Bon, d'accord, j'ai pas eu beaucoup de reviews. Pourquoi? Aucune idée, probablement que j'ai pas publié au bon moment.

Alors voici sans tarder le nouveau chapitre. Il ressemble pas mal au film, sauf que vous allez comprendre pourquoi c'était pareil que le film dans la prologue.

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Chapitre 2

Une magnifique entrée, comment se débattre, et la proposition.

            Josianne Sparrow se tenait acrochée au mat d'un bateau qu'elle avait volé. Cela faisait 10 années que cette pute de Barbossa lui avait volé son Navire; la Perle Noire. Que voulez-vous, elle était fauchée.

«-Je le jure sur mon âme que cette Barbossette la bobette va le regretter.» se dit-elle en la maudissant de tout son être.

Mais bientôt elle remarqua que le bateau commençait à prendre de l'eau, alors elle descendit, maugréant des paroles à peine audibles, comme :

«-Stupide bateau... Pas la peine de couler... Sale morceau de bois...»

Elle commençait maintenant à chercher un sceau. Elle en vît un à l'autre bout, qui flottait dans l'eau ammassée sur le bateau. Elle voulut le prendre, mais son bras n'était pas assez long pour le chercher. En voulant escalader la montagne de cordes, elle s'y enfargea, et tomba dans l'eau. Son seul réconfort : elle avait le sceau.

            En se redressant, elle vit des skelletons pendus sur une espèce de roche. Juste à côté, il y avait une pancarte qui disait : «Pirates, vous serez prévenus». Elle auta son son chapeau en payant hommage à eux.

            La pirate vit que son bateau commeçait à couler, alors elle remonta sur le mât. Pendant que son bateau calait, elle essayait de s'accrocher du mieux qu'elle le pouvait. La fille posa un pied sur le quai, le mât étant la seule chose qui dépassait de l'eau. Elle était prête à s'en aller, qu'une vieille femme l'intercepta.

«-Hey! Vous! C'est un shelling pour ammarer votre bateau aux quais! elles regardèrent en même temps le mât. «Et j'ai besoin de savoir votre nom.

-Que diriez vous de—

-Je suis désolée, pas de nom, c'est les gallions.

- --trois shellings, et on oublie le nom. Savvy? elle mit les shellings sur son livre.

-Bienvenue à Port Royal Mme Smith.»

            Josi fit un drôle de geste comme si elle priait, et s'en alla. Sur son chemin elle prît le petit sac qui contenait des shellings.

***

            À la cérémonie de la promotion de Norrington tout semblait aller pour le mieux. Sauf qu'Emmanuel semblait suffoquer. Le gilet n'était pas serré du tout. La seule chose plausible qui pourrait être en cause de ça, c'est le médallion qu'il avait oublié d'enlever. Oui, c'était ça.

«-Deux pieds en avant! Tournez à droite! Présentez armes!»

            Il entendait les ordres qu'on donnait aux soldattes. Le jeune homme voyait à peine Norrington, toute fière, qui se hâtait à chercher sa promotion. Celle-ci arriva enfin à chercher son épée qu'elle fit jouer dans les airs.

***

            Josi Sparrow, -pour la vieille du quai, Mme Smith-, decsendait un escalier pour aboutir sur une sorte de plage gardée par deux jeunes soldattes. Elle essaya de passer, mais les deux jeunes l'interceptèrent. Murtogg, une jeune femme mince, s'adressa à Josi la première.

«-Ce quai...que voici, est interdit aux civiles.

-Exact, répondit Mullroy, une autre fille beddonnante.

-Oh, je suis terriblement désolée, dit Josi ironniquement, je l'ignorais. Si j'en croise un, je vous en informerai immédiattement.»

            Elle essaya de s'en aller, mais les deux jeunes filles l'interceptèrent encore. Cette fois-ci, Josianne devrait trouver un autre moyen de passer sans avoir l'air suspecte. Elle se décida de prendre un ton un peu plus amical :

«-Apparamment, il y a une fête d'une grande importance au fort. N'est-ce pas? Comment se fait-il, que deux jeunes demoiselles aussi... aussi...

