[n/a] : D'abord, je m'excuse encore une fois pour toutes les fautes qui
pourraient rester dans le texte qui suit.
Chapitre 19
Vivre à moitié ? Impossible.
Comme il avait adoré son voyage en train qui l'avait conduit lui ainsi que plusieurs centaines d'élèves au collège de sorcellerie et de magie de Grande-Bretagne. Le Poudlard Express était une machine impressionnante, lorsqu'il avait traversé la barrière qui séparait le monde moldu du quai magique 9 ¾ et qu'il avait aperçu cette immense locomotive, il n'avait pu retenir une petite exclamation et un sourire niai d'apparaître sur ses lèvres. Enfin, il allait pouvoir jouer dans la cours des grands, plus de maman derrière lui constamment à prodiguer conseils et avertissements. Ce n'est pas qu'il n'aimait pas sa mère, au contraire, il l'adorait, mais parfois elle était si . si . maternelle.
À Poudlard, il avait bien l'intention d'en profiter au maximum, il avait un tempérament actif et avait besoin de l'exprimer de toutes les façons qui lui passaient par la tête. Cette école représentait pour lui une vraie mine d'opportunités à ne pas manquer et il comptait même en provoquer quelques-unes.
Dans le train, il avait rencontré plusieurs nouveaux élèves tout comme lui, il en avait profité pour faire connaissance avec le plus grand nombre possible, c'est qu'il était très sociable, de plus, il valait mieux apprendre à connaître immédiatement ceux avec qui il allait passer les sept prochaines années. On avait parlé de tout et de rien, surtout de rien en particulier, on avait de la difficulté à rester concentré longtemps sur le même sujet si celui-ci était trop sérieux, on préférait prendre la vie légèrement et ne pas trop se casser la tête pour l'instant. Ils auraient bien le temps de se la casser lorsque les cours commenceraient, alors pourquoi ne pas profiter de ce voyage pour ne discuter que de choses sans réelles importances.
Lorsque, trop tôt, le train ralentit son allure pour entrer à la gare de Pré-Au-Lard, il se leva en vitesse pour enfiler son uniforme réglementaire, il fut suivit par les autres occupants de son compartiment qui comme lui n'avaient pas vu le temps passer. On se bouscula gentiment pour sortir du train et retrouver les autres premières années qui étaient appelé d'une voix bourrue par un homme immense au bout du quai. Malgré la stature impressionnante de l'homme, il lui sembla très sympathique, ce dernier lui sourit et le salua de la tête lorsqu'il passa devant lui pour prendre place dans une des barques sans rames qui les amèneraient dans le dernier droit de leur voyage initiatique vers Poudlard. Ils traversèrent le lac en échangeant des commentaires sur le château qui se profilait au devant d'eux. Il était majestueux éclairé uniquement par la lune et la lueur des torches qui éclairaient l'allée menant à l'entrée principale.
Lui cependant, observait à l'opposé de l'immense château, vers une forêt sombre et lugubre, dont on ne devinait que quelques ombres qui auraient terrifiés la plus part des nouveaux élèves s'ils avaient seulement osé regarder dans cette direction. Lui n'avait pas peur, il se sentait même attiré par cette forêt qu'il savait pourtant interdite pour se l'être fait dire des milliers et des milliers de fois par sa mère.
Il débarqua de la barque et rejoint les autres dans la procession qui les mena jusqu'aux immenses portes de bois qui s'ouvrirent magiquement à leur arrivée. Il se retrouvèrent tous au pied d'un immense escalier de pierre brute en haut duquel une femme acariâtre les attendait. Elle se présenta comme étant Minerva Mc Gonnagall, directrice adjointe de cette grande école et responsable de la maison de Griffondor. Il connaissait bien sûr les quatre maisons qui formaient cette école, une maison nommée en l'honneur de chacun des quatre fondateurs et qui regroupaient sous leur étendard, les élèves qui présentaient les qualités préférées de ces derniers. Serpentard, Poufsouffle, Serdaigle et Griffondor, il s'était fait casser les oreilles sur leur histoire plusieurs fois depuis qu'il était né et il avait beau affirmer qu'il ne se souciait guerre de l'endroit où le choixpeau l'enverrait, dans le fond de lui-même il devait avouer qu'il s'était déjà posé la question, plusieurs fois même.
