*Titre : Apparences
*Auteur : Himitsu
*Genre : Yaoi pour ceux qui ont des boutons à voir deux hommes ensembles, on passe à la tente à oxygène, service de réanimation compris.
*Résumé : Heero décide de passer aux choses sérieuses, Duo laissera-t-il son destin se détourner de sa course tragique ?
*Source : Gundam Wing, un esprit dérangé et autres joyeusetés.
*Disclaimers : j'ai gagné au loto, je me suis offert une île, une baraque pleine de bouquins et une usine de Banania. 'm restait pu un centime pour les bishies. M'en fout, ne suis-je pas Evilsticker, le sticker qui scotch tous les bishies qui passent ? En clair les héros ne sont pas à moi, le décor non plus mais le script si... (+/-) ... -_-
*Warning : et on y va gaiement !... oups, pas fait exprès celle là... Bah on va se faire un petit peu de lemon pour voir si j'en suis cap'. Planquez les ch'tites n'enfants, vous pourrez pas dire que j'ai pas prévenu.
*Statut : En cours...
*Musique de fond : ronflements, dur d'avoir des diurnes chez soi !
%*%*%*%*%*%
Raziel : bah voilà, si tu aimais déjà la fic, c'est gentil de laisser un mot d'encouragement, ça me fait écrire plus vite ^^ En espérant que ça continuera à te plaire... Duo se remet mais il regagne pas pour autant son contrôle... nyark nyark nyark ^vv^
Choset : planques toi, elle est en forme !
Leenaren : et voilà, un autre chapitre pour me faire pardonner de t'avoir fait attendre, et pour me faire pardonner de te faire attendre (pas trop promis) pour le suivant, j'ai blindé ma semaine.
Carina D : trop aimable très chère, mais si je continue longtemps je sais pas oùske ça va me mener... -_-
Ona Heera : (expldr) là c'est sûr que c'est bon pour la santé un croc de Shinigami ! S'ra pu' jamais malade notre choupinet ! Pour Wu, je suis désolée, mais je vais continuer à l'asticoter, il est trop chou en mode furax. Bonjour à toi clone de Heero, le clone loupé de Duo te salue Y=^___^=Y
Bonne lecture et gros smoutch à tous.
Prélude :
Choset : bon, bas on y est...
Himitsu : pas me dégonfler, pas me dégonfler, pas me dégonfler...
Choset : ça marche Coué ?
Himitsu : pas des masses jusqu'à présent, 'stress à mort.
Chapitre 6:
Chantage d'amour
Immobile, interdit... Il avait réussi au-delà de ses espérances à briser le carcan de conditionnement du Soldat Parfait. Seulement il ne savait plus trop comment reprendre le contrôle de la situation à présent. Il s'était fixé comme objectif de rendre heureux Heero à défaut de pouvoir se permettre de l'aimer, et il avait espéré qu'il saurait s'en contenter. Mais maintenant ses lèvres soyeuses caressaient les siennes, ses mains pressaient Duo contre ce corps qu'il avait si souvent effleuré, effeuillé du regard, espérant percer la couche de tissu qui, aussi fine soit-elle était toujours de trop.
_Pourquoi es-tu parti ? murmurèrent les lèvres en s'écartant à peine.
_J'avais un truc à faire.
Contre ses lèvres, Duo sentit naître un sourire inquiétant.
_Si tu éludes la sanction sera plus sévère.
La langue s'insinua dans sa bouche, explora délicatement les différentes textures, faisant naître des sensations délicieuses. Le baiser bien qu'un peu hésitant s'approfondit et il ne lui laissa reprendre sa respiration que lorsqu'il commença à se sentir vaciller.
_Pourquoi n'as-tu rien dit ?
_J'étais pressé.
Quittant sa bouche, semant une piste de baisers fugitifs et brûlants, il atteignit son oreille.
_Je sévis.
La prise autour des épaules de Duo se modifia et il se sentit soulevé, quelques pas plus loin, Heero déposait le précieux paquet emballé dans son écrin moelleux sur le lit. Il ouvrit les couvertures comme un précieux cadeau. Remontant sous le T-shirt ample que Duo avait passé pour dormir, ses mains dessinèrent les muscles déliés de son ventre sensible, remontèrent jusqu'aux pectoraux, suivies de près par des baisers tendres et exigeants. Il mordilla les pointes de ses seins qui se mirent à durcir, rejoignant l'état d'une autre partie de son anatomie qui se rappelait de plus en plus précisément au bon souvenir de Duo. Commençant à paniquer, Duo repoussa le corps décidément trop tentant en se redressant.
