Disclaimer : Évidement, cet univers merveilleux qu'est le monde fantastique de Harry Potter et compagnie est bien sûr propriété exclusive de madame J K Rowling. (excusez moi mon dieu, j'ai fait une grosse erreur dans son nom dans le premier chapitre. Vais-je m'en remettre ? ) Cependant, je me permets de lui emprunter momentanément et sans prétention uniquement dans le but de laisser mes doigts jouer sur le clavier de mon ordinateur pour tenter de sortir quelques histoires qui germent dans mon imagination depuis trop longtemps.

N/A : Je ne suis pas une habituée de ces sites de fanfics aussi j'aimerais que vous me disiez ce que vous pensez de mes histoires car pour l'instant je ne peux que me fier sur l'opinion de mon frère et je doute qu'il soit totalement impartial. Peut-être n'est-il gentil que pour avoir un plus gros cadeau de fête ???? Non je pousse fort, je l'adore mon frère et c'est un garçon vraiment exceptionnel. (Normal, c'est mon frère hihihihihi) pardonnez-moi également les fautes d'orthographes je fais mon possible mais je ne suis pas une experte de la langue française, du moins pas dans l'écriture.

Merci à ANGELBAS d'avoir prit le temps de m'écrire une rewiew, j'adore ça..

Prologue : Le choixpeau, quelle idée fantastique qu'à eux Godric Griffondor. C'est l'instrument idéal pour répartir les nouveaux élèves qui font leur entrée dans le monde fabuleux du collège de sorcellerie et de magie de Poudlard. Personne ne peut l'outre passer, tout le monde respecte son choix même si parfois on remet son opinion en doute, on finit toujours par comprendre ses motivations et consentir qu'il avait raison de répartir les élèves ainsi.

Pourquoi envoyer tel ou tel étudiants vers telle ou telle maison et non pas vers une autre ? Parmi toutes les qualités que possèdent les postulants, pourquoi choisit-il de privilégier certaines et de mettre de côté d'autres ? Sur quels traits de caractère spécifiques se base-t-il pour envoyer les jeunes gens vers l'une des quatre maisons du collège ? Finalement, est-ce que la maison vers laquelle il nous a envoyé est réellement celle qui nous convient le mieux et a-t-elle réellement une influence sur notre futur et les actions que nous poserons ?

C'est ce qui résume l'idée principale de ma fic, comment quelques-uns uns des personnages principaux qui gravitent autour du « survivant » ont été repartis, qu'ont-ils entendu lorsque la petite voix soufflait à leur oreille ?

Chapitre 2

Un fils révolté

Le grand duc avait à peine pénétré dans la pièce qu'il avait déjà poussé un cri de joie, oui, enfin, il allait pouvoir étudier ce pourquoi il était sûr d'être né. Sa mère lui avait fait le plus beau des cadeaux lors de sa naissance et jamais il n'aurait pu la remercier comme il l'aurait voulu. Oui, il était sorcier, comme elle et non pas un être sans importance et sans contenu comme l'était son père. Il lui en voulait presque de ne pas avoir du sang pur à 100%, à cause de lui il devait se contenter de seulement une moitié d'un bagage génétique magique. Mais il allait leur montrer à tous qu'il n'avait rien d'une demi-portion, il allait être bon, non excellent, il allait être grand, non l'un des plus grand.

Lorsqu'il avait prit le train avec tous les autres élèves qui étudieraient à la célèbre école de sorcellerie et de magie de Poudlard, il avait bombé le torse, il était l'un des leurs pas seulement un simple moldu rêvant d'être plus puissant. Il serait puissant et il avait bien l'intention de tout apprendre et tout faire pour devenir quelqu'un d'important dans la communauté magique. Son ambition n'avait d'égal que son orgueil et sa persévérance.

