Disclaimer : C'est toujours le même !!
Chapitre 3 : Du côté des Ailes de la Victoire
Monsieur Dickenson organisa une petite réunion pour mettre au point certaines choses pour quand ils seraient à Londres. Le jour défini, ils se retrouvèrent tous au parc de la ville. Tyson, Max, Kai, Kenny et Monsieur Dickenson. Il déclara :
- Ray est déjà là-bas, à Londres.
- C'est pas possible ça ! s'exclama Tyson. Il a toujours une longueur d'avance sur nous, c'est pénible.
- Oui, il est au courant de tout. Les villes que nous allons visiter, les hôtels où vous logerez. . . absolument tout. Pour commencer, vous partirez à Londres pour les éliminatoires. Ensuite, nous ferons route pour Paris en France pour les huitièmes. Puis, New Delhi en Inde où vous disputerez les quarts. Pour les demis, vous les disputerez ici-même, à Tokyo et enfin, la finale se déroulera à Canberra en Australie.
- C'est génial, on va visiter pleins de villes ! s'excita Tyson.
- Attention ! Les équipes que vous rencontrerez seront très puissantes.
- C'est qu'une formalité ! On a des atouts de qualités, nous, les Blade Breakers !
- Comment se présenteront les arènes ? demanda Kai en parlant pour la première fois.
- Hélas, je n'en sais rien.
- Euh. . . Monsieur Dickenson, j'pourrais emmener quelqu'un avec moi ? demanda Tyson.
- Oui, bien évidemment. Kai le peut, lui.
- Mais ça ne pose pas de problèmes pour les chambres ? dit Max.
- Il y a cinq chambres. Et vous êtes sept. Les lits sont très grands. Et il y aura encore plus de place si vous êtes galants. Par exemple, Tyson pourra laisser le lit à sa jeune amie et il prendra le canapé.
- D'accord, mais comment savez-vous que c'est une fille ?
- Je connais bien plus de choses que tu ne le crois. Bon, on se retrouve à l'aéroport dans un mois et demi.
- OK !
- Oui, oui. On se retrouve à Londres dans un mois. Salut !
Lia raccrocha, tout sourire. Elle venait de parler à Tammy qui se trouvait au Canada. Elle se dirigea vers Monsieur Lowell et Marina.
- C'était Tammy. On s'est donné rendez-vous. Dans un mois exactement, les Ailes de la Victoire seront réunies, toutes à Londres !
On sonna à la porte. Lia traversa le hall de la maison de Monsieur Lowell et ouvrit.
- Iris ! Quelle bonne surprise !
- Salut ma chérie ! Comment ça va ?
- Bien merci et toi ?
- Ça va. Vous me manquiez, j'ai voulu venir vous voir. Dommage que Tammy ne soit pas là.
Monsieur Lowell et Marina arrivèrent.
- Iris !
- Marina, Monsieur Lowell ! Oh ! Vous avez changé vos lunettes !
- Euh. . . oui. . .
- C'que vous êtes beau comme ça !
- Iris, calme-toi.
- Bon, alors ! Quand est-ce qu'on s'envole pour Londres ?
- Dans un mois. On se retrouve là-bas avec Tammy.
Marina s'avança vers Iris et lui murmura :
- Ça y est, tu l'as vu ?
Iris fit un triste sourire.
- J'y suis allée mais j'n'ai pas eu le courage de lui parler.
Marina s'adressa à Lia et Monsieur Lowell.
- Excusez-moi, je vous emprunte Iris. Viens avec moi Iris.
Elles s'enfermèrent dans la cuisine.
- Je t'écoute. Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Tu as dit que tu le lui dirais après le Tournoi.
- Oui, mais si tu l'avais vu. Il était si triste. Je ne pouvais pas, c'était au-dessus de mes forces. Même avec toute la volonté du monde, je ne pouvais pas. . .
- Je comprends. Mais tu sais que tu n'auras plus d'autres occasions.
- Je préfère qu'il ne le sache jamais plutôt que de gâcher des retrouvailles familiales. L'esprit de famille est très important pour moi. Et je respecte certaines choses. . . que d'autres ne respectent pas. Tu sais Marina, je ne vais pas le lui dire, c'est mieux ainsi et comme ça, tout le monde sera content, il n'y aura pas de problèmes.
