Une revanche bien méritée
tite pimprenelle
"Quoi?!!! Il a fait quoi?!"
Séverus était réellement furieux. Ses yeux révulsés été cillés par des veines rouges alors qu'il contemplait le désastre qu'était devenu ses quartiers et particulièrement sa chambre. En fait, tout avait été rénové sous les conseils de Lupin qui n'avait pas franchement les même goûts que Séverus et d'ailleurs celui-ci soupsonnait le loup garou d'avoir tout fait pour rendre ses quartiers aussi laids que possible.
Rien qu'à voir la quantité de turquoise utilisée pour peindre ses murs, il en devenait vert lui-même. Son bon vieu Charleston avait été remplacé par un siège à bascule, son tapis de Perse par une peau de chêvre et ses tableaux par des tapisseries. Le tout avait l'allure d'un châlet des temps anciens, mise à part la couleur des murs qui donner une allure un peu ringarde à cette salle à manger relookée.
Quand à sa chambre, il ne valait mieux pas que Séverus y pénêtre. Lorsqu'il vit le lit en forme de coeur accompagné du baldaquin à rideau en velour rouge pourpre, ainsi que le magnifique tableau où l'on voyait des tas de gens à moitié nus se pelotant dans une gigantesque partouse de gouache, il cru explosé!!!
"JE VAIS LE TUER!!! JE VOUS JURE, IL VA M'ENTENDRE CELUI LA!!!"
Pendant qu'il fonçait aux appartements de Lupin, une idée germa dans son esprit. Et s'il lui faisait payer sa mauvaise blague? Humm hummm, pourquoi pas. Au lieu d'entrer dans les quartiers de Rémus, Séverus attendit au contraire que celui-ci sorte. Une fois que les pas du loup garou eurent totalement disparu de son audition, il entra dans les quartiers du mauvais blagueur. Il lança quelques sorts par-ci par-là et se cacha pour attendre Lupin.
Une heure plus tard, celui-ci revenait. Tout était dans le noir, il était pourtant cinq heures de l'après midi.
"Lumos"
Dés qu'il eut prononcer cette formule, Rogue lança un sort au loup Garou. Le "pauvre" était désormais fixé au lit par des menottes et le professeur de potion le fixait d'un air sadique. Il allait parler quand un linge vint magiquement le bailloner. Alors, remit de sa surprise, il se mit à détailler son "agresseur".
Tout de noir vêtu, Séverus arborait une chemise assez large, mais qui, étant à moitié ouverte, laissait entrevoir sa puissante musculature. Au niveau de son pantalon en cuir, L'ex-griffondore devinait une virilité qui ne devait poser aucun complexe à son possesseur et lorsque Séverus se pencha pour ramasser la clef des menottes qu'il avait échappé, Rémus ne perdit pas une miette du magnifique spectacle que lui offrait ces fesses rebondies dans ce pantalon trop près du corps.
Sans en éprouver aucune gêne, Rémus le dévorait des yeux, s'attardant sur les endroits "stratégiques". Rogue s'en aperçut en rougit presque sur le coup. Se ressaisissant, il demanda avec son cynisme habituel:
"Ce que tu vois te plaît?"
Rémus baissa la tête, blessé par le ton sec sur laquelle la phrase avait été dite. Séverus s'avança doucement, passant sensuellement sa langue sur ses lèvres. Rémus déglutit, sentant son envie d'embrasser ce corps si attrayant décupler. De son côté le directeur de serpentard se délectait de voir son otage se débattre avec ses désirs enfouis. Il decida d'en tirer profit. Après tout, s'il était attiré par lui, ce n'était pas un viol.
Aussi, il commença à souffler doucement dans la nuque de son prisonnier qui fremit, pendant que ses main se posaient sur ses épaules frêles. Leurs lèvres se frôlèrent plusieurs secondes, torturant horriblement la libido de Lupin, avant que leurs bouches ne furent en contact l'une l'autre, les deux hommes se delectant de la chair chaude qui se pressait contre leurs lèvres respectives.
