Disclaimer : C'est devenu de la répétition mais que voulez-vous, rien ne
m'appartient tout vient directement de l'imagination d'une autre femme, une
certaine JKR, vous connaissez ?
N/A : Même excuses sur l'état de mon français qui pourrait en choquer quelques-uns. Désolée
Réponses aux rewiews : MERCI MERCI MERCI, j'adore ouvrir mon adresse de messagerie et découvrir que certains d'entre vous on prit le temps de me laisser un petit mot. Une note spéciale à Laurent Jerry : je ne sais pas si tu t'en aies aperçu mais c'est mon but que de vous mystifier et je suis heureuse de réussir presque à tous les coups à de mettre échec et mat, moi qui ne suis pourtant pas si bonne que cela aux échecs.
Chapitre 9
Un c?ur si vaste
La jeune fille timide qu'elle était avait fait le voyage en train sans même oser lever les yeux de ses souliers. En fait, elle les avait levés mais elle les rabaissait à la vitesse de l'éclair dès qu'elle croisait le regard des autres passagers. Elle était de nature gênée, du moins les première fois que l'on l'approchait car dès que l'on la connaissait un peu mieux, on découvrait un être exceptionnel, rempli de tendresse mais aussi d'une joie de vivre hors du commun. Elle aimait rire et son rire sonnait comme une douce mélodie aux oreilles des gens qui avaient le plaisir de l'entendre. Dans ces moments là, ses yeux revêtaient une douce lueur, on aurait dit qu'ils brillaient de milles feux.
Pour avoir ce privilège, il fallait d'abord combattre sa timidité et comme pour l'instant elle se retrouvait dans un environnement qu'elle ne connaissait pas, la première impression de ses compagnons de voyage était qu'elle était une jeune fille timide n'osant même pas les regarder et encore moi leur parler. D'un point de vue extérieur, elle n'était qu'une jeune fille arborant deux jolies tresses flamboyantes, au regard fuyant et à la communication restreinte. C'était mal la connaître. Ils avaient sept ans pour mieux la cerner et apprendre à l'apprécier.
Un faible sourire étira ses lèvres lorsqu'elle repensa à la l'accueil que sa famille avait réservé au hibou venu lui porter son acceptation au collège de sorcellerie et de magie de Poudlard. Sa mère avait tout arrêté dans la maison, elle avait même demandé à ses frères d'arrêter leurs jeux pour venir féliciter leur s?ur qui avait été admise dans l'école la plus prestigieuse de Grande-Bretagne. Lorsque son père était revenu du travail, il l'avait chaudement félicité lui aussi et elle eut droit ce soir là au festin que réservait sa mère dans ses occasions là. Sa mère lui avait confectionné tous ses plats préférés ainsi que le dessert dont elle raffolait ; de la crème caramel, hummm, en plus, sa mère était la seule sorcière au monde à la faire aussi bonne, du moins c'est ce qu'elle pensait réellement. Sa mère, ses frères, son père, toute sa famille en fait, elle les adorait, elle aurait tout donné sans hésiter un seul instant si l'un d'eux était dans le besoin.
C'était un des points qui la caractérisait le plus, c'était en fait un fait qui s'observait à l'?il nu dans toute sa famille. Ses tantes et oncles chérissaient autant leur famille, c'était plus qu'une tradition, c'était profondément encré dans leurs valeurs et ce depuis des générations. Sa famille était sorcière depuis des lustres, l'une des familles les plus respectées de la communauté magique et ce autant du côté de sa mère que du côté de son père. On n'était pas contre les alliances hors communauté magique, loin de là mais ils étaient plus rares ses couples formés d'un sorcier et un moldu. Peut-être simplement que les membres des deux familles éprouvaient le coup de foudre dès leur jeune âge car on remarquait beaucoup de couples qui se sont formés alors qu'ils étaient encore que des gamins et qui durait aussi solide qu'au premier jour.
