Prologue :
Après une journée de cours passablement ennuyeux, Duo rentre chez lui vers 4 heures. Avec la pile de devoirs qui l'attend, pas ;le temps de penser a Heero...
Parfait, passons à mes devoirs, songea Duo en montant l'escalier qui montait à sa chambre.
Duo soupira, résigne, ouvrit la porte de sa chambre, se glissa à l'intérieur et referma derrière lui.
- Salut, dit Heero en sortant de l'ombre comme s'il s'y était fondu
Duo sursauta et laissa échapper son sac d'école.
- He... Heero?
- Je t'attends depuis cet après-midi. Je suis entré par la fenêtre.
- Euh... pourquoi?
- Informations à propos d'Oz
- Ah... Qu'as tu fais pendant tout ce temps? , ajouta Duo d'un air méfiant.
- J'ai lu un peu, répondit Heero, l'air grave ( il désigna la commode) et j'ai beaucoup réfléchi. Duo, je...
Il s'interrompit.
Les yeux exorbités, le jeune homme vit son journal intime posé sur le dessus de la commode.
-Tu as lu... mon journal?, couina-t'il, horrifié.
Il se dirigea vers sa commode, prit le petit volume et le glissa dans le tiroir du haut, qu'il referma sèchement.
- Ça ne se fait pas, protesta-t'il. Un journal intime, comme son nom l'indique, c'est une chose privée! Et tu ne sais même pas de quoi je parlais. Canon, ça veut dire que quelqu'un est chiant, et quand j'ai dit que ton regard était pénétrant, je voulais écrire : globuleux.
- Duo, je..., commença Heero.
- Et H, c'est pour euh... euh Hilde!! La charmante étudiante étrangère qui est arrivé a l'école le mois dernier, insista Duo. Quant à mes fantasmes, tu dois savoir que...
- Quatre a déplacé ton journal quand il est monté faire le ménage, coupa Heero. Je lai regardé, caché dans le placard Je n'ai pas lu ton journal, je te le jure.
Oh sauvé, songea Duo.
Puis il réalisa qu'il venait par inadvertance de révéler tous les passages un peu gênants a Heero. Résultat, c'était pire que s'il les avait lu lui-même. Ou donc étaient ces fameuses trappes quand on avait vraiment besoin que le sol nous engloutisse? Pourtant, Heero ne sembla pas remarquer l'humiliation du jeune homme. Il était trop préoccupé par quelque chose de plus important.
- Revenons-en a Oz. Tu es au courant qu'il recrute des vampires?
- Oui, souffla Duo, pas encore remis de son humiliation.
- Bien. Et tu sais pour le Trio?
- Oui, je sais tout ça, répondit Duo.
- Tu t'es mieux renseigné que je le pensais.
- En fait c'est Trowa qui a tout trouvé. Pas moi, répliqua Duo, un petit sourire en coin.
Heero plongea son regard dans celui de Duo, qui sentit une vague de chaleur le submerger.Son visage était en feu, mais ses mains lui semblaient glacées.
- Je ferais mieux de...
- Partir, je sais. Tu veux sortir par la fenêtre ou par la porte?, dit Duo avec un rire nerveux.
Heero eut un sourire a peine perceptible.
- Je vais opter pour la fenêtre. Si tes amis me voient, ils risquent d'en faire tout un plat.
- D'accord, je vais ouvrir la fenêtre, répondit Duo
Il fit a peine quelques pas en direction de la fenêtre (et de Heero) lorsque les deux mains de ce dernier l'empoignèrent par les épaules et le retournèrent face a lui. Leurs regards se rencontrèrent.
- J'ai quelque chose à faire avant de partir, murmura Heero dune voix grave.
Heero lui souleva doucement le menton et leurs lèvres se rencontrèrent. C'était le plus doux des baisers, à la fois tendre et hésitant.Duo se laissa aller dans l'étreinte du jeune homme avec un bel abandon, tout en le dévorant des lèvres. Alors que leur baiser se faisait plus passionné, ils se tendirent. Heero le serra plus fort contre lui... puis fit mine de le repousser. Reculant, il tint Duo à bout de bars et détourna la tête.
- Qu'y a t'il, s'enquit le natté, un peu essoufflé. Heero, qu'est ce qui ne va pas?
Soudain, il la regarda en face. Ses yeux bleus étaient fous et dénudés d'intelligence, comme ceux d'un animal; ses lèvres retroussées révélaient...
...Des crocs.
Duo poussa un hurlement de terreur. Heero grogna et plongea par la fenêtre ouverte. Il roula sur le toit du garage, toucha terre et s'élança dans la nuit tandis que Duo continuait à crier.
Non. Non. Non!
La porte de sa chambre s'ouvrit à la volée.
-Que se passe-t'il? , demanda Quatre, affolé en se précipitant vers son meilleur ami.
Duo lutta pour reprendre son souffle. Comment expliquer sa réaction? Par où commencer? Il devait résoudre ce problème seul. Mais Duo étais si choqué; il souffrait tant...
- Rien du tout, balbutia-t'il. J'ai juste vu une ombre.
