Livre : Harry Potter
Titre : En hommage à Sirius Black
Partie : 3
Auteur : Tatiana Black
Disclaimer : les perso ne m'appartiennent pas (blablabla) je ne tire aucun profit (blablabla)
Spoiler : 5 premier tome
En hommage à Sirius Black
Harry volait, il regardait le paysage défiler sous ses pieds, le voyage allait être long, épuisant, mais ou pouvait-il trouvé ce qu'il cherchait si ce n'était à Poudlard ? la question qu'il se posait le plus était de savoir si Dumbeldore accepterait. À quelque part, il n'aurait pas le choix. Harry était déjà presque mort, cette solution était la seule chose qu'il lui restait. Ou peut-être pas, peut-être avait-il des autres solutions. À la base, il y en avait deux : accepter, porter le deuil et tenter de vivre avec puis oublier… mais Harry ne voulait pas oublier. Il ne voulait pas que les souvenirs s'efface petit à petit pour qu'il n'en reste que des bribes. Il n'avait déjà aucun souvenir de ses parents ! Il ne voulais pas oublier, ni feindre d'oublier Sirius ! C'était son choix, un choix que ne lui ouvrait les portes que sur deux solution : la mort ou tout faire pour revoir ceux qu'il avait perdu. Son cœur fit un bn dans sa poitrine à l'idée qu'il allait sans-doute voir son parrain et ses parents. Il accéléra le plus qu'il pouvait. En combien d'heure pouvait-il être là-bas ? qu'allait faire les membre de l'Ordre ? Que lui importait les réponses, il ne voulait qu'une seul chose : revoir ses proches.
Il sentit rapidement la fatigue et l'épuisement monté en lui, son ventre lui faisait mal mais rien que l'idée de manger le dégoûtait. Cela faisait déjà passé une heure qu'il volait le plus rapidement possible, en dessous de lui, il voyait les rails que suivrait le Poudlard Express dans deux jours qu'il suivait pour être sûr d'arriver à son collège. À présent, il n'était obligé de veiller constamment à ce que sa cape le recouvre entièrement afin de ne pas avoir le ministère sur le dos au cas ou un moldu voyait un pied se balader dans les airs.
Ce fut qu'au bout de plusieurs heures qu'il aperçu le château se découper dans l'ombre de la nuit. Il n'aurait jamais pensé y arriver. Il avait l'impression qu'il allait s'écrouler à chaque secondes. Quand il arriva enfin au château, il cru qu'il allait s'écrouler d'épuisement mais une force dont il avait jusqu'alors ignoré l'existence se manifestait en lui et lui donnait la force d'avancer. Il entra dans le vaste et vide collège, le première endroit où il alla fut le bureau du professeur McGonagall mais elle n'y était pas. il finit donc par se diriger jusqu'au professeur Dumbeldore, comme chaque année le mot de passe avait changé et Harry ne pu y accéder, il avait cependant remarqué que chaque année, le mot de passe portait le nom d'une friandise (l'année passée étant Fizwizbiz) il n'avait qu'à essayé jusqu'à ce qu'il trouve une bonne solution. En ayant acheter passablement dans le Poudlard Express les années précédentes, Harry connaissait le nom de quelques unes.
- Dragée surprise de Berty Crochu, tenta-t-il.
Rien ne bougea, l'air était immobile et il sentait ses genoux menacé de céder à chaque seconde…
- Choco Grenouille.
Rien ne se passa, Harry désespérait, il fallait qu'il se dépêche, il voulait savoir ! Il voulait les revoir ! Il cherchait le nom d'autre chose qu'il aimait, n'ayant jamais servi de mot de passe, des choses typique du monde des sorciers…
- Jus de citrouille !
L'escalier apparut le laissant monté jusqu'au bureau, il n'y croyait pas, il avait trouvé ! Il entra, le bureau était désert, c'était sans doute la chose qu'il redoutait le plus en arrivant ici. Pourquoi Dumbeldore n'était-il pas là ? Il avait besoin de lui ! il tournait en rond dans la pièce. Plusieurs tableau de directeurs le dévisageait et, ça le rendait malade, n'avaient-ils rien d'autre à faire que de le regardé se morfondre ?
