Chapitre 2 :
Sugy rageait, son corset lui donnait beaucoup de misère elle abandonna et décida d'interpeller Matou. Celle-ci arriva dans la cabine de sa copine. Son corset était aussi détaché, Sugy ne semblait don pas être la seule à avoir de la misère.
- Aideee-moua, je détestes les corsages depuis deux secondes.
Matou attrapa courageusement les deux ficelles qui se trouvaient à l'arrière du corsage et tira. Un cri perçant se fit entendre :
- AYOOOOOOOOOOOOOOOOOOOYEUH ! MAUDITE FOLLE TU ME FAIS MAL
Sugy, pour prononcer cette dernière phrase, avait utilisé son accent québécois. Matou éclata d'un rire nerveux
- Excuse-moi, mais j'arrive pas à me faire à ton accent
Sugy, se retourna vers elle, un regard mauvais.
- Grosse nounoune, pourquoi tu me martyre !? Je t'ai rien fait ! Protesta Sugy.
- Mais j'ai pas fait exprès et puis un corset, ça se porte serrée ! Argumenta Matou.
- Il y a serré et serré...
Sugy poussa un long soupir avant de finir d'attacher son corsage, seule, Matou, elle, semblait avoir des problèmes avec le sien
Matou, d'une vois tremblante demanda :
- Euh, sans te venger, tu pourrais m'aider?
Matou, étant dos a son amie, ne vit pas son sourire diabolique. Lentement elle s'approcha des ficelles de Matout et tira fortement, très fortement.
- Aaaah, tu veux m'étouffer! Sugy lâcha les ficelles.
- Waaa...comment t'a deviné ? Tu es bonne dis donc !
- Méchanteu!
- Héhé !!
Après cette vengeance, les deux filles sortirent avec leurs accoutrements pour le plus, étrange et original. Elle avait fait un mélange de vêtements de jeunes dames ainsi que vêtement d'armés.
L'homme leur lança un regard intrigué vers ces deux jeunes demoiselles Matou portait une chemise aux manches bouffantes, interposée par un corset. Elle avait mit un corsaire, c'est le cas de le dire, ainsi qu'une belle paire de bottes. Une sorte de jupon recouvrait sa taille soutenue par une grosse ceinture auquel une épée pendait. Elle avait également craquer pour le grand manteau, et avait orné ses cheveux d'un grand foulard rouge. De plus, elle et Sugy avaient découvert une boite remplie de bijoux, elle avait échanger ses boucles d'oreilles par de grands et des petits anneaux d'or, elle avait beaucoup de perçages aux oreilles, et elle s'était fait une mèche avec des perles.
Quant à Sugy, elle avait opté pour le look : bohémienne dangereuse, son corsage, autant serrée que celui de sa copine, était orange et violet. En dessous, une chemise a manche évasé dans le bas, des fleurs étaient brodées aux manches, ainsi que sur le corsaire. Cette chemise laissait les épaule de Sugy dénudé, laissant voir son tatouage. Elle avait enfilé une jupe, arrivant à la mi- mollets, qui avait plusieurs couches de tissus orange et blanc. Elle avait trouvé des bottes, semblable à Matou, mais brunes. Grâce à un foulard violet elle avait noué ses cheveux bruns et blonds. Elle avait trouvé une ceinture plus petite que celle de son amie et y avait enfilé un sabre. Elle avait trouvé, dans la boîte à bijoux, des colliers de perles, elle en avait placé quelques-uns dans son cou. Elle avait remplacé ses boucles d'oreille par des anneaux argent. Et une plus petie anneau, or, dans son sourcil droit.
Sugy se tourna avers Matou :
- Génial le look !!
- Je te retourne le compliment
Sugy fit une révérence.
Son regard croisa alors celui de l'Homme..
- Brrr...il me fait froids dans le dos ce mec. Chuchota Sugy
- Ouais, ta raison, et puis, je l'avait pas vu en rentrant...
