Disclaimer : C'est devenu de la répétition mais que voulez-vous, rien ne
m'appartient tout vient directement de l'imagination d'une autre femme, une
certaine JKR, vous connaissez ?
N/A : Même excuses sur l'état de mon français qui pourrait en choquer quelques-uns. Désolée. Vous allez peut-être trouver ce chapitre moins long que les autres mais vous comprendrez sûrement pourquoi en le lisant, il n'y a pas grand chose à dire.
Appel aux lecteurs : Pour un des chapitres à venir, je prévois faire Fudge, je ne vous dis pas quand. J'ai besoin de votre aide sur ce coup là, j'ai aucune idée dans quelle maison le mettre. En fait, j'ai bien quelques idées mais je me demande laquelle est la plus pertinente. Je vous demande de bien vouloir m'écrire votre opinion sur le sujet ainsi vous pourriez éclairer ma lanterne qui dans le cas de Fudge ne brille pas très fort. MERCI à l'avance.
Chapitre 10
Tradition familiale ou habitude ?
Il avait passé les longues heures qu'avait duré le voyage en train en compagnie des deux garçons qui allait devenir ses deux meilleurs amis. C'était écrit dans le ciel bien avant qu'ils ne se rencontrent. Leurs pères s'étaient liés tous comme leurs pères avant eux, c'était un genre de tradition tacite. En fait, les familles de sorciers adhérant à divers principes stricts étaient plutôt rares et les membres de ces familles se côtoyaient dès leur plus jeune âge.
En fait, il ne s'établissait pas vraiment de liens d'amitié entre eux, assez rapidement, une hiérarchie s'installait, les uns devenant dominants et les autres non pas dominés mais suiveurs. Presque serviteurs en fait mais personne ne les appelait ainsi, on les nommait plutôt acolytes, c'était moins discriminatoire et plus valorisant pour les personnes concernées.
Lui était du type acolyte, depuis qu'il était né qu'il suivait les règles dictées par quelqu'un d'autre. Bizarrement, il n'avait jamais cherché à contester cet effet de cause, cela lui convenait, ainsi il n'avait pas à se casser la tête à tenter de comprendre les tenants et aboutissants des diverses situations, quelqu'un s'en chargeait pour lui. C'était bien moins fatigant, il suivait les yeux fermés non pas son maître, plus son cerveau. Il était les bras, la force non pas l'intelligence, la tête.
Ainsi, lui et ses deux amis avaient fait le tour de tous les compartiments du train, pour annoncer aux étudiants qu'un nouveau groupe était arrivé à Poudlard et qu'ils n'attendaient rien de moins que le respect. Respect qu'ils croyaient évident et sans équivoque vu leur nom de famille. De la même façon, il ne s'était jamais questionné à savoir dans quelle maison il allait se retrouver, son destin avait été décidé bien avant sa naissance et il savait que même s'il le voulait, ce qui n'était pas le cas, il n'aurait pu le changer de toute façon. De plus, ça lui convenait.
Pour l'heure, il était à la droite de ses deux amis et attendait d'être appelé par Mc Gonnagall pour revêtir ce stupide vieux chapeau, même lui savait qu'il ne s'agissait que d'une formalité. Enfin se fut son tour, il faut dire qu'il n'était pas très patient de nature, il marcha d'un pas lourd jusqu'au tabouret et s'y assis en lançant un regard qui se voulait menaçant au professeur de métamorphose qui lui répondit par un vrai et dur regard menaçant, elle en avait vu d'autre apparemment. Rapidement la voix du chapeau se fit entendre :
« - Par Morgane, que dire. Il n'y a pas vraiment de doute possible, l'unique voie que tu peux suivre est celle que t'a tracée ton père, comme le sien l'avait fait pour lui voilà des années. Je vais t'envoyer dans la seule maison où tu trouveras quelqu'un qui acceptera de te guider mais prend garde, peut-être que c'est lui qui a plus besoin de toi que toi de lui malgré tout ce que l'on pourrait penser. C'est aussi la meilleure maison pour voir le genre d'action que tu désires, prend également garde à ce que les ambitions des autres ne te pourrissent pas la vie. Et tâche d'utiliser ta force à bon escient. »
Évidemment, il s'était retrouvé assis à la table des Serpentards aux côtés d'un de ses amis, attendant le troisième qui vint les rejoindre promptement. Pas de grande surprise, pas de coup d'éclat dans cette répartition. Même le professeur Trewlaney aurait pu prédire que le fils du mangemort Goyle se retrouverait dans la maison où il avait fait ses études. Et comme son père, le fils suivait un Malfoy, tradition ou habitude ? À tout le moins un manque flagrant de jugeote, de père en fils si on en croit l'histoire.