Elle avait traversé le lac dans l'une des dernières chaloupes, s'assurant ainsi d'être parmi les dernières à entrer dans l'immense château qui lui avait coupé le souffle lorsqu'elle l'avait vu. Tout un bâtiment et l'intérieur était encore mieux, elle jetait des regards furtifs aux différents éléments qui passaient dans son champ de vision lorsqu'elle tournait lentement la tête. Elle était curieuse et aimait découvrir des choses nouvelles et ce château semblait être une mine inépuisable de trésors qui ne demandaient qu'à être découverts. Une sorcière se tenait au haut des marches, attendant les nouveaux élèves fraîchement débarqués du lac, elle se présenta et les pria de bien vouloir la suivre jusqu'à la grande salle. Lorsqu'elle pénétra avec les autres nouveaux arrivants et fut émerveillée, cette fois, pas question de baiser les yeux, le plafond qui reflétait exactement le temps extérieur, les milliers de chandelles qui flottaient ainsi que tout le reste valaient bien la peine qu'on les regarde ouvertement. Que de splendeur. Le directeur, un homme à barbe grisonnante leur souhaita la bienvenue et bientôt, la répartition en tant que telle débuta. Le professeur de métamorphose les appela à tour de rôle et par ordre alphabétique. Heureusement qu'elle était l'une des dernières, elle n'avait pas ainsi à constamment laisser passer les appelés. Bientôt, trop tôt au goût de la jeune femme, son nom fut nommé. Elle se dirigea, prenant bien garde de toujours fixer le sol et le bout de ses chaussures, vers le banc où trônait le choixpeau. Elle s'assit en sentant tous les regards de la grande salle rivés sur elle, ce qui la mettait visiblement mal à l'aise, dès que le chapeau fut posé sur sa tête, elle ne vit plus rien, à raison que l'objet magique était bien trop grand pour elle et bientôt elle entendit une voix à ses oreilles :
« - Que voilà, une jeune femme forte et robuste, pleine de vigueur et d'énergie mais elle prend bien garde de bien le cacher derrière sa timidité. Une personnalité déterminée et décidée. Tout de même une tendance à être bouillante, le sage ne chercherait pas à te pousser à bout. Tu sais tout de même être douce, attentionnée, fidèle et prévenante. Tu donnerais bien plus que ta robe de sorcière pour ceux à qui tu tiens et que tu affectionnes. Ton c?ur est immense et des êtres d'exception l'empliront sans aucun doute mais seul le sot chercherait à en abuser. Ta vie tu la vivras d'abord pour les autres mais ces derniers t'apporteront également beaucoup. Je ne crois pas trop m'avancer en disant que ton avenir sera fait entièrement de rouge. »
Le chapeau rapièce de toutes part s'était une nouvelle fois entre ouvert pour déclarer haut et fort la nouvelle maison de la jeune fille : Griffondor. Elle avait été rejoindre cette table qui l'applaudissait à tout rompre pour lui souhaiter la bienvenue, elle en était très heureuse, ses joues avaient rosi et elle gardait le regard bas en se présentant à ses nouveaux compatriotes. Lorsqu'elle avait rejoint après le banquet la salle commune dans la tour derrière le portrait de la grosse dame en rose, elle avait cru comprendre les propos du choixpeau. Ton avenir sera fait de rouge. Elle n'avait pas fait le rapprochement avec la couleur de ses cheveux et même dans ses rêves les plus fous, elle n'aurait jamais imaginé que son futur allait être peuplé de rouge. Plus exactement de roux. On lui aurait dit ce soir là que peu après avoir reçu son diplôme de Poudlard, elle épouserait un roux avec qui elle aurait sept enfants tous aussi roux qu'eux, qu'elle vivrait pauvrement mais heureuse, entourée d'un mari aimant et d'enfants turbulents mais au combien attachants.
