Disclaimer : Comme vous vous en doutez, rien de ce monde magique n'est à
moi, le tout appartient à une certaine Joanne Katherine Rowling, ma grande
amie JKR qui permet à mon imagination d'atteindre des lieux où je n'étais
jamais encore allé.
N/A : Je tiens à spécifier pour ma défense que le français était la matière où j'éprouvais le plus de difficulté lorsque je fréquentais l'école. En fait j'aimais bien littérature et à la limite la composition mais je perdais tous mes points avec le nombre incalculable de fautes que je laissais dans mes écrits et ce malgré plusieurs révision de ma part. Je suis plus douée pour trouver les fautes des autres et totalement nulle pour ce qui est des miennes. Aussi j'espère que vous m'excuserez si vous en rencontrez quelques-unes unes au détour des mes phrases.
Chapitre 6
Fidèle à lui-même et à son environnement
Le nouvel environnement qu'il découvrait lui aussi pour la première fois l'émerveillait au plus haut point. En fait, il admirait le génie des quatre créateurs de cette école. Il les connaissait, il avait lu l'histoire de Poudlard, il savait que Griffondor, Poufsouffle, Serdaigle et Serpentard, les quatre plus grands sorciers de leur temps, s'étaient unis pour créer un lieu pour accueillir les sorciers de Grande-Bretagne pour leur permettre d'acquérir une éducation magique de qualité et qui serait offerte à tous sans distinction. C'est ce dernier point de vue avait été la cause du différent entre les quatre sorciers. Un certain Salazar Serpentard ne voulait accepter dans le collège que les enfants qui auraient en eux du sang pur, aucun descendant de familles moldues ne pouvait prétendre selon lui à recevoir une éducation magique de qualité. Les trois autres étaient plus ouverts d'esprit et savaient pertinemment que des sorciers de sang pur n'avaient rien de plus que ceux provenant de familles moldues.
Son cerveau n'arrivait pas à assimiler toutes les nouvelles données qu'il recevait, les yeux du jeune homme allaient et venaient en s'agrandissant à chaque nouvelle chose qu'il découvrait. Il se promit mentalement de revenir étudier l'architecture d'une volute ou se renseigner sur le nom du créateur d'une statue qui trônait dans le grand hall. Depuis qu'il était tout jeune, il adorait se cultiver, toujours apprendre plus. Il s'était installer une routine dès qu'il avait su lire sans l'aide de l'un ou l'autre de ses parents, ainsi il avait appris bien plus de chose qu'en savait un enfant de son âge. Sa culture générale était même meilleure que certains adultes et il en était très fier.
Sa mère et son père étant également sorciers, il s'attendait bien sûr à recevoir sa lettre l'invitant à se joindre aux nouveaux élèves pour la rentrée de cette année là. Une part de lui avait eu peur de ne jamais la recevoir, il avait tellement espéré pouvoir étudier dans ce collège qui prenait en réputation plus les années passaient. Il en rêvait même le soir, se voyant dans les salles de cours, écoutant religieusement les maîtres, apprenant par c?ur leurs préceptes. L'idée qu'il pouvait être crakmol l'obsédait, il voulait apprendre, apprendre toujours plus et à la longue, il s'était fait à l'idée que si jamais la lettre de Poudlard n'arrivait jamais, il n'aurait qu'à poursuivre ses études moldues. Cependant, il doutait qu'il y ait autant de chose à étudier dans le monde moldu que dans le monde de la magie.
Finalement la lettre était arrivée, il n'avait pas sauté de joie, uniquement sourit à ses parents qui eux l'avaient simplement félicité. Cette famille n'exposait jamais ses sentiments, il n'y avait jamais d'explosion de joie, les rires étaient discrets et les pleurs étaient de nature solitaire. Élevé ainsi depuis son plus jeune âge, le jeune homme ne laissait jamais paraître ce qu'il ressentait, son visage ne révélait aucune expression, simplement un haussement de sourcil pouvait prouver qu'il ne s'agissait pas d'un être sans c?ur. Bien sûr qu'il était heureux de devenir étudiant au collège de sorcellerie et de magie mais est-ce que cela nécessitait une effusion de joie ? Il en aurait probablement été incapable de toute façon, ne sachant comment faire.
Son voyage en diligence jusqu'à l'école aurait pu être très long s'il n'avait pas pensé à apporter avec lui dans le compartiment un livre. Les deux autres jeunes gens l'accompagnant comprirent très rapidement qu'il ne serait pas d'une grande loquacité et avaient abandonné l'idée qu'il se joigne à leur conversation mais cela n'avait aucunement offusqué le jeune homme, préférant la quiétude de son livre à la frivolité d'une discussion qui ne mènerait nulle part de toute façon. Pourquoi les gens discutaient toujours de choses pas très utiles ? Le temps serait bien mieux utilisé si les gens avaient des discussions uniquement pratiques et ayant un but concret.