N/A : Même excuses sur l'état de mon français qui pourrait en choquer quelques-uns. Désolée. Vous allez peut-être trouver ce chapitre moins long que les autres mais vous comprendrez sûrement pourquoi en le lisant, il n'y a pas grand chose à dire.
Appel aux lecteurs : Pour un des chapitres à venir, je prévois faire Fudge, je ne vous dis pas quand. J'ai besoin de votre aide sur ce coup là, j'ai aucune idée dans quelle maison le mettre. En fait, j'ai bien quelques idées mais je me demande laquelle est la plus pertinente. Je vous demande de bien vouloir m'écrire votre opinion sur le sujet ainsi vous pourriez éclairer ma lanterne qui dans le cas de Fudge ne brille pas très fort. MERCI à l'avance.
Chapitre 10
Tradition familiale ou habitude ?
Il avait passé les longues heures qu'avait duré le voyage en train en compagnie des deux garçons qui allait devenir ses deux meilleurs amis. C'était écrit dans le ciel bien avant qu'ils ne se rencontrent. Leurs pères s'étaient liés tous comme leurs pères avant eux, c'était un genre de tradition tacite. En fait, les familles de sorciers adhérant à divers principes stricts étaient plutôt rares et les membres de ces familles se côtoyaient dès leur plus jeune âge.
En fait, il ne s'établissait pas vraiment de liens d'amitié entre eux, assez rapidement, une hiérarchie s'installait, les uns devenant dominants et les autres non pas dominés mais suiveurs. Presque serviteurs en fait mais personne ne les appelait ainsi, on les nommait plutôt acolytes, c'était moins discriminatoire et plus valorisant pour les personnes concernées.
Lui était du type acolyte, depuis qu'il était né qu'il suivait les règles dictées par quelqu'un d'autre. Bizarrement, il n'avait jamais cherché à contester cet effet de cause, cela lui convenait, ainsi il n'avait pas à se casser la tête à tenter de comprendre les tenants et aboutissants des diverses situations, quelqu'un s'en chargeait pour lui. C'était bien moins fatigant, il suivait les yeux fermés non pas son maître, plus son cerveau. Il était les bras, la force non pas l'intelligence, la tête.
Ainsi, lui et ses deux amis avaient fait le tour de tous les compartiments du train, pour annoncer aux étudiants qu'un nouveau groupe était arrivé à Poudlard et qu'ils n'attendaient rien de moins que le respect. Respect qu'ils croyaient évident et sans équivoque vu leur nom de famille. De la même façon, il ne s'était jamais questionné à savoir dans quelle maison il allait se retrouver, son destin avait été décidé bien avant sa naissance et il savait que même s'il le voulait, ce qui n'était pas le cas, il n'aurait pu le changer de toute façon. De plus, ça lui convenait.
Pour l'heure, il était à la droite de ses deux amis et attendait d'être appelé par Mc Gonnagall pour revêtir ce stupide vieux chapeau, même lui savait qu'il ne s'agissait que d'une formalité. Enfin se fut son tour, il faut dire qu'il n'était pas très patient de nature, il marcha d'un pas lourd jusqu'au tabouret et s'y assis en lançant un regard qui se voulait menaçant au professeur de métamorphose qui lui répondit par un vrai et dur regard menaçant, elle en avait vu d'autre apparemment. Rapidement la voix du chapeau se fit entendre :
« - Par Morgane, que dire. Il n'y a pas vraiment de doute possible, l'unique voie que tu peux suivre est celle que t'a tracée ton père, comme le sien l'avait fait pour lui voilà des années. Je vais t'envoyer dans la seule maison où tu trouveras quelqu'un qui acceptera de te guider mais prend garde, peut-être que c'est lui qui a plus besoin de toi que toi de lui malgré tout ce que l'on pourrait penser. C'est aussi la meilleure maison pour voir le genre d'action que tu désires, prend également garde à ce que les ambitions des autres ne te pourrissent pas la vie. Et tâche d'utiliser ta force à bon escient. »
Évidemment, il s'était retrouvé assis à la table des Serpentards aux côtés d'un de ses amis, attendant le troisième qui vint les rejoindre promptement. Pas de grande surprise, pas de coup d'éclat dans cette répartition. Même le professeur Trewlaney aurait pu prédire que le fils du mangemort Goyle se retrouverait dans la maison où il avait fait ses études. Et comme son père, le fils suivait un Malfoy, tradition ou habitude ? À tout le moins un manque flagrant de jugeote, de père en fils si on en croit l'histoire.
