Kikoo, vla la suite ^_^ Alors mici a ma revieweuse

Venusa : La voilà ta suite la voilà…  Je t'adore ma vénie ….

Le disque la y meurt : Tout ces zoulis personnages sont pas a moi, et vous m'en voyez navrée… Il n'y en a qu'un qui est à moi… et je me le garde … na… Il va bientôt arriver… vers le chapitre 8 ou 9 lol

Bon, assez bavardé… voila pour vous ^_^

III/ Fortes Émotions

- ... Professeur Dumbledore !!!

- Bonjour Harry. Laisse moi bouger s'il te plait. Je ne suis pas seul. D'autres arrivent.

- Qui ?

- Laisse-moi bouger et tu le verras par toi-même.

D'autres bruits signifiant l'arrivée imminente de voyageurs se firent entendre. Harry, avec la plus grande surprise vit successivement apparaître les professeurs MacGonnagal, Rogue, Lupin, et Maugrey. Il ne se remettait pas de voir Rogue ici. Puis arrivèrent M. Weasley, Hagrid, et enfin, Sirius. « Ça promet cette petite réunion !!!! »…

Tous saluèrent Mrs Figg devant un Harry hébété. Puis, enfin, ils s'intéressèrent à lui. A part Sirius qui lui s'était intéressé en priorité à Harry. Il n'était pas son parrain pour rien.

- Mais, Sirius… il est fugitif, non ?

- Et bien, oui. Mais les personnes présentes ici savent toutes la vérité, et y croient. N'est-ce pas Sévérus ?

A l'appel de son prénom par le professeur Dumbledore, celui-ci leva les yeux.

- Bien sûr professeur.

- Harry, tu n'es pas forcément au courant, mais les choses ont changé depuis la fin de l'année scolaire. Bien des choses. Messieurs Rogue et Black ont finalement pris la très sage décision de laisser de coté leurs sentiments personnels afin d'être plus efficaces dans leur lutte commune contre les forces noires en émergences dans notre monde. Même les moldus pressentent le changement.

- Et pourtant, ils ne sont pas vraiment doués pour cela de nature – ajouta Rogue.

- Ce genre de remarques pourrait être très mal vu professeur Rogue – lança MacGonagall

- Professeurs ?

- Oui Harry ?

- Quelqu'un pourrait-il m'expliquer tout ceci. Et aussi le changement soudain de comportement des Dursley. Je crois que… J'ai du rater un épisode. Voire plusieurs. Je n'ai pas tout compris. Je… Je ne sais plus quoi penser. Et vous tous qui arrivez là-dessus, le professeur Figg, Sirius qui est là alors qu'il est en fuite, tout ça… C'est trop, trop vite.

- Harry, je pense que Mrs Figg nous a préparé un excellent repas. Je propose d'aller déjeuner, et de reparler de tout ça après. Qu'en penses-tu Harry ?

- Je n'ai pas grand-chose à redire professeur Dumbledore. Nous, euh je ferai comme vous voudrez.

- Bien.

*

Le repas se déroula comme un repas normal, avec des conversations des plus banales. Tellement banales qu'il se serait cru à un repas chez les Dursley.

C'était une sensation étrange d'ailleurs. Car pour une fois, ce genre de repas qu'il avait toujours profondément détesté lui apparaissait sous un nouveau jour, bien plus agréable. Tellement plus agréable.

De plus, il y avait des plats sorciers, parmi ses préférés. Il pu, entre autres, boire du jus de citrouille, et manger de la tarte folle : une tarte à la mélasse qui vous parlait méchamment si vous n'en vouliez pas, et vous complimentait ou vous racontait des blagues si vous en preniez. Un de ses desserts favoris.

Puis vint l'heure du rangement et de la vaisselle. Enfin, les explications allaient venir.

*

Dumbledore ajusta ses lunettes en forme de demi-lunee sur son nez aquilin et s'éclaircit la voix.

- Je pense que Harry attend impatiemment que nous lui expliquions certaines choses, certains détails qui lui ont échappés ces derniers temps. D'abord, les Dursley. Voici quelques temps, j'ai écrit à ton oncle en joignant à la lettre une rétrospective de ce que tu avais subit et ce à quoi ils avaient échappé grâce à toi et tes sacrifices. Cela l'a énormément fait réfléchir on dirait bien. Il a réfléchi un sacré moment, je peux te le dire. Car ce n'est pas la semaine dernière que je lui ai écrit. Mais il n'y a pas que cela qui te gêne n'est-ce pas ? Ce point là est-il assez clair ?

- Je crois professeur. Et pour ce qui est du reste ?