- Tu fais ce que tu veux. Mais pense à ton bonheur aussi. Si tu fais ça et que tu es malheureuse par la suite, ça ne sert à rien.
- Tu sais bien que mon bonheur m'importe peu. Tout ce que je veux, c'est voir les personnes que j'aime, heureuses.
- Oui, mais pour que les personnes que tu aimes et qui t'aiment soient heureuses, tu dois l'être également. Parce que si tu es malheureuse et que les gens que tu aimes et qui t'aiment aussi voient que tu es malheureuse, alors ils seront malheureux. Mais s'ils voient que tu es heureuse alors ils seront heureux aussi. Tu comprends ?
- D'accord, mais si je suis malheureuse mais que je ne le montre pas, les personnes que j'aime et qui m'aiment aussi ne seront pas malheureuses parce qu'elles ne le sauront pas. Et à ce moment, elles seront heureuses.
- Non ! Les personnes qui t'aiment et que tu aimes savant parfaitement quand tu es heureuse ou malheureuse. Ça se voit dans ton regard. Alors si elles voient que tu es heureuse, elles seront heureuses mais si elles voient que tu es malheureuse, alors elles seront malheureuses.
- Hum, hum ! interrompit Lia.
Marina et Iris se retournèrent.
- Dis donc, les deux miss heureuse-malheureuse, y'a Monsieur Lowell qui nous demande.
- On arrive.
Elles allèrent toutes les trois dans le salon, Iris et Marina parlant toujours.
- Je te dis que si les gens que tu aimes. . .
Bla, bla, bla. . . Lia leva les yeux au ciel.
- Les filles ?
- Oui, Monsieur Lowell ?!
- Je peux parler.
- Allez-y.
- Notre avion décollera à neuf heures. Iris, tu viendras ici à huit heures.
- D'accord.
- N'oublie pas, dans un mois.
- Oui.
Au Canada, Montréal. . .
- Je suis championne de Beyblade maintenant !
La jeune soeur de Tamara sauta sur elle. Elles éclatèrent de rire.
- Arrête Tessie, tu vas m'étouffer ! Tim, aide-moi !
Tim, son grand frère, au lieu de l'aider, sauta à son tour sur les deux jeunes filles.
- Je suis fier de toi Tammy chérie !
Tim avait 18 ans, des yeux bruns et des cheveux blonds coupés courts. Quand à Tessie, elle avait 7 ans et ressemblait fortement à sa grande soeur. Les mêmes yeux profonds bleu azur et une épaisse chevelure blonde arrivant jusqu'aux épaules.
- Vous m'avez tous manqué ! Surtout toi Tessie ! Ma p'tite princesse !
- Et moi ? demanda Tim, vexé.
- Oh, Tim, te fâche pas !
Leurs parents arrivèrent. Une jeune femme blonde aux yeux bleus profonds s'avança et leur dit :
- Debout les enfants ! Ma p'tite Tammy, il y a quelqu'un qui voudraient te parler.
- Oui, déclara son père, un homme brun et aux yeux bruns également. C'est quelqu'un que tu connais très bien.
- Que je connais ? Je connais plein de gens.
Elle alla dans le salon. Elle y découvrit. . .
- Kurt ?!
- Salut Tam.
- Qu'est-ce que tu fais ici ?
- J'voulais te voir c'est tout.
Tammy prit un air inquiet. Kurt la devança et la rassura :
- Non, ne t'en fais pas ! Je sais maintenant que mes sentiments envers toi ne sont pas partagés, je voulais simplement te dire bonne chance pour le Tournoi mondial.
Le visage de la jeune fille s'adoucit.
- Merci. Mais pourquoi. . . ?
- Je vais partir. On ne se reverra peut-être plus.
- Quoi ?! Mais. . . c'est impossible. . . Tu habites ici depuis tout petit, tu ne peux partir. Pas comme ça. Tes parents ne peuvent pas. . .
- Mes parents n'y sont pour rien. C'est moi qui veux partir.
