui accorderait quoi que se soit et si par un grand miracle, Lucius devenait plus puissant, il le tuerait avant qu'il ne pense à prendre sa place donc, dans très peu de temps. Avec un soupir, il s'étira et se leva de son siège près de la cheminée pour se diriger vers son dortoir. Il se faisait tard et il était maintenant le seul élève présent dans la salle commune. Qu'allait faire son père ? Il avait inscrit dans son message qu'il serait accompagné pour venir le chercher. Il allait sûrement se passer quelque chose ce jeudi.
- Salut, Draco !
Il leva les yeux et regarda droit devant lui, essayant de percer la noirceur ambiante. En haut des escaliers menant aux dortoirs des filles, Pansy Parkinson lui faisait signe de venir la rejoindre. Il avança vers elle en traînant des pieds.
- Tu viens ?
Elle lui fit son plus beau sourire (Heurque, j'en ai des frissons dans le dos ! Pas vous ?), Un sourire qu'elle essayait de rendre aguichant.
- Non, pas ce soir, dit-il, affectant un sommeil profond.
Il se retourna, monta les marches menant à son dortoir au pas de course et poussa la porte.
Enfin seul, son visage changea et prit un air goguenard. Il rit un peu. Cette chipie pensait pouvoir l'emmener dans son lit... Elle rêvait ! Non, Draco Malfoy méritait les plus belles femmes, les plus réticentes, les inaccessibles et il les obtenait. Pas les dévergondés dans le genre de Pansy lui, il n'avait que ce qui était de premier-ordre, le meilleur.
Le jeudi matin, Draco se leva de fort mauvaise humeur. Une semaine avait passé depuis, qu'il avait reçu la lettre de son père. Il avait écrit à celui-ci pour lui demander plus de renseignements sur ce qui allait se passer ce jeudi. Mais, Son imbécile de père lui avait répondu qu'il se faisait des idées et lui ordonna de ne plus lui écrire, à moins que se soit pour lui donner des renseignements sur Poudlard. Il avait ajouté qu'il fallait que son fils soit enfin tel que lui, l'avait toujours voulu. Son visage se crispa à ce souvenir.
Son père n'avait jamais voulu de lui. Pendant plusieurs années, Draco avait espéré être tel que Lucius voulaient qu'il soit mais, plus les années passaient et moins il s'en approchait. Il avait fini par comprendre que le fils que cet abruti souhaitait n'existait que dans le cerveau malade de son père. Depuis bientôt deux ans, il vivait tel qu'il le voulait et l'avait toujours souhaité, passant de fille en fille, buvant autant qu'il voulait, à sen rendre malade même, en attendant de pouvoir accéder à mieux. Pour les Serpentards, il était Draco Malfoy, le plus populaire Serpentard celui qui, quand il veut quelque chose, l'obtient toujours, celui qui a tout ce qu'il souhaite et, bien sûr cela allait de soit, futur Mangemort. Mais, au fond de lui il était mort. Il entra dans la grande salle et alla s'assoire entre Goille et Crabe.
- Hey ! Salut, Draco. Ca va ?
Draco leva les yeux au ciel. Il se demandait si un jour leurs cerveaux se développeraient ou si il serait toujours obliger de réfléchir et pensé pour eux. Il regarda dans son assiette : encore le même petit-déjeuner qu'hier et les jours précédents. La même routine. Voilà à quoi rimait sa vie. Il ne répondit pas à Crabe. Ils étaient tellement stupides, lui et Goille, ils iraient probablement rejoindre le Seigneur des Ténèbres dans peu de temps. "Ils ne savent pas penser par eux même !", Se dit Draco, un sourire amer sur les lèvres. "Un atout de choix pour Voldemort." Il se leva seul de la table des Serpentards et franchi la porte de la grande salle pour se rendre à son cours de Défense Contre Les Forces Du Mal.
Draco marchait dans le couloir rempli d'étudiants bruyants pour se rendre à son cours. Les élèves se tassaient pour ne pas être dans son chemin et ne pas recevoir quelques insultes de sa langue acérée. Il se replongea dans ses pensées. Le professeur était un peu bizarre, mais les informations sur la magie noire qu'il leurs fournissait étaient de qualités. Il pénétra dans la salle vide, s'assit à la table qu'il occupait depuis sept années, sortit ses livres de son sac et il attendit. Le cours commença mais Draco N'écouta pas le semi-loup-garou parler jusqu'à ce qu'il se décide enfin à discuter de ce qui l'intéressait : la magie-noire.