Ce qui surprit le plus Rogue c'était qu'il y prit du plaisir. Mais après tout, il n'avait jamais tenté de faire cela avec un homme, alors il n'aurait pas put deviner. Il devait pourtant garder la dominance et ne pas se laisser emporter par ses désirs. Il força donc l'entrée du portail buccal de Rémus, poursuivant, enlaçant sa langue, la caressant de plusieurs façons, tantôt violente tantôt tendre, jusqu'à ce qu'il fusse obliger de reprendre son souffle.
Là il inspecta le visage de Lupin, tout aussi essoufflé qui le regardait avec des yeux brûlants. D'ailleurs, il faisait bien chaud dans cette pièce tout à coup pensa Séverus qui ouvrit un peu plus sa chemise, les yeux de Rémus fixé sur les pectoraux saillants du brun. [et oui, les potions ça muscle bien ;)]. Ses tablettes de chocolat se devinaient sous le mince morceau de tissus qui retenait encore la chemise en place.
Une douce châleur se répandit dans le bas ventre de notre Rémus et celui-ci se sentit tout à coup à l'étroit dans son jean. Rogue s'était de nouveau avancé. Alors qu'il lui déposait de furtifs baisers dans le cou, ses mains avaient commencé à défaire un à un tout les boutons de sa chemise. Au fur et à mesure de l'ouverture du vêtement, Séverus descendait un peu plus le long du torse de son prisonnier, laissant un mince filet de salive résultant des baisers passionnés qu'il lui imposait.
Ce fut un gémissement de Lupin qui fit prendre conscience de ses actes à Rogue et surtout, de l'effet que ses soins prodiguaient à son otage. Une bosselure se profilait dans le jean de Rémus qui se sentait de plus en plus à l'étroit, presque inconfortable. Séverus se débarrassa définitivement de sa chemise qu'il jeta sur le côté, dévoilant l'ensemble de son torse à un Rémus plus que désireux d'en voir plus, surtout que l'entrée laissait présager un dessert de première qualité!!!
Décidé à faire durer le plaisir un peu plus longtemps, Séverus sortit quelques secondes de la pièce et revint de la cuisine avec un grand pot de crême chantilly, qu'il secoua un peu avant de tracer une longue ligne sur le torse de Rémus qui frissonna non pas à cause de la froideur de la crême mais à cause de la langue gourmande qui la dégustait directement contre sa peau, cette langue qui continua à le caressait, à titillait ses tétons bien après que la chantilly fut consommée.
Désormais, le pantalon de Séverus le torturait, massérant son entrejambe dans sa prison de tissus. Aussi décida t'il de se soulager un peu et il enleva son pantalon sous le regard brûlant d'un Rémus qui ne demandait qu'à toucher avec autre chose que les yeux la virilité grandissante de l'objet de son désir. Rogue quand à lui avait décidé de passer à la seconde étape. Enlevant le jean de Lupin avec rudeur, il se plaça au dessus de lui et commença à lui masser son entrejambe à travers le tissus de son boxer.
Malgré son baillon, Séverus l'entendait gémir, soupirer, haleter au rythme de son massage. Il enleva le baillon d'un coup de baguette, puis regarda fixement Rémus. Celui-ci le fixait avec un désir dans le regard qui lui donna une vive châleur au niveau de son bas-ventre.
"S'il te plaît Séverus"
Il avait prononcé son nom avec tellement de sensualité que la libido du professeur de potion ne fit qu'un tour et il arracha presque le boxer de Lupin, toujours attaché. Il plaça l'entrejambe durcie entre ses lèvres et commença à déplacer langoureusement sa langue le long du pénis de Rémus comme un enfant se delectant de sa sucette. Rémus n'arrivait plus à contenir ses gemissements et cela rendait encore plus désireux le professeur de potion. Ne pouvant plus tenir, celui-ci enleva son boxer à son tour, puis défit les menottes de son amant qui se jeta sur lui, nouant ses bras autour de son cou.