Lorsqu'ils pénétrèrent tous dans la grande salle, lui aussi sourit en voyant l'aspect du plafond magique mais ce qui attira d'avantage son regard, était le vieux chapeau de feutre tout rapiécé et dans un mauvais état qui se trouvait à attendre dignement sur un banc face à la table des professeurs. On lui avait expliqué le fonctionnement déjà mais il ne put retenir un air de surprise de s'afficher sur son visage lorsqu'une fente se créa dans le choixpeau et que ce dernier se mit à entonner une petite chanson. À ses côtés, il sentit son compagnon s'émerveiller également. La petite chansonnette n'était pas particulièrement entraînante mais il se surprit à taper la mesure de son doigt sur sa cuisse :
Approcher, venez à moi apprenti sorcier
En me revêtant je pourrai lire vos pensées
Et ainsi pouvoir avec certitude déterminer
La maison qui vous est appropriée
Si vous êtes malin, rusé et roublard
Pas de doute, vous irez à Serpentard
Si vous êtes droit, dévoué et loyal
Poufsouffle sera pour vous le lieu idéal
Si vous êtes intelligent, studieux et discipliné
Serdaigle sera la maison qui vous est toute destinée
Si témérité, vaillance et bravoure est votre devise
À Griffondor votre candidature sera admise
Mais sachez que si l'habit ne fait pas le moine
La maison, elle, ne fait pas l'élève
Aussi, rappelez-vous, que tout dépend que de vous
Le choixpeau avait terminé sa petite chanson sous les applaudissements polis des aînés qui attendaient la fin de la répartition pour pouvoir s'empiffrer des merveilleux mets que préparaient les nombreux elfes de maison au service du collège. Donc, la vieille femme au chignon parfait commença à appeler un par un les nouveaux élèves qui se présentèrent sur le banc pour revêtir comme annoncé, le choixpeau qui déterminait de la maison d'accueil de chacun. A côté de lui, le jeune homme fredonnait la chanson du choixpeau, ce qui l'incita à faire de même, avant longtemps, plusieurs les suivirent, ce qui leur valut une réprimante visuelle de la part de la directrice adjointe qui tentait de continuer la répartition.
Finalement son tour vint, il s'avança jusqu'au banc et salua familièrement le choixpeau sous les fous rires de plusieurs. Lorsque le chapeau lui descendit très bas sur les oreilles il put aisément l'entendre s'adresser à lui :
« - Tient, tient, un autre . On pourrait croire qu'il s'agit d'une multiplication magique ou d'un clonage moldu mais ce n'est pas le cas n'est- ce pas ? Par Merlin qu'il y a beaucoup d'intelligence dans cette petite tête de feu. On est animé d'une joie de vivre peu commune, en fait j'en ai rencontre très peu comme toi, tous ont laissé une marque indélébile dans cette école et je crois que tu ferais un excellent membre d'une équipe qui fera frémir les professeurs qui ont sans doute oublié ce que s'était d'avoir des étudiants avec un tel sens de l'humour, c'est qu'il y a longtemps depuis le dernier groupe qui a fait la pluie et le beau temps entre ses murs qui ont tant besoin pourtant de résonner au son des rires francs et sincères. D'autre part, il ne faudrait pas décevoir ta maman, elle qui espère voir tous ses enfants fréquenter la même maison, de plus comment je pourrais te séparer de ton complice, à deux c'est toujours mieux non ? . »
Il avait été si heureux d'entendre le verdict du choixpeau ; Griffondor. Ainsi, il retrouverait son frère répartit peu avant à la même maison. Ensemble il mettrait Poudlard à feu et à sang, humoristiquement parlant bien sûr. Dignes successeurs des Maraudeurs comme leur avait prédit le vieux chapeau.
Mais tout comme sont frère jumeau avant lui, le choixpeau l'avait gratifié d'un important conseil avant qu'il ne se retire de son esprit. Un conseil qui devint de lui-même la devise de George Weasley :
« - Le rire soulage tous les maux du monde mais seul le sot rit des maux du monde. »
Comme il avait raison, comme toujours quoi !
