Les souvenirs sont entre souvenir

La narration est entre[ texte]

Les notes de l'auteur sont entre /* nda */

Merci pour vos review.

Pour les fans de Remus Lupin qui auraient été choqué de son comportement dans le chapitre précédent: je tien à m'excuser et je prends sur moi l'entière responsabilité de ce qui a été écrit. La pleine lune étant proche Remus doit être un peut sur les nerfs. De plus Bellatrix a une réputation de veuve noire. Tous les hommes qui ont refusé de sortir avec elle ont finit à l'infirmerie. Je l'imagine bien comme un croisement entre Kagura de fruit basket (lorsqu'elle voit Kyo) et Elmira des loony toons(nœud rose dans les cheveux avec une tête de mort) … en pire, si c'est possible. En apparence elle a l'air calme, (surtout devant les profs) mais en fait c'est un danger public. Même Goldric griffondor aurait été mort de trouille en la voyant.

Essai n° 4: la méthode Bellatrix( la romentique?)

/* salle commune des serpentard, lundis, 19h30*/

[Sévérus est assis dans un fauteuil devant la cheminée non loin de Lucius et Narcissa. Bellatrix le rejoint.]

Bellatrix: alors Sevi. Comment c'est passé ta retenu?

Sévérus: (soupirant) elle m'a fait récurer ses chaudrons puis classés l'ensemble de son labo avant de nettoyer sa salle de classe. Je suis crevé.

Bellatrix: tout ça en une journée?

Sévérus: et sans baguette.

Bellatrix: pauvre chou!

[Elle le sert dans ses bras.]

Lucius: lâche-le où tu vas l'étouffer.

Bellatrix: (le lâchant précipitamment ) oh! Pardon!

Sévérus: (essayant désespérément de reprendre son souffle) ce n'est pas grave.

Bellatrix: tu es sur? T'es tout pâle! Tu veux boire quelque chose?

Sévérus: (précipitamment ) non, non, tout va très bien. Je te le jure. Ca va déjà mieux.

Narcissa: ma sœur est un remède miracle. Si elle se portai volontaire pour devenir infirmière on pourrait être sur qu'il n'y aurait plus jamais de malades.

Lucius: (en riant) c'est pourtant elle qui a expédié le plus de monde à l'infirmerie.

Bellatrix: je peux savoir ce que vous complotez tous les deux?

Narcissa: rien… rien. On parlait juste de tes dernières conquêtes.

Lucius: en parlant de conquête; t'en es où avec ta proie, Sévérus?

Sévérus: euh! Toujours au point mort, et là… je crois bien qu'elle m'en veuille vraiment.

Lucius: pourquoi?

Narcissa: c'est vrai que tu étais à l'infirmerie… tu ne connais pas les derniers événements… et bien figure-toi que ton protégé a suivit les conseils de Mc Nair. Il l'a plaqué contre un mur et l'a embrassé. Ce qui ne fut pas sans conséquence pour son intégrité physique.

[Sévérus fit une grimace à ce souvenir douloureux et Lucius le regarda d'un air désolé.]

Bellatrix: là poussin, tu ne peux t'en prendre qu'a toi-même… il ne faut jamais forcer une fille.

Sévérus: parce que toi tu ne force personne? T'est quand même mal placé pour donner des conseils.

Bellatrix: moi c'est différent ; je suis une fille. Il faut bien que je prenne les devants si je veux que ça aboutisse! Toi, par contre, mon grand, tu ferrais mieux d'aller t'excuser auprès de la sang de bourbe.

Lucius: tu te rends conte d ce que tu viens de dire?

Bellatrix: tout à fait! Si Sévérus veut conquérir son cœur ; le cœur de n'importe qu'elle fille en fait; il doit être doux, tendre, romantique…

[Sévérus lança un regard désespéré à Lucius et Narcissa qui lui firent signe qu'ils étaient impuissant. Quand Bellatrix était lancé, rien ne pouvais l'arrêter.]

Bellatrix: en premiers lieux, tu vas t'excuser. Avec des fleurs. Supplie là de te pardonner; à genoux s'il le faut. Puis tu prends sa main et tu la complimente. Glisse-lui des mots doux à l'oreille. Déclare-lui ta flamme; donne-lui ton cœur et ton âme. Promet lui mont et merveille. Soit passionné, enflammé… et elle te tombera dans les bras.

Sévérus:je suis un peut septique…

Bellatrix: (ne l'écoutant pas) et vous fuirez au loin, monté sur un grand destrier blanc, vous éloignant dans le soleil couchant.

