Chapitre 17 : enfin heureuse...
1 an plus tard.
Cerise fit un petit signe à ses 2 nouveaux parents, et tenta encore de lancer son cheval au galop comme le lui avait si patiemment appris Aure au cours des 3 derniers mois.
La Lumière de Legolas avait perdu la mémoire suite à sa courte mort, et lui réapprendre ce qui l'avait tuée fut une épreuve effroyable pour le Prince, mais grâce à sa présence (et peut-être au fait qu'ils s'étaient découvert un amour réciproque durant sa convalescence), la nouvelle ne la blessa pas comme la première fois, et bien que ses cheveux soient demeurés blancs (et le demeureraient toujours), elle avait retrouvé son caractère enjoué d'antan, au grand dam des habitants des bois, qui passaient leurs journées à guetter un nouveau mauvais tour de da part.
L'histoire qui était née entre les deux anciens amis avait peu surpris la communauté d'elfes, et, bien qu'ils soient totalement différents de caractère,l'archer aux cheveux d'or et l'elfe aux cheveux d'argent formaient un couple harmonieux ; et les parents qu'ils étaient devenus pour elle étaient exemplaires, bien que la "mère" soit souvent bien plus puérile que la "fille", au grand désespoir du "père", qui, tout en faisant mine de s'arracher les cheveux, maudissait le mauvais sort de lui avoir imposé de s'occuper de deux enfants en moins d'un an.
Quand à la fameuse pierre qui l'avait ressuscité, Cerise appris plus tard qu'elle en avait fait don à sa jeune soeur (donc sa véritable mère) peu avant sa naissance, sentant un danger mortel peser sur elle.
On le lui avoua jamais qu'en lui offrant cette pierre, elle avait sauvé sa propre vie.
De son côté, Gimli, qui avait eu le mal du pays, était reparti pour ses lointaines contrées, lui jurant solennellement de revenir au moins une fois par ans, tout maugréant quelque chose à propos d'un "stupide sentimentalisme elfique" qui avait réussi à le gagner...
Elle se mis à rire aux éclats en sentant la bête puissante entre ses jambes bondir et accélérer comme une des fusées qu'avait lancée Gandalf lors du retour de Aure, et, lorsqu'elle s'arrêta à seulement quelques mètres du couple enlacé, les recouvrant ainsi de la poussière soulevée par sa course effrénée, se sentit plus heureuse qu'elle ne l'avait jamais été.
Et elle pressentait qu'elle le serait à tout jamais.
Après avoir fini la fanfic : eeeuh, bon, voilà, quoi, me tapez po, svp, j'voulais po non plus que ça évolue comme ça...snif...
Quoi ?
"Au coin "?
Bon, d'accord...