- J'ai besoin d'aide ! leur dit-il, quelqu'un peut-il m'aider ?
- Et en quoi pourrait-on vous être utile ? demanda l'un des directeur
- Nous sommes au service du directeur, pas d'un élève ! s'exclama un autre tableau.
- Mais j'ai besoin d'aide ! Il faut que vous m'aidiez !
- Et pourrait-on savoir pourquoi, jeune homme ?
- Parce que vous êtes les seuls à pouvoir m'aider ! que vous savez qui je suis et se que je dois faire !
Harry se tourna vers le tableau de Phinellas, ça ne lui plaisait pas mais il n'avait pas le choix.
- Allez à Grimaud et dites à l'Ordre de ne pas s'inquiéter, que je suis à Poudlard.
- Vous me donné un ordre ?
- Si vous ne voulez pas voir votre lignée s'éteindre, vous devrez mieux de faire se que je vous dit.
- Elle s'est déjà éteinte.
- Pas si vous faite se que je vous est demandé !
L'ancien directeur disparu du tableau. Les autres le dévisageaient de plus en plus tentant de deviné où est-ce qu'il voulait en venir.
- Est-ce que quelqu'un est en mesure d'appelé Dumbeldore ?
- Le directeur Dumbeldore ! non, aucun de nous ne le peux, Fumsec, lui devrait en être capable.
À peine Harry eut posé les yeux sur le phénix que celui-ci disparut pour aller chercher le directeur. Chaque seconde qui s'écoulaient paraissait duré une éternité, la plaine lune brillait dans le ciel, Harry s'assit parterre, s'adossant contre le mur, regardant pas la fenêtre. Son regard était fixé sur les étoiles, plus particulièrement une d'entre elles. L'étoile la plus brillante de la constellation du chien, Sirius. L'écoulement du temps paraissait ne plus exister quand il regardait le ciel, sa fatigue et sa douleur se faisaient plus légères. Les directeurs s'étaient tu, certain s'étaient rendormi. Le silence n'était troublé que par quelque ronflement. Harry était seul et attendait, il ne pouvait rien faire d'autre. Rester éveiller et attendre. Peut-être demain serait-il déjà en train de parler avec ses parents et Sirius… demain était subjectif car en réalité le lendemain il allait se retrouvé un peu moins d'une vingtaine d'année au paravent. Il fouilla dans sa poche de sorcier et en sortit une photo sur la quel son père, sa mère et Sirius souriaient et riaient, ils paraissaient si heureux… Cette photo, Lupin la lui avait envoyée au début des vacances d'été et Harry lui avait été très reconnaissant. La photo était accompagnée d'un livre sur les Animagi, c'était ce à quoi il avait passé ses vacances d'été, ce qui l'avait permis de s'occuper et de supporter les Dursley, quand c'était trop, il se transformait, il avait mit plusieurs semaines d'entraînements intensif pour y arrivé. Jour et nuit, puisqu'il n'arrivait pas à dormir, ça l'empêchait au moins de déprimé. À présent, il maîtrisait plutôt bien cet art : il se transformait en loup, le pelage blanc-gris, des yeux de glaces. Il rangea la photo dans sa poche continua à regardé les étoiles, l'étoile. Il aurait pu resté des heures ainsi mais après quelques minutes une voix vint le tiré de ses rêveries.
- C'est bon, hein, Harry ? On pourrait passé sa vie à les observés.
Harry ne l'avait pas entendant entré, il se retourna et vit Dumbeldore le regardé à travers ses lunettes en forme de demi-lune. Sa longue barbe blanche reposant sur sa robe de sorcier bleu-nuit. Il se leva pour saluer Dumbeldore qui l'invita à s'asseoir en face du bureau après avoir fait apparaître une chaise. Harry obéît. Dumbeldore regardait le jeune sorcier avec compassion, Harry avait tant changé en deux mois. Il était encore plus maigre qu'à son habitude et les habituels anciens habit de son cousin lui donnait vraiment un aspect squelettique, il était très pâle, tremblait légèrement à cause de la fatigue. Harry n'était plus que l'ombre de lui-même et Dumbeldore aurait pu faire n'importe quoi pour sauvé son protéger.
