Disclaimer : Bla, bla, bla ! Vous connaissez la chanson.
Chapitre 12 : L'agression d'IrisLes qualifiés pour les demis rentrèrent à l'hôtel après cette épuisante journée.
Dans la chambre des Blade Breakers. . .
- Dis Kenny, j'crois que Dragoon à un gros coup de fatigue. J'ai remarqué que l'attaque-tempête était moins puissante.
- Dizzi l'a remarqué aussi.
L'ordinateur prit la parole.
- Son attaque était trois fois moins forte. Tu dois t'entraîner plus Tyson.
- J'm'entraîne deux fois par jour, ça suffit pas ?
- Si, c'est très bien. Mais alors, pourquoi Dragoon est-il aussi fatigué ? Laisse-moi ta toupie, j'vais essayer de réparer ça.
- Merci Dizzi, t'es géniale.
- Je suis faite pour ça.
- Bon, j'vais aller faire une sieste. Appelez-moi si Dragoon va mieux.
- Fais de beaux rêves.
- Merci Chef.
Restés seuls. . .
- Dizzi, tu sais ce qui se passe ?
- Sincèrement, non. . .
Dans la chambre des Ailes de la Victoire. . .
- Iris, on va faire un tour. Tu viens ?
- Non, j'dois encore examiner la toupie de Lia.
- Iris, tu travailles trop.
- Marina, tant que je ne m'écroule pas.
- Dis pas ça, ça pourrait arriver si tu continues. Tu veux que j't'aide ? Ça ira plus vite.
- Non, va t'amuser avec les filles. Si j'ai besoin d'aide, j'demanderai à Monsieur Lowell.
- Alors les filles ?
- Quand on parle du loup. . .
- Qui parle de moi ?
- Nous quatre, répondit Iris. Je leur disais justement d'aller faire un tour sans moi, mais vous les connaissez aussi bien que moi, elles veulent me traîner de force. Pourtant, j'ai encore les toupies à réparer.
- Les filles ont raison.
Les trois amies d'Iris arborèrent un sourire triomphant.
- Et qui va réparer leurs toupies ?
- Moi !
- Pas question !
- Tu ne me fais pas confiance ?
- Si, bien sûr, mais je ne veux pas que vous fassiez tout le travail.
- Et toi alors ? Tu es épuisée, ça se voit sur ton visage.
- Mais non ! De toute façon, ça me plaît de faire ça. Vous ne pouvez pas m'en empêcher.
- Iris, je te connais depuis près de quatre ans, et tu es toujours la même. Obstinée et courageuse.
- Courageuse ?
- Oui. De m'affronter.
- Très drôle, Monsieur Lowell. Ecoutez, j'apprécie l'attention que vous me portez tous, mais si j'ai envie de faire autre chose, vous ne pouvez pas me le refuser.
Ils soupirèrent tous.
- Bon d'accord. N'en fais pas trop, tu promets ?
- D'accord, je te le promets, Marina.
Elles partirent. Monsieur Lowell s'approcha de sa petite protégée.
- Iris ?
- Oui ?
- Je t'adore.
Elle fut surprise.
- Oui, moi aussi.
- Je ne veux que rien ne t'arrive, reste prudente.
- Que voulez-vous qu'il m'arrive ici ?
- Je ne sais pas, j'ai un mauvais pressentiment.
Iris se leva et se jeta dans les bras de son manager.
- Vous êtes comme un second père pour moi et je vous aime tellement que je ferais attention.
Monsieur Lowell la serra étroitement.
- Je t'aime. . .
Iris ne savait pas pourquoi mais elle avait soudain envie de pleurer. Monsieur Lowell les avait toujours protégées. Une larme roula sur sa joue. Elle dit en sanglotant :
- Vous êtes la plus belle chose qui m'est arrivé ! Si vous saviez à quel point. . . à quel point je vous aimais ! Je. . . je ne sais pas. . . ce que je serais sans vous !
Monsieur Lowell, ne pouvant supporter plus longtemps ses larmes, essaya de la calmer :
- Ecoute. Vous quatre, Lia, Tammy, Marina et toi, vous êtes ma seule raison de vivre. C'est à moi de vous remercier. Vous mettez chaque jour un rayon de soleil de plus dans mon coeur. Et ces rayons de soleil, c'est vous. Chaque jour, je vois de belles jeunes filles devant moi qui me souris. C'est ce qui me rend le plus heureux.
Iris le regarda de ses yeux brillants de larmes.
