Disclaimer : Évidement, cet univers merveilleux qu'est le monde fantastique
de Harry Potter et compagnie est bien sûr propriété exclusive de madame J K
Rowling. Cependant, je me permets de lui emprunter momentanément et sans
prétention uniquement dans le but de laisser mes doigts jouer sur le
clavier de mon ordinateur pour tenter de sortir quelques histoires qui
germent dans mon imagination depuis trop longtemps.
N/A : Veuillez humblement m'excuser pour les fautes d'orthographe qui pourraient se glisser dans mon texte.
Réponse au rewiews : Un gros merci à tous ceux qui prennent le temps de me lire même s'ils ne rewiew pas. Un merci tout particulier à Lyra et Laurent Jerry pour vos encouragements. Pour répondre à la question de Laurent Jerry, oui on aura droit à George mais il n'est pas prévu pour tout de suite, faudra attendre. Ce sera la dernière fois que je laisserai le prologue dans ce chapitre, de toute façon, si vous lisez jusqu'à ce chapitre, c'est que vous aurez compris l'idée de ma fic. Du moins je l'espère.
Prologue : Le choixpeau, quelle idée fantastique qu'à eut Godric Griffondor. C'est l'instrument idéal pour répartir les nouveaux élèves qui font leur entrée dans le monde fabuleux du collège de sorcellerie et de magie de Poudlard. Personne ne peut l'outre passer, tout le monde respecte son choix même si parfois on remet son opinion en doute, on finit toujours par comprendre ses motivations et consentir qu'il avait raison de répartir les élèves ainsi.
Pourquoi envoyer tel ou tel étudiants vers telle ou telle maison et non pas vers une autre ? Parmi toutes les qualités que possèdent les postulants, pourquoi choisit-il de privilégier certaines et de mettre de côté d'autres ? Sur quels traits de caractère spécifiques se base-t-il pour envoyer les jeunes gens vers l'une des quatre maisons du collège ? Finalement, est-ce que la maison vers laquelle il nous a envoyé est réellement celle qui nous convient le mieux et a-t-elle réellement une influence sur notre futur et les actions que nous poserons ?
C'est ce qui résume l'idée principale de ma fic, comment quelques-uns uns des personnages principaux qui gravitent autour du « survivant » ont été repartis, qu'ont-ils entendu lorsque la petite voix soufflait à leur oreille ?
Chapitre 4
Sorcier perdu à la recherche de guides.
Il était effrayé, non terrifié, presque pétrifié, comment allait-il pouvoir suivre toute une année scolaire sans avoir sa mère près de lui. Sans que maman lui rappelle gentiment qu'il a oublié un bouton, que ses lacets sont détachés ou encore ça lui prend deux bas pareils. Comment survivrait-il sans les bons petits plats cuisinés avec amour par sa mère uniquement pour lui ? Bien sûr, il en avait une réserve impressionnante dans sa malle, des provisions qu'elle avait dit, pour ne pas que tu oublies ton chez toi, avait-elle ajouté. Comment pourrait-il oublier son chez lui, c'était l'endroit le plus merveilleux du monde, du moins pour lui car il y était avec sa mère. Sa mère qui aimait par-dessus tout.
Pourquoi fallait-il qu'il parte étudier aussi loin d'elle ? Pourquoi fallait-il qu'il la quitte ? Ne pouvait-elle pas lui apprendre tout cela à la maison comme elle l'avait fait jusqu'à maintenant ? Pourquoi s'exiler à l'autre bout du pays, si loin de sa mère ? Il souffrait de devoir partir, il avait pleuré même toutes les nuits de la semaine avant son départ, sa mère l'avait consolé et rassuré. Qui le ferait maintenant ?
Bien sûr, il était fier d'avoir les même dons que sa mère, il avait hâte de pouvoir faire tout ce qu'elle faisait mais pour cela il devait la quitter et cela était selon lui la pire des torture. Rien au monde ne lui ferait aussi mal. Qu'y avait-il pour lui dans cette école ? Il ne connaissait aucun autre sorcier de son âge, il n'avait jamais eu de véritable ami auparavant ni moldu ni sorcier. Il était de nature introvertie, solitaire et renfermé. Il aimait observer les gens à distance, regarder leur réactions face à telle ou telle situation mais pratiquement jamais, il ne se mêlait à eux. Son monde se limitait à sa mère et cela lui convenait parfaitement, il n'avait jamais chercher à pousser plus loin son exploration du monde et c'est ce qui rendait cette séparation d'autant plus douloureuse.