- J'y viens mon jeune ami. J'y viens. Pour ce qui est de Sirius, la chose est simple. M. Weasley, nouvel adjoint de M. Fudge depuis peu, a réussi à ramener notre ministre un peu en arrière grâce à un retourneur de temps, comment dire, plus grand que celui dont disposait Miss Granger en troisième année, et lui a fait revivre les aveux de Pettigrow, et ceux de Croupton junior. Puis la renaissance de Voldemort. Ainsi, notre Saint thomas à nous a vu et enfin pu croire tout cela. Et donc, il a commencé à engager des procédures permettant tout d'abord de relâcher les recherches de Sirius, pour aboutir à sa réhabilitation prochaine. Il peut presque se promener au grand jour. Bientôt il le pourra sans problèmes. C'est une des rares bonnes nouvelles de cet été, avec l'avancement de M. Weasley. Mais presque personne n'est au courant. Certainement pas les Malefoy en tout cas. Plus tard ils le sauront, mieux ce sera. Même Mrs Weasley ne se doute pas de l'avancement de son mari. Elle a peut-être constaté une augmentation de leurs revenus, mais elle n'en a rien dit. Strictement rien dit. Y a t'il encore quelque chose que tu veux savoir Harry ?

- Pour le professeur Figg… Pourquoi professeur ?

- Ah ça… Mrs Figg travaillera à Poudlard cette année.

- Comme professeur de défenses contre les forces du mal ?

- Non. Comme Professeur de potions…

- De potions ? Et le professeur Rogue ?

- Il enseignera la défense contre les forces du mal, oui. Tu l'imaginais peut-être enseignant l'art des soins aux créatures magiques….

Un rictus apparut sur le visage du professeur Rogue.

- Je laisse ce soin à Hagrid. Hagrid ne demande pas mieux n'est-ce pas ?

- Oui Professeur Dumbledore. Par contre – et là, Hagrid se tourna vers Rogue – j'espère que vos petits monstres se tiendront tranquilles et ne chercheront pas de poux à mes bébêtes !!! Elles ne méritent pas ça… Déjà Buck, puis…

- Suffit Hagrid. Ils se tiendront tranquilles. Je connais ces Serpentards. La plupart ont des familles de mangemort. Tous savent ce que j'ai été. Et même s'ils ne m'aiment guère, ils me craignent. Les enfants en tout cas. Les parents, j'en doute. Et puis, je n'ai plus autant de raisons d'être aussi aigri. J'ai enfin obtenu le poste que je voulais. J'ai d'autres raisons à présent. Mais ce n'est pas le problème. Mes Serpentards se tiendront tranquilles, où ils auront à faire à moi…. Et je ne plaisante pas. Les autres maisons aussi ont intérêt à rester tranquilles. Surtout les Gryffondors. Ce n'est pas que je manque de partialité, mais certains membres de cette maison m'exaspèrent au plus haut point. Vous, Potter. Navré de vous l'apprendre.

- Mais, professeur Rogue, tout le monde le sait déjà. Que vous ne m'aimez guère. Notamment parce que je suis le fils de votre vieil ennemi… Mais ce que vous ne savez pas, c'est que… que… J'ai supplié le Choixpeau de m'envoyer à Gryffondor. Il voulait m'envoyer ailleurs.

- Et ou ? Pas à Serpentard tout de même ???

- Si, justement. Je l'ai supplié : « Pas à Serpentard… Tout sauf Serpentard …» Et il m'a écouté.

- Potter, à Serpentard ? Non mais je rêve. Dumbledore, dîtes-moi… Il dit vrai ?????

- Oui Sévérus. Vous savez Sévérus, Harry ne ment jamais, sauf s'il a une bonne, une excellente raison, comme protéger un secret, ou un ami. Mais jamais il n'a menti de sa vie par simple vice. C'est une des choses qui fait que finalement, et je suis navré de vous le dire, il se serait sentit très mal à l'aise chez Serpentard. Et puis, si mes souvenirs sont bons, même s'il a certains pouvoirs de Serpentard comme la capacité de parler le Fourchelang, il n'en est pas moins un Gryffondor puisqu'il a réussi à trouver l'épée de Godric au fond du Choixpeau. S'il avait été un Serpentard, il aurait trouvé autre chose. Mais pas l'épée de Godric en tout cas. Probablement aurait-il trouvé le bâton magique de Salazar. Qui sait ? Mais Harry a quelque peut déformé les propos de notre ami le Choixpeau. Harry aurait eu parfaitement sa place dans n'importe laquelle des quatre maisons. Mais ce qui a décidé le Choixpeau Magique à l'envoyer à Gryffondor plutôt qu'à Poursouffle ou Serdaigle, c'est la volonté qu'il avait de ne surtout pas aller à Serpentard. Alors qu'il ne connaissait rien de Poudlard d'autre que ce que miss Granger lui avait dit peu de temps avant la cérémonie de la répartition, il a instinctivement choisi d'aller dans la maison qui lui correspondait le mieux, nous le savons à présent, bien qu'il ai eu le choix d'aller dans n'importe laquelle. Cette explication vous satisfait-elle Sévérus ?