- C'est. . . c'est vrai ?
- Oui, bien sûr. Allez, sèche tes larmes. Tu sais que je ne supporte pas la vue de vos larmes.
Iris les sécha.
- Voilà, c'est mieux ainsi.
Ils se sourirent.
- Je vais descendre dans le hall, tu veux venir ?
- Non, merci. Je dois. . .
- . . . t'occuper des toupies. N'en fais pas trop, d'accord ? Je viendrais t'aider tout à l'heure.
- Non, c'est inutile. J'vous assure.
- Sûre ?
- Certaine.
- Alors je respecte tes choix. A ce soir.
- A ce soir.
Monsieur Lowell sortit. Iris laissa éclater sa tristesse. Elle n'avait pas pleuré devant lui mais là, c'était plus fort qu'elle. Il était toujours aussi gentil. Rien ne pouvait le remplacer. Rien. . .
Après avoir passé deux heures à travailler, Iris s'accorda une pause. Elle posa la toupie de Tammy sur la table et s'étira.
- Bon, j'vais prendre l'air.
Elle sortit de l'hôtel.
- L'air est très chaud ici. Je me demande comment c'est l'hiver en Inde.
Elle s'assit sur un banc public. Elle resta assise quelques minutes quand une voix la sortit de ses pensées.
- Comme on se retrouve.
Elle se retourna et réalisa que c'était le même homme qui l'avait agressé en France.
- Vous m'avez suivie jusqu'ici ?
- Ouais. Et rien que pour toi, ma belle.
- Qu'est-ce que vous voulez ? Laissez-moi tranquille, j'ai eu une journée remplie et je ne suis pas d'humeur à jouer avec vous.
- J'ai dit que je me vengerai et je le ferai.
Il sortit un couteau de sa poche.
- Et on vous laisse vous promener avec ça sur vous ?
Il ricana. Iris, ne voulant pas l'affronter, s'enfuit. Mais le type la rattrapa.
- Lâchez-moi.
Elle lui prit le poignet et le renversa. Le couteau lui échappa, Iris le prit et au moment où elle allait le balancer dans le lac, il lui prit la cheville et elle trébucha. Le couteau revint dans les mains de son propriétaire. Iris, couchée sur le dos, faillit se recevoir le couteau sur le visage mais elle tourna la tête à temps. Malheureusement, le couteau lui coupa la moitié de ses cheveux. Ils lui arrivaient mi-dos à présent.
- Mes cheveux. . .
Les larmes aux yeux, Iris se releva, vraiment furieuse, et se jeta sur le jeune homme.
- C'est tout ce que je tenais de ma mère !
Ils se débattirent pendant un bon moment mais naturellement, l'homme prit l'avantage. Avec son couteau, il blessa Iris au visage, sur la joue. Du sang s'écoula, sans s'arrêter. Il lui agrippa les cheveux et la tira en arrière. Elle retint un cri de douleur. Il lui murmura à l'oreille :
- Ton copain n'est plus là pour te protéger et c'est bien dommage. Heureusement pour toi que je suis gentil parce que j't'épargne.
Il la projeta violemment à terre. . .
Iris retourna dans sa chambre. Elle avait afreusement mal à la tête, sa joue continuait de saigner et elle avait un énorme bleu sur l'autre joue et sur le front. Bref, elle se trouvait dans un état lamentable.
Epuisée, n'ayant plus aucune force, elle tomba à genoux sur le sol et s'évanouit. Sans personne. . .
On frappa à la porte.
- Iris ? C'est moi.
Monsieur Lowell attendit quelques instants dans le couloir, puis, s'inquiétant, il entra. Ce qu'il vit le pétrifia.
- Iris !! Mon Dieu, que t'est-il arrivé ?
Il porta Iris sur son lit. Comment avait-il pu la laisser seule ? Il s'en voudrait à vie. Si elle avait quelque chose, jamais il ne se le pardonnerait.
- Iris, je suis désolé.
Il versa quelques larmes.
- Puisses-tu me pardonner un jour ?
Il serra fort sa main.
- Plus jamais je ne te laisserai. Plus jamais.
Quand Lia, Tammy et Marina rentrèrent, elles n'allèrent pas directement dans leur chambre. Elles croisèrent Yakami et Ampara en train de discuter.
- Salut les filles, ça va ?
- Oui et vous ?
- Ça va. Il n'y a vraiment rien a visité ici. Je sais que c'est ton pays Ampara mais. . .