Des milliers de chandelles flottaient magiquement au-dessus de leur tête, éclairant la grande salle. Des élèves plus âgés attendaient patiemment à quatre tables parallèles les unes des autres. Une seule table était perpendiculaire, celle des professeurs, un tabouret occupait le centre de la place et sur lui, un chapeau auquel on venait sans doute depuis peu d'ajouter un morceau de feutre, sûrement pour cacher un trou. Alors que le silence régnait dans la grande pièce, le jeune homme ainsi que tous les autres gens présents virent une fente s'ouvrir dans le dit chapeau et l'objet magique se mit à chanter une chanson, humoristique qui résumait brièvement l'histoire qu'il avait lue auparavant dans le livre officiel de l'école. Puis, un homme d'un certain âge, l'homme qui les avait accueillis lors de leur arrivée, déroula un bout de parchemin et commença à nommer les noms des nouveaux élèves inscrits pour cette rentrée. Son nom vint rapidement, il se dirigea comme ses prédécesseurs vers le banc et y prit place pour ensuite entendre le choixpeau lui parler à l'oreille :
« - Woah ! Aucun doute possible, une seule maison peut convenir à un jeune homme tel que toi. T'es une personne avec un énorme respect pour l'éducation, l'apprentissage et les sciences. Je vois un être posé et réfléchis peut-être un peu trop même. L'intelligence et la sagesse ne riment pas nécessairement avec routine et habitude. La constance, l'invariabilité, la régularité et l'opiniâtreté sont de belles qualités mais uniquement lorsqu'elles sont consommées avec modération. Trop de ces dernières feront de toi un être assommant, ennuyeux et tu pourrais perdre bien plus que l'estime des gens qui te côtoieront. Cependant, je sens que tu vas beaucoup apprécier ce lieu de savoir, ton attachement pour cette école dépassera de beaucoup la moyenne, tu y resteras attaché même au-delà des limites de la moyenne des gens. »
Le choixpeau déclara haut et fort la nouvelle maison du jeune homme, comme l'avait dit l'ancien chapeau de Griffondor, une seule maison pouvait accueillir un nouvel élève tel que lui : Serdaigle. Il s'était dirigé vers cette table qui l'applaudissait pour lui souhaiter la bienvenue. Il se sentait déjà très bien dans cet univers pourtant nouveau pour lui. Tellement bien qu'après ses études, il y devint professeur et rien ne pouvait l'empêcher d'enseigner même pas la mort. Le professeur Binn fut le premier enseignant fantôme du collège et certains élèves espéraient fortement que ce soit le dernier car comme l'avait prédit le choixpeau ce qui apparaissaient comme de belles qualités alors qu'il était jeune devenaient les pires défauts pour ses étudiants.
N/A : Je tiens à spécifier pour ma défense que le français était la matière où j'éprouvais le plus de difficulté lorsque je fréquentais l'école. En fait j'aimais bien littérature et à la limite la composition mais je perdais tous mes points avec le nombre incalculable de fautes que je laissais dans mes écrits et ce malgré plusieurs révision de ma part. Je suis plus douée pour trouver les fautes des autres et totalement nulle pour ce qui est des miennes. Aussi j'espère que vous m'excuserez si vous en rencontrez quelques-unes unes au détour des mes phrases.
Chapitre 6
Fidèle à lui-même et à son environnement
Le nouvel environnement qu'il découvrait lui aussi pour la première fois l'émerveillait au plus haut point. En fait, il admirait le génie des quatre créateurs de cette école. Il les connaissait, il avait lu l'histoire de Poudlard, il savait que Griffondor, Poufsouffle, Serdaigle et Serpentard, les quatre plus grands sorciers de leur temps, s'étaient unis pour créer un lieu pour accueillir les sorciers de Grande-Bretagne pour leur permettre d'acquérir une éducation magique de qualité et qui serait offerte à tous sans distinction. C'est ce dernier point de vue avait été la cause du différent entre les quatre sorciers. Un certain Salazar Serpentard ne voulait accepter dans le collège que les enfants qui auraient en eux du sang pur, aucun descendant de familles moldues ne pouvait prétendre selon lui à recevoir une éducation magique de qualité. Les trois autres étaient plus ouverts d'esprit et savaient pertinemment que des sorciers de sang pur n'avaient rien de plus que ceux provenant de familles moldues.
Son cerveau n'arrivait pas à assimiler toutes les nouvelles données qu'il recevait, les yeux du jeune homme allaient et venaient en s'agrandissant à chaque nouvelle chose qu'il découvrait. Il se promit mentalement de revenir étudier l'architecture d'une volute ou se renseigner sur le nom du créateur d'une statue qui trônait dans le grand hall. Depuis qu'il était tout jeune, il adorait se cultiver, toujours apprendre plus. Il s'était installer une routine dès qu'il avait su lire sans l'aide de l'un ou l'autre de ses parents, ainsi il avait appris bien plus de chose qu'en savait un enfant de son âge. Sa culture générale était même meilleure que certains adultes et il en était très fier.