La jeune Molly s'endormit cette nuit là en souhaitant être heureuse dans son futur, ne sachant pas que c'était ce que venait de lui prédire à mots plus que couverts le choixpeau.
N/A : Même excuses sur l'état de mon français qui pourrait en choquer quelques-uns. Désolée
Réponses aux rewiews : MERCI MERCI MERCI, j'adore ouvrir mon adresse de messagerie et découvrir que certains d'entre vous on prit le temps de me laisser un petit mot. Une note spéciale à Laurent Jerry : je ne sais pas si tu t'en aies aperçu mais c'est mon but que de vous mystifier et je suis heureuse de réussir presque à tous les coups à de mettre échec et mat, moi qui ne suis pourtant pas si bonne que cela aux échecs.
Chapitre 9
Un c?ur si vaste
La jeune fille timide qu'elle était avait fait le voyage en train sans même oser lever les yeux de ses souliers. En fait, elle les avait levés mais elle les rabaissait à la vitesse de l'éclair dès qu'elle croisait le regard des autres passagers. Elle était de nature gênée, du moins les première fois que l'on l'approchait car dès que l'on la connaissait un peu mieux, on découvrait un être exceptionnel, rempli de tendresse mais aussi d'une joie de vivre hors du commun. Elle aimait rire et son rire sonnait comme une douce mélodie aux oreilles des gens qui avaient le plaisir de l'entendre. Dans ces moments là, ses yeux revêtaient une douce lueur, on aurait dit qu'ils brillaient de milles feux.
Pour avoir ce privilège, il fallait d'abord combattre sa timidité et comme pour l'instant elle se retrouvait dans un environnement qu'elle ne connaissait pas, la première impression de ses compagnons de voyage était qu'elle était une jeune fille timide n'osant même pas les regarder et encore moi leur parler. D'un point de vue extérieur, elle n'était qu'une jeune fille arborant deux jolies tresses flamboyantes, au regard fuyant et à la communication restreinte. C'était mal la connaître. Ils avaient sept ans pour mieux la cerner et apprendre à l'apprécier.
Un faible sourire étira ses lèvres lorsqu'elle repensa à la l'accueil que sa famille avait réservé au hibou venu lui porter son acceptation au collège de sorcellerie et de magie de Poudlard. Sa mère avait tout arrêté dans la maison, elle avait même demandé à ses frères d'arrêter leurs jeux pour venir féliciter leur s?ur qui avait été admise dans l'école la plus prestigieuse de Grande-Bretagne. Lorsque son père était revenu du travail, il l'avait chaudement félicité lui aussi et elle eut droit ce soir là au festin que réservait sa mère dans ses occasions là. Sa mère lui avait confectionné tous ses plats préférés ainsi que le dessert dont elle raffolait ; de la crème caramel, hummm, en plus, sa mère était la seule sorcière au monde à la faire aussi bonne, du moins c'est ce qu'elle pensait réellement. Sa mère, ses frères, son père, toute sa famille en fait, elle les adorait, elle aurait tout donné sans hésiter un seul instant si l'un d'eux était dans le besoin.
C'était un des points qui la caractérisait le plus, c'était en fait un fait qui s'observait à l'?il nu dans toute sa famille. Ses tantes et oncles chérissaient autant leur famille, c'était plus qu'une tradition, c'était profondément encré dans leurs valeurs et ce depuis des générations. Sa famille était sorcière depuis des lustres, l'une des familles les plus respectées de la communauté magique et ce autant du côté de sa mère que du côté de son père. On n'était pas contre les alliances hors communauté magique, loin de là mais ils étaient plus rares ses couples formés d'un sorcier et un moldu. Peut-être simplement que les membres des deux familles éprouvaient le coup de foudre dès leur jeune âge car on remarquait beaucoup de couples qui se sont formés alors qu'ils étaient encore que des gamins et qui durait aussi solide qu'au premier jour.