- Je sais. Ne vous en faites pas.
- Bon, on va voir Iris.
Yakami et Ampara se regardèrent. Yakami prit la parole.
- Je crois qu'elle va pas bien.
Les trois amies se regardèrent et coururent à leur chambre. . .
- Iris ! Où es-tu ?!
Monsieur Lowell sortit de la chambre.
- Monsieur Lowell ? Qu'est-ce qui se passe ? Où est Iris ?
- Elle. . .
Il ne pouvait continuer plus longtemps. Sa voix tremblait. C'était la première fois que les filles le voyaient comme ça.
- Vous avez pleuré ? Monsieur Lowell. . .
Lia vint le soutenir tandis que Marina et Tammy se précipitaient dans la chambre d'Iris.
- Qu'est-ce qui s'est passé ?! Mon Dieu, regardez dans quel état on nous l'a mise !
Marina et Tammy sortirent et regardèrent Lia.
- Alors ?
- Elle. . . elle. . . On ne sait pas ce qui s'est passé, elle est dans un état lamentable. . .
Lia courut voir ce qu'il se passait avec leur amie. Et elle ressortit, livide.
- Qui est-ce qui lui a fait ça ?!
- Je n'en sais rien ! Tout ce que je sais, c'est que c'est ma faute !!
Monsieur Lowell passa la main dans ses cheveux.
- Ne dites pas ça. Vous n'êtes pas obligé de tout le temps nous avoir à l'oeil. Iris a. . .
- J'aurais quand même dû rester avec elle.
- Ecoutez, on va la soigner et on verra ce qu'elle en pense. Pour l'instant, évitez de culpabiliser et de vous rendre malheureux. Iris n'aimerait pas vous voir comme ça. Allez, faites-moi un petit sourire.
Monsieur Lowell se leva et entra dans la chambre d'Iris.
- Monsieur Lowell ! Allez quoi !! Oh, j'vous parle !
- C'est bon Lia, laisse-le.
Elle soupira.
- Mais quand même, j'aimerais avoir des explications.
Elles rentrèrent à leur tour.
- En plus, regardez ses cheveux. Il faudrait que je lui arrange ça.
- Peut-être que les garçons savent quelque chose. Je vais leur demander. Restez-là.
Lia marcha en direction de la chambre des Blade Breakers. Elle frappa. Kai ouvrit.
- Quoi ?
- Désolée de vous déranger mais Iris s'est fait agresser et. . .
- Encore ?
- . . . Tu sais quelque chose ?
- Elle s'est déjà fait agresser une fois. . . Il a dit qu'il se vengerait ! Comment va-t-elle ?
- Je ne sais pas.
- Je peux la voir ?
- Euh. . . oui, si tu veux.
Ils allèrent tous deux dans la chambre. Iris s'était réveillée. Elle fit un triste sourire à Kai.
- Tu vois ? Je t'avais bien dit que je pouvais me débrouiller toute seule, comme une grande. . . J'ai pas besoin de toi pour me défendre. J'm'en suis pas mal sortie.
Elle fit une grimace de douleur et se tint la tête.
- Iris, doucement, calma Monsieur Lowell.
- Dis, tu veux que j't'arrange tes cheveux ?
Iris regarda ses cheveux. Ils étaient si longs avant.
- Oui, tout à l'heure, merci.
- Pourquoi tu ne nous a pas dit que tu t'étais déjà fait agresser ? demanda subitement Marina.
Iris jeta un coup d'oeil à Kai.
- Je ne voulais pas vous inquiéter. Allez, ne vous en faites pas, j'vais très bien. Quelques jours de repos et cette blessure aura disparue.
- Je pense que tu auras une belle cicatrice.
- Que j'en ai une ou pas, qu'est-ce que ça change ? Je garde le Tournoi en tête et c'est tout ce qui compte.
Iris se redressa non sans mal.
- Qu'est-ce que tu veux faire ?demanda tammy.
- J'ai pas fini de réparer ta toupie.
- Laisse un peu tomber les toupies, dit Monsieur Lowell. Je m'en occuperai.
- Mais. . .
- Tu devrais écouter ton manager et tes amies, dit soudain Kai.
Iris le regarda et croisa les bras.
- Et on peut savoir ce que tu fais là ?
- Iris ! Il voulait seulement savoir comment tu allais.
- Il n'a pas besoin de le savoir.
Kai sortit furieusement de la chambre. Lia le suivit.