Sa mère et son père étant également sorciers, il s'attendait bien sûr à recevoir sa lettre l'invitant à se joindre aux nouveaux élèves pour la rentrée de cette année là. Une part de lui avait eu peur de ne jamais la recevoir, il avait tellement espéré pouvoir étudier dans ce collège qui prenait en réputation plus les années passaient. Il en rêvait même le soir, se voyant dans les salles de cours, écoutant religieusement les maîtres, apprenant par c?ur leurs préceptes. L'idée qu'il pouvait être crakmol l'obsédait, il voulait apprendre, apprendre toujours plus et à la longue, il s'était fait à l'idée que si jamais la lettre de Poudlard n'arrivait jamais, il n'aurait qu'à poursuivre ses études moldues. Cependant, il doutait qu'il y ait autant de chose à étudier dans le monde moldu que dans le monde de la magie.
Finalement la lettre était arrivée, il n'avait pas sauté de joie, uniquement sourit à ses parents qui eux l'avaient simplement félicité. Cette famille n'exposait jamais ses sentiments, il n'y avait jamais d'explosion de joie, les rires étaient discrets et les pleurs étaient de nature solitaire. Élevé ainsi depuis son plus jeune âge, le jeune homme ne laissait jamais paraître ce qu'il ressentait, son visage ne révélait aucune expression, simplement un haussement de sourcil pouvait prouver qu'il ne s'agissait pas d'un être sans c?ur. Bien sûr qu'il était heureux de devenir étudiant au collège de sorcellerie et de magie mais est-ce que cela nécessitait une effusion de joie ? Il en aurait probablement été incapable de toute façon, ne sachant comment faire.
Son voyage en diligence jusqu'à l'école aurait pu être très long s'il n'avait pas pensé à apporter avec lui dans le compartiment un livre. Les deux autres jeunes gens l'accompagnant comprirent très rapidement qu'il ne serait pas d'une grande loquacité et avaient abandonné l'idée qu'il se joigne à leur conversation mais cela n'avait aucunement offusqué le jeune homme, préférant la quiétude de son livre à la frivolité d'une discussion qui ne mènerait nulle part de toute façon. Pourquoi les gens discutaient toujours de choses pas très utiles ? Le temps serait bien mieux utilisé si les gens avaient des discussions uniquement pratiques et ayant un but concret.
Des milliers de chandelles flottaient magiquement au-dessus de leur tête, éclairant la grande salle. Des élèves plus âgés attendaient patiemment à quatre tables parallèles les unes des autres. Une seule table était perpendiculaire, celle des professeurs, un tabouret occupait le centre de la place et sur lui, un chapeau auquel on venait sans doute depuis peu d'ajouter un morceau de feutre, sûrement pour cacher un trou. Alors que le silence régnait dans la grande pièce, le jeune homme ainsi que tous les autres gens présents virent une fente s'ouvrir dans le dit chapeau et l'objet magique se mit à chanter une chanson, humoristique qui résumait brièvement l'histoire qu'il avait lue auparavant dans le livre officiel de l'école. Puis, un homme d'un certain âge, l'homme qui les avait accueillis lors de leur arrivée, déroula un bout de parchemin et commença à nommer les noms des nouveaux élèves inscrits pour cette rentrée. Son nom vint rapidement, il se dirigea comme ses prédécesseurs vers le banc et y prit place pour ensuite entendre le choixpeau lui parler à l'oreille :
« - Woah ! Aucun doute possible, une seule maison peut convenir à un jeune homme tel que toi. T'es une personne avec un énorme respect pour l'éducation, l'apprentissage et les sciences. Je vois un être posé et réfléchis peut-être un peu trop même. L'intelligence et la sagesse ne riment pas nécessairement avec routine et habitude. La constance, l'invariabilité, la régularité et l'opiniâtreté sont de belles qualités mais uniquement lorsqu'elles sont consommées avec modération. Trop de ces dernières feront de toi un être assommant, ennuyeux et tu pourrais perdre bien plus que l'estime des gens qui te côtoieront. Cependant, je sens que tu vas beaucoup apprécier ce lieu de savoir, ton attachement pour cette école dépassera de beaucoup la moyenne, tu y resteras attaché même au-delà des limites de la moyenne des gens. »
Le choixpeau déclara haut et fort la nouvelle maison du jeune homme, comme l'avait dit l'ancien chapeau de Griffondor, une seule maison pouvait accueillir un nouvel élève tel que lui : Serdaigle. Il s'était dirigé vers cette table qui l'applaudissait pour lui souhaiter la bienvenue. Il se sentait déjà très bien dans cet univers pourtant nouveau pour lui. Tellement bien qu'après ses études, il y devint professeur et rien ne pouvait l'empêcher d'enseigner même pas la mort. Le professeur Binn fut le premier enseignant fantôme du collège et certains élèves espéraient fortement que ce soit le dernier car comme l'avait prédit le choixpeau ce qui apparaissaient comme de belles qualités alors qu'il était jeune devenaient les pires défauts pour ses étudiants.