- Aujourd'hui, vous allez apprendre à combattre le sort de Tafel. Quelle est son effet ?
Une fille leva la main pour répondre à la question posée. "Ah ! Non, pensa t-il, pas encore elle ! C'est un vrai dictionnaire ambulant, cette fille là ! Ah ! Oui, j'oubliais, c'est la sang de bourbe." Malgré lui, il laissa son regard errer de ses épaules étroites à sa taille fine, puis passa à ses hanches voluptueuses. "Et quelles hanches !", Se dit-il intérieurement. Il sentit une chaleur s'insinuer lentement dans tout son être. Ses yeux se voilèrent, prenant une couleur plus profonde et ses mains agrippèrent son livre. Les jointures blanchire tellement il le serrait. Il la désirait ! Cela le frappa instantanément et il détourna les yeux. Une voie intérieure lui répondit instantanément. "Bon sang, Draco ! Qu'est-ce que tu fais ?", Se dit-il, ahuri. "C'est Hermione Granger, le rat de bibliothèque ! La sang de bourbe ! L'amie de Potter et de Weasley ! Tu es fou ! Oui, tout simplement fou !". La petite brune parla :
- Il permet à celui qui le lance de pouvoir prendre possession du corps des personnes choisies, mais seulement dans un rayon de vingt mètres.
- Très bien, Hermione ! Dix points pour Griffondor. Ce sont les principales caractéristiques, mais vous avez oublié quelque chose d'important : il ne peut-être lancé que sur des êtres partiellement humains, comme des loups- garous, des vampires, des semi-orcs et bien d'autres créatures ! Et, il peut difficilement être contré par la créature. Le sort contrôle la partie animale de la personne et la rend supérieure. Pour le conjurer, il suffit de trouver la personne qui l'a lancé et de prononcer : "Finitafelès". Ce qui n'est pas une chose facile !
Le reste du cours consista à apprendre à prononcer correctement le sort et à le neutraliser. Pour cela, l'ancien professeur de Défense Contre Les Forces Du Mal, Remus Lupin, avait du servir de cobaye. A la fin du cours, Draco attrapa ses livres et regarda autour de lui. Il était l'un des derniers élèves présents. Il se préparait à sortir quand, il vit le trio des zéros s'approcher du professeur de Défense Contre Les Forces Du Mal. Curieux, il se plaqua contre le mur près de la porte où nul ne pouvait le voir.
- Professeur ?
S'étais Potter qui lui avait parlé. Le professeur baissa la tête et regarda le jeune Griffondor de ses yeux jaunes et perçant.
- Oui, Harry ?
- Vous ne nous avez pas dit votre nom durant l'autre cours... Ni pendant celui-ci.
- Oui, c'est vrai, dit-il. Sa voie montrant qu'il était for contrarié. Je m'appelle Kane. Kane Black.
Fin.
Non, c'est une joke ! A lès plate, mais pareils !
Draco et le trio des zéros firent des yeux ronds. Harry baissa timidement la tête et regarda ses chaussures.
- Comme Sirius Black ? murmura t-il.
- Oui, comme Sirius Black. Il est mon frère, dit-il sur la défensive. Maintenant, vous feriez mieux de partir, ajouta t'il rapidement.
Draco sortit à la suite des "trois nuls", comme, il se plaisait à les appelés. Personne ne l'avait aperçu. Ses pensées tournaient dans sa tête. Son professeur de Défense Contre Les Forces Du Mal était le frère de ce pouilleux de Black ! "Une autre racaille juste bonne pour la prison !", Pensa t-il ironiquement. Dumbledore avait de ces idées ! D'abord, il avait engagé un Mangemort. En deuxième année, un beau-parleur qui ne savait rien faire de ces dix doigts. En troisième année un loup-garou puis, en quatrième année, un Mangemort déguisé en un ancien auror... et maintenant, un semi-loup-garou qui vous donnait froid dans le dos et qui, en plus, était le frère d'un évadé potentiellement dangereux, et fou, de surcroît ! Où donc allait le monde ? C'est sur ces pensées que Draco percuta quelqu'un et qu'il perdit l'équilibre pour ensuite tomber sur le sol. Après avoir vérifié qu'il n'avait rien de cassé, il se mit à genou et regarda autour de lui. Il rencontra le visage renfrogné de son pire ennemie.
