Bonjour tout le monde ! Bon, ben rien à dire de particulier, sinon que le début de chapitre est un peu chaud, mais c'est une fic en R, vous êtes prévenus !

            Sinon, le chap 7 est l'avant-dernier !! Amusez-vous bien !

            Chapitre 7 : Bonheur

            Severus se réveilla en éprouvant une sensation de bien-être. Il était en érection… et son sexe était dans la bouche d'Hermione.

- Hermione. . .

            Hermione répondit par une douce caresse. Elle accentua la pression de ses lèvres, sa langue titilla le gland à l'extrémité du membre.

- Qu'est-ce que. . .

            Il émit un râle de plaisir tandis qu'elle se mettait à le sucer.

- Hermione. . . Je vais. . .

            Trop tard. Il éjacula dans la bouche d'Hermione. Elle avala et se redressa, un sourire satisfait aux lèvres.

- Alors ? Tu as aim ?

- Tu n'es qu'une diablesse. . .

- Je voulais te faire plaisir, murmura-t-elle en s'allongeant sur lui.

- C'est réussi, dit-il en refermant les bras sur elle.

            Ils s'embrassèrent longuement.

            La main d'Hermione s'insinua entre eux, et elle stimula le membre de Severus.

- Tu es pleine d'ardeur ce matin. . .

- Je préfère le matin. . . Et tu ne dis pas non, si j'en juge par ce que je sens. . .

            Elle se redressa et s'assit à califourchon sur lui. Il lui caressa les seins.

- Dis-moi ce que tu veux, dit-elle.

- Tu le sais très bien.

- Je veux te l'entendre me dire.

            Il la prit par les hanches et la pénétra profondément. Elle le laissa faire, savourant le plaisir de l'avoir en elle une nouvelle fois, dans cette nouvelle position. Elle se mit à bouger de haut en bas. Mais bientôt, Severus la renversa sous lui, et reprit le dessus. Elle gémit.

- Oh oui, c'est bon. . . Severus. . .

            Il commença à bouger lentement, mais Hermione protesta.

- Plus fort. . .

            Il sourit et intensifia le mouvement. Il s'enfonçait profondément, allant toujours plus loin. Il durçit encore plus, et atteignit le fond du vagin.

- Oui ! hurla Hermione.

            Dans un même cri, ils explosèrent et Severus déversa sa semence en elle. Il s'écroula sur elle, épuisé. Hermione rit. Il releva la tête, et la regarda.

- Qu'est-ce qu'il y a ?

- Rien. . . Je suis heureuse. Notre nuit a été agitée.

- Tu as été fatigante.

- Allons donc ! Tu ne vas pas te plaindre !

- Sûrement pas. Mais tu devrais retourner dans ta chambre, pour ne pas éveiller les soupçons.

            Hermione soupira.

- Tu as raison.

            Severus se dégagea. Hermione s'assit, et Severus l'imita. Elle voulut se lever, mais Severus la retint.

- Laisse-moi au moins prendre mon petit-déjeuner.

            Il la serra contre lui et la mordit. Il but quelques gorgées de sang, puis la lâcha.

- Tu me considères comme ta réserve ?

- Je te rappelle que c'est toi qui me l'as propos !

            Elle sourit. Elle passa un doigt sur ses lèvres où perlait une goutte de sang et le lécha.

- A tout à l'heure, Severus, murmura-t-elle.

            Elle enfila rapidement sa robe de sorcière et s'éclipsa. Severus se laissa retomber sur le lit, toute euphorie envolée. Où tout cela les mènerait-il ? Il réalisa qu'il ne voulait pas perdre Hermione. Elle lui était aussi indispensable que le sang dont il avait besoin pour vivre. Il l'aimait. Elle était tendre, douce, infatigable. Il sourit. Que leur réservait l'avenir ? Il l'ignorait, mais il aimait Hermione, et pour l'instant, elle était avec lui, et c'est tout ce qui importait.

            Hermione prit une longue douche chaude pour détendre ses muscles endoloris. Severus et elle avaient fait l'amour à de nombreuses reprises, entrecoupés de brèves périodes de sommeil, mais elle n'éprouvait pas la moindre fatigue. Elle sortit de sa salle de bains, s'habilla et coiffa ses cheveux, puis lança un sort de séchage sur eux. Elle descendit dans la Salle Commune. Ginny s'était levée entre-temps et rédigeait une lettre.

- Hello Ginny !

- Bonjour Hermione ! Tu es matinale ! Nous sommes samedi !

- Tu l'es aussi ! Que fais-tu ?

- J'écris à Maman, pour lui demander si ça va.

- Elle se remet ?

- Oui, lentement. Charlie est revenu de Roumanie, et Fred et George s'occupent d'elle. Elle est bien entourée.

            Ginny s'interrompit et regarda Hermione.

- Tu as changé.

- En quoi ?

- Tu es radieuse. Est-ce qu'il s'est passée quelque chose cette nuit ?

            Hermione rougit. Ginny était beaucoup trop perspicace. Elle hocha la tête.

- J'ai dit à Severus que je l'aimais.

- Tu l'appelles par son prénom. . . Je vois.

            Hermione s'effondra dans un fauteuil à côté de Ginny.

- Comment il était ? demanda Ginny.

- Merveilleux. Je l'aime. Il est doux, tendre, attentionné.

- L'amant parfait, en somme.

- Oui !

            Hermione se tut. Elle resta songeuse.

- Quelque chose ne va pas ? demanda Ginny.

- C'est juste que je sais pas comment ça va évoluer. C'est si compliqué. . .

