Disclamer bon y arien a moi, ok! On viens à s'ennuyer vite de dire que rien ne nous appartient alors on passe a autre chose ok!

A eu oui je sais pour les fautes et le reste, enfin j'ai une imagination sans borne mais c'est très dur de raconter ce que je voie dans ma tête alors je fais de mon mieux ne m'en voulez pas !!! A et oui pour la pove gorge de ron il ne lui en n'a arraché qu'une petite partie et n'a pas toucher d'artère ni la trachée ok rien d'important.

Chapitre 6 : Métamorphose.

Ron

La pièce était silencieuse, sombre et bercée seulement par le rythme apaisant des pas de l'infirmière qui venait d'un lit a un autre. La mince silhouette penchée sur le lit, près de la fenêtre étais seulement éclairé par le mince croissant de lune qui apparaissait à quelques moments attravers les nappes de duvet d'une blancheur irréelle. Une vaporeuse brise du soir pénétrait par la fenêtre a la droite de son lit, ébouriffant sa chevelure emmêlée de boue et de sueur. Sa main moite, de la fièvre qui rongeait son corps maigrelet, prit de convulsion et de tremblement, reposait dans celle de Hermione assise prêt de lui. Ses yeux étaient fermés sur le monde extérieur, son souffle roque et sa tête pleine de pensé sur ce qu'il avait perdu ce soir la.

Il n'osait pas la regarder, elle sa meilleure amie, la personne pour qui, il avait sacrifié sa vie et son amour. Oui, il avait sacrifié l'amour qu'il ressentait pour Elle. Il n'avait pas osé l'avouer à qui conque mais, lui et Mélisa, ne sortaient pas vraiment ensemble, elle savait qu'il avait toujours eu un faible pour Hermione mais, qu'il n'avait jamais été capable de le lui avouer, elle et lui s'était donc alliés pour que l'élue de son cœur soit jalouse mais cela n'avait jamais eu lieux et ne le serait jamais, puisqu'il avait sacrifié sa chance de vivre heureux avec cette être tant chérir pour quelle puisse vivre, l'étau qui serrait déjà son cœur se resserra encore un peu plus. Un léger filet de sang métallique coulant de son nez s'infiltra dans sa bouche. Les orifices de son visage laissaient tous coulés de mince filet de sang poisseux. Le venin ( et j'entends par la l'effet vampirique dont personne ne sait au juste c'est quoi qui fait qu'une personne se transforme en vampire et moi je lai vu comme (un venin) venant du sang contaminé qui se disperse par les pores de la peau et le sang. ). Commençait à faire son effet et a expulsé le sang non infecter par le vampire.

La tête lui tournait, une légère nausée le tenaillait, son corps était parcouru convulsions, il sentait que son organisme changeait, de minute en minute, expulsant le sang et le rendant plus pale que la mort elle-même.

La certitude qu'il allait bientôt passer de l'autre coté, s'était insinuer dans son esprit, traquant ses rêves et se mélangeant à la dure réalité. Des larmes d'amertumes s'échappèrent de ses yeux se mêlant au sillon rouge vif, non il ne voulait pas, plutôt mourir que de vivre ça. Que penserait ses parents, ses frères et sa sœur ? Et surtout que penserait Harry, Harry ne savait rien encore, que penserait-il de lui, il devenait de minute en minute un être des ténèbres. La vie était parfois injuste.

Il revit au plus profond de lui-même, les instants qui avaient suivi leur entrée dans la grande salle derrière ses paupières clauses. Des corps sans vie baignaient dans des mares de sang pourpre, leurs vissèrent exposé à la vue de tous, les pleurs et les cris des impuissants. Il revit le visage des nombreux étudiant torturé, en pleurs, le regard vide. Neville, son ami, assit dans un coin, silhouette désincarnée à peine vivante. Le visage ravagé de larmes de mC gonagall qui tenait un élève dans ses bras, qui vivait ses dernières minutes dans un monde injuste. Le respect des uns et des autres pour ceux qui n'avaient pas survécus. La rage que certains ne pouvaient pas retenir, les hurlements des cœurs purs et des âmes maintenant tourmentées par la vision d'une apocalypse.

