Voilà le chapitre quatre de ma fic : Celui-dont-on-veut-taire-le-nom que vous n'avez que maintenant vu que ff.net était en rad. Je m'excuse pour le retard monstrueux mais mes partiels m'ont pris mon temps et ma concentration mais maintenant je suis en VACANCESSSSSSSS ! Yattaaaaaaaaaaaaaaaaaa ! ! ! ! ! Pardon l'émotion...

Donc tout ça pour dire que je serais plus en mode fantôme. C'est une bonne nouvelle, non ?

Ps : Je me penche sur le problème de Faut jamais dire jamais dès ce soir, promis. Ca va faire trois semaine que Harry et Sevy sont coincé dans un couloir (en plus je sais que ça va faire plaisir à certaine personne...) Donc vous devriez avoir ça demain soir... Sauf en cas de fin du monde ou de catastrophe naturelle...

Et je rappelle !

Petit un

Je ne dirais pas qui est ELLE même sous la torture

Petit deux

A pas de petit deux mais ça me plaisait comme formule...

Allez ! Trêve de galigeades, le chapitres ! ! !

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CHAPITRE 4 :

On l'attaque

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Ils n'avaient jamais eu vraiment de choses concrètes pour le craindre.

Il allait leur en donner...

C'est sur cette pensé, qu'il fit apparaître tout le petit monde qui encombrait sa bibliothèque au cœur de la zone anti-transplanage de Poudlard.

Et le tout sans le moindre effort...

Et maintenant la suite...

[ça fait série B, hein ? ? ? Je sais. J'assume !]

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L'étonnement fut bien sur leur première réaction. Comme le disait si bien l'histoire sacro-sainte de Poudlard : on ne pouvait pas transplaner dans l'enceinte de l'école. Pourtant d'un battement de cil, Celui-dont-on-veut-taire-le-nom venait de les faire apparaître juste devant la forêt interdite.

Mais, ils se séparèrent bientôt de ce sentiment. Ils avaient a faire à Celui-dont-on-veut-taire-le-nom, y avait-il seulement quelque chose qui lui était impossible ?

Sans leur laissez le temps de se remettre de leurs émotions, il s'éloigna d'un pas décidé vers l'entrée du château. Il ne voulait pas que cette affaire traîne et le plus vite tout serait fini mieux il se porterait. La perspective de devoir parlementer avec le vieux fou était déjà suffisamment irritante pour lui. Il sentait qu'il allait lui faire d'une situation simple un sac de neufs pas possible. Depuis toujours, c'était la grande spécialité d'Albus Dumbledore, le très grand et très vénéré directeur de la plus prestigieuse école de magie du monde sorcier.

Mais sur ce coup, il ne se sentait pas l'envi de rentrer dans les méandres du jeu du directeur. Le temps pour une fois lui était précieux car ce n'était pas lui qu'il concernait mais ELLE [**mais c'est qui elle ? ? ? J'entend la question d'ici ! lol c'est pas encore dans ce chapitre que vous saurez mais dans le prochain ! ! !**]. Et s'il devait mettre ce pays à feu et à sang pour LA retrouver, il le ferait.

Mais avant toutes choses, il fallait qu'il sache précisément de quoi il retournait et c'est pourquoi ses pas l'avaient mené ici.

A Poudlard...

Le dernier lieu où il pensait remettre les pieds de toute son éternité. Tant de souvenirs l'assaillaient sans qu'il ne puisse les retenir. Les meilleurs comme les pires. Des bras dans les quels, il s'est perdu avec abandon, y laissant son enfance mais aussi des bras durs qui le forçaient a devenir une arme. Un sorcier façonné par quelques d'autres pour être celui qui vaincrait leurs peurs.

Le seul hic était dans ce qu'ils n'avaient pas prévu. De remplacer une peur par une autre. Une peur bien plus terrifiante que la précédente. Cette pensé le fit sourire : la fameuse loi du boomerang. Il était presque temps qu'ils en fassent eux aussi les frais. Lui c'est des ses uns ans qu'il l'avait expérimenté pour la première fois.

Il n'avait vraiment aucune raison de se lamenter sur leur sort.

Il avait distancé de plusieurs mètres son " escorte " quand cela se produisit. Il sut sans même avoir à se retourner ce qui venait d'apparaître sur la pelouse tant choyée de l'école. Il avait senti la déchirure dans les protections de Poudlard. Qui était soit disant en passant aussi fragile qu'une coquille d'œuf... Il avait aussi senti le mal s'insinuer dans la brèche. Enfin pas vraiment le mal... Plutôt des êtres près à le revendiquer haut et fort. Une bande de cloportes presque aussi insignifiant que les si fiers protecteurs de Poudlard.