- Qu'est-ce que tu fais, Malfoy ? Tu t'ennuyais tellement de moi que tu n'as pas pu te retenir de me sauter dessus ?
Les élèves qui s'étaient regroupés autour d'eux se mirent à rire. Le visage de Malfoy prit une tinte rouge. Pour qui se prenait-il, celui-là ?
- Je ne t'aurais pas rentré dedans si tu t'étais ôté de mon chemin, Potter ! Ah ! Comment va le semi-loup-garou, le frère de Sirius Black, ton parrain ? C'est ça, n'est-ce pas, si je me souviens bien ? Tu lui parle encore souvent ? Il va pouvoir te prendre en pitié, lui aussi ! Va donc pleurer sur son épaule, tout de suite !
Il profita de la stupeur générale qui avait frappé le groupe d'adolescents présents pour ce levé et partir sans un regard en arrière. Pourquoi s'était- il enfui ? Il aurait pu frapper plus fort ! Enfoncer le clou plus profondément ! Il pensa que ça n'était pas si grave. Après tout, maintenant, Potter ne riait plus autant de l'avoir ridiculisé après ce qu'il venait de dire ! Pratiquement personne n'était au courant que Sirius Black était le parrain de Harry, mais, maintenant, tous allaient le savoir ! Il afficha un sourire suffisant. Oui, cette journée s'annonçait de plus en plus belle !
Au dîner, tout comme l'avait prédit Draco, tout Poudlard était au courant que Harry était le filleul de Black et qu'en plus, celui-ci entretenait une coresponcence avec l'évadé et, donc, par la même occasion, était en bons thermes avec lui ! Il avait de quoi être fier de lui. Maintenant, la plupart des élèves présents lançaient des regards furieux vers Harry. On chuchotait à son passage, et même quelques personnes lui criaient des injures. Oui, un Malfoy savait se venger. Au moins une chose de bonne que son père lui ait apprit.
La journée passa à la vitesse de l'éclair. Ce soir là, Draco entra dans la grande salle pour le souper. Ses épaules droites, la démarche souple, tel un félin, il alla s'asseoir à sa table et reçu les félicitations des Serpentards pour son coup de géni envers Harry Potter le matin même. Le dîner commença normalement, tout comme les autres. La grande salle était bruyante des rires entrecoupés par le bruit des ustensiles de cuisine percutant les assiettes. Les Serpentards, par contre, se tenaient plus calme, levant les yeux de leurs assiettes pour vérifier la salle d'un coup d'œil frénétique, engageant rarement la conversation entre leurs confrères. Draco tourna la tête vers son voisin de droite.
- Hey !
Il lui donna une petite tape sur l'épaule, l'autre se retourna vers lui.
- Quoi ?
- Qu'est-ce qui se passe ?
- Tu ne sais pas ? Une lueur d'incrédulité passa sur son visage. C'est aujourd'hui qu'il vient !
Avant que Draco puisse lui demander quoi que se soit, il se rappela la lettre, que lui avait écrit son père. Ils étaient jeudi ! Il avait complètement oublié que son père venait le chercher, et probablement pas seul. Avant qu'il ne puisse demander qui allait venir...
Chui pas très gentille, mais bon, moi, je veux des reviews ! Pleins de reviews, d'accord ?
Chapitre 4 : Black ?
Et Malfoy chou est de retour.
Disclamer : Y'a rien a moi sauf l'intrigue et quelques persos qui ne sont pas encore apparus !
££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££££
"Draco, Mon maître et moi avons décidé que tu étais enfin prêt à rejoindre nos rangs. Tiens-toi prêt jeudi, nous viendrons te chercher. Ne me déçoit pas, c'est un honneur qui t'ai fait.