Elle avait traversé le lac dans l'une des dernières chaloupes, s'assurant ainsi d'être parmi les dernières à entrer dans l'immense château qui lui avait coupé le souffle lorsqu'elle l'avait vu. Tout un bâtiment et l'intérieur était encore mieux, elle jetait des regards furtifs aux différents éléments qui passaient dans son champ de vision lorsqu'elle tournait lentement la tête. Elle était curieuse et aimait découvrir des choses nouvelles et ce château semblait être une mine inépuisable de trésors qui ne demandaient qu'à être découverts. Une sorcière se tenait au haut des marches, attendant les nouveaux élèves fraîchement débarqués du lac, elle se présenta et les pria de bien vouloir la suivre jusqu'à la grande salle. Lorsqu'elle pénétra avec les autres nouveaux arrivants et fut émerveillée, cette fois, pas question de baiser les yeux, le plafond qui reflétait exactement le temps extérieur, les milliers de chandelles qui flottaient ainsi que tout le reste valaient bien la peine qu'on les regarde ouvertement. Que de splendeur. Le directeur, un homme à barbe grisonnante leur souhaita la bienvenue et bientôt, la répartition en tant que telle débuta. Le professeur de métamorphose les appela à tour de rôle et par ordre alphabétique. Heureusement qu'elle était l'une des dernières, elle n'avait pas ainsi à constamment laisser passer les appelés. Bientôt, trop tôt au goût de la jeune femme, son nom fut nommé. Elle se dirigea, prenant bien garde de toujours fixer le sol et le bout de ses chaussures, vers le banc où trônait le choixpeau. Elle s'assit en sentant tous les regards de la grande salle rivés sur elle, ce qui la mettait visiblement mal à l'aise, dès que le chapeau fut posé sur sa tête, elle ne vit plus rien, à raison que l'objet magique était bien trop grand pour elle et bientôt elle entendit une voix à ses oreilles :
« - Que voilà, une jeune femme forte et robuste, pleine de vigueur et d'énergie mais elle prend bien garde de bien le cacher derrière sa timidité. Une personnalité déterminée et décidée. Tout de même une tendance à être bouillante, le sage ne chercherait pas à te pousser à bout. Tu sais tout de même être douce, attentionnée, fidèle et prévenante. Tu donnerais bien plus que ta robe de sorcière pour ceux à qui tu tiens et que tu affectionnes. Ton c?ur est immense et des êtres d'exception l'empliront sans aucun doute mais seul le sot chercherait à en abuser. Ta vie tu la vivras d'abord pour les autres mais ces derniers t'apporteront également beaucoup. Je ne crois pas trop m'avancer en disant que ton avenir sera fait entièrement de rouge. »
Le chapeau rapièce de toutes part s'était une nouvelle fois entre ouvert pour déclarer haut et fort la nouvelle maison de la jeune fille : Griffondor. Elle avait été rejoindre cette table qui l'applaudissait à tout rompre pour lui souhaiter la bienvenue, elle en était très heureuse, ses joues avaient rosi et elle gardait le regard bas en se présentant à ses nouveaux compatriotes. Lorsqu'elle avait rejoint après le banquet la salle commune dans la tour derrière le portrait de la grosse dame en rose, elle avait cru comprendre les propos du choixpeau. Ton avenir sera fait de rouge. Elle n'avait pas fait le rapprochement avec la couleur de ses cheveux et même dans ses rêves les plus fous, elle n'aurait jamais imaginé que son futur allait être peuplé de rouge. Plus exactement de roux. On lui aurait dit ce soir là que peu après avoir reçu son diplôme de Poudlard, elle épouserait un roux avec qui elle aurait sept enfants tous aussi roux qu'eux, qu'elle vivrait pauvrement mais heureuse, entourée d'un mari aimant et d'enfants turbulents mais au combien attachants.
La jeune Molly s'endormit cette nuit là en souhaitant être heureuse dans son futur, ne sachant pas que c'était ce que venait de lui prédire à mots plus que couverts le choixpeau.
