Chapitre3 :
Matou regarda autour d'elle. Elles se trouvaient au milieu d'une avenue remplie de monde. Des bâtiments ressemblant à des auberges grouillaient de matelots, tous déguisé en pirate, qui buvaient, se jetaient de la boisson à la figure pendant que des femmes au formes généreuses jouaient auprès d'eux Un peu partout, il y avait des bagares! Sugy semblait figée :
- What...the FUCK ?!
- J'aurais pas dit mieux ! Tu sais, continua Matou, si on était pas poursuivit, j'aurais parier qu'on est sur Tortuga, sa ressemble tellement à l'île des pirates
- Ouais, tu as raison, on as pas le temps de parier... réfugions- nous...dans cette auberge !
Elle pointa un bâtiment à coté d'elles
- D'accord!
Elle s'engouffrèrent dans l'auberge juste au moment ou le marchant arrivait, toujours son épée à la main. Sugy paniquait de plus en plus :
- Qu'est- ce qu'on fait ?!
Matou montra une table isolée des autres, deux personnes discutaient tandis qu'une troisième observait accoudée à un poteau.
- La, sous la table, vite !
Sans ce soucier du regard étonné des trois personnes, Matou et Sugy sautèrent sous la table. À ce moment, l'homme du magasin d'antiquité fit éruption en criant
- Où êtes vous sales petites voleuses !
Sugy et Matou essayaient de ne pas respirer, de peur de faire trop de bruit. Pourtant personne ne prêtait attention au vieux fou qui était entré !
Matou se tourna vers Sugy :
- Je crois qu'il nous a pas vu.
C'est à ce moment là, une main jaillit de dessus la table, lui attrapa le poignet et la tira en dehors. Matou cria tandis qu'elle était projetée sur la table.
- Je te tiens sale voleuse, tu va voir ce qu'on fait au voleur ici, on leur coupe un main.
Comme pour mettre sa menace à exécution, il posa le poignet de Matou sur la table et leva son épée.
Sugy sorti de la table et prit son épée, essayant de garder son calme elle cria :
- LACHEZ- LA !
- Oui! On peut s'expliquer ! J'comprend pas, c'est vous qui vouliez pas de notre argent !
L'homme rugit :
- Ça !? De l'argent ? Des bouts de papiers VOUS N'AVEZ MEME PAS UN PIÈCE D'OR SUR VOUS !
- Mais... ou on en trouve des pièces comme sa! Ça fait des siècles qu'on ne les utilises plus! J'vous en prie, je ferais la plonge! Tout ce que vous voulez !
Sugy se retourna vers Matou, elle ne connaissait pas encore toutes les expressions de sa copines :
- La plonge !?
- Euh, la vaisselle, comme dans les bars.
L'homme profita du moment d'inattention de Sugy pour envoyer valser son épée, qu'elle en tenait pas très fortement, due au manque d'entraînement et à sa nervosité.
Elle cria :
- AHHH ! Vous. vous... ne pouvez quand même pas tuer une dame !
- Bien sur que non, je vais juste vous couper une main chacune
- Vous ne pouvez quand même pas couper une main à une dame. Tenta Matou.
- Sinon... à quoi servirons- nous !? Renchérit Sugy.
- Comment nous pourrions...vous remboursez ?!
- Où encore...travailler plus tard ?
- Hein! Dites!
- Ou encore enlever nos vêtement pour vous les redonner !
L'homme sembla réfléchir, puis dit:
- Pas de pitié pour les voleuses!
L'épée siffla, Matou fermi les yeux, sentent déjà le froid douloureux du fer trancher sa main. Pourtant, aucune douleur ne vint. La main de l'homme avait été stoppée par une autre. Sugy, ainsi que Matou, fixait l'homme qui avait sauvé la main de cette dernière. Il avait un regard pénétrant et ses beaux yeux bruns pouvaient faire craquer n'importe quelles jeunes filles. Ses cheveux arrivaient un peu plus qu'aux épaules, attaché par un bandeau rouge. Comme tous les autres gens de cette auberge, et de la rue. Il était habillé tel un pirate, chemise blanche, bouffante, détaché laissant voir son torse, des bottes et une ceinture brunes. Une arme était accrochée après sa ceinture. Un autre tissu, rayé rouge et blanc, était attaché à sa taille. Pour finir il avait placé un veston par- dessus sa chemise. Il portait également un grand manteau bleu foncé et avait un tricorne sur la tète.
Sugy, défigea et demande ensuite a Matou :
- Ça va ?
- Euh, pour le moment oui
Elle fit bouger ses doigts pour voir s'il était toujours relier à la main
- Euh, oui, oui, sa va...
Matou tremblait de tous ses membres et elle avait soudainement pâlie
Sugy, avait eu la frousse pour sa copine. Elle continuait cependant de fiixer l'homme.
- M...mer...ci monsieur !