Lucius"
Draco froissa lentement le parchemin jauni dans sa main et le jeta dans les flammes. Toujours les mêmes mots froids et pittoresques. Il regarda le papier se tordre dans les flammes avant de disparaître en fumée. Il ne les rejoindrait pas, sa vie était plus importante que le fait de devenir Mangemort et de se prosterner devant Voldemort. Une espérance de vie très courte, c'est tout ce que ça lui rapporterait ! Un moment passa, silencieux et remplie d'attente puis, ses yeux se perdirent dans les abîmes du feu rougeoyant.
Son père était vraiment stupide, ridicule même. Sa mâchoire se contracta. Jamais Voldemort ne lui accorderait quoi que se soit et si par un grand miracle, Lucius devenait plus puissant, il le tuerait avant qu'il ne pense à prendre sa place donc, dans très peu de temps. Avec un soupir, il s'étira et se leva de son siège près de la cheminée pour se diriger vers son dortoir. Il se faisait tard et il était maintenant le seul élève présent dans la salle commune. Qu'allait faire son père ? Il avait inscrit dans son message qu'il serait accompagné pour venir le chercher. Il allait sûrement se passer quelque chose ce jeudi.
- Salut, Draco !
Il leva les yeux et regarda droit devant lui, essayant de percer la noirceur ambiante. En haut des escaliers menant aux dortoirs des filles, Pansy Parkinson lui faisait signe de venir la rejoindre. Il avança vers elle en traînant des pieds.
- Tu viens ?
Elle lui fit son plus beau sourire (Heurque, j'en ai des frissons dans le dos ! Pas vous ?), Un sourire qu'elle essayait de rendre aguichant.
- Non, pas ce soir, dit-il, affectant un sommeil profond.
Il se retourna, monta les marches menant à son dortoir au pas de course et poussa la porte.
Enfin seul, son visage changea et prit un air goguenard. Il rit un peu. Cette chipie pensait pouvoir l'emmener dans son lit... Elle rêvait ! Non, Draco Malfoy méritait les plus belles femmes, les plus réticentes, les inaccessibles et il les obtenait. Pas les dévergondés dans le genre de Pansy lui, il n'avait que ce qui était de premier-ordre, le meilleur.
Le jeudi matin, Draco se leva de fort mauvaise humeur. Une semaine avait passé depuis, qu'il avait reçu la lettre de son père. Il avait écrit à celui-ci pour lui demander plus de renseignements sur ce qui allait se passer ce jeudi. Mais, Son imbécile de père lui avait répondu qu'il se faisait des idées et lui ordonna de ne plus lui écrire, à moins que se soit pour lui donner des renseignements sur Poudlard. Il avait ajouté qu'il fallait que son fils soit enfin tel que lui, l'avait toujours voulu. Son visage se crispa à ce souvenir.
Son père n'avait jamais voulu de lui. Pendant plusieurs années, Draco avait espéré être tel que Lucius voulaient qu'il soit mais, plus les années passaient et moins il s'en approchait. Il avait fini par comprendre que le fils que cet abruti souhaitait n'existait que dans le cerveau malade de son père. Depuis bientôt deux ans, il vivait tel qu'il le voulait et l'avait toujours souhaité, passant de fille en fille, buvant autant qu'il voulait, à sen rendre malade même, en attendant de pouvoir accéder à mieux. Pour les Serpentards, il était Draco Malfoy, le plus populaire Serpentard celui qui, quand il veut quelque chose, l'obtient toujours, celui qui a tout ce qu'il souhaite et, bien sûr cela allait de soit, futur Mangemort. Mais, au fond de lui il était mort. Il entra dans la grande salle et alla s'assoire entre Goille et Crabe.
- Hey ! Salut, Draco. Ca va ?
Draco leva les yeux au ciel. Il se demandait si un jour leurs cerveaux se développeraient ou si il serait toujours obliger de réfléchir et pensé pour eux. Il regarda dans son assiette : encore le même petit-déjeuner qu'hier et les jours précédents. La même routine. Voilà à quoi rimait sa vie. Il ne répondit pas à Crabe. Ils étaient tellement stupides, lui et Goille, ils iraient probablement rejoindre le Seigneur des Ténèbres dans peu de temps. "Ils ne savent pas penser par eux même !", Se dit Draco, un sourire amer sur les lèvres. "Un atout de choix pour Voldemort." Il se leva seul de la table des Serpentards et franchi la porte de la grande salle pour se rendre à son cours de Défense Contre Les Forces Du Mal.