_Qui êtes-vous et qu'avez-vous fait de mon Hee-chan ?
_Baka.
Duo soutint le regard dévorant de Heero, le vit vaciller puis douter... Il devait le blesser à présent s'il ne voulait pas le tuer plus tard.
_Je suis venu ici parce que c'est chez moi. Il me fallait un refuge.
Heero jeta un regard dubitatif aux murs nus et au mobilier inexistant. Duo comprit les pensées d'incompréhension qui le traversaient et rit doucement. Aussitôt Heero tendit le cou et l'embrassa langoureusement.
_Mais j'ai pas menti !
_Tu n'avais qu'à pas me faire peur.
_Moi ? Faire peur à Heero-je-m'autodétruis-sans-sourciller- Yui ? Rien ne peut te faire peur, te contrarier est déjà assez difficile.
Le japonais garda le silence et baissa les yeux. Un léger frissonnement trahit la tension qui l'habitait.
_J'ai peur... pour toi... J'ai peur... de toi. En réalité à cet instant je suis mort de trouille.
L'aveu s'était fini en un souffle inaudible et Duo avait dû lire sur ses lèvres les derniers mots. La manœuvre avait pour inconvénient qu'il ne pouvait plus en détacher son attention. Il était comme au sortir d'un jeûne d'une semaine devant un quatre heure hypercalorique. Il se mordit l'intérieur de la lèvre pour se sortir de la transe qui lui faisait oublier jusqu'au besoin élémentaire d'oxygène de son organisme. Voir Heero souffrir avait toujours été au-delà des ses capacités.
_Si je me laisse approcher, les gens autour de moi meurent.
Le souffle de Heero bloqua. Enfin il avait obtenu une réponse. Elle était peut-être partielle et obscure, mais il avait un début d'explication au comportement de Duo. Mesurant ses gestes, il s'assit sur les cuisses de Duo et piqua un baiser sur son nez.
_Tu vois bien que c'est trop tard. Je préfère mourir demain que de te laisser une fois de plus t'échapper.
Chaque nouveau contact avec Heero était comme un poison qui affolait ses sens, retournant son cerveau dans le sens trigonométrique et allumant un brasier dans le creux de ses reins. Dieu qu'il désirait entendre ces mots, depuis si longtemps... Quand Heero le reprit dans ses bras, il retrouva la sensation de sécurité qui lui avait toujours été si étrangère. Heero se débarrassa rapidement de son débardeur et fit remonter le T-shirt de Duo en effleurant la colonne vertébrale qui se cambrait à son passage. Il savoura la peau si fine et douce de l'intérieur de ses bras puis envoya au loin le vêtement, entraînant Duo sur le lit.
Duo ne pu s'empêcher d'onduler lorsque Heero rampa sur sa poitrine pour aller cueillir un baiser. Au travers du tissu, leurs virilités frottèrent l'une contre l'autre, provoquant un éblouissement de leurs sens qui promettait nombre de merveilles. Les mains de Duo saisirent le spandex maintes fois béni et maudit, et firent basculer sous lui le corps docile, accompagnant la désertion du cycliste de caresses qui tirèrent des soupirs lascifs de son propriétaire.
Incrédule, il contempla le temps d'un battement de cœur le cadeau magnifique que le destin lui avait accordé. Il embrassa puis lécha amoureusement le membre fièrement dressé, prenant autant de plaisir à entendre le gémissement de Heero qui semblait comme un appel à l'aide. La tête rejetée en arrière et les poings crispés dans les draps, il enroula ses jambes autour de Duo comme pour s'assurer qu'il ne s'échapperait plus, remarquant la disparition de caleçon.
Le plaisir allait et venait au rythme lent et affolant qu'imposait Duo. Saisissant sa tête, Heero le tira à lui jusqu'à ce qu'ils soient face à face.
_Un problème Hee-chan ?
_Il faut vraiment que tu comprennes...
_Tu sais avec toi, j'ai appris à écouter les mots que tu ne prononces pas. Moi aussi je te veux.
Clouant Heero d'un regard, il saisit sa main et en suça avidement les doigts pour ensuite s'attaquer au lobe de son oreille tandis que la main enduite de salive glissait obligeamment comme de sa propre volonté vers les fesses fermes et douces. La respiration de Duo s'affola un peu lorsque le premier doigt entra et se mit à le travailler, étirant délicatement la peau fragile. Il attaquait une lente descente le long des clavicules de Heero, ses mains occupées autre part, lorsqu'il introduit le second doigt puis un troisième. Le frottement du bassin de Duo contre celui de Heero avait poussé leur patience à leur extrême limite.