Mais une bande de cloportes qui retardait ses plans.

Et ça, ça l'agaçait.

Et malheureusement pour la bande de cloportes en question, il détestait être agacé...

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Le groupe de mangemorts apparut à l'intérieur même des limites de Poudlard. Ils étaient une quinzaine et ils débordaient d'assurance. D'un autre côté, ils avaient bien raison de l'être, le tour de force d'apparaître là, avait de quoi greffer un sourire permanent sur leurs lèvres. Et si leur masques grotesques ne cachaient pas leur expression, c'est sûrement ce que tout le monde aurait pu observer.

La vision de ce qu'ils croyaient totalement impossible figea quelques instants les membres de l'Ordre du Phénix. Mais la surprise passée, ils sortirent tous leur baguette dans un bel ensemble.

Celui-dont-on-veut-taire-le-nom resta de marbre comme si rien d'extraordinaire ne se passait. Il prit juste la peine de se retourner pour laisser vagabonder son regard de glace sur la scène qui se déroulait sous ses yeux. Son escorte alla à la rencontre des intrus le laissant sur place. Il ne voyait pas pour l'instant l'intérêt de bouger. Cet imprévu était pour lui un simple retard qui... l'agaçait.

Oui, c'était décidément le bon terme. Qu'ils décident de faire un raide sur Poudlard un autre jour ! ! ! Il n'avait pas de temps à perdre avec leurs enfantillages. Il regardait de façon distraite les mangemorts et les membres de l'ordre s'envoyer les insultes et les mises en garde d'usage.

Se rendent-ils compte à quel point ils sont pathétiques ?

Probablement que non. Et puis dans la suite logique des événements, les premiers sorts fusent. Pathétique vraiment... Au rythme où ils étaient partis cela n'allait pas se régler en trois coups de cuillère à pot. Décidément, ces mortels aimaient se compliquer la vie. Ca allait traîner, les professeurs de Poudlard allaient arrivé d'un moment à un l'autre et les renforts qu'il sentait dans la forêt allaient eux aussi intervenir... En résumé ça allait vraiment s'éterniser...

Il ne voulait pas d'une bataille maintenant. Il n'avait tout simplement pas le temps. Alors, Celui-dont-on-veut-taire-le-nom fit ce qu'il se répugnait à faire : intervenir. Ce n'était pas ses affaires, il n'était pas là pour eux. D'ailleurs pour l'instant, il lui manquait bien trop d'informations. Il devait parler à Dumbledore avant tout. Après s'il apprenait que ces apprentis mages noirs en herbe étaient ceux qui s'en étaient pris à ELLE, alors seulement il les massacrerait allègrement...

-Cela suffit !

L'exaspération se sentait dans ces deux simples mots. C'était comme le ton d'un parent à un jeune enfant... Et dans les circonstances présentes, cela aurait pu faire sourire si cet ordre ne transpirait pas d'une puissance inimaginable.

La scène de combat fût avorté par ces deux petits mots. C'était comme si tout le monde redoutait que l'exaspération se transforme en colère.

Les mangemorts le regardaient avec stupeur comme s'ils venaient de juste de remarquer la silhouette noire qui s'était tenue à l'écart jusque là. Les membres de l'Ordre s'écartèrent devant le passage de Celui-dont-on-veut-taire-le-nom avec un soupçon de peur au fond des yeux. Ils ne savaient pas ce qu'il allait faire mais ils avaient une vague idée de quoi il était capable. Et il y avait de quoi frissonner. La situation ne semblait pas lui plaire et il semblait près a remédier au problème par lui même...

Les mangemorts, eux le virent comme un intrus à éliminer au plus vite. Un rabat-joie de négociateur ou même un partisan de la non-violence, ils étaient vraiment très loin de la vérité les pauvres.

Le chef de la troupe décida donc d'éliminer l'intrus inopportun de l'équation avant toutes autres choses.

L'attaquer fut sa première erreur, ne pas fuir à l'instant même où il prononçait son sort fut la seconde. Le sortilège de mort... Il frappa Celui-dont-on-veut-taire-le-nom de plein fouet mais il ne broncha pas. Une piqûre de moustique lui aurait fait plus d'effet. En faite, le seul effet qu'eut ce sort, c'est de faire monter son exaspération d'un cran...