Ils échangèrent un baiser passionné, mélangeant leur langue en une seule et même étreinte, savourant les caresses qu'ils se procuraient mutuellement de leurs langues frémissantes. Les doigts fins de Rémus câlinaient la nuque de Rogue tandis que celui-ci laissait trainer les siens sur les fesses musclées du loup qui se cambra au massage que lui prodiguait involontairement [ben voyons!!!] son amant.
"Séverus, gémit Rémus
- Oui? le taquina le conserné en lui mordillant le lobe de l'oreille
- Prend moi."
C'était ce qu'attendait le maître des potions. Ecartant les minces cuisses du loup qui entoura la taille de son amant avec, Séverus le pénétra doucement, s'arretant de temps à autre en attendant un signe de Lupin. Lorsqu'il fut entré en lui entièrement il commença des vas et vients, se retenant d'accellérer l'allure au fur et à mesure que son erection grossissait à l'intérieurs des chairs de Rémus, qui haletait de plus en plus.
Sentant comme une pulsion venir du plus profond de lui même, le loup fini par se déverser sur le torse de son amant qui, continua son muvement avant de se libérer en un dernier spasme lui faisant prendre conscience de son épuisement. Il s'effondra presque sur Lupin qui était autant en sueur que lui. Puis, leur regard se croisèrent, celui de Séverus était plutôt inquiet mais il fut fut vit remplacer par un sourire face au regard satisfait du loup.
Rogue se blottit alors contre le torse frêle de son amant et soupira de contentement alors que celui-ci lui carressait les cheveux tout en déposant un bras sécursant autours des épaules du professeur. Il nicha son nez au creux de la nuque de Rémus et lui murmura en un souffle:
"je t'aime
- Moi aussi je t'aime Séverus"
Et notre grincheux professeur s'endormit serein, oubliant ses appartements défigurés et les cours qui débutaient le lendemain.
FIN
"Quoi?!!! Il a fait quoi?!"
Séverus était réellement furieux. Ses yeux révulsés été cillés par des veines rouges alors qu'il contemplait le désastre qu'était devenu ses quartiers et particulièrement sa chambre. En fait, tout avait été rénové sous les conseils de Lupin qui n'avait pas franchement les même goûts que Séverus et d'ailleurs celui-ci soupsonnait le loup garou d'avoir tout fait pour rendre ses quartiers aussi laids que possible.
Rien qu'à voir la quantité de turquoise utilisée pour peindre ses murs, il en devenait vert lui-même. Son bon vieu Charleston avait été remplacé par un siège à bascule, son tapis de Perse par une peau de chêvre et ses tableaux par des tapisseries. Le tout avait l'allure d'un châlet des temps anciens, mise à part la couleur des murs qui donner une allure un peu ringarde à cette salle à manger relookée.
Quand à sa chambre, il ne valait mieux pas que Séverus y pénêtre. Lorsqu'il vit le lit en forme de coeur accompagné du baldaquin à rideau en velour rouge pourpre, ainsi que le magnifique tableau où l'on voyait des tas de gens à moitié nus se pelotant dans une gigantesque partouse de gouache, il cru explosé!!!
"JE VAIS LE TUER!!! JE VOUS JURE, IL VA M'ENTENDRE CELUI LA!!!"
Pendant qu'il fonçait aux appartements de Lupin, une idée germa dans son esprit. Et s'il lui faisait payer sa mauvaise blague? Humm hummm, pourquoi pas. Au lieu d'entrer dans les quartiers de Rémus, Séverus attendit au contraire que celui-ci sorte. Une fois que les pas du loup garou eurent totalement disparu de son audition, il entra dans les quartiers du mauvais blagueur. Il lança quelques sorts par-ci par-là et se cacha pour attendre Lupin.
Une heure plus tard, celui-ci revenait. Tout était dans le noir, il était pourtant cinq heures de l'après midi.