Draco marchait dans le couloir rempli d'étudiants bruyants pour se rendre à son cours. Les élèves se tassaient pour ne pas être dans son chemin et ne pas recevoir quelques insultes de sa langue acérée. Il se replongea dans ses pensées. Le professeur était un peu bizarre, mais les informations sur la magie noire qu'il leurs fournissait étaient de qualités. Il pénétra dans la salle vide, s'assit à la table qu'il occupait depuis sept années, sortit ses livres de son sac et il attendit. Le cours commença mais Draco N'écouta pas le semi-loup-garou parler jusqu'à ce qu'il se décide enfin à discuter de ce qui l'intéressait : la magie-noire.
- Aujourd'hui, vous allez apprendre à combattre le sort de Tafel. Quelle est son effet ?
Une fille leva la main pour répondre à la question posée. "Ah ! Non, pensa t-il, pas encore elle ! C'est un vrai dictionnaire ambulant, cette fille là ! Ah ! Oui, j'oubliais, c'est la sang de bourbe." Malgré lui, il laissa son regard errer de ses épaules étroites à sa taille fine, puis passa à ses hanches voluptueuses. "Et quelles hanches !", Se dit-il intérieurement. Il sentit une chaleur s'insinuer lentement dans tout son être. Ses yeux se voilèrent, prenant une couleur plus profonde et ses mains agrippèrent son livre. Les jointures blanchire tellement il le serrait. Il la désirait ! Cela le frappa instantanément et il détourna les yeux. Une voie intérieure lui répondit instantanément. "Bon sang, Draco ! Qu'est-ce que tu fais ?", Se dit-il, ahuri. "C'est Hermione Granger, le rat de bibliothèque ! La sang de bourbe ! L'amie de Potter et de Weasley ! Tu es fou ! Oui, tout simplement fou !". La petite brune parla :
- Il permet à celui qui le lance de pouvoir prendre possession du corps des personnes choisies, mais seulement dans un rayon de vingt mètres.
- Très bien, Hermione ! Dix points pour Griffondor. Ce sont les principales caractéristiques, mais vous avez oublié quelque chose d'important : il ne peut-être lancé que sur des êtres partiellement humains, comme des loups- garous, des vampires, des semi-orcs et bien d'autres créatures ! Et, il peut difficilement être contré par la créature. Le sort contrôle la partie animale de la personne et la rend supérieure. Pour le conjurer, il suffit de trouver la personne qui l'a lancé et de prononcer : "Finitafelès". Ce qui n'est pas une chose facile !
Le reste du cours consista à apprendre à prononcer correctement le sort et à le neutraliser. Pour cela, l'ancien professeur de Défense Contre Les Forces Du Mal, Remus Lupin, avait du servir de cobaye. A la fin du cours, Draco attrapa ses livres et regarda autour de lui. Il était l'un des derniers élèves présents. Il se préparait à sortir quand, il vit le trio des zéros s'approcher du professeur de Défense Contre Les Forces Du Mal. Curieux, il se plaqua contre le mur près de la porte où nul ne pouvait le voir.
- Professeur ?
S'étais Potter qui lui avait parlé. Le professeur baissa la tête et regarda le jeune Griffondor de ses yeux jaunes et perçant.
- Oui, Harry ?
- Vous ne nous avez pas dit votre nom durant l'autre cours... Ni pendant celui-ci.
- Oui, c'est vrai, dit-il. Sa voie montrant qu'il était for contrarié. Je m'appelle Kane. Kane Black.
Fin.
Non, c'est une joke ! A lès plate, mais pareils !
Draco et le trio des zéros firent des yeux ronds. Harry baissa timidement la tête et regarda ses chaussures.
- Comme Sirius Black ? murmura t-il.
- Oui, comme Sirius Black. Il est mon frère, dit-il sur la défensive. Maintenant, vous feriez mieux de partir, ajouta t'il rapidement.