Chapitre 19
Vivre à moitié ? Impossible.
Comme il avait adoré son voyage en train qui l'avait conduit lui ainsi que plusieurs centaines d'élèves au collège de sorcellerie et de magie de Grande-Bretagne. Le Poudlard Express était une machine impressionnante, lorsqu'il avait traversé la barrière qui séparait le monde moldu du quai magique 9 ¾ et qu'il avait aperçu cette immense locomotive, il n'avait pu retenir une petite exclamation et un sourire niai d'apparaître sur ses lèvres. Enfin, il allait pouvoir jouer dans la cours des grands, plus de maman derrière lui constamment à prodiguer conseils et avertissements. Ce n'est pas qu'il n'aimait pas sa mère, au contraire, il l'adorait, mais parfois elle était si . si . maternelle.
À Poudlard, il avait bien l'intention d'en profiter au maximum, il avait un tempérament actif et avait besoin de l'exprimer de toutes les façons qui lui passaient par la tête. Cette école représentait pour lui une vraie mine d'opportunités à ne pas manquer et il comptait même en provoquer quelques-unes.
Dans le train, il avait rencontré plusieurs nouveaux élèves tout comme lui, il en avait profité pour faire connaissance avec le plus grand nombre possible, c'est qu'il était très sociable, de plus, il valait mieux apprendre à connaître immédiatement ceux avec qui il allait passer les sept prochaines années. On avait parlé de tout et de rien, surtout de rien en particulier, on avait de la difficulté à rester concentré longtemps sur le même sujet si celui-ci était trop sérieux, on préférait prendre la vie légèrement et ne pas trop se casser la tête pour l'instant. Ils auraient bien le temps de se la casser lorsque les cours commenceraient, alors pourquoi ne pas profiter de ce voyage pour ne discuter que de choses sans réelles importances.
Lorsque, trop tôt, le train ralentit son allure pour entrer à la gare de Pré-Au-Lard, il se leva en vitesse pour enfiler son uniforme réglementaire, il fut suivit par les autres occupants de son compartiment qui comme lui n'avaient pas vu le temps passer. On se bouscula gentiment pour sortir du train et retrouver les autres premières années qui étaient appelé d'une voix bourrue par un homme immense au bout du quai. Malgré la stature impressionnante de l'homme, il lui sembla très sympathique, ce dernier lui sourit et le salua de la tête lorsqu'il passa devant lui pour prendre place dans une des barques sans rames qui les amèneraient dans le dernier droit de leur voyage initiatique vers Poudlard. Ils traversèrent le lac en échangeant des commentaires sur le château qui se profilait au devant d'eux. Il était majestueux éclairé uniquement par la lune et la lueur des torches qui éclairaient l'allée menant à l'entrée principale.
Lui cependant, observait à l'opposé de l'immense château, vers une forêt sombre et lugubre, dont on ne devinait que quelques ombres qui auraient terrifiés la plus part des nouveaux élèves s'ils avaient seulement osé regarder dans cette direction. Lui n'avait pas peur, il se sentait même attiré par cette forêt qu'il savait pourtant interdite pour se l'être fait dire des milliers et des milliers de fois par sa mère.
Il débarqua de la barque et rejoint les autres dans la procession qui les mena jusqu'aux immenses portes de bois qui s'ouvrirent magiquement à leur arrivée. Il se retrouvèrent tous au pied d'un immense escalier de pierre brute en haut duquel une femme acariâtre les attendait. Elle se présenta comme étant Minerva Mc Gonnagall, directrice adjointe de cette grande école et responsable de la maison de Griffondor. Il connaissait bien sûr les quatre maisons qui formaient cette école, une maison nommée en l'honneur de chacun des quatre fondateurs et qui regroupaient sous leur étendard, les élèves qui présentaient les qualités préférées de ces derniers. Serpentard, Poufsouffle, Serdaigle et Griffondor, il s'était fait casser les oreilles sur leur histoire plusieurs fois depuis qu'il était né et il avait beau affirmer qu'il ne se souciait guerre de l'endroit où le choixpeau l'enverrait, dans le fond de lui-même il devait avouer qu'il s'était déjà posé la question, plusieurs fois même.