Prenant appui sur les épaules du japonais, Duo se souleva pour s'empaler lentement sur le sexe gorgé de désir. Heero arrivait à peine à réaliser ce qui était en train de se passer et la douleur se disputait la place avec le plaisir en Duo. Haletant tous les deux, ils restèrent immobiles, savourant l'instant présent. Plus rien n'existait au monde que leurs deux êtres traversés par un éclair de sensations trop intenses pour savoir les définir avec de simples mots. Se redressant, Heero imprima aux hanches de Duo un mouvement lent qui s'accéléra. A chaque geste, le sexe de Duo emprisonné entre leurs deux corps collés l'un à l'autre était pressé, excité, puis cajolé lorsque Heero le saisit et se mit à reproduire le rythme qui les emportait tous les deux. Chaque allée et venue de Heero touchait sa prostate, le faisant accompagner la voix de Heero de son propre chant.
La danse effrénée se figea tandis que Heero laissait exploser son plaisir en Duo. Haletant, il se retira et entraîna Duo sur lui, nouant ses chevilles autour de sa taille.
_Je t'en prie Duo... gémit-il.
Le natté ne pu pas résister à l'invite plus longtemps et pénétra Heero. Il eut l'impression que son cœur loupait un battement. I l reprit son souffle et son calme en sentant Heero se contracter, si étroit autour de son membre. Heero desserra les dents et fit un sourire rassurant en voyant Duo inquiet, il ondula contre sa poitrine, pinçant les tétons de Duo avant de se courber pour les mordiller. Bougeant lentement pour habituer Heero à sa présence, Duo fit durer au maximum l'attente de la délivrance, se laissant peu à peu aller dans ses coups de reins comme s'il recherchait toujours plus loin la réponse à ses inquiétudes. Le flash de jouissance pure l'aveugla complètement et il ne reprit pied qu'un instant avant de sombrer dans le sommeil.
_Aishiteru crut-il entendre contre son oreille.
%*%*%*%*%*%*%
Himitsu : #°_°# ch'l'ai fait...
Choset : #-_-# voui, j'avais cru remarquer...
Himitsu : Yata ?
Choset : bah on va attendre les réactions...
Himitsu : mon tout premier lemon, vous me dites skeu vous zen pensez les gens, pliiz ? X___X
*Auteur : Himitsu
*Genre : Yaoi pour ceux qui ont des boutons à voir deux hommes ensembles, on passe à la tente à oxygène, service de réanimation compris.
*Résumé : Heero décide de passer aux choses sérieuses, Duo laissera-t-il son destin se détourner de sa course tragique ?
*Source : Gundam Wing, un esprit dérangé et autres joyeusetés.
*Disclaimers : j'ai gagné au loto, je me suis offert une île, une baraque pleine de bouquins et une usine de Banania. 'm restait pu un centime pour les bishies. M'en fout, ne suis-je pas Evilsticker, le sticker qui scotch tous les bishies qui passent ? En clair les héros ne sont pas à moi, le décor non plus mais le script si... (+/-) ... -_-
*Warning : et on y va gaiement !... oups, pas fait exprès celle là... Bah on va se faire un petit peu de lemon pour voir si j'en suis cap'. Planquez les ch'tites n'enfants, vous pourrez pas dire que j'ai pas prévenu.
*Statut : En cours...
*Musique de fond : ronflements, dur d'avoir des diurnes chez soi !
%*%*%*%*%*%
Raziel : bah voilà, si tu aimais déjà la fic, c'est gentil de laisser un mot d'encouragement, ça me fait écrire plus vite ^^ En espérant que ça continuera à te plaire... Duo se remet mais il regagne pas pour autant son contrôle... nyark nyark nyark ^vv^
Choset : planques toi, elle est en forme !
Leenaren : et voilà, un autre chapitre pour me faire pardonner de t'avoir fait attendre, et pour me faire pardonner de te faire attendre (pas trop promis) pour le suivant, j'ai blindé ma semaine.
Carina D : trop aimable très chère, mais si je continue longtemps je sais pas oùske ça va me mener... -_-
Ona Heera : (expldr) là c'est sûr que c'est bon pour la santé un croc de Shinigami ! S'ra pu' jamais malade notre choupinet ! Pour Wu, je suis désolée, mais je vais continuer à l'asticoter, il est trop chou en mode furax. Bonjour à toi clone de Heero, le clone loupé de Duo te salue Y=^___^=Y
Bonne lecture et gros smoutch à tous.
Prélude :
Choset : bon, bas on y est...