L'homme regarda Sugy:
- De rien Demoiselle
Le vieux fou du magasin lui jeta un regarda noir
- De quoi vous mêlez- vous ? Elles m'ont voler, j'ai le droit de réclamer justice...
- Depuis quand il y a une justice chez les pirates dit l'homme au tricorne et il éclata de rire
Pendant ce temps, Matou essayait désespérément de dégager sa main, au cas ou l'homme venait à lâcher celle du fou. Sugy, fut surprise par les paroles de l'homme : "Depuis quand il y a justice chez les pirates", elle se tourna vers Matou, pour voir si celle- ci avait entendu.
Matou lui rendit son regard, elle avait bien entendu. L'homme du magasin sembla se diriger vers la sortie. Cependant, il se retourna...
- Alors, môôôsieur...payer !
L'homme au chapeau lui lança une bourse:
- Tiens, sa devrait suffire! Et disparaît de ma vu, j'aime pas que l'on maltraite de jolie filles.
Finalement, grognant et maussade, l'homme partit d'un pas rageur vers son magasin. Sugy se retourna vers l'homme :
- Comment pourrions- nous vous remercier ?
L'homme la regarda:
- Laissez, sa me fait plaisir d'aidez de jeunes demoiselles... Puis- je vous offrir un verre ?
Matou qui se tenait le poignet comme si elle avait peur qu'il s'envole dit:
- On ne peut pas refuser sa! Euh, quelque chose de pas trop fort tout de même !
Elle se tourna vers Sugy et lui chuchota quelques chose à l'oreille :
- Tu trouve pas qu'il ressemble trop à Jack, pareil pour le gars au poteau ressemble trop à Will, on pourrait presque croire qu'on est dans le film !
Elle éclata de rire devant une idée aussi absurde. Sugy acquiesça, suite au commentaire de Matou, elle rit nerveusement et répondit ensuite à l'Homme :
- Bien entendue !!
Matou ajouta:
- Au fait, pourrais- ton connaître le nom de notre sauveur ?
- Bien sur *il leur tendit une chope à chacune* je suis le capitaine Jack Sparrow
Matou recracha la gorgée qu'elle venait de boire, ce qui était une bonne chose car l'alcool lui avait brûler la gorge.
Sugy, elle, faillit s'étouffer.
- ...Jack...JACK SPARROW !?
L'homme la regarda avec un air un peu énervé :
- CAPITAINE Jack Sparrow s'il vous plait.
Matou regarda autour d'elle. Elles se trouvaient au milieu d'une avenue remplie de monde. Des bâtiments ressemblant à des auberges grouillaient de matelots, tous déguisé en pirate, qui buvaient, se jetaient de la boisson à la figure pendant que des femmes au formes généreuses jouaient auprès d'eux Un peu partout, il y avait des bagares! Sugy semblait figée :
- What...the FUCK ?!
- J'aurais pas dit mieux ! Tu sais, continua Matou, si on était pas poursuivit, j'aurais parier qu'on est sur Tortuga, sa ressemble tellement à l'île des pirates
- Ouais, tu as raison, on as pas le temps de parier... réfugions- nous...dans cette auberge !
Elle pointa un bâtiment à coté d'elles
- D'accord!
Elle s'engouffrèrent dans l'auberge juste au moment ou le marchant arrivait, toujours son épée à la main. Sugy paniquait de plus en plus :
- Qu'est- ce qu'on fait ?!
Matou montra une table isolée des autres, deux personnes discutaient tandis qu'une troisième observait accoudée à un poteau.
- La, sous la table, vite !
Sans ce soucier du regard étonné des trois personnes, Matou et Sugy sautèrent sous la table. À ce moment, l'homme du magasin d'antiquité fit éruption en criant
- Où êtes vous sales petites voleuses !
Sugy et Matou essayaient de ne pas respirer, de peur de faire trop de bruit. Pourtant personne ne prêtait attention au vieux fou qui était entré !
Matou se tourna vers Sugy :
- Je crois qu'il nous a pas vu.
C'est à ce moment là, une main jaillit de dessus la table, lui attrapa le poignet et la tira en dehors. Matou cria tandis qu'elle était projetée sur la table.
- Je te tiens sale voleuse, tu va voir ce qu'on fait au voleur ici, on leur coupe un main.
Comme pour mettre sa menace à exécution, il posa le poignet de Matou sur la table et leva son épée.
Sugy sorti de la table et prit son épée, essayant de garder son calme elle cria :
- LACHEZ- LA !
- Oui! On peut s'expliquer ! J'comprend pas, c'est vous qui vouliez pas de notre argent !
L'homme rugit :
- Ça !? De l'argent ? Des bouts de papiers VOUS N'AVEZ MEME PAS UN PIÈCE D'OR SUR VOUS !