[En disant ces derniers mots, Bellatrix c'était levé et c'était mis à faire de grands gestes théâtraux. Sévérus, Lucius et Narcissa la regardaient effaré pour les uns, désespéré pour les autres.]

Narcissa: et oui! Ma sœur est une grande romantique… quand elle ne torture pas tous les petits animaux qui passent à sa portée.

Sévérus: c'est ces ex-futurs conquêtes qui vont être content d'apprendre ça.

Lucius: Non, franchement, par moment elle me fait peur.

Bellatrix: Bande d'ignare! Vous ne connaissez rien à l'amour!

Lucius: (conciliant) on dit que c'est ceux qui s'y connaissent le moins qui s'y débrouille le mieux.

Narcissa: n'empêche que ça ne te coûte rien d'essayer, Sévérus.

Sévérus: (sans réelle conviction)youpi!

Bellatrix: excellente décision!

[Elle pris sa baguette et prononça une formule: Praecipere libidinis. Sévérus se retrouva instantanément submergé par une pile de bouquin.]

Bellatrix: lit moi ça pour demain!

Sévérus: c'est quoi? (Il prend un livre) Shakespeare? Je n'aurais jamais fini ça demain! Et pourquoi demain?

Bellatrix: plus tu attends, moins tu as de chance de te faire pardonner… allez! Au boulot!

Lucius: bon… ben… on vous laisse.

[Lucius et Narcissa partirent, laissant Sévérus seul, en proie avec Bellatrix et une dizaine de livres.]

****

/*Mardi, 15h19, dans le parc*/

[ Les maraudeurs et Lili étaient assis sous un arbre. Remus lisait; Peter somnolait; James s'amusait à lancer une balle de tennis et à la rattraper et Sirius se reposait, la t^te posé sur les genoux de Lili qui chantait. C'était un bel après midi de printemps et rien ne semblait pouvoir troubler la tranquillité des cinq jeunes griffondors. Rien hormis le petit groupe de serpentard qui se dirigeait vers eux. Sentant un regard dans son do Lili cessa de chanté et ce retourna vers les nouveaux arrivants. Sévérus souriait, mais gardait ses mains derrière son do. Lucius avait toujours le bras en écharpe et Rudolfus marchait avec des béquilles, ce qui fit sourire James et Sirius. Bellatrix cessa sa discussion avec Narcissa et fixa Remus qui pâli mais tacha de garder sa contenance. Il se leva lentement pour leur faire face bientôt suivit de James et Sirius.]

Bellatrix: tien, tien, tien… quand on parle du loup on en voie le bout de la queue.

[Remus lança un regard paniqué aux deux autres maraudeurs qui se préparèrent à sortir leur baguette.]

Bellatrix: et bien Remus, ne fais pas cette tête! T'as la braguette ouverte.

[Remus rougit violemment et ce retourna. James et Sirius poussèrent un soupir de soulagement pendant que Narcissa, Lucius et Regulus gloussaient.]

Sirius: qu'est ce que vous voulez?

Bellatrix: aux dernières nouvelles, le parc était à tout le monde. Et puis, je peux aller voir mon Mumus quand je veux; ce n'est pas vos oignons.

[Elle se jeta au cou du dit « Mumus » qui poussa un soupir exaspéré et essaya de la repousser.]

Sirius: Mumus! ? !

James: c'est quoi cette histoire Moony?

Lucius: faites pas attention à elle; elle délire.

Narcissa: en fait, on promène juste nos éclopés. Les pauvres petits ont besoin d'un peu d'air frai.

Sirius: et toi tu joue les infirmières? Avec Bellatrix? J'aurais tout vu!

Lucius: de vrais mères poules!

[Peter se reveille; jette un coup d'œil autour de lui et voie Sévérus parler avec Lili une rose à la main.]

Peter: Patmol? Je croie qu'il y a Snivellus qui essaye de draguer ta copine.

Sirius: quoi!

[Sirius se retourna mais Lucius et Rudolfus s'interposent.]

Lucius: où compte-tu aller?

Rudolfus: je te rappelle qu'on a un compte à régler tous les trois.

Sirius: bande de salopar. C'est pour ça que vous vous êtes traîné jusque là? Et bien vous allez voir!

[Lucius et Rudolfus furent plus rapide cette foi ci et le stupefixère. Fier d'eux ils se congratulèrent. James essaya d'aller aider son ami, mais Narcissa lança un sort qu'il ne connaissait pas et il se retrouve empêtré dans des lianes.]

