Bijouuuuuuur tout le monde!

Et v'là un autre chapitre!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Eh bien j'ai pas de réponses aux réviews... dsl pour ceux qui ont reviewé, mais je veux dire : MERRRRRRCIIIIIIIIIIIIIIIIII!!!!!!!!!!!!!!!!!! Pour ceux qui ont prit le temps d'appuyer sur le petit bouton au bas de la page et se vider de tout leurs commentaires! Et pour le autres, ça veut dire : REVIEW! (loll)

Et sans vous faire plus attendre (ben si vous avec lu la petite chose pas de but au début...), LE CHAPIIIIITRE!

Ah, j'ai failli oublier : allez sur le sit e : w.ifrance. com/piratesarcher     c'est (pour le moment) un site sur PotC. Et SVP, laissez un piti commentaire dans le forum ou le tchat! Merci!!! Ps : on sait qu'y a beaucoup de pop-ups, mais on sait pas comment les enlever... :S

Chapitre 3

Sauvetage et échappage...

« -Vous n'allez pas la sauver? » demanda Joisi aux deux soldattes (hé oui! Ça se dit!).

« -Je ne sais pas nager... lui répondit Mullroy.

-Moi non plus... continua Murtogg

-Perle de l'armée Royale que vous êtes... ironnisa Josi, en leurs donnant ses choses. Si vous les perdez, je vous truicide. Savvy? »

            Les deux jeunes ascquièsèrent, de peur de se faire truicider. C'est là que Josi plongea sauver Emmanuel. Mais bien qu'elle avait les yeux ouverts, elle ne pouvait distinguer personne dans l'eau. Tout à coup (ho!), un flash d'une grande intensité apparut dans l'eau, et quelque chose –ou plutôt quelqu'un—apparut dans l'eau et continua de couler comme si de rien était.

            De leur côté, Murtogg et Mullroy durent tenir leurs chapeaux pour ne pas qu'ils revolent pendant que le vent changeait abruptement de direction.

« Qu'est ce que c'est? Demanda Murtogg

-Aucune idée, dit l'autre.

            Entre temps dans l'eau, Josi était aveuglée par la lumière qui était apparue soudainement. Quand elle fût à peu près disparue (la lumière), Josiane regarda autour d'elle, espérant apercevoir le jeune homme qui était tombé. Elle l'aperçut  qui calait vers le fond, alors elle continua de nager.

            Elle l'attrapa par la taille et le poussa vers la surface. Même s'ils étaient dans l'eau, Josi trouva le jeune garçon assez lourd. Enfin, ils arrivèrent à la surface où la pirate put enfin reprendre son souffle.

            Elle l'emmena proche du quai où les deux soldattes l'aidèrent à le soulever.

« -Il ne respire plus! Dit Murtogg

-C'est exact, affirma Mullroy. »

            Tous se lancèrent un regard qui voulait soi-disant dire : on-sait-que-Mullroy-est-conne-mais-va-falloir-penser-à-sauver-le-gars.

« -Poussez-vous, bande de pouilleuses! Dit Josi. »

            Les deux jeunes laissèrent place à Josianne qui gifla très fort Emmanuel. Celui-ci se réveilla en recrachant de l'eau. Murtogg et Mullroy regardèrent Josi très étonnées. En effect, une seule gifle a pu réveiller le garçon, ce que personne n'a jamais encore vu...

« -On aurait jamais pensé à ça... dit Mullroy.

-C'est comme si vous aurez jamais pensé à quelque-chose... Où avez-vous eu ceci? Dit-elle en pointant le médallion d'Emmanuel. »

            Soudain, une lame se posa sous le menton de Josiane Sparrow, la forçant à relever la tête. Elle découvrit aussitôt la déplaisante tête de la nouvelle commodore Norrington, entourée d'un attroupement de soldattes.

« -Debout, dit-elle. »

            Josiane n'avait que d'autre choix que de se lever. Elle le fit, tout comme Emmanuel qui n'était pas très comfortable couché... Mme Swann couvrit immédiatement son fils d'une couverture chaude.

« -Tuez-la, dit simplement Mme Swann.

-Mère! Commodore, protesta Emmanuel, souhaitez-vous vraiment de tuer celle qui m'a sauvé la vie?

-Baissez vos armes, ordonna la commodore, alors j'imagine que des remerciements seraient de mise. »

            Elle lui tendit la main pour qu'elle la serre. Josi hésita quelques fois –vu au fait qu'elle ne voulait pas fraterniser avec une personne de la marine royale—, mais se décida à serrer la main qui se tendait devant elle, car sinon, elle aurait l'air suspecte. Mais quand elle empoigna la main de la commodore, celle-ci redressa sa manche et y découvrit un « P » marqué au fer.

