Disclaimer : Évidement, cet univers merveilleux qu'est le monde fantastique de Harry Potter et compagnie est bien sûr propriété exclusive de madame J K Rowling. Cependant, je me permets de lui emprunter momentanément et sans prétention uniquement dans le but de laisser mes doigts jouer sur le clavier de mon ordinateur pour tenter de sortir quelques histoires qui germent dans mon imagination depuis trop longtemps.

N/A : Veuillez humblement m'excuser pour les fautes d'orthographe qui pourraient se glisser dans mon texte.

Prologue : Le choixpeau, quelle idée fantastique qu'à eut Godric Griffondor. C'est l'instrument idéal pour répartir les nouveaux élèves qui font leur entrée dans le monde fabuleux du collège de sorcellerie et de magie de Poudlard. Personne ne peut l'outre passer, tout le monde respecte son choix même si parfois on remet son opinion en doute, on finit toujours par comprendre ses motivations et consentir qu'il avait raison de répartir les élèves ainsi.

Pourquoi envoyer tel ou tel étudiants vers telle ou telle maison et non pas vers une autre ? Parmi toutes les qualités que possèdent les postulants, pourquoi choisit-il de privilégier certaines et de mettre de côté d'autres ? Sur quels traits de caractère spécifiques se base-t-il pour envoyer les jeunes gens vers l'une des quatre maisons du collège ? Finalement, est-ce que la maison vers laquelle il nous a envoyé est réellement celle qui nous convient le mieux et a-t-elle réellement une influence sur notre futur et les actions que nous poserons ?

C'est ce qui résume l'idée principale de ma fic, comment quelques-uns uns des personnages principaux qui gravitent autour du « survivant » ont été repartis, qu'ont-ils entendu lorsque la petite voix soufflait à leur oreille ?

Chapitre 3

La moitié de l'autre

Il attendait tout aussi excité que les autres premières années, cependant, il avait un avantage sur plusieurs d'entre eux, ses frères lui avaient expliqué comment la répartition allait se dérouler. C'était utile parfois d'avoir des frères aînés qui vous ouvraient le chemin mais il y avait des inconvénients également. Ses frères avaient été de parfaits étudiants, recevant même des distinctions ce qui avait mis la barre très haute, leur mère en attendait autant de lui. Mais lui n'était pas comme ses frères, du moins pas comme ses aînés, car il faut dire qu'il était plus que complice avec l'un d'eux. Ils avaient tout partagé, TOUT.

Il tira légèrement sur la chemise de son uniforme qui était visiblement trop petite pour lui, c'était celle de l'un de ses frère mais lui avait grandi plus rapidement que l'ancien propriétaire de la chemise. Sa mère avait dit qu'elle lui en envoierait une autre rapidement dès que son père aurait eut l'augmentation qu'ils attendaient tous et qui malheureusement arriverait vraisemblablement après la rentrée scolaire.

Il savait que la vieille sorcière qui se tenait en haut des marches portait le nom de Mc Gonnagall, qu'elle était directrice adjointe et responsable de la maison de Griffondor, maison qui avait accueillit ses trois frères avant lui. Il savait q'elle était stricte mais juste et qu'elle faisait respecter le règlement à la lettre, d'autant plus par les élèves de sa maison. Elle les invitait à l'instant à la suivre pour rentrer dans la grande salle où, il le savait un chapeau allait donner un spectacle.

À vrai dire, il l'attendait ce spectacle, il avait très hâte d'entendre la fameuse chanson rendue célèbre maintenant. L'aîné de la famille avait bien tenté de lui fredonner l'air une fois ou deux mais il n'avait pas beaucoup de talent musical et les sons qui sortaient de sa bouche n'étaient pas très reconnaissable. De plus, l'un de ses autre frère, qui avait été répartit l'année d'avant, lui avait affirmé que la chanson changeait à tous les ans. Il ne savait pas pourquoi, mais il pensait que la chanson de cette année allait être mémorable, il était excité comme une puce.

C'est sans doute pour cela que le plafond magique ou les splendeurs du château ne l'impressionnèrent pas outre mesure, ou peut-être que le fait qu'il ait visité le Ministère de la Magie avec son père l'an d'avant l'avait préparé à la magnificence des lieux magiques célèbres et Poudlard était célèbre dans le monde entier. Enfin, le chapeau prit vie, une fente s'ouvrit et les mots tant attendus virent résonner à ses oreilles.

Il l'avait écouté presque religieusement, un sourire niait aux lèvres, il était certain qu'il ne l'oublierait jamais, elle était gravée à jamais dans sa mémoire. L'objet magique avait un humour très prononcé et unique, un peu comme lui. De voir le chapeau ainsi animé sur le tabouret lui suggérait une tonne d'idées toutes plus farfelues les unes que les autres. Les idées germaient dans sa tête à une vitesse record et il avait peur de ne pas pouvoir toutes les retenir pour pouvoir les réaliser. Il faudrait qu'il en parle avec son frère et très bientôt. Il risqua un regard à ce dernier qui avait lui aussi les yeux brillant d'excitation, d'un simple regard ils s'étaient compris, comme toujours.

La répartition commença et il dut attendre son tour, il était sûrement l'un des derniers puisque Mc Gonnagall semblait nommer les noms par ordre alphabétique. Il attendit mais se fut ardu car il avait hâte de faire plus ample connaissance avec le chapeau. Puis enfin se fut son tour, enfin.

« - Tien tien, une autre tête rousse, woah.. Quel changement. Curieux mélange en effet. Un sens de l'humour surdéveloppé, très très intelligent. Probablement l'un des meilleurs candidat à la succession des Maraudeurs. Tu laisseras sans doute également ta trace mais sûrement pas seul, en équipe c'est bien mieux. On ne veut pas être séparé. On a peur de décevoir maman si on ne va pas dans la bonne maison mais en même temps on dénote un refus chronique de ressembler à ses aînés. Il y a trop d'intelligence et de joie de vivre pour t'envoyer ailleurs qu'à Griffondor. »

Le dernier mot avait été prononcé à voix haute et déjà il entendait la table désignée exploser sous les applaudissements. Mais lui seul entendit les derniers mots que le chapeau lui chuchota avant que Mc Gonnagall ne lui retire :

« - Le rire soulage tous les maux du monde mais seul le sot rit des maux du monde. »

Fred Weasley se souviendra de ses mots toute sa vie.