Disclaimer : Encore du réchauffé mais que voulez-vous je n'ai pas eu le
génie qu'a eu une certaine Joanne Katherine Rowling pour penser à créer un
monde fabuleux comme l'est celui de Harry Potter.
N/A : Mes plus plates excuses pour les fautes de français qu'il pourrait rester dans mon texte.
Appel aux lecteurs « re-bis »: Pour un des chapitres à venir, je prévois faire Fudge, je ne vous dis pas quand. J'ai besoin de votre aide sur ce coup là, j'ai aucune idée dans quelle maison le mettre. En fait, j'ai bien quelques idées mais je me demande laquelle est la plus pertinente. Je vous demande de bien vouloir m'écrire votre opinion sur le sujet ainsi vous pourriez éclairer ma lanterne qui dans le cas de Fudge ne brille pas très fort. Merci beaucoup de prendre le temps de m'aider.
Merci : un merci tout particulier à Math de m'avoir inclus dans ses favoris, j'en suis extrêmement touchée. J'espère être en mesure de me montrer à la hauteur de tes attentes chère.
Chapitre 12
Le désire de paraître ambiguë ?
Voilà, elle était enfin dans le train qui l'amènerait vers son nouveau lieu d'étude, le collège de sorcellerie et de magie de Grande-Bretagne. Elle avait attendu sa lettre de confirmation une bonne partie de l'été, sa mère lui avait dit qu'habituellement Poudlard envoyait leurs hiboux pour annoncer cette nouvelle aux jeunes sorciers vers la fin du mois de juillet. Ce qui lui laissait environ un mois pour faire les achats nécessaires à sa rentrée. Elle aimait bien accompagner sa mère sur le Chemin de Traverse, elle aimait l'ambiance qu'il y régnait, les gens se saluaient, on prenait des nouvelles de la familles, compatissait pour les épreuves que certains éprouvaient.
Elle regarda encore une fois sa baguette, elle avait adoré sa visite chez Ollivander, le fabriquant réputé mais elle aimait par-dessus tout sa baguette, elle entendait encore le jeune homme déclarer avec fierté :
« - 28 centimètres 3 dixièmes en bois provenant d'un jeune saule bien particulier. Et que dire de l'élément magique, une plume de l'aile gauche d'un magnifique spécimen de griffon.D'ailleurs mon père n'a été capable que d'en prélever deux, il m'a raconté que la créature s'était d'abord montré coopératif puis avait subitement changé d'attitude, comme s'il ne voulait pas qu'on lui prélève plus de deux plumes. »
Un petit sourire s'installa sur son visage, puis elle cessa de contempler sa baguette, elle s'installa avec un livre et passa le reste de son voyage à lire. N'échangeant que son nom avec le jeune homme qui partageait son compartiment, lui aussi commençait son apprentissage sorcier à cette rentrée. Il ne semblait pas particulièrement enclin à la conversation et cela l'arrangeait également. Elle préférait lire et prendre de l'avance.
Elle avait déjà lu l'Histoire de Poudlard, elle savait en gros ce qui allait se passer, de plus sa mère lui avait raconté sa propre répartition, elle avait fréquenté Serdaigle. La jeune fille s'était longuement questionner à savoir où le choixpeau l'enverrait, lorsqu'elle en avait discuté avec ses parents, son père, d'une infinie sagesse malgré qu'il soit moldu, lui avait répliqué qu'elle irait dans la maison qui lui conviendrait le mieux ou alors elle n'aurait qu'à faire en sorte que cette maison lui convienne. C'était bien son père, adapte toi à la situation ou sinon, adapte la situation à toi mais ne te laisse jamais dépasser par les événements. C'était sa maxime préférée et lui répétait régulièrement, à un tel point que maintenant, elle terminait la phrase à voix haute en même temps que son paternel, ce qui le faisait simplement sourire.
Encore une fois, elle fit une introspection pour tenter de découvrir ce que le chapeau magique allait lui dire, elle était ambiguë comme fille, elle le savait et aimait que les gens la voient ainsi. Elle pouvait être coriace et en même temps attentionnée. Elle aimait les paradoxes de sa personnalité.