-Non ce n'est pas possible Ron, dit moi que c'est un cauchemar! Sa sœur se jeta dans ses bras. La voie enrouée par ses pleurs. Il la serra contre lui du mieux qu'il put, s'appuyant sur le mur pour qu'elle ne remarque rien. Elle tremblait de la tête au pied, il ne savait pas d'où elle venait, ni comment elle était parvenue à survivre dans cette tuerie. Elle n'avait même pas remarquer qu'il était blesser.

-Tout.... Tout va bien ginny, il n'y a plus rien n'à craindre. Elle le regarda de ses yeux immenses.

-Ron, Harry est inconscient mais, ne tant fais pas, il va bien. Un sourire lui effleura les lèvres, malgré toute la souffrance et la terreur qui régnait autour d'eux, elle avait le mot juste pour le réconforté. Il lança un regard a Hermione qui prit ginny par les épaules et la conduit vers un médicomage pour qu'il l'ausculte. Elle revint vers lui et refit le mince bandage qu'elle lui avait fait autour du cou pour absorber le sang.

Quelqu'un s'avança vers lui, le prit par l'épaule et l'entraîna à sa suite interdisant à Hermione de le suivre. Il le guida dans un coin sombre de la pièce éclairée seulement par un flambeau volant se faire examiner. Le médicomage se pencha sur lui et l'examina. D'un cou de baguette il referma la plaie qui se mit à suinter et à se recouvrir de cloque violette. Pendant quelques minutes, il du subire un interrogatoire sur ce qui lui était arriver puis enfin le médicomage le quitta. Il revit encore et encore la scène qui s'était dérouler devant ses yeux. Dumbledore se tournant vers lui et lui lançant un regard affligé puis, tournant la tête dans la direction du médicomage. D'un simple signe de tête négatif, celui-ci envoya valser tous ses espoirs.

Une chaleur suffocante avait envahi son corps le faisant suffoquer. Non, il ne pouvait pas devenir cette... cette chose si monstrueuse. Sur le coup, il n'avait pas pu pleurer, non ils avaient fais une erreur. Puis, il s'était mis à penser à ce que deviendrais sa vie ou plutôt sa déchéance dans le monde obscur et ténébreux. Son corps se transformait, il n'avait plus de doute. Jamais, il n'aurait d'avenir cette pensé lui apparaissait net et précise, les vampires étaient pourchassés dans le monde entier, aucune potion ne pouvait les contrôler, rien ni personne ne pouvait lui venir en aide. Il serra la main d'Hermione un peu plus, pour le temps qui lui restait ou il pouvait encore lui tenir la main comme un ami, comme celui qu'on n'aime, comme un humain.

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Hermione

Des larmes amères coulèrent de ses yeux déjà rouges de ses pleurs continus, pourquoi lui et pas moi, lui si courageux et si vivant. Sans lui Harry et moi ne sommes rien. Sa main se resserra sur celle de Ron. Sans lui je ne suis rien, rien du tout. Elle avait toujours su qu'elle et ron était fais l'un pour l'autre, depuis bien longtemps elle l'aimait d'un amour profond, lui le griffondor farceur et déterminé toujours prêt pour les mauvais coups qui ne mettait jamais le nez dans ses bouquins. Ils étaient bien différents l'un de l'autre, elle l'étudiante studieuse, première de classe, la parfaite étudiante. Il lui avait sauvé la vie cette nuit la, il lui avait donné ses années de vie, comment ferait-elle pour lui prouver sa reconnaissance. Et surtout comment allait-elle pouvoir annoncer la transformation de ron a Mélisa. Elle n'avait pas le choix se devait être à elle de lui annoncer, s'étais pour elle qu'il avait donné sa vie. La main du garçon se resserra sur son avant-bras.

Elle baissa la tête vers le jeune homme, Ron était maintenant parcouru de convulsion plus violente, des râles de douleurs perçaient ses lèvres et des ruissellements de sangs coulait de ses lèvres craquelées. Je donnerais n'importe quoi pour être à sa place. Elle pencha son visage près du sien, elle pouvait maintenant sentir le doux parfum de ses larmes mêler à la senteur salée du sang, ses lèvres caressèrent la joue du garçon tourmenté avec douceur s'imprégnant de son audeur. Elle se releva et ouvrit les yeux. ron la regardait dans les yeux, un sourire apparaissant sur ses lèvres.

-Ne t'en fais pas hermione.

-oui je sais.

-Je t'aime ron.

-Moi aussi mione.