Himitsu : pas me dégonfler, pas me dégonfler, pas me dégonfler...
Choset : ça marche Coué ?
Himitsu : pas des masses jusqu'à présent, 'stress à mort.
Chapitre 6:
Chantage d'amour
Immobile, interdit... Il avait réussi au-delà de ses espérances à briser le carcan de conditionnement du Soldat Parfait. Seulement il ne savait plus trop comment reprendre le contrôle de la situation à présent. Il s'était fixé comme objectif de rendre heureux Heero à défaut de pouvoir se permettre de l'aimer, et il avait espéré qu'il saurait s'en contenter. Mais maintenant ses lèvres soyeuses caressaient les siennes, ses mains pressaient Duo contre ce corps qu'il avait si souvent effleuré, effeuillé du regard, espérant percer la couche de tissu qui, aussi fine soit-elle était toujours de trop.
_Pourquoi es-tu parti ? murmurèrent les lèvres en s'écartant à peine.
_J'avais un truc à faire.
Contre ses lèvres, Duo sentit naître un sourire inquiétant.
_Si tu éludes la sanction sera plus sévère.
La langue s'insinua dans sa bouche, explora délicatement les différentes textures, faisant naître des sensations délicieuses. Le baiser bien qu'un peu hésitant s'approfondit et il ne lui laissa reprendre sa respiration que lorsqu'il commença à se sentir vaciller.
_Pourquoi n'as-tu rien dit ?
_J'étais pressé.
Quittant sa bouche, semant une piste de baisers fugitifs et brûlants, il atteignit son oreille.
_Je sévis.
La prise autour des épaules de Duo se modifia et il se sentit soulevé, quelques pas plus loin, Heero déposait le précieux paquet emballé dans son écrin moelleux sur le lit. Il ouvrit les couvertures comme un précieux cadeau. Remontant sous le T-shirt ample que Duo avait passé pour dormir, ses mains dessinèrent les muscles déliés de son ventre sensible, remontèrent jusqu'aux pectoraux, suivies de près par des baisers tendres et exigeants. Il mordilla les pointes de ses seins qui se mirent à durcir, rejoignant l'état d'une autre partie de son anatomie qui se rappelait de plus en plus précisément au bon souvenir de Duo. Commençant à paniquer, Duo repoussa le corps décidément trop tentant en se redressant.
_Qui êtes-vous et qu'avez-vous fait de mon Hee-chan ?
_Baka.
Duo soutint le regard dévorant de Heero, le vit vaciller puis douter... Il devait le blesser à présent s'il ne voulait pas le tuer plus tard.
_Je suis venu ici parce que c'est chez moi. Il me fallait un refuge.
Heero jeta un regard dubitatif aux murs nus et au mobilier inexistant. Duo comprit les pensées d'incompréhension qui le traversaient et rit doucement. Aussitôt Heero tendit le cou et l'embrassa langoureusement.
_Mais j'ai pas menti !
_Tu n'avais qu'à pas me faire peur.
_Moi ? Faire peur à Heero-je-m'autodétruis-sans-sourciller- Yui ? Rien ne peut te faire peur, te contrarier est déjà assez difficile.
Le japonais garda le silence et baissa les yeux. Un léger frissonnement trahit la tension qui l'habitait.
_J'ai peur... pour toi... J'ai peur... de toi. En réalité à cet instant je suis mort de trouille.
L'aveu s'était fini en un souffle inaudible et Duo avait dû lire sur ses lèvres les derniers mots. La manœuvre avait pour inconvénient qu'il ne pouvait plus en détacher son attention. Il était comme au sortir d'un jeûne d'une semaine devant un quatre heure hypercalorique. Il se mordit l'intérieur de la lèvre pour se sortir de la transe qui lui faisait oublier jusqu'au besoin élémentaire d'oxygène de son organisme. Voir Heero souffrir avait toujours été au-delà des ses capacités.
_Si je me laisse approcher, les gens autour de moi meurent.
Le souffle de Heero bloqua. Enfin il avait obtenu une réponse. Elle était peut-être partielle et obscure, mais il avait un début d'explication au comportement de Duo. Mesurant ses gestes, il s'assit sur les cuisses de Duo et piqua un baiser sur son nez.
_Tu vois bien que c'est trop tard. Je préfère mourir demain que de te laisser une fois de plus t'échapper.