- Quel est le problème ? Il a 20 ans de plus que toi, mais tu l'aimes et il t'aime. Je ne crois pas que Dumbledore vous blâmera.

- C'est encore plus compliqué.

- Le secret ?

- Oui. Je ne peux pas te le dire. C'est si. . . difficile.

- Vous vous en sortirez. Le Professeur Rogue et toi êtes des êtres exceptionnels. Je ne peux que vous souhaiter du bonheur.

            Hermione sourit.

            Plus tard, Hermione, Ginny, Harry et Ron prenaient leur petit-déjeuner dans la Grande Salle. Hermione mangeait de bon appétit, sous les regards stupéfaits de Harry et Ron. Jamais ils ne l'avaient vue manger autant.

- Tu es sûre que tout va bien Mione ? demanda Ron pour la énième fois.

- Mais oui ! Pourquoi tu me demandes toujours ça ?

- Eh bien. . . D'habitude, tu te contentes de grignoter des toasts, et là, c'est la troisième fois que tu te sers du bacon. . .

- J''ai faim, je me nourris. Je ne t'ai jamais reproché ta gourmandise Ron.

- Je ne suis pas gourmand !

            Hermione et Ginny échangèrent un regard et éclatèrent de rire.

- Ron, tu es le pire glouton qui existe sur Terre, dit Ginny.

- Mais. . .

- C'est la pure vérité, renchérit Harry.

- Tout le monde est contre moi !

            Hermione but son cinquième verre de lait et regarda Severus. Il la fixait de son regard intense et elle lui sourit. Il fit un signe de tête, mais ce bref échange ne passa pas inaperçu de Ginny.

- C'est l'amour fou, murmura-t-elle à Hermione.

- Si tu veux, répondit Hermione.

            Le soir-même, Hermione se retrouvait dans la chambre de Severus.

- Ginny nous encourage, et elle est très contente pour nous.

- Elle sait ?

- Elle a tout deviné toute seule. Je lui fais confiance.

- Weasley est intelligente.

- C'est bien la première fois que tu complimentes une Gryffondor.

- Je t'ai complimentée hier soir.

- C'est vrai. . . Severus ?

- Mmm ?

- Comment es-tu devenu un Vampire ?

- C'est assez récent. . . Un peu avant que tu n'arrives à Poudlard en fait. Même si Voldemort n'était plus actif, certains Mangemorts restaient en activité… J'ai accompli certaines missions pour Dumbledore. Et une nuit, je me suis retrouvé face à un Vampire affamé. J'ai bien failli mourir cette nuit-là. Nous nous sommes battus, mais il m'a battu, et il a bu mon sang. Cependant, il a été impressionné par ma résistance, et ne pouvait se résoudre à me tuer. Il a fait de moi un Vampire en me donnant son sang. Quand j'ai réalisé ce que j'étais devenu, j'ai tout dit à Dumbledore et j'ai voulu démissionner, mais il l'a refusé et m'a demander de garder mon poste tout en continuant à travailler pour lui dans l'ombre. J'ai accepté. Tu sais tout.

- Je dois remercier ce Vampire. C'est grâce à lui que nous nous sommes connus autrement que dans une relation Professeur-élève. Je t'aime Severus.

- Hermione. . .

            Hermione et Severus passèrent une semaine de pur bonheur. Hermione rejoignait Severus chaque soir, et ils s'aimaient jusqu'au plus profond de la nuit.

            Il ne restait plus que deux jours avant la remise des diplômes. Le lundi matin, Minerva McGonagall arriva dans la Grande Salle avec une mine lugubre. Hermione et Severus avaient de nouveau passé la nuit ensemble et elle était de bonne humeur, discutant joyeusement avec Ginny. McGonagall se leva et réclama le silence.

- J'ai à vous faire part d'une nouvelle importante. Il y a 1 mois, Albus Dumbledore a été victime d'un sort particulièrement dangereux de Voldemort, et est plongé depuis dans le coma. Sainte-Mangouste vient de m'avertir qu'hélas, notre Directeur n'a pas survécu à sa blessure. Il est mort cette nuit. . .

Voilà qui laisse présager de la fin !! Et c'est pas une fin heureuse, vous êtes prévenus !! Je ne vous dirai pas le titre du chap 8 sinon je vais me faire massacrer encore moi !

RAR :

Scarlett : j'ai pas le temps d'uploader plus souvent dans la semaine. Et puis mon rythme d'écriture n'y survivrait pas. Mais une semaine c'est un rythme régulier, surtout si on considère que certains auteurs nous font attendre beaucoup plus longtemps. Be happy !

Altea : et c'est pas fini !

Lily Ewans/Potter : merci !

Popov : merci !! Je t'enverrai mes chapitres dès que je pourrai !

Amy Evans : merci beaucoup !

Link et Ripper : y'a un problème sur le passage du cunnilingus ? T'as pas aim ? Et c'est pourtant vous qui me réclamiez cette scène à grands cris !!! Contradictoire !

Caliméra : coincée et pudibonde ? Et t'es allée lire ma fic ? Wouah !! Je sais pas du tout si les Vampires peuvent avoir des enfants, et de toute façon la question se pose pas du tout dans cette fic !

Dumbledore : je me suis débrouillée pour que ça vire pas dans le vulgaire !

Meline Snape : moi aussi j'aimerai être à sa place !

Melanie Jonson : merci !

Aurélia : je sais, mais pas de traitement de faveur !! Une semaine d'attente pour tout le monde !!!

Kiki : merci !!

Alisa Adams : ouais, vive Hermione !! Elle l'a bien eue ! Et où va mener la relation… Tu le sauras dans le dernier chapitre !

Paradise Nightwish : c'est pour bientôt !