- Kai, je suis désolée pour elle. Elle est sur les nerfs.
- Non, c'n'est rien. Je voulais enfin mettre fin aux hostilités mais ta copine ne veut rien écouter !
- Te fâche pas, j'ai rien fait, moi.
- C'n'est pas contre toi que j'ai quelque chose.
- Iris est. . .
- C'n'est pas contre elle non plus.
Lia l'interrogea du regard.
- Qu'est-ce que ça veut dire ?
- C'est contre moi-même.
- Toi-même ?
- Salut !
- Qu'est-ce que tu vas faire ?
- Retrouver le malade qui lui a fait ça !
- Mais tu viens de dire que. . .
- Laisse tomber.
Kai partit et Lia ferma la porte.
- Je ne comprendrais jamais ce garçon. Qu'est-ce qui a pu provoquer ce changement d'attitude ? Il veut s'excuser, il veut venger Iris, il s'inquiète beaucoup trop à mon goût pour Iris. . . Je ne vais pas me plaindre mais quand même. . .
Elle retourna dans la chambre.
- Iris, ses intentions étaient bonnes tu sais ?
- Bonnes ou pas, il. . .
- Il va botter les fesses à celui qui t'a fait ça.
Iris dévisagea son amie.
- C'est vrai ?
- Oui.
- Quelles étaient ses intentions ?
- S'excuser.
- Alors. . . j'ai fait une erreur ?
- Cette fois, oui.
- Je vais m'excuser. Comme ça, on sera quittes.
- Doucement jeune fille, intervint Monsieur Lowell. Tu le feras une fois que tu seras en forme.
- Et vous, qu'est-ce que vous faites là ? Mais. . . vous avez pleurer ?!
- Iris, je suis désolé pour ce qui est arrivé. C'est de ma faute et. . .
- Non, c'est entièrement de ma faute. Je suis responsable de moi-même et. . .
- Tes parents vont me tuer s'ils l'aprennent.
- Ils n'en sauront rien.
- Iris. . .
- Quoi ?! Ils savent très bien que vous vous occupez de moi depuis quatre ans. Ce ne serait pas bien de leur enlever cette idée de la tête.
Il soupira.
- Et si tout redevenait comme avant, suggéra Tammy. Ce serait tellement plus simple.
- Tu veux dire. . . des étrangers ?
- Oui.
Marina regarda son amie sans comprendre. Elle se douta de quelque chose.
- Toi, il s'est passé quelque chose avec Max.
- Il ne s'est rien passé du tout. Quand on ne les connaissait pas, tout allait bien mieux. C'était une erreur de se lier d'amitié avec eux.
- Tu t'es disputée avec Max, tu ne dis pas ce que tu penses réellement.
- Et qu'est-ce que je pense ?
- Tu as eu un raté avec Max et maintenant, tu ne veux plus le voir parce que. . .
- Arrête de tout ramener à Max. C'est juste une suggestion, rien de plus.
- Iris, qu'est-ce que t'en dis, c'est toi le capitaine ? On respectera ta décision. Quelle qu'elle soit. Même si elle est dure à accepter.
- Je. . . je n'ai pas le droit de vous imposer mes choix. Vous faites ce que vous voulez. Ma décision ne regarde que moi.
- Et vous Monsieur Lowell, qu'est-ce que vous en pensez ?
- Iris a raison, vous faites ce que vous voulez.
- Mais respecter les choix de son capitaine, c'est faciliter l'harmonie dans une équipe. Non ?
- Oui, tu as raison Lia mais je n'aime pas vous donner des ordres. Je ne me suis jamais considérée comme votre capitaine même si je vous ai aidées à progresser et à réparer vos toupies. Tout ce que je voulais moi, c'était de vous voir bien dans votre peau et même si vous perdiez un match, ça ne faisait rien. Tout ce qui comptait, c'était vous. Si vous alliez bien, alors je l'étais également. Peu importe ce qui nous sépare. Si nous sommes unies, c'est déjà beaucoup. Et peu importe ma décision. Je suis comme vous, je n'ai pas à donner d'ordres. Certains pensent que l'harmonie d'une équipe, c'est d'avoir un capitaine. Eh bien moi, je pense que c'est stupide. Ça n'a pas de sens, commander les gens, les sermonner parce qu'ils ne font pas ce qu'il faut. . . Je ne ferais jamais une chose pareille et vous le savez toutes. On peut perdre, et alors ? L'important, c'est que nous n'ayons rien, autant physiquement que moralement. Le mot « capitaine » ne veut rien dire pour moi. Il n'existe pas dans mon vocabulaire. Alors ce que je peux penser, ne vous en souciez pas, d'accord ?