- Très bien professeur Dumbledore.

Dumbledore ôta ses lunettes, les essuya un peu, et les réajusta sur son nez. Il parut réfléchir quelques courts instants, et continua à parler.

- A présent, je pense que nous devrions expliquer au jeune Harry ici présent pourquoi nous sommes tous ici aujourd'hui. Harry, tu as devant toi les vestiges d'un ancien ordre secret formé de sorciers bienveillants qui longtemps luttèrent contre Voldemort. Je dis les vestiges car les membres qui étaient parmi nous il y a 15 ans ne sont pas tous ici. Et il y en a de nouveaux. Parmi les membres disparus, il y a tes parents et le couple Londubat. Les parents de Neville oui. Parmi les nouveaux, il y a le Professeur Rogue, bien qu'il ne soit pas si nouveau que ça, mais il n'est membre à part entière que depuis peu Hagrid, depuis qu'il a recouvert ses droits magiques après sa réhabilitation M. Weasley, qui a maintes fois prouvé qu'il le méritait amplement. Les autres en faisait déjà partie il y a 15 ans. Je parle de Sirius, Mrs Figg, du professeur Lupin, du professeur MacGonagall, du professeur Maugrey, et de moi-même. Les autres anciens sont disparus, mais comme leurs noms ne te diraient  rien, il n'est pas nécessaire que tu les connaisse. Cela porte notre nombre actuel au nombre de 8. Nous devrions être 12. Ce n'est pas une obligation, mais c'est pour un plus juste équilibre entre les forces des éléments, et autres. Tu sauras tout ça bien assez tôt. Cet ordre s'appelait l'Ordre du Phoenix. Non pas parce que notre symbole était un Phoenix, ou sans un quelconque rapport avec Gryffondor dont le phoenix est un des symboles. Tout simplement parce que le principe de cet ordre était de ne jamais se laisser abattre. Même si ses ailes sont coupées, le Phoenix renaît. Pour nous c'est pareil. Même si l'on tue ses membres, l'ordre renaît encore et toujours de ses cendres. Voilà. Tu sais. Et tous les membres de cet ordre ne sont pas forcément issus de Gryffondor. Tu sais que Sévérus et M. Weasley n'étaient pas à Gryffondor. Et ce ne sont pas les seuls membres, anciens ou nouveau, qui n'en sont pas issus. Mais notre maison d'origine n'a aucune importance. Ce n'est pas pour cela que nous sommes ici. Ce n'est pas ce qui nous rassemble. Nous sommes tous unis sous les couleurs, l'emblème du Phoenix. Et l'Ordre possède un Phoenix.

- Fumseck !!! C'est Fumseck non ?

- Oui Harry. Bien. Harry, maintenant tu vas ranger tes affaires, nous allons prendre congé de Mrs Figg. Mais je sais que tu n'as pas eu l'occasion de discuter beaucoup avec Sirius, c'est pourquoi il va t'aider. Nous avons des choses importantes à faire ensuite.

- Bien Professeur.

*

Une fois dans la chambre d'ami dans laquelle il avait si bien dormi, Sirius et lui purent discuter en paix, alors que les conversations allaient bon train en bas également.

- Harry. Je ne t'ai pas encore souhaité ton anniversaire. J'espère qu'il n'a pas été trop terrible cette année. Je n'ai rien à t'offrir, j'en suis navré.

- Le plus beau cadeau que tu pouvais me faire Sirius, c'est d'être là, avec moi. Je ne demande pas grand-chose de plus. Tous les cadeaux du monde n'y changeront rien. Ta présence est le plus beau des présents.

- C'est très beau ce que tu me dis là mon petit Harry. Ca me touche énormément.

- Je peux te demander quelque chose ? C'est important pour moi.

- Dis-moi ?

- J'aimerais bien devenir Animagus. Je sais qu'il vous a fallu quatre ans à Papa et à toi. Mais je ne suis pas pressé. Et puis, ce n'est pas une nécessité. J'aimerais, simplement.