-Aussi quoi? Demanda Murtogg

-Aussi ravissantes que vous, n'aient pas mérité une invitation? finnissa Josi, consciente de son erreur.

-Quelqu'un doit s'assurrer que ce quai soit hors d'accès aux civiles.

-Exact, dit Mullroy

-Hum....... C'est un bon point, soyez-en certaines. Mais il me semble que... que ce navire, elle pointa au Dauntless, rend celui-ci un peu superflu, vraiment.

-Ah, le Dauntless est la puissance de ces eaux, mais aucun navire ne peut dépasser l'Intercepteur en vitesse.

-Exact, dit ENCORE Mullroy.

-Oh! J'en ai entendu parler d'un, supposé être très rapide, la Perle Noire...

-Ben, il n'y a aucun navire existant qui puisse dépasser l'Intercepteur. Dit Mullroy, abandonnant enfin ses «exact».

-La Perle Noire est un vrai navire, riposta Murtogg.

-Non, non ce ne l'est pas.

-Oui ce l'est, je l'ai vue.

-Tu l'as vue?

-Oui.

-Tu ne l'as pas vue.

-Oui! J'te dis que je l'ai vue!

-Tu as vu un navire, avec des voiles noires, avec un équipage maudit, et conduit par un capitaine si cruel que même l'enfer a refusé de lui ouvrir ses portes?

-Non,

-Non.

-Mais j'ai vu un navire avec des voiles noires. Josianne partit à bord du Dauntless pendant qu'elles se chamaillaient.

-Oh! Mais aucun navire qui n'a pas un équipage maudit et qui n'a pas un capitaine si cruel que même l'enfer a refusé de lui ouvrir ses portes ne peut avoir de voiles noires. En l'occurence, il ne peut logiquement avoir une Perle Noire. Est-ce que c'est ce que tu dis?

-Non,

-Non. Alors comme je disais, il n'y a aucun navire EXISTANT qui peut dépasser l'Intercepteur...»

            Elle remarqua soudain que Josianne était disparue. C'est Murtogg qui l'a vue en premier à bord du Dauntless. Elles montèrent à bord et pointèrent leurs fusils vers Josi.

«-Hey! Vous! Allez vous-en d'ici!

-Vous n'avez pas le droit d'être à bord, camarade!

-Oh, je suis désolée, mais c'est juste que c'est un très beau bateau—navire, dit Josi sarcastique.

-Quel est votre nom? dit Murtogg

-Smith, ou... Smithy, si vous préférez...

-Alors, quelle est la raison de votre venue à Port Royal, Mme Smith. Dit Mullroy, de plus en plus suspecte.

-Ouais, et pas de mensonges, dit sa collègue.

-Bon d'accord, j'avoue. Telle est mon intention de réquisitionner un de ces navires, aller chercher un équipage à Tortuga, piller, piller, encore piller, et remplir d'or mon beau petit trou-de-cul.

-J'ai dit : pas de mensonges!

-Je crois qu'elle dit la vérité, explica Mullroy.

-Alors, si elle disait la vérité comme tu le prétends, elle ne nous l'aurait pas dit!

-À moins que, naturellement, elle savait que vous ne croiriez pas la vérité, même si elle vous la disait.

-Ah...»

***

            Au fort, la cérémonie terminée, Emmanuel errait un peu partout, la douleur revenant de temps en temps. Il parlait avec quelques personnes, mais ne disait pas grand chose. Il entrait dans une conversation, et s'en allait, la trouvant trop ennuyeuse.

            La commodore vint le voir. Il savait d'avance ce qu'elle avait à lui dire. Il ne se sentait pas encore prêt. Emmanuel était aussi conscient qu'elle était pas mal plus âgée que lui. Mais Jeanne semblait vraiment s'en ficher.  Au contraire, elle aimait mieux que ce soit comme ça.

«-Puis-je avoir un moment?»