Les quatre filles ainsi que Monsieur Lowell restèrent silencieux après ce qu'Iris venait de dire.
- Tu penses vraiment ce que tu dis ? demanda Marina.
- Oui, bien sûr !
- On t'a toujours suivie dans tout ce que tu entreprenais. . .
- C'était une erreur. En ce qui concerne ma décision, je suis d'accord avec Tammy. Se lier d'amitié avec les Blade Breakers était une erreur. Mais n'allez pas faire comme nous. Lia, Marina ? C'est d'accord ?
Lia et Marina restèrent silencieuses.
- La discussion est close, je ne reviendrai pas sur ma décision.
Elles soupirèrent toutes les quatre. Monsieur Lowell admirait le courage d'Iris. Dire ceci à ses meilleures amies était vraiment très courageux. Oui, elle avait tout d'un capitaine. Mais voilà, elle refusait de jouer ce rôle. C'était peut-être mieux ainsi. Que leur réservait l'avenir ? Personne ne le savait. . .
Ouf !! 12 pages ! Ce chapitre était long et ça m'a pris plus d'une heure et demie pour le saisir !
Réponses aux revieweurs (que deviendrais-je sans mes habituelles réponses ?) :
Bubble : tout d'abord, bienvenue ! T'es une revieweuse de ma soeur non ? Tu sais ? Cardina. Moi aussi j'adore Violette. Ah bon, c'est TON Kai ? Comme c'est le Kai de toutes les filles sur le site. Et j't'interdis de faire du mal à ma Violette ! Tu l'as eu ta suite ! Allez, bisous !
Ewan421 : eh oui, Max et Tammy, ça va pas fort. Dsl.
Tu sais, j't'en veux pas que tu m'aies dit deux fois la même remarque. Bon, n'en parlons plus, c'est oublié.
Voui !!! J'ai adoré ton p'tit texte !
Si tu veux, la devise, ce sera notre devise, rien qu'à nous deux, d'ac ?
Bon allez ! Bye !
Kimiko : oh, une revenante ? J'plaisante.
T'as aimé mon chapitre ? Oui, j'suis trop contente !!!*fait la folle et casse tout dans la maison* J'ai fait exprès qu'Iris soit pas là, sinon, elle aurait eu le coeur brisé bichette.
J't'en veux pas. Si tu t'es fait viré par ton père, je t'excuse.
Oui, j'aimerais grandir un peu, malheureusement. . . Et évidemment, tu te gênes pas pour te moquer de moi.
Kai a dit qu'Iris est une imbécile parce que c'est vrai ! Na !
Alors ma carte ? Je suis contente que tu l'aies aimé.
Non, j'ai pas reçu ton mail, dsl. J'pensais que tu m'aimais plus moi ! Ben non, comment pourrais-je t'en vouloir puisque je te réponds. Et puis sur la carte, y'a marqué que tu étais irremplçable non ?*grand sourire*
J'pense que tu as manqué un passage dans Itsuko parce que j'ai fait un baiser tout à la fin.. Ou alors il y a une erreur.Bon, j'te le renvoie.
Bisous !!!
Meraude : ben voilà, tu l'as la suite ! Faut pas paniquer ah là là !! Bon, j'arrête de délirer, gros bisous !!
Shiny : eh ben !! Ça fait bien longtemps ! Enfin, si je compte pas le nombre de review que tu m'as mis pour Tessie. Bon, revenons à ta review. Qu'est-ce qui va arriver à Iris ? Tu le sais maintenant !! Pas trop déçue ou alors tu as envie de me tuer ? Je cours me cacher et inutile de te faire des bisous hein ?!^-^
Titre du prochain chapitre : Adieu, mon ami. Une mauvaise surprise attend Tyson. . .
Ça fait longtemps que je n'avais pas mis un message de remerciements pour tous mes lecteurs silencieux et non silencieux (ceux qui mettent des reviews, quoi !) alors je vous remercie tous de lire cette fic qui est loin d'être terminée, avec quatre parties en cours. . . J'aimerais vous faire d'énormes bisous mais comme je sais que certains n'aiment pas ça (n'est-ce pas Kimiko ?), je ne vous fais que des petits calins.^-^
Bon, rendez-vous au prochain chapitre et bonne lecture !!!