"Lumos"
Dés qu'il eut prononcer cette formule, Rogue lança un sort au loup Garou. Le "pauvre" était désormais fixé au lit par des menottes et le professeur de potion le fixait d'un air sadique. Il allait parler quand un linge vint magiquement le bailloner. Alors, remit de sa surprise, il se mit à détailler son "agresseur".
Tout de noir vêtu, Séverus arborait une chemise assez large, mais qui, étant à moitié ouverte, laissait entrevoir sa puissante musculature. Au niveau de son pantalon en cuir, L'ex-griffondore devinait une virilité qui ne devait poser aucun complexe à son possesseur et lorsque Séverus se pencha pour ramasser la clef des menottes qu'il avait échappé, Rémus ne perdit pas une miette du magnifique spectacle que lui offrait ces fesses rebondies dans ce pantalon trop près du corps.
Sans en éprouver aucune gêne, Rémus le dévorait des yeux, s'attardant sur les endroits "stratégiques". Rogue s'en aperçut en rougit presque sur le coup. Se ressaisissant, il demanda avec son cynisme habituel:
"Ce que tu vois te plaît?"
Rémus baissa la tête, blessé par le ton sec sur laquelle la phrase avait été dite. Séverus s'avança doucement, passant sensuellement sa langue sur ses lèvres. Rémus déglutit, sentant son envie d'embrasser ce corps si attrayant décupler. De son côté le directeur de serpentard se délectait de voir son otage se débattre avec ses désirs enfouis. Il decida d'en tirer profit. Après tout, s'il était attiré par lui, ce n'était pas un viol.
Aussi, il commença à souffler doucement dans la nuque de son prisonnier qui fremit, pendant que ses main se posaient sur ses épaules frêles. Leurs lèvres se frôlèrent plusieurs secondes, torturant horriblement la libido de Lupin, avant que leurs bouches ne furent en contact l'une l'autre, les deux hommes se delectant de la chair chaude qui se pressait contre leurs lèvres respectives.
Ce qui surprit le plus Rogue c'était qu'il y prit du plaisir. Mais après tout, il n'avait jamais tenté de faire cela avec un homme, alors il n'aurait pas put deviner. Il devait pourtant garder la dominance et ne pas se laisser emporter par ses désirs. Il força donc l'entrée du portail buccal de Rémus, poursuivant, enlaçant sa langue, la caressant de plusieurs façons, tantôt violente tantôt tendre, jusqu'à ce qu'il fusse obliger de reprendre son souffle.
Là il inspecta le visage de Lupin, tout aussi essoufflé qui le regardait avec des yeux brûlants. D'ailleurs, il faisait bien chaud dans cette pièce tout à coup pensa Séverus qui ouvrit un peu plus sa chemise, les yeux de Rémus fixé sur les pectoraux saillants du brun. [et oui, les potions ça muscle bien ;)]. Ses tablettes de chocolat se devinaient sous le mince morceau de tissus qui retenait encore la chemise en place.
Une douce châleur se répandit dans le bas ventre de notre Rémus et celui-ci se sentit tout à coup à l'étroit dans son jean. Rogue s'était de nouveau avancé. Alors qu'il lui déposait de furtifs baisers dans le cou, ses mains avaient commencé à défaire un à un tout les boutons de sa chemise. Au fur et à mesure de l'ouverture du vêtement, Séverus descendait un peu plus le long du torse de son prisonnier, laissant un mince filet de salive résultant des baisers passionnés qu'il lui imposait.
Ce fut un gémissement de Lupin qui fit prendre conscience de ses actes à Rogue et surtout, de l'effet que ses soins prodiguaient à son otage. Une bosselure se profilait dans le jean de Rémus qui se sentait de plus en plus à l'étroit, presque inconfortable. Séverus se débarrassa définitivement de sa chemise qu'il jeta sur le côté, dévoilant l'ensemble de son torse à un Rémus plus que désireux d'en voir plus, surtout que l'entrée laissait présager un dessert de première qualité!!!