Arrivé près de ce qui devait être la gare de Pré-au-Lard, le train ralenti et les élèves commençaient à se diriger vers les sorties, elle les imita mais ne suivit pas le flot d'élèves plus âgés qui se dirigeaient vers des diligences, elle suivit les premières années qui eux semblaient suivre un professeur qui les dirigea vers des chaloupes sans rame. Ils traversèrent le lac noir de jais où se reflétaient à peine les reflets des lanternes de chaque embarcation.
Bien vite, ils remirent pied à terre, dans l'ombre de l'impressionnant château, ils suivirent encore une fois leur guide jusqu'à l'intérieur. Là, au pied d'un grand escalier, les attendait un homme replet qui devait être le directeur adjoint. Comme la majorité des élèves présents, elle observait tout autour d'elle mais ne s'extasiait pas, du moins pas ouvertement, elle admirait le tout mais ne trouvait pas de raison de le déclarer à voix haute. Le professeur les invita à le suivre à l'intérieur de la grande salle où là encore, elle entendit ses condisciples s'extasier et glousser, comme s'il n'avait jamais rien vu d'aussi beau. Elle devait se l'avouer à elle-même, c'était vraiment majestueux.
Elle jeta des coups d'?il autour d'elle, quatre grandes rangés de tables, une pour chaque maison, pensa-t-elle plus une table pour les professeurs au milieu de la quelle trônait un vieille homme qui devait être le directeur. Juste devant eux, un tabouret servait de support à un chapeau qui avait sans aucun doute connu des jours meilleurs, elle y reconnut le fameux choixpeau. Le professeur qui les avait accompagnés jusque là leur expliqua le fonctionnement de la répartition, chose inutile pour elle mais à voir l'air ébahi de ses futurs compatriotes, certains n'avaient pas eu la chance d'avoir un parent sorcier pour leur expliquer. Elle observa attentivement l'objet magique, elle savait que d'une minute à l'autre il se mettrait à chanter une chanson de son cru, elle était curieuse de l'entendre. Comme prévu, le chapeau chanta et ensuite garda le silence jusqu'à ce qu'un premier élève fut appelé et qu'il rendit son premier verdict. Ainsi de suite jusqu'à ce que son nom fut nommé, elle se dirigea fièrement vers le banc et y prit place. Le silence fut brisé par la voix si particulière du chapeau qui lui soufflait à l'oreille :
« - Hum, voilà une personne qui cache bien son jeu, à moi que c'est ce que tu désires, paraître ambiguë. Je te vois forte et ferme mais en même temps douce et prévenante. Une personne respectueuse et qui tente d'être respectable mais le respect n'est pas l'unique bien des gens toujours à leurs affaires et irréprochables. Un peu de fantaisie dans une vie n'est pas superflu, sinon le monde ne serait que tristesse et amertume. Beaucoup de potentiel, toujours prête à pousser plus loin tes propres limites. Une jeune fille juste et loyale, réfléchie et sage, maligne et qui na pas peur de voir de l'action. Tu as en toi toutes les qualités recherchées par l'un ou l'autre des fondateurs. Pourtant, il n'y a qu'une maison qui te convienne exactement, une seule qui exploitera ton courage et utilisera ton énergie et ta vaillance à bon escient. Tu apprendras beaucoup entre ses murs mais tu risques de participer à l'apprentissage de bien des gens également. De plus, je te prédis que ce ne sera pas la dernière fois que l'on fera affaire toi et moi. »
Voilà, c'était décidé, elle se retrouvait ainsi à Griffondor, maison qui lui allait parfaitement, comme l'avait prédit le choixpeau. Elle y apporta une montagne de points, ne lui en fit perdre que très peu, aida son équipe à gagner la coupe de Quidditch, elle était une joueuse redoutable, elle affichait d'excellentes notes, parmi les meilleures et s'y fit de nombreux amis.
Bien des années plus tard, elle comprit la dernière phrase de choixpeau, il lui avait dit qu'ils auraient à nouveau rendez-vous elle et lui. C'était à elle que revenait le privilège de déposer l'objet magique sur la tête des nouveaux élèves à chaque rentrée depuis qu'elle était devenue responsable de la maison dans laquelle elle avait étudié et elle participait également comme prédit à l'apprentissage de bien des gens en enseignant la métamorphose, la matière dans laquelle elle s'était distinguée mais surtout la matière qui lui avait permis de devenir animangis. C'est vrai qu'un chat c'est ambigu comme animal.