James:que…

Narcissa: areptica stirps /* racines démoniaque*/. J'adore ce sort.

James: Relâche-moi!

Narcissa: cour toujours, chérie, ce que je veux, je l'ai!

James: Narcissa… s'il te plaît.

Narcissa: laisse moi réfléchir…non!

James: Remus!

Remus: je suis occupé là! Bellatrix, lâche moi! Ne m'oblige pas à faire quelque chose que je regretterais.

Bellatrix: moi aussi je t'aime mon amour. Nous serons bientôt réunis pour toujours.

James: Peter… fait quelque chose!

Peter: euh!

[Il essaya de sortir sa baguette, mais Lucius et Rudolfus l'en dissuadèrent en ricanant. Il tourna les talons et s'enfuit en direction du château.]

James: putain de merde!

Narcissa: voyons James! Reste poli en présence des dames.

James: parce que tu te prends pour une dame? La bonne blague!

[Tout en parlant James essayait toujours d'attraper sa baguette. Mais il était tellement empêtré dans le réseau de racines géantes qu'il n'y parvenait pas.]

Narcissa: rictus sempra!

[James se mis à rire.]

Narcissa: en effet c'est une blague très drôle!

[Rudolfus ricana et Lucius sourie tout en lançant un nouveau sort sur Sirius qui essayer de luter contre le sort de stupéfiction. Pendant ce temps Remus essayait de repousser une Bellatrix Black très entreprenante. James se demandait pourquoi Lili n'internait pas.]

****

/* Les répliques de Sévérus sont en partie tirées de « Songe d'une nuit d'été » de W. Shakespeare. */

[Pendant que les autres s'occupaient des maraudeurs, Sévérus s'approcha de Lili qui lui jeta un regard furieux. Il sortit sa baguette et lança un sort d'insonorisation. S'agenouillant à ses pieds il lui offrit une rose rouge.]

Sévérus: je t'en prie, tendre mortel, chante encore. Mon oreille est enamouré de ta voie.

Lili: qu'est ce que tu me veux encore, Snape!

Sévérus: mon œil est captif de ta forme, et le pouvoir de ta beauté m'entraîne dés le premier regard à te dire, à te juré, que je t'aime.

Lili: tu es complètement fou! Et je te rappelle que je sors avec Sirius.

Sévérus: oh! Pourquoi repousses-tu celui qui t'aime tant? Gardes des paroles aussi cruelle pour ton cruel ennemi!

[Il s'approcha et déposa la rose dans les mains avant d'y déposer un baisé.]

Lili: mais qu'est ce qui te prend?

Sévérus: je t'aime, aussi vient avec moi. Je te donnerais des fées pour te servir./* ici « fée » désigne des elfes de maison. */

Lili: arrêtes de te foutre de ma gueule! Ça ne fait rire que toi.

Sévérus: tu dépense ta fureur sur une méprise.

[Lili lève les yeux et voie Sirius se faire stupefixer par Lucius et Rudolfus.]

Lili: Sirius… non!

[Sévérus lui attrape la main.]

Lili: Lâche-moi! Espèce de…

Sévérus: je ne suis pas coupable. Et il n'est pas mort, pour autant que je sache.

Lili:mais…

Sévérus: restes, douce Lili, écoute ma défense. Mon amour, ma vie, mon âme, belle Lili.

Lili: laisse moi partir! Attend un peu que Sirius…

Sévérus: je te dis moi que je t'aime plus qu'il ne peut t'aimer.

Lili: tu ne m'aime pas; tu ne m'as jamais aimé. Tu me méprise.

Sévérus: pourquoi pense-tu que je te courtise par mépris? Mépris et dérision ne s'expriment jamais par des larmes. Regarde, quand je te jure mon amour, je pleure; et quand des serments naissent ainsi, leur vérité paraît dans leur naissance même. Comment ces choses en moi peuvent-elles te sembler du mépris, quand elles portent l'insigne de la bonne foi qui prouve leur vérité?

Lili: un serpentard de bonne foi? Qu'est ce qu'il ne faut pas entendre!

Sévérus: tes paroles furieuses me frappent de stupeur! Je ne te nargue pas.

Lili: ben voyons! Laisse-moi tranquille et dégage!

Sévérus: si tel est ton souhait, mon tendre amour. Mais c'est un cœur insensé que je laisse ici derrière moi.

Lili: tu raconte vraiment n'importe quoi! Faut te faire soigner!