Décidé à faire durer le plaisir un peu plus longtemps, Séverus sortit quelques secondes de la pièce et revint de la cuisine avec un grand pot de crême chantilly, qu'il secoua un peu avant de tracer une longue ligne sur le torse de Rémus qui frissonna non pas à cause de la froideur de la crême mais à cause de la langue gourmande qui la dégustait directement contre sa peau, cette langue qui continua à le caressait, à titillait ses tétons bien après que la chantilly fut consommée.
Désormais, le pantalon de Séverus le torturait, massérant son entrejambe dans sa prison de tissus. Aussi décida t'il de se soulager un peu et il enleva son pantalon sous le regard brûlant d'un Rémus qui ne demandait qu'à toucher avec autre chose que les yeux la virilité grandissante de l'objet de son désir. Rogue quand à lui avait décidé de passer à la seconde étape. Enlevant le jean de Lupin avec rudeur, il se plaça au dessus de lui et commença à lui masser son entrejambe à travers le tissus de son boxer.
Malgré son baillon, Séverus l'entendait gémir, soupirer, haleter au rythme de son massage. Il enleva le baillon d'un coup de baguette, puis regarda fixement Rémus. Celui-ci le fixait avec un désir dans le regard qui lui donna une vive châleur au niveau de son bas-ventre.
"S'il te plaît Séverus"
Il avait prononcé son nom avec tellement de sensualité que la libido du professeur de potion ne fit qu'un tour et il arracha presque le boxer de Lupin, toujours attaché. Il plaça l'entrejambe durcie entre ses lèvres et commença à déplacer langoureusement sa langue le long du pénis de Rémus comme un enfant se delectant de sa sucette. Rémus n'arrivait plus à contenir ses gemissements et cela rendait encore plus désireux le professeur de potion. Ne pouvant plus tenir, celui-ci enleva son boxer à son tour, puis défit les menottes de son amant qui se jeta sur lui, nouant ses bras autour de son cou.
Ils échangèrent un baiser passionné, mélangeant leur langue en une seule et même étreinte, savourant les caresses qu'ils se procuraient mutuellement de leurs langues frémissantes. Les doigts fins de Rémus câlinaient la nuque de Rogue tandis que celui-ci laissait trainer les siens sur les fesses musclées du loup qui se cambra au massage que lui prodiguait involontairement [ben voyons!!!] son amant.
"Séverus, gémit Rémus
- Oui? le taquina le conserné en lui mordillant le lobe de l'oreille
- Prend moi."
C'était ce qu'attendait le maître des potions. Ecartant les minces cuisses du loup qui entoura la taille de son amant avec, Séverus le pénétra doucement, s'arretant de temps à autre en attendant un signe de Lupin. Lorsqu'il fut entré en lui entièrement il commença des vas et vients, se retenant d'accellérer l'allure au fur et à mesure que son erection grossissait à l'intérieurs des chairs de Rémus, qui haletait de plus en plus.
Sentant comme une pulsion venir du plus profond de lui même, le loup fini par se déverser sur le torse de son amant qui, continua son muvement avant de se libérer en un dernier spasme lui faisant prendre conscience de son épuisement. Il s'effondra presque sur Lupin qui était autant en sueur que lui. Puis, leur regard se croisèrent, celui de Séverus était plutôt inquiet mais il fut fut vit remplacer par un sourire face au regard satisfait du loup.
Rogue se blottit alors contre le torse frêle de son amant et soupira de contentement alors que celui-ci lui carressait les cheveux tout en déposant un bras sécursant autours des épaules du professeur. Il nicha son nez au creux de la nuque de Rémus et lui murmura en un souffle:
"je t'aime
- Moi aussi je t'aime Séverus"
Et notre grincheux professeur s'endormit serein, oubliant ses appartements défigurés et les cours qui débutaient le lendemain.
FIN