Il attendait patiemment avec les autres premières années au bas d'un immense escalier, à sa droite se tenait un très grand et très imposant jeune homme. À vue d'?il on l'aurait prit pour un cinquième ou un sixième année par sa corpulence mais à l'air hébété et un peu apeuré qu'il affichait, il n'avait pas de doute que c'était également sa première année. Il se retourna légèrement pour tenter d'étudier les autres étudiants, à sa gauche, une jeune fille se tenait très droite et gardait la tête haute tout comme lui. Elle ne chuchotait pas non plus avec les autres élèves et observait d'un regard curieux mais qui ne trahissait pas d'émotion l'espace et les gens qui l'entouraient. Elle avait partagé son compartiment dans le train qui les avait amené jusqu'à Poudlard, l'école de sorcellerie et de magie de Grande-Bretagne. Ils n'avaient échangé que quelques mots dont leur nom mais le jeune homme ne s'en souvenait déjà plus. Mc Dougal, Mc Connor, non Mc Gonnagall, oui c'est ça, une écossaise pure et fière qui avait porté les couleurs de son clan sur son tartan et l'avait serré soigneusement dans sa malle avant de se changer pour revêtir sa robe officielle du collège.

La robe officielle du collège, il l'avait lui aussi revêtu avec soin, il était maintenant l'un des leurs, il n'était plus simplement un moldu, il était un être puissant, du moins, il le deviendrait, bientôt. Très bientôt se promit-il mentalement. Un petit homme replet venait d'apparaître en haut des marches et les incitait à le suivre. Les nouveaux arrivant marchèrent en file jusqu'à une immense salle qui coupa le souffle à plusieurs jeunes gens, lui-même fut impressionné mais il tenta de ne rien en laisser paraître. Il gardait la tête droite et son regard était fixé droit devant lui, il n'arborait ni sourire ni expression sur son visage. Un vieux chapeau tout rapiécé attendait sur un tabouret devant la table des professeurs, le jeune homme ne souleva qu'un sourcil en entendant l'objet parler. En fait, il chantait une chanson, ce qui semblait être une coutume quelconque puisque à part les premières années, personne dans la grande salle ne semblait surpris. Il écouta les rimes du chapeau, tentant d'en comprendre les sens cachés. Lorsque l'objet magique se tut, le professeur replet qui était venu les accueillir déroula un parchemin sur lequel devait être inscrit les noms des nouveaux élèves. Un à un, par ordre alphabétique, ils montèrent sur le tabouret et revêtait le chapeau appartenant à un autre âge.

Son tour vint rapidement, il se dirigea après avoir entendu son nom, l'air fier et imperturbable, vers le banc où se prenait les décisions des répartitions.

Alors qu'il s'assoyait, le dos bien droit, le professeur responsable lui mit le chapeau sur la tête. Il eut une brève pensée, se disant que c'était un procédé stupide que de laisser déterminer du destin des élèves à un chapeau vieux de plus de cent ans. Il révisa son opinion très rapidement lorsqu'il entendit à ses oreilles la voix de l'objet. Pourtant, il ne l'avait pas entendu pour ses prédécesseurs, ce devait être uniquement celui qui le posait sur sa tête qui avait le loisir d'entendre le déroulement des pensées du chapeau. Ce dernier lui disait à l'instant :

« - Je vois beaucoup d'amertume et de sentiments refoulés. Une personnalité forte sur le point d'exploser faisant fi des autres qui l'entoure. Énormément de possibilités, un héritage magique surprenant et très puissant. On est avide de démontrer ses capacités mais encore plus de les approfondir. Beaucoup de leadership et une force de persuasion peu commune. Serdaigle pourrait t'apporter beaucoup dans ton désir d'évolution et d'apprentissage mais ton bagage émotionnel et génétique ne trompent pas. C'est à Serpentard que tu iras, mais prend garde. À vouloir voler trop haut, on se brûle soit même trop souvent les ailes. »

Le vieux chapeau avait crié au et fort la nouvelle demeure du jeune homme qui fut applaudit par la table de ses représentants. Il avait été rejoindre ses nouveaux compatriotes sous les regards moqueurs des plus vieux qui prenaient plaisir à persécuter les nouveaux même ceux de leur maison. Ils auraient du prendre garde, ce « nouveau », n'était pas comme les autres et très bientôt, ils devraient l'appeler maître et ce sont eux qui frissonneraient seulement à l'idée de prononcer son nom qui ne fut plus pour très longtemps Tom Elvis Jedusor.

Le Seigneur des Ténèbres était arrivé à Poudlard et bientôt il prendrait les rênes de son pouvoir, écrasant, torturant et même tuant ceux qui osaient se mettre en travers de sa route. Nul ne pouvait se douter de ce qu'il allait devenir, sauf peut-être un vieux chapeau qui ne voyait le plafond magique qu'une seule fois par an.