Draco sortit à la suite des "trois nuls", comme, il se plaisait à les appelés. Personne ne l'avait aperçu. Ses pensées tournaient dans sa tête. Son professeur de Défense Contre Les Forces Du Mal était le frère de ce pouilleux de Black ! "Une autre racaille juste bonne pour la prison !", Pensa t-il ironiquement. Dumbledore avait de ces idées ! D'abord, il avait engagé un Mangemort. En deuxième année, un beau-parleur qui ne savait rien faire de ces dix doigts. En troisième année un loup-garou puis, en quatrième année, un Mangemort déguisé en un ancien auror... et maintenant, un semi-loup-garou qui vous donnait froid dans le dos et qui, en plus, était le frère d'un évadé potentiellement dangereux, et fou, de surcroît ! Où donc allait le monde ? C'est sur ces pensées que Draco percuta quelqu'un et qu'il perdit l'équilibre pour ensuite tomber sur le sol. Après avoir vérifié qu'il n'avait rien de cassé, il se mit à genou et regarda autour de lui. Il rencontra le visage renfrogné de son pire ennemie.
- Qu'est-ce que tu fais, Malfoy ? Tu t'ennuyais tellement de moi que tu n'as pas pu te retenir de me sauter dessus ?
Les élèves qui s'étaient regroupés autour d'eux se mirent à rire. Le visage de Malfoy prit une tinte rouge. Pour qui se prenait-il, celui-là ?
- Je ne t'aurais pas rentré dedans si tu t'étais ôté de mon chemin, Potter ! Ah ! Comment va le semi-loup-garou, le frère de Sirius Black, ton parrain ? C'est ça, n'est-ce pas, si je me souviens bien ? Tu lui parle encore souvent ? Il va pouvoir te prendre en pitié, lui aussi ! Va donc pleurer sur son épaule, tout de suite !
Il profita de la stupeur générale qui avait frappé le groupe d'adolescents présents pour ce levé et partir sans un regard en arrière. Pourquoi s'était- il enfui ? Il aurait pu frapper plus fort ! Enfoncer le clou plus profondément ! Il pensa que ça n'était pas si grave. Après tout, maintenant, Potter ne riait plus autant de l'avoir ridiculisé après ce qu'il venait de dire ! Pratiquement personne n'était au courant que Sirius Black était le parrain de Harry, mais, maintenant, tous allaient le savoir ! Il afficha un sourire suffisant. Oui, cette journée s'annonçait de plus en plus belle !
Au dîner, tout comme l'avait prédit Draco, tout Poudlard était au courant que Harry était le filleul de Black et qu'en plus, celui-ci entretenait une coresponcence avec l'évadé et, donc, par la même occasion, était en bons thermes avec lui ! Il avait de quoi être fier de lui. Maintenant, la plupart des élèves présents lançaient des regards furieux vers Harry. On chuchotait à son passage, et même quelques personnes lui criaient des injures. Oui, un Malfoy savait se venger. Au moins une chose de bonne que son père lui ait apprit.
La journée passa à la vitesse de l'éclair. Ce soir là, Draco entra dans la grande salle pour le souper. Ses épaules droites, la démarche souple, tel un félin, il alla s'asseoir à sa table et reçu les félicitations des Serpentards pour son coup de géni envers Harry Potter le matin même. Le dîner commença normalement, tout comme les autres. La grande salle était bruyante des rires entrecoupés par le bruit des ustensiles de cuisine percutant les assiettes. Les Serpentards, par contre, se tenaient plus calme, levant les yeux de leurs assiettes pour vérifier la salle d'un coup d'œil frénétique, engageant rarement la conversation entre leurs confrères. Draco tourna la tête vers son voisin de droite.
- Hey !
Il lui donna une petite tape sur l'épaule, l'autre se retourna vers lui.
- Quoi ?
- Qu'est-ce qui se passe ?
- Tu ne sais pas ? Une lueur d'incrédulité passa sur son visage. C'est aujourd'hui qu'il vient !
Avant que Draco puisse lui demander quoi que se soit, il se rappela la lettre, que lui avait écrit son père. Ils étaient jeudi ! Il avait complètement oublié que son père venait le chercher, et probablement pas seul. Avant qu'il ne puisse demander qui allait venir...
Chui pas très gentille, mais bon, moi, je veux des reviews ! Pleins de reviews, d'accord ?