- Qu'est ce qui a bien pu t'amené à Poudlard deux jours avant la rentrée ? L'Ordre venait de me prévenir que tu avait disparu et qu'il ignorait où tu te trouvait et que la seul personne qui savait était Lupin mais que la pleine lune s'était déjà levée. Peu de temps après Fumsec et venu me trouvé.
- Ils savent que je suis là.
- Oui, il m'ont prévenu que Phinellas étaient aller les avertir, ce qui a été une très bonne idée, Harry.
- J'ai besoin de votre aide.
Le regard du vieille homme s'attendrit, il s'y attendait tout comme il s'attendait déjà à se que lui demanderait le jeune homme.
- J'ai besoin d'un retourneur de temps.
Dumbeldore afficha un air surpris, il n'avait pas pensé à ça, il aurait penser que Harry lui demanderait de ramener Sirius à la vie. Chose que, bien entendu, il ne pouvait pas faire.
- Et à quel époque voudrait tu retourné, Harry ?
Une joie indescriptible submergeait le sorcier, Dumbeldore ne s'y était pas opposé ! Mais la question qu'il venait de lui posé, Harry y avait déjà pensé. Il avait finit par choisir entre trois solutions : au moments ou Lily avait enfin accepter d'être avec James (mais réussir a changer ça aurait été difficile et ça aurait amené Neville à subir ce que lui avait subit), au moment ou Trelawney avait dit la prophétie ( mais il se demandait comment intervenir et n'était pas sûr que tout soit arrangé) et le moment ou ses parents avaient fait de Peter le Gardien de leur Secret (ce qu'il avait trouvé plus judicieux et qui lui paraissait plus simple).
- Au moments où mes parents ont fait de Peter leur Gardien du Secret, un peu avant pour que je puisse les convaincre, leur expliquer…
Dumbeldore resta silencieux, il n'aurait jamais pensé que Harry veuille remonté si loin, l aurait pensé au ministère, deux mois en avant.
- Harry, ça changerait tant de choses…
- Mais c'est à partir de la que tous à commencer !
- Mais on ne connais pas les conséquences qu'auront tant de changements, Harry.
- Si !Mes parents et Sirius seront vivants ! Les voilà, les conséquences !
- Se sont des faits, oui. Mais ils peuvent conduire à bien des changements et peut-être pas des meilleurs.
- Et qu'est ce qui peut-être pire que maintenant ! Je n'ai rien à perdre !
- Oh si, Harry. Tu as encore beaucoup à perdre, tes proches perdront beaucoup s'il t'arrive quelque chose.
- Ça n'a plus d'importance…
- Ça en a pour moi, Harry.
- Si ça en avait, vous comprendriez.
Dumbeldore resta habituellement calme, il ne se défendit pas. la rage recommença à monté en Harry. Pourquoi ne disait-il rien ?
- Je vais y réfléchir, Harry. Toi, tu a besoin de sommeil. Si cette solution me paraît la meilleur, demain, tu retourna à cette époque.
- Mais je n'ai pas besoin de dormir ! J'ai besoin de les revoirs !
- Mais les voyages dans le temps, surtout si le but à atteindre est autant éloigné de notre présent…, demande beaucoup d'énergie
Harry ne dit rien, Dumbeldore l'accompagna jusqu'à l'infirmerie ou Mrs Pomfresh était déjà.
- Tiens, Mr. Potter, j'ai l'habitude de vous voir arrivé tôt dans l'infirmerie mais c'est la première fois que vous êtes là avant même le début de l'année scolaire !
- Harry doit se reposé et reprendre des forces, Pompom. J'espère que vous veillerez bien sûr lui.
- Ne vous en faite pas, monsieur le directeur. En une nuit, il aura déjà repris des forces !