- Toi. . . ?
- Vivre à proximité de ta maison m'est insupportable. Je veux que tu disparaisses de ma vie.°.°. pour toujours. . .
Le regard gris de Kurt se transforma en glace à l'instant même où il prononçait cette phrase. Tammy sentit qu'on lui enfonçait un poignard dans le coeur.
- Mais que vais-je faire sans toi ? Tu es mon seul véritable ami. Tu ne peux pas partir.
- Je suis désolé Tam. Je pars demain. Adieu. . .
Il s'en alla.
- Kurt ! Kurt, tu n'as pas le droit de faire ça ! Kurt !!
Elle courut à sa suite. Des larmes coulèrent sur ses joues. Elle lui barra le chemin.
- Tu as dit que tout ce qui t'importait, c'était de me voir heureuse ! Mais si tu pars, je ne le serai pas !
Kurt se contenta de baisser la tête et contourna Tammy.
- Si tu pars, sois sûr que tu ne me reverras plus jamais.
- Je n'y compte pas.
- Je te déteste !
Il s'apprêta à partir.
- Prends soin de toi Tam. Mais sache que c'était la plus dure des décisions que j'ai eu à prendre. S'il te plaît, sèche tes larmes.
Il s'éloigna à grands pas. Tammy sécha ses larmes. Il n'en valait pas la peine. De toute façon, ils se retrouveraient. Elle en était certaine. Et ce jour-là, ils s'expliqueraient vraiment.°.°.
Pour conclure, j'ai inventé une petite phrase qui décrit parfaitement la situation de Kurt et Tammy : « Je voudrais être un poignard pour pouvoir transpercer ton coeur et faire couler ton sang comme tu as fait couler mes larmes. ». Qu'en dites-vous ? J'ai une âme de poète. . .
Réponses aux revieweurs :
Shiny : de rien pour la review. J'aime vraiment ta fic. Mais ne te presse pas, je peux attendre. Surtout si tu dois te préparer pour les exams qui approchent. Moi, je dois faire un stage alors t'imagine pas la galère. . . Bon, sur ce, je te laisse en attendant d'avoir ta réaction sur la suite de ma fic. En ce qui concerne ta review, voilà des nouvelles des filles. Bisous bisous !!
White-Catz : tu en auras du Kai ! Je te l'accorde, deux chapitres sans Kai, c'est impardonnable. Mais tu devras attendre encore longtemps avant de le voir. C'est vrai, dans le premier tome, je parlais que de lui. Faut que je change.
Tu penses vraiment que ma fic est l'une des meilleures ? Merci !! Bien sûr que je vais continuer. Pas question d'arrêter ! Tu connais Ewan ?
Du Mountain Bike ? Moi, j'adore les sensations fortes. A Disney par exemple. Le Space Mountain, le Big Thunder, le Rock'n'roller. . . J'adore trop !!
Bien sûr que je t'apporterais la suite de ma fic si tu te retrouves a l'hôpital. Faut juste me dire où c'est.
Ta fic « La nuit du démon » est géniale. C'est pour quand la suite ?
25 Septembre. . . J'y penserais. C'est ton anniversaire c'est ça ?
Si tu vas en enfer, je t'apporterais la suite jusque là !! Fais-moi confiance.
Merci pour ton adresse. Mais tu sais, je vais pas trop sur les sites de ce genre. Gros bisous !!
Sungirl : j't'avais dit qu'ils étaient choux ces deux-là ! Ma fic en anglais ?! J'y pense, j'y pense ! Mais il va me falloir de l'aide. Au secours !! Merci d'avoir pris le temps de me laisser une review, toi qui étais une lectrice silencieuse. Bises !!!
Pour tous les lecteurs silencieux : prenez le temps de me mettre une petite review. Même pour me dire que ma fic est mauvaise. Bon, là je vais faire une déprime et j'arrêterais d'écrire. . . J'plaisante !!!
Titre du chapitre 4 : Un mois plus tard. . .
C'est pas très explicite comme titre mais bon. . .