- Mouais.et son bandeau sur l'?il tu crois qu'il a vraiment perdu un ?il ou c'est pour le look ?
- J'irais pas lui demander
Sugy rit nerveusement. D'après son ses des affaires, et les mots inscris sur chacun des vêtements comme, dix pièces d'or, le total des vêtements, ainsi que l'épée lui coûteraient environ 250 euros...
- ...C'est l'épée qui est vraiment cher... sinon les vêtements son achetable
- Ouais, on va essayer de marchander... Euh, excusez- moi Monsieur, pour les vêtements, les pendentifs, les bijoux et l'épée, je pense que 100 euros suffirons. En fait les 100 euros s'agissaient de l'étendue de ses économies.
L'homme ne répondit même pas a la jeune fille devant lui, trouvant sa proposition trop absurde. Matou déposa le billet sur la table
Sugy rajouta ensuite :
- Et si je vous donne 100 dollar canadien ce qui équivaut a 150 euros !?
L'homme prit le billet et le redonna à Matou, elle se foutait de sa tête ou quoi ? Si elle pensait l'acheter avec du papier.
Sugy s'avança :
- Je n'ai pas l'argent sur moi, mais j'ai ma carte de guichet... ça vous va ?
- Allez Monsieur soyez sympa
"Carte de guichet ? Papier ? Se sont des pilleuses sans aucun doute !!" Pensa l'Homme.
- Euh, pourquoi est- ce que vous sortez votre épée?
L'homme cria pour alerter les gens dehors :
- IL Y A DES VOLEUSES !!
Matou sursauta avant de protester :
- Eh, mais c'est pas vrai ! On a rien fait
Sugy recula et prit son sac contenant ses vêtements ainsi que ceux de matou.
- On se sauve ! Au revoir merci beaucoup !!
Matou fut entraînée par Sugy en dehors du magasin
- La Sugy, c'est vraiment du vol
- Je m'en fous, j'aime mieux être une voleuse que morte.
Sugy, s'arrêta en plein milieu de la rue...
- Matou, on est où là ?
Sugy rageait, son corset lui donnait beaucoup de misère elle abandonna et décida d'interpeller Matou. Celle-ci arriva dans la cabine de sa copine. Son corset était aussi détaché, Sugy ne semblait don pas être la seule à avoir de la misère.
- Aideee-moua, je détestes les corsages depuis deux secondes.
Matou attrapa courageusement les deux ficelles qui se trouvaient à l'arrière du corsage et tira. Un cri perçant se fit entendre :
- AYOOOOOOOOOOOOOOOOOOOYEUH ! MAUDITE FOLLE TU ME FAIS MAL
Sugy, pour prononcer cette dernière phrase, avait utilisé son accent québécois. Matou éclata d'un rire nerveux
- Excuse-moi, mais j'arrive pas à me faire à ton accent
Sugy, se retourna vers elle, un regard mauvais.
- Grosse nounoune, pourquoi tu me martyre !? Je t'ai rien fait ! Protesta Sugy.
- Mais j'ai pas fait exprès et puis un corset, ça se porte serrée ! Argumenta Matou.
- Il y a serré et serré...
Sugy poussa un long soupir avant de finir d'attacher son corsage, seule, Matou, elle, semblait avoir des problèmes avec le sien
Matou, d'une vois tremblante demanda :
- Euh, sans te venger, tu pourrais m'aider?
Matou, étant dos a son amie, ne vit pas son sourire diabolique. Lentement elle s'approcha des ficelles de Matout et tira fortement, très fortement.
- Aaaah, tu veux m'étouffer! Sugy lâcha les ficelles.
- Waaa...comment t'a deviné ? Tu es bonne dis donc !
- Méchanteu!
- Héhé !!
Après cette vengeance, les deux filles sortirent avec leurs accoutrements pour le plus, étrange et original. Elle avait fait un mélange de vêtements de jeunes dames ainsi que vêtement d'armés.