Après une journée de cours passablement ennuyeux, Duo rentre chez lui vers 4 heures. Avec la pile de devoirs qui l'attend, pas ;le temps de penser a Heero...
Parfait, passons à mes devoirs, songea Duo en montant l'escalier qui montait à sa chambre.
Duo soupira, résigne, ouvrit la porte de sa chambre, se glissa à l'intérieur et referma derrière lui.
- Salut, dit Heero en sortant de l'ombre comme s'il s'y était fondu
Duo sursauta et laissa échapper son sac d'école.
- He... Heero?
- Je t'attends depuis cet après-midi. Je suis entré par la fenêtre.
- Euh... pourquoi?
- Informations à propos d'Oz
- Ah... Qu'as tu fais pendant tout ce temps? , ajouta Duo d'un air méfiant.
- J'ai lu un peu, répondit Heero, l'air grave ( il désigna la commode) et j'ai beaucoup réfléchi. Duo, je...
Il s'interrompit.
Les yeux exorbités, le jeune homme vit son journal intime posé sur le dessus de la commode.
-Tu as lu... mon journal?, couina-t'il, horrifié.
Il se dirigea vers sa commode, prit le petit volume et le glissa dans le tiroir du haut, qu'il referma sèchement.
- Ça ne se fait pas, protesta-t'il. Un journal intime, comme son nom l'indique, c'est une chose privée! Et tu ne sais même pas de quoi je parlais. Canon, ça veut dire que quelqu'un est chiant, et quand j'ai dit que ton regard était pénétrant, je voulais écrire : globuleux.
- Duo, je..., commença Heero.
- Et H, c'est pour euh... euh Hilde!! La charmante étudiante étrangère qui est arrivé a l'école le mois dernier, insista Duo. Quant à mes fantasmes, tu dois savoir que...
- Quatre a déplacé ton journal quand il est monté faire le ménage, coupa Heero. Je lai regardé, caché dans le placard Je n'ai pas lu ton journal, je te le jure.
Oh sauvé, songea Duo.
Puis il réalisa qu'il venait par inadvertance de révéler tous les passages un peu gênants a Heero. Résultat, c'était pire que s'il les avait lu lui-même. Ou donc étaient ces fameuses trappes quand on avait vraiment besoin que le sol nous engloutisse? Pourtant, Heero ne sembla pas remarquer l'humiliation du jeune homme. Il était trop préoccupé par quelque chose de plus important.
- Revenons-en a Oz. Tu es au courant qu'il recrute des vampires?
- Oui, souffla Duo, pas encore remis de son humiliation.
- Bien. Et tu sais pour le Trio?
- Oui, je sais tout ça, répondit Duo.
- Tu t'es mieux renseigné que je le pensais.
- En fait c'est Trowa qui a tout trouvé. Pas moi, répliqua Duo, un petit sourire en coin.
Heero plongea son regard dans celui de Duo, qui sentit une vague de chaleur le submerger.Son visage était en feu, mais ses mains lui semblaient glacées.
- Je ferais mieux de...
- Partir, je sais. Tu veux sortir par la fenêtre ou par la porte?, dit Duo avec un rire nerveux.
Heero eut un sourire a peine perceptible.
- Je vais opter pour la fenêtre. Si tes amis me voient, ils risquent d'en faire tout un plat.
- D'accord, je vais ouvrir la fenêtre, répondit Duo
Il fit a peine quelques pas en direction de la fenêtre (et de Heero) lorsque les deux mains de ce dernier l'empoignèrent par les épaules et le retournèrent face a lui. Leurs regards se rencontrèrent.
- J'ai quelque chose à faire avant de partir, murmura Heero dune voix grave.
Heero lui souleva doucement le menton et leurs lèvres se rencontrèrent. C'était le plus doux des baisers, à la fois tendre et hésitant.Duo se laissa aller dans l'étreinte du jeune homme avec un bel abandon, tout en le dévorant des lèvres. Alors que leur baiser se faisait plus passionné, ils se tendirent. Heero le serra plus fort contre lui... puis fit mine de le repousser. Reculant, il tint Duo à bout de bars et détourna la tête.
- Qu'y a t'il, s'enquit le natté, un peu essoufflé. Heero, qu'est ce qui ne va pas?
Soudain, il la regarda en face. Ses yeux bleus étaient fous et dénudés d'intelligence, comme ceux d'un animal; ses lèvres retroussées révélaient...
...Des crocs.
Duo poussa un hurlement de terreur. Heero grogna et plongea par la fenêtre ouverte. Il roula sur le toit du garage, toucha terre et s'élança dans la nuit tandis que Duo continuait à crier.
Non. Non. Non!
La porte de sa chambre s'ouvrit à la volée.
-Que se passe-t'il? , demanda Quatre, affolé en se précipitant vers son meilleur ami.
Duo lutta pour reprendre son souffle. Comment expliquer sa réaction? Par où commencer? Il devait résoudre ce problème seul. Mais Duo étais si choqué; il souffrait tant...
- Rien du tout, balbutia-t'il. J'ai juste vu une ombre.