Sa mère avait été tellement fière lorsqu'elle avait aperçu le hibou de Poudlard. Son fils irait étudier dans la même école où elle avait fait sa scolarité. Elle souhaitait pour lui ce qu'il y avait de meilleur et lui voulait lui offrir le meilleur. C'est pourquoi il s'était finalement résigné à la quitter pour aller étudier dans ce collège qui l'effrayait. Ce n'était pas qu'il était un cancre notoire, il était généralement dans la base moyenne mais il n'avait pas peur d'ouvrir les livres et de s'y plonger. Il savait qu'il devait travailler deux à trois fois plus fort que la majorité des autres élèves de son âge pour réussir correctement mais il n'abandonnait pas facilement.
Son voyage en train, il l'avait fait en silence, observant comme à son habitude les gens autour de lui. Il n'avait ouvert la bouche que trois fois pour se présenter aux autres élèves qui avaient voyagé dans le même compartiment que lui mais se fut tout. Il les avait épié cependant, l'air de rien derrière un vieux livre de classe que sa mère lui avait remis avant son départ. Quand même bien il aurait voulu parler, il n'aurait sans doute pas pu placer un mot, les autres occupants semblaient des plus verbomoteurs. Il les avait écouté, souriant parfois à leurs plaisanteries derrière son livre mais sans jamais se joindre à eux.
Pour l'instant, il attendait son tour près du tabouret où prenaient place les élèves préalablement nommés par une sorcière du nom de Mc Gonnagall. Il attendait d'y prendre place et de revêtir le chapeau qui allait décider de la maison qui l'accueillerait pour les sept prochaines années, les sept qu'il passerait loin de sa mère. Il redoutait cet instant, ce chapeau signifiait le point de non-retour, une fois qu'il l'aurait mis, il ne pourrait plus revenir en arrière et retourner auprès de sa mère innocemment comme il avait vécu jusqu'à maintenant.
C'était bien son nom qui venait d'être nommé, son cerveau lui intimait de marcher jusqu'au tabouret et de s'y asseoir, ce qu'il fit presque à regret. Fini le temps innocent passé auprès de l'être qu'il chérissait le plus au monde. Il entendit une petite voix souffler à son oreille, il sursauta, ne sachant pas que l'objet magique pouvait s'adresser à lui personnellement :
« - Hum, difficile, je vois beaucoup de loyauté. Tu suivrais partout ceux en qui tu crois. Tu choisiras au mieux des tes intérêts et tes choix se feront selon ce que tu croiras être le mieux pour toi. Une maison seulement pourrait t'aider à te définir une personnalité propre, t'aider à découvrir qui tu es et ce que tu vaux. Peut-être que cela t'aidera à faire les bons choix. Tu y découvriras également des valeurs nouvelles qui pèseront dans la balance lorsque tu auras à choisir dans quel chemin tu engages ta vie. »
Le choixpeau avait annoncé à la totalité de la grande salle que Peter Pettigrow allait être membre de la maison Griffondor.
Il y trouverait en effet au cours de ses sept années de scolarité, des valeurs nouvelles mais aussi des guides qui remplacèrent peu à peu l'unique être qui avait jusque là compté pour lui. Jamais ils n'avaient pris la place de sa mère mais il avait découvert des amis sincères sur qui il savait pouvoir compter.
Qu'avait bien pu lui offrir le Lord Noir pour faire pencher la balance en sa faveur, au détriment de la vie et du futur des seules personnes autres que sa mère avec qui il se sentait bien. Des seules autres personnes à avoir cru en lui à l'avoir accepté et épaulé. Le prix de sa trahison s'était payé en vies, qu'avait de plus le Seigneur des Ténèbres, que lui avait-il fait miroiter pour qu'il change de camp. Avait-il réellement changé de camp, n'était-ce pas déjà tout calculé, il suivait le guide qui lui offrait le plus, celui qui lui traçait le chemin qui lui convenait le mieux. D'abord sa mère, ensuite les autres maraudeurs et finalement Voldemort.