Merci à tous ! Je vous fait d'énormes bisous qui vient d'une petite étoile qui continuera de briller si vous lui mettez des reviews.^-^
Chapitre 3 : Du côté des Ailes de la Victoire
Monsieur Dickenson organisa une petite réunion pour mettre au point certaines choses pour quand ils seraient à Londres. Le jour défini, ils se retrouvèrent tous au parc de la ville. Tyson, Max, Kai, Kenny et Monsieur Dickenson. Il déclara :
- Ray est déjà là-bas, à Londres.
- C'est pas possible ça ! s'exclama Tyson. Il a toujours une longueur d'avance sur nous, c'est pénible.
- Oui, il est au courant de tout. Les villes que nous allons visiter, les hôtels où vous logerez. . . absolument tout. Pour commencer, vous partirez à Londres pour les éliminatoires. Ensuite, nous ferons route pour Paris en France pour les huitièmes. Puis, New Delhi en Inde où vous disputerez les quarts. Pour les demis, vous les disputerez ici-même, à Tokyo et enfin, la finale se déroulera à Canberra en Australie.
- C'est génial, on va visiter pleins de villes ! s'excita Tyson.
- Attention ! Les équipes que vous rencontrerez seront très puissantes.
- C'est qu'une formalité ! On a des atouts de qualités, nous, les Blade Breakers !
- Comment se présenteront les arènes ? demanda Kai en parlant pour la première fois.
- Hélas, je n'en sais rien.
- Euh. . . Monsieur Dickenson, j'pourrais emmener quelqu'un avec moi ? demanda Tyson.
- Oui, bien évidemment. Kai le peut, lui.
- Mais ça ne pose pas de problèmes pour les chambres ? dit Max.
- Il y a cinq chambres. Et vous êtes sept. Les lits sont très grands. Et il y aura encore plus de place si vous êtes galants. Par exemple, Tyson pourra laisser le lit à sa jeune amie et il prendra le canapé.
- D'accord, mais comment savez-vous que c'est une fille ?
- Je connais bien plus de choses que tu ne le crois. Bon, on se retrouve à l'aéroport dans un mois et demi.
- OK !
- Oui, oui. On se retrouve à Londres dans un mois. Salut !
Lia raccrocha, tout sourire. Elle venait de parler à Tammy qui se trouvait au Canada. Elle se dirigea vers Monsieur Lowell et Marina.
- C'était Tammy. On s'est donné rendez-vous. Dans un mois exactement, les Ailes de la Victoire seront réunies, toutes à Londres !
On sonna à la porte. Lia traversa le hall de la maison de Monsieur Lowell et ouvrit.
- Iris ! Quelle bonne surprise !
- Salut ma chérie ! Comment ça va ?
- Bien merci et toi ?
- Ça va. Vous me manquiez, j'ai voulu venir vous voir. Dommage que Tammy ne soit pas là.
Monsieur Lowell et Marina arrivèrent.
- Iris !
- Marina, Monsieur Lowell ! Oh ! Vous avez changé vos lunettes !
- Euh. . . oui. . .
- C'que vous êtes beau comme ça !
- Iris, calme-toi.
- Bon, alors ! Quand est-ce qu'on s'envole pour Londres ?
- Dans un mois. On se retrouve là-bas avec Tammy.
Marina s'avança vers Iris et lui murmura :
- Ça y est, tu l'as vu ?
Iris fit un triste sourire.
- J'y suis allée mais j'n'ai pas eu le courage de lui parler.
Marina s'adressa à Lia et Monsieur Lowell.
- Excusez-moi, je vous emprunte Iris. Viens avec moi Iris.
Elles s'enfermèrent dans la cuisine.
- Je t'écoute. Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Tu as dit que tu le lui dirais après le Tournoi.
- Oui, mais si tu l'avais vu. Il était si triste. Je ne pouvais pas, c'était au-dessus de mes forces. Même avec toute la volonté du monde, je ne pouvais pas. . .
- Je comprends. Mais tu sais que tu n'auras plus d'autres occasions.
- Je préfère qu'il ne le sache jamais plutôt que de gâcher des retrouvailles familiales. L'esprit de famille est très important pour moi. Et je respecte certaines choses. . . que d'autres ne respectent pas. Tu sais Marina, je ne vais pas le lui dire, c'est mieux ainsi et comme ça, tout le monde sera content, il n'y aura pas de problèmes.