« -Vous avez eu quelques problèmes avec la société de commerce de la rive est de l'Inde, n'est-ce pas, pirate. »

            Josi dégulit; elle ne pouvait pas riposter vu sa posture. Et là, Mme Swann se mit à parler full no were :

« -Pendez-la! »

La commodore –qui avait ignoré la full no were Mme Swann—releva un peu plus la manche, et vit un tatouage d'un moineau en plein vol.

« -Tiens, tiens, tiens... Josiane Sparrow, la pirate la plus redoutée des mers, et la plus soûle...

-CAPITAINE Josiane Sparrow, s'il vous plait, dit-elle en emphasant sur le « capitaine ».

-Mais je ne vois pas votre navire, capitaine!

-J'était venue pour en acheter un... supposément...

-Elle a dit qu'elle était venue pour en réquisitionner un, dit Murtogg.

-Je t'ai dit qu'elle disait la vérité! Renchérit Mullroy. Ce sont ses choses madame, dit-elle en lui donnant les choses à Josi. »

            La commodore prit les choses de la pirate, et les commenta en se voulant irronique —et faut dire que c'était réussi.

« -Un fusil sans poudre, sans balles additionnelles, un compas qui n'indique pas le nord, (elle émit un petit rire et déguaina à moitié l'épée) et j'expectait à moitié qu'elle soit en bois... Vous êtes sans aucun doute, la pire pirate dont j'ai entendu parler...

-Mais vous avez entendu parler de moi, se vengea Josi qui n'avais guère apprécié le coup des armes.

-Emmenez-là, ragea la commodore. »

            Et là, Emmanuel, en bon aristocrate qu'il était, se plaça devant Josi qui se faisait mettre les fers par la lieutenante Gillette.

« -Commodore, je dois protester. Pirate ou pas, cette femme m'a sauvé la vie!

 -Une bonne action n'est pas suffisante pour pardonner qui que ce soit de toute une vie de méchancetées.

-Mais ça doit être suffisant pour le condamner... dit Josiane.

-En effet. »

            Pour une fois, une des soldattes (qui était en fait la lieutenante Gillette), fit quelque chose qu'elle n'aurait jamais dû faire : elle s'éloigna de Josiane Sparrow. Celle-ci, n'étant pas stupide, profita de ce magnifique moment pour « prendre Emmanuel en otage ». Elle le prit par le cou avec les fers qu'elle avait attachés aux mains, et avec la main droite elle le tint par l'arrière du cou (faut dire que ça fait très mal, j'en ai l'expérience, Judith arrête pas de me le faire à l'école et on peut pas vraiment bouger quand qqun nous fait ça...). Pour un peu plus de confiance, Josi dit à Emmanuel :

« -Essaie pas de bouger, mec, ça va juste empirer les choses.

-Je peux pas bouger! Dit Emmanuel entre les dents.

-Et bien je suis contente que le truc fonctionne. Les « Saint-Gapouriens » vont être contents. Alors commodore, j'aimerais bien ravoir mes armes, et mon chapeau! (La commodore ne fit rien) Commodore! »

            La commodore –qui n'avait pas d'autre choix—donna les choses à Emmanuel qui devait les prendre.

 « -Alors Emmanuel—c'est bien Emmanuel n'est-ce pas?

-C'est monsieur Swann!

-Ah! Et bien monsieur Swann, si vous voulez bien, on a pas toute la journée. »

            Elle fit tourner Emmanuel, et les deux étaient maintenant face à face. Même si Emmanuel était bien plus grand que Josi, elle avait tout de même une certaine autorité. Il commença à mettre son chapeau, enfin tout, etc. Quand il finit, il lui dit :

« -Vous êtes énervante, vous savez?

-Oui, on me le dit souvent. Mais je vous ai sauvé la vie, vous sauvez la mienne, on est kit. (Elle le retourna) Vous allez toutes vous rappeller de cette journée comme celle où vous avez failli capturer, la Capitaine, Josi, Sparrow! »

            Elle poussa Emmanuel sur les soldattes et se retourna pour prendre une corde et appuyer sur une espèce de manivelle. Elle dut s'accrocher fort, car elle monta aussitôt dans les airs et tourna en rond quelques fois avant d'atterrir sur une plaque de bois. Entre l'endroit où elle était et la terre, il y avait une corde. Elle y glissa rapidement ses fers, et descendit. Quand elle toucha le sol, on pouvait encore entendre les coups de feu au loin. Elle courut jusqu'à la bâtisse la plus proche, une forge.

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Ouais! Je sais que c'est court, mais moi j'écris en fonction des scènes du film (faut dire que j'ai le scénario chez moi). Alors, hum... C'est ça, et REVIEW!!!!!