Une chose était cependant sûre, Celui-dont-on-ne-devait-pas-prononcer-le- nom, serait son dernier guide car on ne pouvait l'abandonner sans conséquence, personne ne quittait le mage noir sans en payer de sa propre vie. Tel était le prix à payer, il avait contribué à la mort de ses amis mais avait en même temps déterminé de sa propre mort sans même en avoir conscience.
N/A : Veuillez humblement m'excuser pour les fautes d'orthographe qui pourraient se glisser dans mon texte.
Réponse au rewiews : Un gros merci à tous ceux qui prennent le temps de me lire même s'ils ne rewiew pas. Un merci tout particulier à Lyra et Laurent Jerry pour vos encouragements. Pour répondre à la question de Laurent Jerry, oui on aura droit à George mais il n'est pas prévu pour tout de suite, faudra attendre. Ce sera la dernière fois que je laisserai le prologue dans ce chapitre, de toute façon, si vous lisez jusqu'à ce chapitre, c'est que vous aurez compris l'idée de ma fic. Du moins je l'espère.
Prologue : Le choixpeau, quelle idée fantastique qu'à eut Godric Griffondor. C'est l'instrument idéal pour répartir les nouveaux élèves qui font leur entrée dans le monde fabuleux du collège de sorcellerie et de magie de Poudlard. Personne ne peut l'outre passer, tout le monde respecte son choix même si parfois on remet son opinion en doute, on finit toujours par comprendre ses motivations et consentir qu'il avait raison de répartir les élèves ainsi.
Pourquoi envoyer tel ou tel étudiants vers telle ou telle maison et non pas vers une autre ? Parmi toutes les qualités que possèdent les postulants, pourquoi choisit-il de privilégier certaines et de mettre de côté d'autres ? Sur quels traits de caractère spécifiques se base-t-il pour envoyer les jeunes gens vers l'une des quatre maisons du collège ? Finalement, est-ce que la maison vers laquelle il nous a envoyé est réellement celle qui nous convient le mieux et a-t-elle réellement une influence sur notre futur et les actions que nous poserons ?
C'est ce qui résume l'idée principale de ma fic, comment quelques-uns uns des personnages principaux qui gravitent autour du « survivant » ont été repartis, qu'ont-ils entendu lorsque la petite voix soufflait à leur oreille ?
Chapitre 4
Sorcier perdu à la recherche de guides.
Il était effrayé, non terrifié, presque pétrifié, comment allait-il pouvoir suivre toute une année scolaire sans avoir sa mère près de lui. Sans que maman lui rappelle gentiment qu'il a oublié un bouton, que ses lacets sont détachés ou encore ça lui prend deux bas pareils. Comment survivrait-il sans les bons petits plats cuisinés avec amour par sa mère uniquement pour lui ? Bien sûr, il en avait une réserve impressionnante dans sa malle, des provisions qu'elle avait dit, pour ne pas que tu oublies ton chez toi, avait-elle ajouté. Comment pourrait-il oublier son chez lui, c'était l'endroit le plus merveilleux du monde, du moins pour lui car il y était avec sa mère. Sa mère qui aimait par-dessus tout.
Pourquoi fallait-il qu'il parte étudier aussi loin d'elle ? Pourquoi fallait-il qu'il la quitte ? Ne pouvait-elle pas lui apprendre tout cela à la maison comme elle l'avait fait jusqu'à maintenant ? Pourquoi s'exiler à l'autre bout du pays, si loin de sa mère ? Il souffrait de devoir partir, il avait pleuré même toutes les nuits de la semaine avant son départ, sa mère l'avait consolé et rassuré. Qui le ferait maintenant ?
Bien sûr, il était fier d'avoir les même dons que sa mère, il avait hâte de pouvoir faire tout ce qu'elle faisait mais pour cela il devait la quitter et cela était selon lui la pire des torture. Rien au monde ne lui ferait aussi mal. Qu'y avait-il pour lui dans cette école ? Il ne connaissait aucun autre sorcier de son âge, il n'avait jamais eu de véritable ami auparavant ni moldu ni sorcier. Il était de nature introvertie, solitaire et renfermé. Il aimait observer les gens à distance, regarder leur réactions face à telle ou telle situation mais pratiquement jamais, il ne se mêlait à eux. Son monde se limitait à sa mère et cela lui convenait parfaitement, il n'avait jamais chercher à pousser plus loin son exploration du monde et c'est ce qui rendait cette séparation d'autant plus douloureuse.