- Mais... ou on en trouve des pièces comme sa! Ça fait des siècles qu'on ne les utilises plus! J'vous en prie, je ferais la plonge! Tout ce que vous voulez !
Sugy se retourna vers Matou, elle ne connaissait pas encore toutes les expressions de sa copines :
- La plonge !?
- Euh, la vaisselle, comme dans les bars.
L'homme profita du moment d'inattention de Sugy pour envoyer valser son épée, qu'elle en tenait pas très fortement, due au manque d'entraînement et à sa nervosité.
Elle cria :
- AHHH ! Vous. vous... ne pouvez quand même pas tuer une dame !
- Bien sur que non, je vais juste vous couper une main chacune
- Vous ne pouvez quand même pas couper une main à une dame. Tenta Matou.
- Sinon... à quoi servirons- nous !? Renchérit Sugy.
- Comment nous pourrions...vous remboursez ?!
- Où encore...travailler plus tard ?
- Hein! Dites!
- Ou encore enlever nos vêtement pour vous les redonner !
L'homme sembla réfléchir, puis dit:
- Pas de pitié pour les voleuses!
L'épée siffla, Matou fermi les yeux, sentent déjà le froid douloureux du fer trancher sa main. Pourtant, aucune douleur ne vint. La main de l'homme avait été stoppée par une autre. Sugy, ainsi que Matou, fixait l'homme qui avait sauvé la main de cette dernière. Il avait un regard pénétrant et ses beaux yeux bruns pouvaient faire craquer n'importe quelles jeunes filles. Ses cheveux arrivaient un peu plus qu'aux épaules, attaché par un bandeau rouge. Comme tous les autres gens de cette auberge, et de la rue. Il était habillé tel un pirate, chemise blanche, bouffante, détaché laissant voir son torse, des bottes et une ceinture brunes. Une arme était accrochée après sa ceinture. Un autre tissu, rayé rouge et blanc, était attaché à sa taille. Pour finir il avait placé un veston par- dessus sa chemise. Il portait également un grand manteau bleu foncé et avait un tricorne sur la tète.
Sugy, défigea et demande ensuite a Matou :
- Ça va ?
- Euh, pour le moment oui
Elle fit bouger ses doigts pour voir s'il était toujours relier à la main
- Euh, oui, oui, sa va...
Matou tremblait de tous ses membres et elle avait soudainement pâlie
Sugy, avait eu la frousse pour sa copine. Elle continuait cependant de fiixer l'homme.
- M...mer...ci monsieur !
L'homme regarda Sugy:
- De rien Demoiselle
Le vieux fou du magasin lui jeta un regarda noir
- De quoi vous mêlez- vous ? Elles m'ont voler, j'ai le droit de réclamer justice...
- Depuis quand il y a une justice chez les pirates dit l'homme au tricorne et il éclata de rire
Pendant ce temps, Matou essayait désespérément de dégager sa main, au cas ou l'homme venait à lâcher celle du fou. Sugy, fut surprise par les paroles de l'homme : "Depuis quand il y a justice chez les pirates", elle se tourna vers Matou, pour voir si celle- ci avait entendu.
Matou lui rendit son regard, elle avait bien entendu. L'homme du magasin sembla se diriger vers la sortie. Cependant, il se retourna...
- Alors, môôôsieur...payer !
L'homme au chapeau lui lança une bourse:
- Tiens, sa devrait suffire! Et disparaît de ma vu, j'aime pas que l'on maltraite de jolie filles.
Finalement, grognant et maussade, l'homme partit d'un pas rageur vers son magasin. Sugy se retourna vers l'homme :
- Comment pourrions- nous vous remercier ?
L'homme la regarda:
- Laissez, sa me fait plaisir d'aidez de jeunes demoiselles... Puis- je vous offrir un verre ?
Matou qui se tenait le poignet comme si elle avait peur qu'il s'envole dit:
- On ne peut pas refuser sa! Euh, quelque chose de pas trop fort tout de même !
Elle se tourna vers Sugy et lui chuchota quelques chose à l'oreille :
- Tu trouve pas qu'il ressemble trop à Jack, pareil pour le gars au poteau ressemble trop à Will, on pourrait presque croire qu'on est dans le film !
Elle éclata de rire devant une idée aussi absurde. Sugy acquiesça, suite au commentaire de Matou, elle rit nerveusement et répondit ensuite à l'Homme :
- Bien entendue !!
Matou ajouta:
- Au fait, pourrais- ton connaître le nom de notre sauveur ?
- Bien sur *il leur tendit une chope à chacune* je suis le capitaine Jack Sparrow
Matou recracha la gorgée qu'elle venait de boire, ce qui était une bonne chose car l'alcool lui avait brûler la gorge.
Sugy, elle, faillit s'étouffer.
- ...Jack...JACK SPARROW !?
L'homme la regarda avec un air un peu énervé :
- CAPITAINE Jack Sparrow s'il vous plait.