L'homme leur lança un regard intrigué vers ces deux jeunes demoiselles Matou portait une chemise aux manches bouffantes, interposée par un corset. Elle avait mit un corsaire, c'est le cas de le dire, ainsi qu'une belle paire de bottes. Une sorte de jupon recouvrait sa taille soutenue par une grosse ceinture auquel une épée pendait. Elle avait également craquer pour le grand manteau, et avait orné ses cheveux d'un grand foulard rouge. De plus, elle et Sugy avaient découvert une boite remplie de bijoux, elle avait échanger ses boucles d'oreilles par de grands et des petits anneaux d'or, elle avait beaucoup de perçages aux oreilles, et elle s'était fait une mèche avec des perles.
Quant à Sugy, elle avait opté pour le look : bohémienne dangereuse, son corsage, autant serrée que celui de sa copine, était orange et violet. En dessous, une chemise a manche évasé dans le bas, des fleurs étaient brodées aux manches, ainsi que sur le corsaire. Cette chemise laissait les épaule de Sugy dénudé, laissant voir son tatouage. Elle avait enfilé une jupe, arrivant à la mi- mollets, qui avait plusieurs couches de tissus orange et blanc. Elle avait trouvé des bottes, semblable à Matou, mais brunes. Grâce à un foulard violet elle avait noué ses cheveux bruns et blonds. Elle avait trouvé une ceinture plus petite que celle de son amie et y avait enfilé un sabre. Elle avait trouvé, dans la boîte à bijoux, des colliers de perles, elle en avait placé quelques-uns dans son cou. Elle avait remplacé ses boucles d'oreille par des anneaux argent. Et une plus petie anneau, or, dans son sourcil droit.
Sugy se tourna avers Matou :
- Génial le look !!
- Je te retourne le compliment
Sugy fit une révérence.
Son regard croisa alors celui de l'Homme..
- Brrr...il me fait froids dans le dos ce mec. Chuchota Sugy
- Ouais, ta raison, et puis, je l'avait pas vu en rentrant...
- Mouais.et son bandeau sur l'?il tu crois qu'il a vraiment perdu un ?il ou c'est pour le look ?
- J'irais pas lui demander
Sugy rit nerveusement. D'après son ses des affaires, et les mots inscris sur chacun des vêtements comme, dix pièces d'or, le total des vêtements, ainsi que l'épée lui coûteraient environ 250 euros...
- ...C'est l'épée qui est vraiment cher... sinon les vêtements son achetable
- Ouais, on va essayer de marchander... Euh, excusez- moi Monsieur, pour les vêtements, les pendentifs, les bijoux et l'épée, je pense que 100 euros suffirons. En fait les 100 euros s'agissaient de l'étendue de ses économies.
L'homme ne répondit même pas a la jeune fille devant lui, trouvant sa proposition trop absurde. Matou déposa le billet sur la table
Sugy rajouta ensuite :
- Et si je vous donne 100 dollar canadien ce qui équivaut a 150 euros !?
L'homme prit le billet et le redonna à Matou, elle se foutait de sa tête ou quoi ? Si elle pensait l'acheter avec du papier.
Sugy s'avança :
- Je n'ai pas l'argent sur moi, mais j'ai ma carte de guichet... ça vous va ?
- Allez Monsieur soyez sympa
"Carte de guichet ? Papier ? Se sont des pilleuses sans aucun doute !!" Pensa l'Homme.
- Euh, pourquoi est- ce que vous sortez votre épée?
L'homme cria pour alerter les gens dehors :
- IL Y A DES VOLEUSES !!
Matou sursauta avant de protester :
- Eh, mais c'est pas vrai ! On a rien fait
Sugy recula et prit son sac contenant ses vêtements ainsi que ceux de matou.
- On se sauve ! Au revoir merci beaucoup !!
Matou fut entraînée par Sugy en dehors du magasin
- La Sugy, c'est vraiment du vol
- Je m'en fous, j'aime mieux être une voleuse que morte.
Sugy, s'arrêta en plein milieu de la rue...
- Matou, on est où là ?