Sa mère avait été tellement fière lorsqu'elle avait aperçu le hibou de Poudlard. Son fils irait étudier dans la même école où elle avait fait sa scolarité. Elle souhaitait pour lui ce qu'il y avait de meilleur et lui voulait lui offrir le meilleur. C'est pourquoi il s'était finalement résigné à la quitter pour aller étudier dans ce collège qui l'effrayait. Ce n'était pas qu'il était un cancre notoire, il était généralement dans la base moyenne mais il n'avait pas peur d'ouvrir les livres et de s'y plonger. Il savait qu'il devait travailler deux à trois fois plus fort que la majorité des autres élèves de son âge pour réussir correctement mais il n'abandonnait pas facilement.
Son voyage en train, il l'avait fait en silence, observant comme à son habitude les gens autour de lui. Il n'avait ouvert la bouche que trois fois pour se présenter aux autres élèves qui avaient voyagé dans le même compartiment que lui mais se fut tout. Il les avait épié cependant, l'air de rien derrière un vieux livre de classe que sa mère lui avait remis avant son départ. Quand même bien il aurait voulu parler, il n'aurait sans doute pas pu placer un mot, les autres occupants semblaient des plus verbomoteurs. Il les avait écouté, souriant parfois à leurs plaisanteries derrière son livre mais sans jamais se joindre à eux.
Pour l'instant, il attendait son tour près du tabouret où prenaient place les élèves préalablement nommés par une sorcière du nom de Mc Gonnagall. Il attendait d'y prendre place et de revêtir le chapeau qui allait décider de la maison qui l'accueillerait pour les sept prochaines années, les sept qu'il passerait loin de sa mère. Il redoutait cet instant, ce chapeau signifiait le point de non-retour, une fois qu'il l'aurait mis, il ne pourrait plus revenir en arrière et retourner auprès de sa mère innocemment comme il avait vécu jusqu'à maintenant.
C'était bien son nom qui venait d'être nommé, son cerveau lui intimait de marcher jusqu'au tabouret et de s'y asseoir, ce qu'il fit presque à regret. Fini le temps innocent passé auprès de l'être qu'il chérissait le plus au monde. Il entendit une petite voix souffler à son oreille, il sursauta, ne sachant pas que l'objet magique pouvait s'adresser à lui personnellement :
« - Hum, difficile, je vois beaucoup de loyauté. Tu suivrais partout ceux en qui tu crois. Tu choisiras au mieux des tes intérêts et tes choix se feront selon ce que tu croiras être le mieux pour toi. Une maison seulement pourrait t'aider à te définir une personnalité propre, t'aider à découvrir qui tu es et ce que tu vaux. Peut-être que cela t'aidera à faire les bons choix. Tu y découvriras également des valeurs nouvelles qui pèseront dans la balance lorsque tu auras à choisir dans quel chemin tu engages ta vie. »
Le choixpeau avait annoncé à la totalité de la grande salle que Peter Pettigrow allait être membre de la maison Griffondor.
Il y trouverait en effet au cours de ses sept années de scolarité, des valeurs nouvelles mais aussi des guides qui remplacèrent peu à peu l'unique être qui avait jusque là compté pour lui. Jamais ils n'avaient pris la place de sa mère mais il avait découvert des amis sincères sur qui il savait pouvoir compter.
Qu'avait bien pu lui offrir le Lord Noir pour faire pencher la balance en sa faveur, au détriment de la vie et du futur des seules personnes autres que sa mère avec qui il se sentait bien. Des seules autres personnes à avoir cru en lui à l'avoir accepté et épaulé. Le prix de sa trahison s'était payé en vies, qu'avait de plus le Seigneur des Ténèbres, que lui avait-il fait miroiter pour qu'il change de camp. Avait-il réellement changé de camp, n'était-ce pas déjà tout calculé, il suivait le guide qui lui offrait le plus, celui qui lui traçait le chemin qui lui convenait le mieux. D'abord sa mère, ensuite les autres maraudeurs et finalement Voldemort.
Une chose était cependant sûre, Celui-dont-on-ne-devait-pas-prononcer-le- nom, serait son dernier guide car on ne pouvait l'abandonner sans conséquence, personne ne quittait le mage noir sans en payer de sa propre vie. Tel était le prix à payer, il avait contribué à la mort de ses amis mais avait en même temps déterminé de sa propre mort sans même en avoir conscience.