Ces mangemorts commençaient vraiment à être lassant. Le retarder passe encore même si les circonstances faisaient que ce n'était vraiment pas le jour. Mais le retarder et l'attaquer tout ça dans un temps record... Il commençait à en avoir mare alors autant mettre cette petite confrontation à profit pour que son entretien suivant se passe le mieux possible...

Mais c'était sans compter sur l'idiotie chronique des mortels. En effet, le chef dans un acte de persévérance pas très approprié venait de relancer son sort. Deux fois en moins de cinq minutes, c'était vraiment trop pour lui. Sa patience était à bout et ce n'était pas une bonne nouvelle pour la bande d'ahuris qui lui faisait face.

-Mais qui êtes-vous ? ? ?

La panique mélangée à la surprise avait remplacé l'assurance. Ils ne comprenaient pas. Comment leur meilleure arme, ce qui leur permettait de faire régner la terreur pouvait ne pas marcher ? ? ?

-Qui je suis ? Il fallait peut-être vous en inquiéter avant de faire quelque chose de vraiment stupide, non ?

A cette réplique, les mangemorts ne purent réprimer un frisson. Même le ton de leur maître n'était pas si froid. Un ton de glace mais qui semblait presque amusé...

Le chef voulut donner le signal de la retraite. Ils devaient prévenir leur maître que quelque chose était entré dans l'équation. Mais il ne pouvait plus bouger et transplané était aussi exclu.

L'être qui portait des vêtements aussi noirs que lui était semble t il le seul à pouvoir se mouvoir dans un périmètre de plus de 20 mètres. C'était incroyable...

Les feuilles d'automne qui virevoltaient autour d'eux depuis leur arrivée étaient figées. Sur un diamètre d'une vingtaine de mètre cela ressemblait à une photo moldue.

L'être vint finalement se placer devant le chef des mangemorts. Il se mouvait avec grâce dans cette scène de soldats figés. Une fois devant l'homme, il abaissa sa capuche et le chef comme tout ces comparses purent voir le visage de leur mystérieux marionnettiste.

S'ils n'avaient pas été totalement pétrifié, leurs visages seraient tordus dans une grimace de pure horreur.

Ce visage, cette cicatrice, ces cheveux ébène, ces yeux émeraudes... Il n'y avait aucun doute : il venait d'attaquer Harry Potter. Autant dire Celui-dont-on-veut-taire-le-nom et donc autant dire aussi qu'il était mort.

Celui-dont-on-veut-taire-le-nom venait de rentrer dans la danse de la guerre qui secouait le monde sorcier. Personne du côté des forces du mal n'avait prévu une telle chose. Et en plus c'était de sa faute, il avait attaqué Celui-dont-on-veut-taire-le-nom...

-On tremble de peur ? Ah ! Oui vous ne pouvez pas trembler, c'est vrai ! Ce que je peux être distrait...

Soudainement son ton passa de la moquerie à une attitude bien plus sombre à vous glacer le sang...

-Mais vous allez être d'autant plus attentif. Pour l'instant, votre petite gue-guerre n'a aucun espèce d'intérêt à mes yeux. Si je suis ici, c'est pour m'entretenir avec Dumbledore et ce n'est qu'après cet entretien que déciderais si je te massacre toi et ta bande de pathétique lèche-bottes.

Le regard de Celui-dont-on-veut-taire-le-nom avait un miroitement rouge assez inquiétant. Pourtant son ton était banal comme s'il parlait de la pluie et du beau temps et s'adoucissait de plus en plus. Personne, parmi les personnes présentent ne trouvèrent ça bon signe. On l'avait attaqué, il avait toute les raisons d'être en colère.

Mais, Celui-dont-on-veut-taire-le-nom n'était pas en colère. Ils pensaient tous que son attitude " iceberg " cachait la pire colère de tout les temps mais en faite, il était pour tout dire... agacé. Toujours la même chose en fin de compte.

Il perdait du temps et son intuition lui disait que c'était la denrée la plus précieuse de cette affaire. Mais d'un autre côté, ils l'avaient attaqué et en tout bien tout honneur il ne pouvait pas les laisser partir comme ça.

Il avait une réputation à illustrer.

Il voulait donner une raison de taire son nom. La communauté magique était terrifiée parce qu'il était différent mais en y réfléchissant bien à part le combat contre ce pauvre fou de Tom, ils n'avaient rien vu de ses pouvoirs...