            Emmanuel ascquiesa, et ils allèrent tous les deux sur un espèce de balcon qui surplombait la mer et où une jolie cloche se dressait à côté d'eux.

«-Je m'excuse si je vous parais un peu vite... commença Norrington, mais je dois vous dire ce que je ressents. Cette promotion me fait voir d'une manière, disons...pointue, ce que je n'ai pas accompli. Un marriage avec un homme accompli. Vous êtes devenu un homme accompli, Emmanuel.»

            Emmanuel n'entendait pas mot de ce qu'elle disait. Il ne pouvait plus respirer. Le médallion se faisait de plus en plus lourd et il ne pouvait plus en supporter le poids. Il essaya de parler mais aucun son ne sortait de sa bouche. Norrington ne semblait pas remarquer.

«-Je... je ne peux plus respirer... réussit à articuler Emmanuel.

-Oui, je suis un peu nerveuse moi-même.»

            Et Emmanuel tomba. Premièrement, Norrington ne s'en était pas rendue compte. Mais quand elle vit qu'il n'y avait personne à côté d'elle, c'était sûr que ça n'était pas une blague. Sa première réaction fût de regarder l'eau en bas. Elle vit qu'il y avait de la mousse comme si quelqu'un était tombé là.

«-Emmanuel!» cria-t-elle.

            Elle commençait à ôter son gilet, que Mme Gilette, sa seconde, l'en empêcha juste à temps. Toutefois, elle avait bien raison; c'était un miracle qu'il ait évité les roches.

***

            Emmanuel toucha le fond. Il se réveilla. Il avait les yeux grand ouverts. La seule chose dont il se rappella, c'était qu'il était tombé. Et il avait les yeux grand ouverts? Non, il n'était plus dans l'eau. Il était à un endroit bizzarre qu'on ne saurait vraiment décrire. Une sorte de salle éclairée avec une lumière bleue qui paraissait ne pas avoir de fin...

«-Vous ne savez pas où vous êtes. N'est-ce pas? dit une voix grave qui résonnait.

-N... Non... Mais j'aimerais bien le savoir.»

Au lieu de commencer à faire pleins d'explications, la voix, ou plutôt les voix, se mîrent à chanter. Mais ce n'était plus la même voix grave et raisonnante, c'était des voix de femmes, douces, qui faisait rêver. Emmanuel se laissait dorloter par ces voix musicales et tendres. Il pensait rêver, tant que les voix étaient belles.

«Laisse-toi bercer,

Par nos voix tant aimées,

Laisse-toi envoûter,

Par nos âmes déboussolées.

Tout comme toi,

Nous sommes parties,

Loin de notre pays,

Et nous sommes submergées,

Par cette même immensitée.

Mais écoute notre refrain,

Notre chant mélodieux,

Car dans ces paroles tu trouveras,

Le message que tu chercheras.

Regarde devant,

Pas derrière,

Et dis-nous ce que tu vois,

À travers ce miroir,

À travers ce regard.

Une seule chose,

Un seul object,

Peut changer toute une vie,

Mais ne te laisse pas hanter,

Par nos paroles indéfinies.

Prends ton courage à deux mains,

Et tente à échapper,

À cette constante maladie,

Car toute bonne chose à une fin.»

            C'est comme ça que se terminait la chanson. Tout était vague pour Emmanuel. Il ne s'était pas encore remis, que bientôt, il se retouva dans une eau tiède, et salée... Il ne pouvait plus respirer. Il repensa aux voix, et s'assoupit. Il sentit quelqu'un le prendre et l'emmener vers la surface.

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Ben quoi? C'tait pas beau ça?!? :D Je vais essayer de publier régulièrement, mais je promets rien. D'accourd? Alors si vous voulez que je publie le plus vite possible mon autre chapt', va falloir envoyer des REVIEWS en GRAND nombre. Et quand je dis GRAND, c'est GRAND.

p. -s. pour les puristes: vous avez peut-être remarqué que les répliques c'était pas toutes comme dans le film... je suis désolée pour ça. Faut pas m'en vouloir, ça fait longtemps que j'ai pas vu le film en français...