Sévérus: si t'aimer est une folie, alors oui, je suis fou… fou de toi.

[Il s'approche d'elle et dépose un chaste baisé sur ses lèvres.]

Sévérus: il ne me reste plus qu'a me tuer pour mourir sur un baisé.

[Lili le gifle et sort de la zone délimitée par le sort de silence. Sévérus la suie.]

****

/* au même moment*/

[ Mc Gonnagal arrive avec Peter.]

Mc Gonnagal: qu'est ce qui ce passe ici? J'attends des explications! Oh! Mon dieu! Finite incantatem.

[Elle délivre James de l'enchevêtrement de lianes qui l'emprisonnait.]

Mc Gonnagal: enervatum.

[Sirius peut enfin bouger et Lili se jette dans ses bras.]

Mc Gonnagal: alors?

Lucius:c'est à dire que…

Rudolfus:madame…

Narcissa: je crains que nous ayons été un peu trop enthousiasme.

Mc Gonnagal: un peu? Et vous mademoiselle Black veillez lâcher ce pauvre garçon.

Remus: merci madame.

Mc Gonnagal: messieurs Malefoy, Lestrange et mademoiselle Black, dans mon bureau, tout de suite!

Bellatrix: ce n'est pas juste!

Mc Gonnagal: pas vous, votre sœur! Exécution!

[Les trois serpentard ce dirigèrent vers le château suivis par une Mc Gonnagal furieuse. Sirius lança un regard mauvais à Sévérus. Celui ci s'empressa de rejoindre le château, traînant Bellatrix derrière lui qui était très déçu de devoir quitter Remus.]

Remus: ouf! Enfin débarrassé de cette sensu.

James: on dirait que t'as la cote.

Remus: ce n'est pas drôle.

James: je sais Moony… je sais. Au fait, merci Peter.

Peter: (rougissant) de rien… j'ai fait ce que j'ai pue.

Sirius: Lili… qu'est ce qu'il te voulait Snivellus?

[Elle se redit mais ne dit rien.]

Sirius: il a encore essayé, c'est ça? Bon sang! Il va me le payer!

Remus: on est tous avec toi… mais pas ce soir c'est la pleine lune.

****

/* Quelques heures plus tard*/

[Sirius attendait devant la bibliothèque quand Sévérus en sortit.]

Sirius: tien! Snivellus, justement je te cherché.

Sévérus: et?

Sirius: je t'interdis de t'approcher de Lili.

Sévérus: serais-tu jaloux?

Sirius: la ferme! Si tu essaye, ne serrait-ce qu'encore une foi, de toucher à l'un de ses cheveux, je te tue!

Sévérus: je suis mort de trouille. Mais je croie qu'elle est assez grande pour parler avec qui elle veut.

Sirius: ne l'approche plus jamais.

Sévérus: ça me donne de faire le contraire.

Sirius: connard!

[Soudain ils virent le professeur Clément se rapproché d'eux.]

Sirius: on réglera ça ce soir au saule cogneur. À vingt et une heures! T'a interré à être là.

Prof Clément: un problème messieurs?

Sévérus: non.

Sirius: non.

Prof Clément: et bien, dans ce cas retournez à vos salles communes.

****

Entracte: la prophétie.

[Sirius retournait à sa salle commune lorsqu'il percuta quelqu'un. C'était Sibille Treylaney. Il la rattrapa avant qu'elle ne tombe mais le jeu de tarot de la jeune femme s'étala au sol. Sirius s'excusa et se baissa pour ramasser les cartes mais…]

Sibille: non! Ne touche à rien!

Sirius: quoi?

Sibille: hum! Je vois…

Sirius: oh! Non!

Sibille: un mauvais choie aux conséquences tragiques… probablement la mort… entraînant inévitablement la perte d'être cher… la douleur… le désespoir…la souffrance. Tu seras rejeté et subiras la colère de ceux qui comptent le plus pour toi. Mais je vois la lumière au bout du tunnel… l'espoir à nouveau… un bref bonheur intense avant…oh! …mon… dieu…

Sirius: quoi?

Sibille: (troublé) rien … rien … mieux vaut garder certaines choses secrètes ; Je peux toujours me tromper… les arcannes de l'espaces et du temps son un labyrinthe extrêmement complexe… il vaut mieux pour toi que tu ignore tout.

[Elle ramassa ses cartes d'un coup de baguette et partie en courant.]

Sirius: cette fille est complètement singlet.

***Fin du chapitre***