C'était une idée bien mesquine mais qui lui plaisait énormément. Surtout que de puis qu'il avait créé sa bulle hors-temps son auditoire avait considérablement augmenté. Les professeurs étaient là avec le directeur et la grande majorité des élèves.

Et puis il avait un message à délivrer. Et de quoi faire le porte-voix juste devant lui comme quoi parfois la vie était bien faite.

Avec un sourire qui ne présageait rien de bon, Celui-dont-on-veut-taire-le-nom fit d'un battement de cil transforma toute les feuilles immobiles en des dagues. Ce qui ressemblait, il y a quelques secondes à peine à une charmante photo moldue pour une averse d'automne était devenue une scène digne d'un film d'horreur. Cependant l'immobilité était toujours de mise.

Celui-dont-on-veut-taire-le-nom rabattit la capuche du chef et se retrouva devant un visage d'une trentaine d'années. Il lui disait vaguement quelque chose. Un élève de Poudlard en même temps que lui. De Serpentard si sa mémoire ne lui faisait pas défaut...

Il passa le dos de sa main d'un geste faussement tendre sur sa joue. Son épiderme réagit au contacte froid ce qui ne fit qu'accentuer le sourire limite sadique que Celui-dont-on-veut-taire-le-nom abhorrait telle un trophée.

-Si jeune... Quel dommage. Je n'ai jamais comprit comment la maison qui se dit la plus fière et orgueilleuse de Poudlard pouvait produire autant de rampants pitoyables. Ca reste un mystère. Bien sur, il y a des exceptions...

Celui-dont-on-veut-taire-le-nom se rapprocha encore plus du chef et lui murmura à l'oreille...

-Un exemple tout à fait délicieux d'ailleurs. Mais shuuuuuut c'est un secret et puis de toutes façons j'ai quelque chose à te dire mon pitoyable petit rampant. Un message pour ce qui te sert de maître. Celui-dont-on-veut-taire-le-nom est à Poudlard et tant qu'il y est c'est sa chasse gardée. Ca serait si bête qu'un seigneur des ténèbres qui m'a l'air si bien parti avec des serviteurs si dévoués finisse sa pathétique carrière de mage noir parce que vous m'avez marché sur les pieds, non ?

Celui-dont-on-veut-taire-le-nom déposa un baisé sur la joue du mangemort. Un baisé prude et qui avec son aspect d'ange donnait une drôle d'impression à l'assistance. Il venait d'embrasser la joue d'un mangemort ? ? ? Pourquoi ? ? ?

Puis il se recula et scruta le groupe dans son ensemble. Non, ils n'avaient décidément aucune importance à ses yeux...

-Et surtout mon pitoyable petit rampant promet moi une chose. Ne meure pas avant d'avoir fait passer mon message. Ca serait le comble de l'inconvenance...

A peine cette phrase ne raisonnait plus dans l'air les lames foncèrent vers les mangemorts dans une synchronisation parfaite. Certains furent tués sur le coup, d'autres eurent le droit à des blessures toutes très douloureuses et affreusement mal placées. Une seule chose ne changeait pas d'un mangemort à l'autre : toutes étaient mortelles. Le groupe au bord de l'agonie suite au ballet mortel des lames resta quelques instant à se vider de son sang sur la pelouse de Poudlard avait que Celui-dont-on-veut-taire-le-nom décide que le spectacle avait assez duré et d'une pensé transporta le groupe d'ogonisant au pied du mage noir qui attendait dans la forêt interdite. Par la même occasion, il remis les vingt mètres carré qu'il avait isolé dans une réalité normal.

La réaction des personnes qui l'entourait lui donnait envi de rire.

Maintenant, ils savaient.

Maintenant, ils avaient une véritable raison de trembler jusque dans leur chaumière.

Maintenant, il commençait juste à comprendre pourquoi ils l'appelaient Celui-dont-on-veut-taire-le-nom...

Il les laissa en plan comme il avait commencé à en prendre l'habitude et se dirigea vers le château ou Dumbledore était le choc et peur incarné avec une bande de marmeaux terrorisés.

Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes.

Le pitoyable petit rampant allait délivrer son message en même temps de son dernier soupire.

Il allait savoir de quoi, il en retournait.

Et après, il pourrait aller LA récupérer où qu'elle soit.

De toutes façons, personne ne pouvait l'arrêter et si quelqu'un s'en sentait capable, il se ferait le plaisir de l'écraser tel un insecte...

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FIN DU CHAPITRE 4

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Dans le chapitre 5 l'identité de ELLE et une autre couche de confiture à mystère pour palier à cette révélation ! lol