- Ce n'est pas avec moi que tu dois en parler Harry. Mais avec Dumbledore. Lui, savant comme il est, te trouvera peut-être une solution plus simple, ou plus rapide. Ou peut-être te dira t'il que c'est une mauvaise idée. C'est à lui que tu dois en parler. Pas à moi. Mais sache que s'il est d'accord, je t'aiderai. Mais lui sait des choses que tu ne sais pas. Et que personne ne sait. Sur des tas de sujets. C'est le meilleur Dumbledore. Ce n'est pas pour rien qu'il est le doyen de l'Ordre du Phoenix. Et donc le Gardien du Phoenix de l'Ordre.

- Tu en sais des choses Sirius.

Harry ayant fini de préparer son sac, s'assit sur le lit à coté de son parrain.

- Tu leur ressemble de plus en plus tu sais Harry…

- A qui ?

- A tes parents bien sûr !!!!! Tu as le visage de ton père, mais le regard de ta mère. Par contre, pour tes yeux, je ne sais pas. Lui avait les yeux marrons, et ta mère les avait gris. De superbes grands yeux gris. Toi, les tiens sont verts. C'est étrange. Je n'y avais jamais vraiment prêté attention. Dumbledore ne te l'a jamais fait remarquer ?

- Pas que je me souvienne. Bah, ce n'est pas grave…. Sirius, on a bien plus important à penser en ce moment que la couleur de mes yeux.

- En effet. D'ailleurs, je vois que tu as fini de ranger tes affaires. Il nous faut descendre.

- Déjà ?

- Oui. Nous devons rejoindre Dumbledore.

*

Une fois Harry et Sirius descendus, les conversations s'arrêtèrent, et Dumbledore se leva.

- Bien. A présent, les personnes que je vais nommer vont me suivre, les autres pourront disposer. Sévérus, Harry et Sirius. Venez.

- Où allons-nous professeur ?

- Chez les Dursley…

- Oula !!! Ils vont apprécier !!! Je le sens…

- En effet. Cela risque d'être drôle. C'est pourquoi j'ai demandé à Sirius et Sévérus de nous accompagner. J'ai à parler à ta famille.

*

Chez les Dursley, l'atmosphère était plutôt tendue. Avoir trois sorciers en mesure d'utiliser leurs pouvoirs, dont un qu'ils croyaient fou dangereux, en face d'eux ne les rassuraient guère. Surtout que leurs quelques rencontres avec des sorciers n'avaient pas toujours été très positives. On peut même dire qu'ils en ont de sacrés souvenirs… C'est probablement à cause des événements de l'année précédente que Dumbledore avait jugé bon de ne pas emmener M. Weasley… Harry sourit au souvenir des pralines longue langue. Les Dursley ne riraient certainement pas à ce souvenir, mais Harry trouvait que revoir Dudley - même s'il lui était légèrement plus sympathique à présent - avec sa langue de deux mètres de long était particulièrement agréable.

Il écoutait très distraitement ce qui se disait. A vrai dire, il s'en moquait éperdument. Dumbledore devait sûrement évoquer la lettre qu'il leur avait envoyait. Puis un nom retint son attention.

- Lily était une très grande sorcière, même si je sais que vous, sa sœur, ne la portiez pas particulièrement dans votre cœur. Mais James et Lily Potter sont et resteront à jamais des héros pour le monde magique. Au lieu de fuir la magie et de brimer Harry, vous auriez du le préparer à ce qu'il était durant les 11 premières années de sa vie. Mais c'est du passé. Il faut aller de l'avant à présent. Je sais que vous êtes allés dans notre monde. Et que ça vous a plu. Nous ne sommes pas tous mauvais…

Finalement, ce n'était plus aussi intéressant. Harry arrêta de tendre l'oreille et replongea dans ses pensées. Pourquoi diable Dumbledore avait-il voulu venir parler aux Dursley ? Que mijotait-il ?

- Harry ? Harry ?

- Pardon ? Excusez-moi professeurs, je.. Je rêvassais..

- Nous avons vu cela. Harry, je viens de parler à ta famille, et puisque tu n'as pas écouté, je vais te résumer le résultat de notre conversation. Je compte passer quelques temps ici… M. Dursley ici présent pourra ainsi prendre son temps pour me poser toutes les questions qu'il voudra. Sévérus et Sirius demeureront chez Arabella Figg. Fort heureusement, l'invitée de votre Oncle, Miss Marge Dursley a du, comment dire… repartir chez elle en urgence….

Dans cette vie, on peut toujours s'attendre à tout…

*¤*¤*¤*

Pitié des reviews s'il vous plait !!!!!!!!!!!!!!!!!!