N/A : Mes plus plates excuses pour les fautes de français qu'il pourrait rester dans mon texte.
Appel aux lecteurs « re-bis »: Pour un des chapitres à venir, je prévois faire Fudge, je ne vous dis pas quand. J'ai besoin de votre aide sur ce coup là, j'ai aucune idée dans quelle maison le mettre. En fait, j'ai bien quelques idées mais je me demande laquelle est la plus pertinente. Je vous demande de bien vouloir m'écrire votre opinion sur le sujet ainsi vous pourriez éclairer ma lanterne qui dans le cas de Fudge ne brille pas très fort. Merci beaucoup de prendre le temps de m'aider.
Merci : un merci tout particulier à Math de m'avoir inclus dans ses favoris, j'en suis extrêmement touchée. J'espère être en mesure de me montrer à la hauteur de tes attentes chère.
Chapitre 12
Le désire de paraître ambiguë ?
Voilà, elle était enfin dans le train qui l'amènerait vers son nouveau lieu d'étude, le collège de sorcellerie et de magie de Grande-Bretagne. Elle avait attendu sa lettre de confirmation une bonne partie de l'été, sa mère lui avait dit qu'habituellement Poudlard envoyait leurs hiboux pour annoncer cette nouvelle aux jeunes sorciers vers la fin du mois de juillet. Ce qui lui laissait environ un mois pour faire les achats nécessaires à sa rentrée. Elle aimait bien accompagner sa mère sur le Chemin de Traverse, elle aimait l'ambiance qu'il y régnait, les gens se saluaient, on prenait des nouvelles de la familles, compatissait pour les épreuves que certains éprouvaient.
Elle regarda encore une fois sa baguette, elle avait adoré sa visite chez Ollivander, le fabriquant réputé mais elle aimait par-dessus tout sa baguette, elle entendait encore le jeune homme déclarer avec fierté :
« - 28 centimètres 3 dixièmes en bois provenant d'un jeune saule bien particulier. Et que dire de l'élément magique, une plume de l'aile gauche d'un magnifique spécimen de griffon.D'ailleurs mon père n'a été capable que d'en prélever deux, il m'a raconté que la créature s'était d'abord montré coopératif puis avait subitement changé d'attitude, comme s'il ne voulait pas qu'on lui prélève plus de deux plumes. »
Un petit sourire s'installa sur son visage, puis elle cessa de contempler sa baguette, elle s'installa avec un livre et passa le reste de son voyage à lire. N'échangeant que son nom avec le jeune homme qui partageait son compartiment, lui aussi commençait son apprentissage sorcier à cette rentrée. Il ne semblait pas particulièrement enclin à la conversation et cela l'arrangeait également. Elle préférait lire et prendre de l'avance.
Elle avait déjà lu l'Histoire de Poudlard, elle savait en gros ce qui allait se passer, de plus sa mère lui avait raconté sa propre répartition, elle avait fréquenté Serdaigle. La jeune fille s'était longuement questionner à savoir où le choixpeau l'enverrait, lorsqu'elle en avait discuté avec ses parents, son père, d'une infinie sagesse malgré qu'il soit moldu, lui avait répliqué qu'elle irait dans la maison qui lui conviendrait le mieux ou alors elle n'aurait qu'à faire en sorte que cette maison lui convienne. C'était bien son père, adapte toi à la situation ou sinon, adapte la situation à toi mais ne te laisse jamais dépasser par les événements. C'était sa maxime préférée et lui répétait régulièrement, à un tel point que maintenant, elle terminait la phrase à voix haute en même temps que son paternel, ce qui le faisait simplement sourire.
Encore une fois, elle fit une introspection pour tenter de découvrir ce que le chapeau magique allait lui dire, elle était ambiguë comme fille, elle le savait et aimait que les gens la voient ainsi. Elle pouvait être coriace et en même temps attentionnée. Elle aimait les paradoxes de sa personnalité.