Ils n'avaient pas besoin de plus de mots, elle sentit ses larmes revenir. Mme pomfresh s'avança vers elle et posa une main apaisante sur son épaule.

-Venez miss, il ne faut pas rester ici c'est trop dangereux, venez...

Hermione repoussa fermement le bras réconfortant de l'infirmière.

-Non lâcher moi, je veux rester encore un peu.

Elle entendait sa voie maintenant si suppliante, si pitoyable se briser sur ses suppliques, sil vous plait laissez-nous encore un peut de temps.

L'infirmière hocha la tête gravement.

-Faite vite, il faudra bientôt le déplacer.

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Elle releva la tête, combien de temps avait-elle dormie dans cette chaise inconfortable. L'agonie de Ron avait durée une bonne partie de la nuit. Elle se frotta longuement les yeux pour chasser les ombres du sommeil qui lui obscurcissait la vue et regarda le lit devant elle.

-Vide! Le lit est vide. Des pas s'avancèrent rapidement vers elle et deux mains se posèrent sur ses épaules tremblantes.

Dumbledore s'assit sur le lit en face d'elle et la regarda droit dans les yeux.

-Il est guéri n'est pas, vous avez trouvez un remède n'est pas professeur?

-Hermione, nous avons du le transféré d'urgence dans une pièce réservée à cet effet, je suis désoler mais, sa métamorphose est maintenant complète, nous n'avons rien pu faire, il était trop tard.

Hermione sortit de la pièce en courant, le son de ses pas décroissant à mesure quelle s'éloignait de la pièce. Des larmes d'amertume coulaient sur ses joues. Pourquoi n'ont t-il pas pu le sauvé, pourquoi. Elle monta les escaliers rapidement pour s'enfoncer dans la tour des griffondors.

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Un nouveau monde, une nouvelle vue, de nouveau pouvoir.

Ron était accroupi dans un coin sombre de la pièce ronde dans laquelle on lavait enfermé peu avant sa transformation. Malgré la noirceur opaque de la pièce sans fenêtre. Il pouvait voir comme en plein jour et ses sens avait été décuplés par la morsure de la bête. Il pouvait entendre au loin le bruissement chantant des arbres de la forêt interdite qui de ses craquements et ses bruits entremêlé aux cris des bêtes l'appelait à la rejoindre. Malgré toutes les souffrances qu'il avait pu subire cette nuit, il se sentait en pleine forme, prêt à bondir sur qui conque le dérangerait dans son repaire.

Une clef tourna dans la serrure rouiller par les années et la porte close s'ouvrit sur dumbledore. Celui-ci le regarda sans méfiance entrant tranquillement dans la pièce et la refermant comme si, il venait prendre le thé. Malgré la noirceur, dumbledore s'avança vers la seule chaise disponible et si assit. Personne ne parla, tous les deux s'habituant à l'autre. Se jaugeant. Puis, enfin le vieil homme parla d'une voit forte et sur de lui.

-Comment te sens-tu ron?

-Bien. Comment ne pas se sentir bien après l'enfer qu'il avait subit ?

Il n'arrivait pas à dire vraiment comment, il se sentait d'un coté, il était exalté par ses nouvelles capacités et d'un autre dépité d'être devenu un être de l'ombre. Dumbledore se pencha vers lui a quelques mètres des cros du vampire.

-Je veux te donner le choix Ron, un choix difficile mais, c'est toi qui décideras.

-Il y a très peu des élèves qui ont été mordus par des vampires et qui ont survécus en fait, il n'y a plus que toi.....

Pour ce qui est des autres ... le ministère est intervenu quelques minutes après l'attaque et les ont emmenés avec eux.

-Qu'est ce qu'ils leurs ont fait professeur?

-Tous morts.. Furent les seuls mots qui s'échappèrent de la bouche du vieil homme.

-Ils ne savent pas encore que tu es ici Ron alors, je te donne le choix. Le choix de vivre en fugitif pour l'éternité ou de mourir si tu le souhaite, réfléchi-y. Le vieil homme se leva lentement laissant Ron silencieux et pensant. Il pouvait choisir mais a quel prix s'élevait ce choix.

Je sais je sais c'était facile à prévoir même cliché mais, bon c'est la vie hein a+ dans 1 semaine. Je ne me suis pas relis alors, ne tenez pas compte de toutes les fautes innombrables ni de l'histoire qui était soit dite en passant pitoyable.