Lorsqu'ils pénétrèrent tous dans la grande salle, lui aussi sourit en voyant l'aspect du plafond magique mais ce qui attira d'avantage son regard, était le vieux chapeau de feutre tout rapiécé et dans un mauvais état qui se trouvait à attendre dignement sur un banc face à la table des professeurs. On lui avait expliqué le fonctionnement déjà mais il ne put retenir un air de surprise de s'afficher sur son visage lorsqu'une fente se créa dans le choixpeau et que ce dernier se mit à entonner une petite chanson. À ses côtés, il sentit son compagnon s'émerveiller également. La petite chansonnette n'était pas particulièrement entraînante mais il se surprit à taper la mesure de son doigt sur sa cuisse :
Approcher, venez à moi apprenti sorcier
En me revêtant je pourrai lire vos pensées
Et ainsi pouvoir avec certitude déterminer
La maison qui vous est appropriée
Si vous êtes malin, rusé et roublard
Pas de doute, vous irez à Serpentard
Si vous êtes droit, dévoué et loyal
Poufsouffle sera pour vous le lieu idéal
Si vous êtes intelligent, studieux et discipliné
Serdaigle sera la maison qui vous est toute destinée
Si témérité, vaillance et bravoure est votre devise
À Griffondor votre candidature sera admise
Mais sachez que si l'habit ne fait pas le moine
La maison, elle, ne fait pas l'élève
Aussi, rappelez-vous, que tout dépend que de vous
Le choixpeau avait terminé sa petite chanson sous les applaudissements polis des aînés qui attendaient la fin de la répartition pour pouvoir s'empiffrer des merveilleux mets que préparaient les nombreux elfes de maison au service du collège. Donc, la vieille femme au chignon parfait commença à appeler un par un les nouveaux élèves qui se présentèrent sur le banc pour revêtir comme annoncé, le choixpeau qui déterminait de la maison d'accueil de chacun. A côté de lui, le jeune homme fredonnait la chanson du choixpeau, ce qui l'incita à faire de même, avant longtemps, plusieurs les suivirent, ce qui leur valut une réprimante visuelle de la part de la directrice adjointe qui tentait de continuer la répartition.
Finalement son tour vint, il s'avança jusqu'au banc et salua familièrement le choixpeau sous les fous rires de plusieurs. Lorsque le chapeau lui descendit très bas sur les oreilles il put aisément l'entendre s'adresser à lui :
« - Tient, tient, un autre . On pourrait croire qu'il s'agit d'une multiplication magique ou d'un clonage moldu mais ce n'est pas le cas n'est- ce pas ? Par Merlin qu'il y a beaucoup d'intelligence dans cette petite tête de feu. On est animé d'une joie de vivre peu commune, en fait j'en ai rencontre très peu comme toi, tous ont laissé une marque indélébile dans cette école et je crois que tu ferais un excellent membre d'une équipe qui fera frémir les professeurs qui ont sans doute oublié ce que s'était d'avoir des étudiants avec un tel sens de l'humour, c'est qu'il y a longtemps depuis le dernier groupe qui a fait la pluie et le beau temps entre ses murs qui ont tant besoin pourtant de résonner au son des rires francs et sincères. D'autre part, il ne faudrait pas décevoir ta maman, elle qui espère voir tous ses enfants fréquenter la même maison, de plus comment je pourrais te séparer de ton complice, à deux c'est toujours mieux non ? . »
Il avait été si heureux d'entendre le verdict du choixpeau ; Griffondor. Ainsi, il retrouverait son frère répartit peu avant à la même maison. Ensemble il mettrait Poudlard à feu et à sang, humoristiquement parlant bien sûr. Dignes successeurs des Maraudeurs comme leur avait prédit le vieux chapeau.
Mais tout comme sont frère jumeau avant lui, le choixpeau l'avait gratifié d'un important conseil avant qu'il ne se retire de son esprit. Un conseil qui devint de lui-même la devise de George Weasley :
« - Le rire soulage tous les maux du monde mais seul le sot rit des maux du monde. »
Comme il avait raison, comme toujours quoi !