- Tu fais ce que tu veux. Mais pense à ton bonheur aussi. Si tu fais ça et que tu es malheureuse par la suite, ça ne sert à rien.
- Tu sais bien que mon bonheur m'importe peu. Tout ce que je veux, c'est voir les personnes que j'aime, heureuses.
- Oui, mais pour que les personnes que tu aimes et qui t'aiment soient heureuses, tu dois l'être également. Parce que si tu es malheureuse et que les gens que tu aimes et qui t'aiment aussi voient que tu es malheureuse, alors ils seront malheureux. Mais s'ils voient que tu es heureuse alors ils seront heureux aussi. Tu comprends ?
- D'accord, mais si je suis malheureuse mais que je ne le montre pas, les personnes que j'aime et qui m'aiment aussi ne seront pas malheureuses parce qu'elles ne le sauront pas. Et à ce moment, elles seront heureuses.
- Non ! Les personnes qui t'aiment et que tu aimes savant parfaitement quand tu es heureuse ou malheureuse. Ça se voit dans ton regard. Alors si elles voient que tu es heureuse, elles seront heureuses mais si elles voient que tu es malheureuse, alors elles seront malheureuses.
- Hum, hum ! interrompit Lia.
Marina et Iris se retournèrent.
- Dis donc, les deux miss heureuse-malheureuse, y'a Monsieur Lowell qui nous demande.
- On arrive.
Elles allèrent toutes les trois dans le salon, Iris et Marina parlant toujours.
- Je te dis que si les gens que tu aimes. . .
Bla, bla, bla. . . Lia leva les yeux au ciel.
- Les filles ?
- Oui, Monsieur Lowell ?!
- Je peux parler.
- Allez-y.
- Notre avion décollera à neuf heures. Iris, tu viendras ici à huit heures.
- D'accord.
- N'oublie pas, dans un mois.
- Oui.
Au Canada, Montréal. . .
- Je suis championne de Beyblade maintenant !
La jeune soeur de Tamara sauta sur elle. Elles éclatèrent de rire.
- Arrête Tessie, tu vas m'étouffer ! Tim, aide-moi !
Tim, son grand frère, au lieu de l'aider, sauta à son tour sur les deux jeunes filles.
- Je suis fier de toi Tammy chérie !
Tim avait 18 ans, des yeux bruns et des cheveux blonds coupés courts. Quand à Tessie, elle avait 7 ans et ressemblait fortement à sa grande soeur. Les mêmes yeux profonds bleu azur et une épaisse chevelure blonde arrivant jusqu'aux épaules.
- Vous m'avez tous manqué ! Surtout toi Tessie ! Ma p'tite princesse !
- Et moi ? demanda Tim, vexé.
- Oh, Tim, te fâche pas !
Leurs parents arrivèrent. Une jeune femme blonde aux yeux bleus profonds s'avança et leur dit :
- Debout les enfants ! Ma p'tite Tammy, il y a quelqu'un qui voudraient te parler.
- Oui, déclara son père, un homme brun et aux yeux bruns également. C'est quelqu'un que tu connais très bien.
- Que je connais ? Je connais plein de gens.
Elle alla dans le salon. Elle y découvrit. . .
- Kurt ?!
- Salut Tam.
- Qu'est-ce que tu fais ici ?
- J'voulais te voir c'est tout.
Tammy prit un air inquiet. Kurt la devança et la rassura :
- Non, ne t'en fais pas ! Je sais maintenant que mes sentiments envers toi ne sont pas partagés, je voulais simplement te dire bonne chance pour le Tournoi mondial.
Le visage de la jeune fille s'adoucit.
- Merci. Mais pourquoi. . . ?
- Je vais partir. On ne se reverra peut-être plus.
- Quoi ?! Mais. . . c'est impossible. . . Tu habites ici depuis tout petit, tu ne peux partir. Pas comme ça. Tes parents ne peuvent pas. . .
- Mes parents n'y sont pour rien. C'est moi qui veux partir.
- Toi. . . ?