Chaque nouveau contact avec Heero était comme un poison qui affolait ses sens, retournant son cerveau dans le sens trigonométrique et allumant un brasier dans le creux de ses reins. Dieu qu'il désirait entendre ces mots, depuis si longtemps... Quand Heero le reprit dans ses bras, il retrouva la sensation de sécurité qui lui avait toujours été si étrangère. Heero se débarrassa rapidement de son débardeur et fit remonter le T-shirt de Duo en effleurant la colonne vertébrale qui se cambrait à son passage. Il savoura la peau si fine et douce de l'intérieur de ses bras puis envoya au loin le vêtement, entraînant Duo sur le lit.
Duo ne pu s'empêcher d'onduler lorsque Heero rampa sur sa poitrine pour aller cueillir un baiser. Au travers du tissu, leurs virilités frottèrent l'une contre l'autre, provoquant un éblouissement de leurs sens qui promettait nombre de merveilles. Les mains de Duo saisirent le spandex maintes fois béni et maudit, et firent basculer sous lui le corps docile, accompagnant la désertion du cycliste de caresses qui tirèrent des soupirs lascifs de son propriétaire.
Incrédule, il contempla le temps d'un battement de cœur le cadeau magnifique que le destin lui avait accordé. Il embrassa puis lécha amoureusement le membre fièrement dressé, prenant autant de plaisir à entendre le gémissement de Heero qui semblait comme un appel à l'aide. La tête rejetée en arrière et les poings crispés dans les draps, il enroula ses jambes autour de Duo comme pour s'assurer qu'il ne s'échapperait plus, remarquant la disparition de caleçon.
Le plaisir allait et venait au rythme lent et affolant qu'imposait Duo. Saisissant sa tête, Heero le tira à lui jusqu'à ce qu'ils soient face à face.
_Un problème Hee-chan ?
_Il faut vraiment que tu comprennes...
_Tu sais avec toi, j'ai appris à écouter les mots que tu ne prononces pas. Moi aussi je te veux.
Clouant Heero d'un regard, il saisit sa main et en suça avidement les doigts pour ensuite s'attaquer au lobe de son oreille tandis que la main enduite de salive glissait obligeamment comme de sa propre volonté vers les fesses fermes et douces. La respiration de Duo s'affola un peu lorsque le premier doigt entra et se mit à le travailler, étirant délicatement la peau fragile. Il attaquait une lente descente le long des clavicules de Heero, ses mains occupées autre part, lorsqu'il introduit le second doigt puis un troisième. Le frottement du bassin de Duo contre celui de Heero avait poussé leur patience à leur extrême limite.
Prenant appui sur les épaules du japonais, Duo se souleva pour s'empaler lentement sur le sexe gorgé de désir. Heero arrivait à peine à réaliser ce qui était en train de se passer et la douleur se disputait la place avec le plaisir en Duo. Haletant tous les deux, ils restèrent immobiles, savourant l'instant présent. Plus rien n'existait au monde que leurs deux êtres traversés par un éclair de sensations trop intenses pour savoir les définir avec de simples mots. Se redressant, Heero imprima aux hanches de Duo un mouvement lent qui s'accéléra. A chaque geste, le sexe de Duo emprisonné entre leurs deux corps collés l'un à l'autre était pressé, excité, puis cajolé lorsque Heero le saisit et se mit à reproduire le rythme qui les emportait tous les deux. Chaque allée et venue de Heero touchait sa prostate, le faisant accompagner la voix de Heero de son propre chant.
La danse effrénée se figea tandis que Heero laissait exploser son plaisir en Duo. Haletant, il se retira et entraîna Duo sur lui, nouant ses chevilles autour de sa taille.
_Je t'en prie Duo... gémit-il.
Le natté ne pu pas résister à l'invite plus longtemps et pénétra Heero. Il eut l'impression que son cœur loupait un battement. I l reprit son souffle et son calme en sentant Heero se contracter, si étroit autour de son membre. Heero desserra les dents et fit un sourire rassurant en voyant Duo inquiet, il ondula contre sa poitrine, pinçant les tétons de Duo avant de se courber pour les mordiller. Bougeant lentement pour habituer Heero à sa présence, Duo fit durer au maximum l'attente de la délivrance, se laissant peu à peu aller dans ses coups de reins comme s'il recherchait toujours plus loin la réponse à ses inquiétudes. Le flash de jouissance pure l'aveugla complètement et il ne reprit pied qu'un instant avant de sombrer dans le sommeil.
_Aishiteru crut-il entendre contre son oreille.
%*%*%*%*%*%*%
Himitsu : #°_°# ch'l'ai fait...
Choset : #-_-# voui, j'avais cru remarquer...
Himitsu : Yata ?
Choset : bah on va attendre les réactions...
Himitsu : mon tout premier lemon, vous me dites skeu vous zen pensez les gens, pliiz ? X___X