Harry resta coucher sur son lit, Mrs. Pomfresh lui donna deux sirop qui avait des goût horrible puis elle lui donna un verre de Jus de citrouille. Harry n'avait jamais aussi bien dormi de sa vie et se demanda pourquoi est-ce qu'on lui avait jamais donné se sirop. Ce fut un sommeil sans rêve, doux. Aucune pensées ne triste ou néfaste ne vint troublé sa nuit.
Le lendemain matin, Harry se réveilla sans peine et se sentit en plaine forme. Il sortit de son lit et se leva. Il s'habilla avec une de ses robes de sorciers et s'assit sur le lit. Il attendait Dumbeldore, pourquoi n'était-il pas déjà arrivé ? il décida qu'il ferais mieux d'aller lui même à sa rencontre mais quand il arriva devant la porte, celle-ci s'ouvrit et McGonagall entra.
- Je venait justement, Potter. Dumbeldore vous attend.
- Il est d'accord ?
Le professeur leva un sourcil d'un cran et dévisagea Harry qui conclu qu'elle ne savait sûrement pas de quoi il s'agissait.
- Il ne m'a encore rien dit, Potter. Mais je doit vous avouez que je suis contre…
Harry ne dit rien, il n'avait pas envie ni de raisons de se justifier devant McGonagall.
- Jus de citrouille.
L'escalier apparut à nouveau, le professeur McGonagall laissa monté Harry sans le suivre. Il arriva devant le directeur et s'assit sur une chaise. Il senti son cœur qui battait à cent à l'heur, il allait enfin savoir ! Dumbeldore posa un objet devant la table, Harry le reconnu tout de suite et il cru qu'il allait se jeter dessus mais il attendit les explications de Dumbeldore.
- Je crois que ton idée et la meilleur des choses à faire, harry. Pourtant, le doute subsiste. Pour plusieurs raisons : J'ai peur que tu ne soit pas physiquement près pour cela, ni mentalement…
- Je le suis !Je m'y suis préparer !
- Je pense bien…mais j'ai peur qu'il t'arrive malheur… et j'ai peur que pour cette même raison je fasse une erreur de plus…
- …, Harry ne dit rien, il fixait ses pieds. Il ne lui restait plus que l'espoir et si Dumbeldore refusait il ne lui restait plus que… rien.
- J'ai déjà fait toutes les incantations pour que tu arrive à l'endroit et la date voulue, tu n'aura qu'a le retourné une fois à l'envers pour que tu revienne à cette époque.
- D'accord !
- Harry, je veux qu tu fasse très attention…
- Promis !
- Écoute moi bien Harry, à l'époque ou tu sera envoyé Voldemort auras un grand pouvoir et la prophétie aura déjà été révélée, s'est le lendemain du jour ou je leur ai annoncé, tu devrait arriver quand Sirius essayait de convaincre tes parents de prendre Peter. Tu devra te montré persuasif, Harry ! Sans doute que se sera Sirius qui viendra pour ne pas exposé tes parents, il sera méfiant, Harry, tu doit faire attention à tous ce que tu dis !
- C'est compris.
- Et surtout, n'oublie pas que, ici, nous n'aurons pas de Harry Potter, que nous serons sans défenses et que les forces seront déséquilibrées.
- Donc je doit faire vite ?
- Au tant que tu le peut, Harry.
- Très bien.
- Tiens, cet une lettre que tu ne doit ouvrir sous aucun prétexte, tu m'entend ? aucun ! Tu doit me l'a donné quand tu sera revenu à notre époque. C'est compris ?
- Mais pourquoi vous l'a donné puisque vous venez de l'écrire ?
- Fais ce que je te dit Harry, n'oublie pas c'est très important ! Tu ne prendra connaissance de cette lettre que quand je l'aurait lue !
- C'est d'accord.
- Tu le tourne une fois à'endroit et tu y sera.
Harry passa la précieuse chaîne autour de son coup .
- Merci, dit Harry
- Ne me remercie pas, Harry.