Arrivé près de ce qui devait être la gare de Pré-au-Lard, le train ralenti et les élèves commençaient à se diriger vers les sorties, elle les imita mais ne suivit pas le flot d'élèves plus âgés qui se dirigeaient vers des diligences, elle suivit les premières années qui eux semblaient suivre un professeur qui les dirigea vers des chaloupes sans rame. Ils traversèrent le lac noir de jais où se reflétaient à peine les reflets des lanternes de chaque embarcation.
Bien vite, ils remirent pied à terre, dans l'ombre de l'impressionnant château, ils suivirent encore une fois leur guide jusqu'à l'intérieur. Là, au pied d'un grand escalier, les attendait un homme replet qui devait être le directeur adjoint. Comme la majorité des élèves présents, elle observait tout autour d'elle mais ne s'extasiait pas, du moins pas ouvertement, elle admirait le tout mais ne trouvait pas de raison de le déclarer à voix haute. Le professeur les invita à le suivre à l'intérieur de la grande salle où là encore, elle entendit ses condisciples s'extasier et glousser, comme s'il n'avait jamais rien vu d'aussi beau. Elle devait se l'avouer à elle-même, c'était vraiment majestueux.
Elle jeta des coups d'?il autour d'elle, quatre grandes rangés de tables, une pour chaque maison, pensa-t-elle plus une table pour les professeurs au milieu de la quelle trônait un vieille homme qui devait être le directeur. Juste devant eux, un tabouret servait de support à un chapeau qui avait sans aucun doute connu des jours meilleurs, elle y reconnut le fameux choixpeau. Le professeur qui les avait accompagnés jusque là leur expliqua le fonctionnement de la répartition, chose inutile pour elle mais à voir l'air ébahi de ses futurs compatriotes, certains n'avaient pas eu la chance d'avoir un parent sorcier pour leur expliquer. Elle observa attentivement l'objet magique, elle savait que d'une minute à l'autre il se mettrait à chanter une chanson de son cru, elle était curieuse de l'entendre. Comme prévu, le chapeau chanta et ensuite garda le silence jusqu'à ce qu'un premier élève fut appelé et qu'il rendit son premier verdict. Ainsi de suite jusqu'à ce que son nom fut nommé, elle se dirigea fièrement vers le banc et y prit place. Le silence fut brisé par la voix si particulière du chapeau qui lui soufflait à l'oreille :
« - Hum, voilà une personne qui cache bien son jeu, à moi que c'est ce que tu désires, paraître ambiguë. Je te vois forte et ferme mais en même temps douce et prévenante. Une personne respectueuse et qui tente d'être respectable mais le respect n'est pas l'unique bien des gens toujours à leurs affaires et irréprochables. Un peu de fantaisie dans une vie n'est pas superflu, sinon le monde ne serait que tristesse et amertume. Beaucoup de potentiel, toujours prête à pousser plus loin tes propres limites. Une jeune fille juste et loyale, réfléchie et sage, maligne et qui na pas peur de voir de l'action. Tu as en toi toutes les qualités recherchées par l'un ou l'autre des fondateurs. Pourtant, il n'y a qu'une maison qui te convienne exactement, une seule qui exploitera ton courage et utilisera ton énergie et ta vaillance à bon escient. Tu apprendras beaucoup entre ses murs mais tu risques de participer à l'apprentissage de bien des gens également. De plus, je te prédis que ce ne sera pas la dernière fois que l'on fera affaire toi et moi. »
Voilà, c'était décidé, elle se retrouvait ainsi à Griffondor, maison qui lui allait parfaitement, comme l'avait prédit le choixpeau. Elle y apporta une montagne de points, ne lui en fit perdre que très peu, aida son équipe à gagner la coupe de Quidditch, elle était une joueuse redoutable, elle affichait d'excellentes notes, parmi les meilleures et s'y fit de nombreux amis.
Bien des années plus tard, elle comprit la dernière phrase de choixpeau, il lui avait dit qu'ils auraient à nouveau rendez-vous elle et lui. C'était à elle que revenait le privilège de déposer l'objet magique sur la tête des nouveaux élèves à chaque rentrée depuis qu'elle était devenue responsable de la maison dans laquelle elle avait étudié et elle participait également comme prédit à l'apprentissage de bien des gens en enseignant la métamorphose, la matière dans laquelle elle s'était distinguée mais surtout la matière qui lui avait permis de devenir animangis. C'est vrai qu'un chat c'est ambigu comme animal.