- Vivre à proximité de ta maison m'est insupportable. Je veux que tu disparaisses de ma vie.°.°. pour toujours. . .
Le regard gris de Kurt se transforma en glace à l'instant même où il prononçait cette phrase. Tammy sentit qu'on lui enfonçait un poignard dans le coeur.
- Mais que vais-je faire sans toi ? Tu es mon seul véritable ami. Tu ne peux pas partir.
- Je suis désolé Tam. Je pars demain. Adieu. . .
Il s'en alla.
- Kurt ! Kurt, tu n'as pas le droit de faire ça ! Kurt !!
Elle courut à sa suite. Des larmes coulèrent sur ses joues. Elle lui barra le chemin.
- Tu as dit que tout ce qui t'importait, c'était de me voir heureuse ! Mais si tu pars, je ne le serai pas !
Kurt se contenta de baisser la tête et contourna Tammy.
- Si tu pars, sois sûr que tu ne me reverras plus jamais.
- Je n'y compte pas.
- Je te déteste !
Il s'apprêta à partir.
- Prends soin de toi Tam. Mais sache que c'était la plus dure des décisions que j'ai eu à prendre. S'il te plaît, sèche tes larmes.
Il s'éloigna à grands pas. Tammy sécha ses larmes. Il n'en valait pas la peine. De toute façon, ils se retrouveraient. Elle en était certaine. Et ce jour-là, ils s'expliqueraient vraiment.°.°.
Pour conclure, j'ai inventé une petite phrase qui décrit parfaitement la situation de Kurt et Tammy : « Je voudrais être un poignard pour pouvoir transpercer ton coeur et faire couler ton sang comme tu as fait couler mes larmes. ». Qu'en dites-vous ? J'ai une âme de poète. . .
Réponses aux revieweurs :
Shiny : de rien pour la review. J'aime vraiment ta fic. Mais ne te presse pas, je peux attendre. Surtout si tu dois te préparer pour les exams qui approchent. Moi, je dois faire un stage alors t'imagine pas la galère. . . Bon, sur ce, je te laisse en attendant d'avoir ta réaction sur la suite de ma fic. En ce qui concerne ta review, voilà des nouvelles des filles. Bisous bisous !!
White-Catz : tu en auras du Kai ! Je te l'accorde, deux chapitres sans Kai, c'est impardonnable. Mais tu devras attendre encore longtemps avant de le voir. C'est vrai, dans le premier tome, je parlais que de lui. Faut que je change.
Tu penses vraiment que ma fic est l'une des meilleures ? Merci !! Bien sûr que je vais continuer. Pas question d'arrêter ! Tu connais Ewan ?
Du Mountain Bike ? Moi, j'adore les sensations fortes. A Disney par exemple. Le Space Mountain, le Big Thunder, le Rock'n'roller. . . J'adore trop !!
Bien sûr que je t'apporterais la suite de ma fic si tu te retrouves a l'hôpital. Faut juste me dire où c'est.
Ta fic « La nuit du démon » est géniale. C'est pour quand la suite ?
25 Septembre. . . J'y penserais. C'est ton anniversaire c'est ça ?
Si tu vas en enfer, je t'apporterais la suite jusque là !! Fais-moi confiance.
Merci pour ton adresse. Mais tu sais, je vais pas trop sur les sites de ce genre. Gros bisous !!
Sungirl : j't'avais dit qu'ils étaient choux ces deux-là ! Ma fic en anglais ?! J'y pense, j'y pense ! Mais il va me falloir de l'aide. Au secours !! Merci d'avoir pris le temps de me laisser une review, toi qui étais une lectrice silencieuse. Bises !!!
Pour tous les lecteurs silencieux : prenez le temps de me mettre une petite review. Même pour me dire que ma fic est mauvaise. Bon, là je vais faire une déprime et j'arrêterais d'écrire. . . J'plaisante !!!
Titre du chapitre 4 : Un mois plus tard. . .
C'est pas très explicite comme titre mais bon. . .
Merci à tous ! Je vous fait d'énormes bisous qui vient d'une petite étoile qui continuera de briller si vous lui mettez des reviews.^-^