Quand il dit ça, une expression triste se lisait sur son visage, Harry ne comprit pourquoi et cela lui importait peu, il allait revoir Sirius et ses parents.
Il fit un tour, il ressentit cette familière sensation qu'il avait déjà ressentit alors qu'il n'était qu'en troisième.
Il se trouva devant une maison. Il aurait été incapable de dire ou il se trouvait mais il trouvait l'endroit magnifique. Il s'avança, le cœur battant. Il y avait une moto parquée devant un garage, c'était sans doute celle de son parrain, Harry avait entendu Hagrid en parlé. Il toqua et entendit des voix à l'intérieur, il reconnu tout de suite la première et une chaleur de bonheur l'envahit.
- Vous attendiez quelqu'un ? demanda Sirius.
- Non, répondit James.
- Montez à l'étage ! Je vais voir qui s'est !
- Non, Patmol, je reste !
- Ne fais pas l'imbécile ! Monte avec Lily !
- Sois prudent, Sirius ! lui demanda Lily.
Harry entendit des bruit de pas s'avancé, son cœur battait très vite, il avait réussi ! il vit la poignée de la porte se tourner et…
A suivre…
Narf, faudra attendre pour la suite et m'envoyé plain de reviews !! vi !!!
Miss.akasha : non, c'EST le meilleur, je n'accepter pas sa mort ! Paradoxale pour qqn qui écrit une fic dessus, hein ? Merci pour ton feed, j'espère que la suite continuera à te plaire
Herm'021 : vi, je continuerais à t'avertir, j'espère que cette fic te plaira toujours autant et je continue à bosser sur le dernier combat !
Lunattica : Tu pourra dire à ta mère que je suis d'accord avec elle, pour moi Rogue est espions triple : il dit à Vodemort qu'il bosse pour lui mais qu'il dit à l'Ordre qu'il bosse pour eux alors que Dumby pense qu'il joue au espion double avers Voldy, c pas clair, je sais la fic « Désillusions » explique bien mieux que moi, je ne me souviens plus du nom de l'auteur ! arrg ! Mon but n'est pas de faire souffrir Rogue, pas dans cette fic en tt cas… j'en ferait une plus tard, pour l'instant j'expose dans le dernier combat (enfin Harry expose et même Mumus) que Rogue est un traître…
Sirie-stefi : vi, ze travaille dure, elle est la suite ! j'espère que tu adorera tjs autant
Gabrielletrompelamort : fiou ! long comme pseudo ! je suis nulle en français (ça se vois non ?) donc je n'est pas d'autre adj. Mais ceux que t'as mi on suffit à me faire rougir ! Bon, j'espère que tu appréciera tjs autant !
Eriol : Merci, mais pleure pas trop, on va m'accusé d'avoir signé des contrat avec les vendeur de mouchoirs… bon, j'espère que ça continuera à te plaire.
Clau : de tt façon, je suis douée que pour les histoire triste… ne t'en fait pas, si je dit qu'il y aurait une suite, il y en aura une, je ne lâche jamais même si je n'ai plus qu'un lecteur ! je me dépêche pour la suite (dans la mesure du possible, j'ai encore une autre fic à écrire, 10 pages la partie, c du boulot !
Saria3 : pas besoin de me donné au tant de reviews, un par partie me suffisent ! je m'active pour la suite, j'y bosse, mais comme je l'ai écrit à clau, je bosse sur plusieurs fic en même temps…
Veuve Black : je sais, je n'accepte pas mais si le seul moyen de le faire vivre ou de faire en sorte que les autres se souviennes de lui est les fics, j'y travaille ! vais fondé une fondation bientôt, moua ! espère que tu appréciera la suite…
J'ESPERE QUE LA SUITE VOUS PLAIRA AUTANT, J'ESSAYERAIS DE FAIRE AUSSI VITE !!!
MERCI POUR VOS REVIEWS !!!
VIVE SIRIUS BLACK !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
PS: les remarques, reviews, insultes et autres tomates sont par là, le petit bouton bleu où c écrit « go »
