Disclaimer : les personnages que vous reconnaissez appartiennent à JK Rowling, et l'histoire appartient à MyOtherRideIsUrMa et est intitulée : Harry Potter, Take Over. Ceci en est la traduction libre, j'espère que vous aimerez

Chapitre 1 : le commencement

Harry s'assit derrière le petit cerisier nouvellement planté devant le N°4 Privet Drive, repensant aux évènements de cet été. Sa première pensée, en rentrant la maison des Dursley, fut de prendre sa vie entre ses propres mains et de ne pas laisser Dumbledore ou les Dursley la contrôler. DONC son premier mouvement en direction de cette nouvelle résolution fut :

Etre capable de se défendre soi-même.

Cela signifiait qu'il devait être capable de faire de la magie, et cela requerrait une permission du Ministre de la Magie. Ce fut donc ce qu'il fit, obtenir la permission. Il écrivit une lettre disant à Mr Fudge que "puisqu'il n'avait pas de gardien vivant, il devait vivre avec une famille MOLDUE. Cela signifiait qu'il pourrait avoir à subir une attaque de mangemorts, et que s'il ne pouvait se défendre lui-même, il mourrait sûrement." Il continua alors, s'exclamant " dans quel tumulte le monde serait maintenant qu'IL serait mort, et les gens se demanderaient pourquoi le Ministre n'avait pas pris plus de précautions pour LE protéger. Sûrement", disait-il, "ils chercheraient un dirigeant plus fort, pas un qui tuerait pratiquement leur symbole d'espoir."

Inutile de le dire, il y avait une lettre sur sa table de chevet le lendemain matin. Harry rit tout bas en se rappelant la lettre du Ministre.

Cher Mr Potter,

Par coïncidence, je pensais exactement la même chose quand votre chouette, Hedwige, n'est-ce pas? Un nom adorable en passant. Ah oui, quand votre chouette Hedwige vint plonger au-dessus de mon bureau. Il m'est apparu que vous aurez besoin de plus de protections qu'un moldu, et j'ai donc donné suite à votre brillante requête, vous accordant une Dérogation d'Orphelin. Cet Article vous donne la permission d'utiliser librement la magie. Maintenant je dois vraiment partir, ayez de bonnes vacances.

Cornelius Fudge

(Ministre de la Magie, Fédération Internationale des Sorciers, Wizengamot, Manitou Suprême...)

Harry sourit de nouveau en se rappelant comment la lettre était écrite : comme s'il s'obligeait à faire cela. Il était sûr que le Ministre était outragé par une telle requête, mais qu'il lui avait accordé cette requête afin de pouvoir garder sa position, même si Harry mourrait.'Bon pour lui, il le mérite, l'idiot balbutiant.'pensa Harry, maudissant silencieusement le soi-disant leader du Monde Magique.

Sa prochaine étape pour devenir capable de se défendre lui-même était de rester en forme, afin de pouvoir parer et réagir plus vite dans un duel. Il avait donc commencé à courir tous les jours les trois dernières semaines, et ne pouvait dire que cela ne l'aidait pas. Il avait maintenant beaucoup plus de résistance. Il savait qu'il y avait un membre de l'Ordre qui le suivait partout, sauf les Mardis, puisque c'était le jour de Mundungus, et que chaque jour il s'endormait une heure pendant son travail. Heureusement aujourd'hui était un mardi, puisqu'il était prêt à commencer sa nouvelle part dans la prise en main de sa propre vie. Il avait besoin de s'entraîner, à la fois comme un sorcier et un moldu, afin d'être prêt à se battre quand le temps viendrait. Pour cela il avait besoin d'une place :

Le Chemin de Traverse;

La prochaine lettre qu'il reçut ne fit qu'influencer son besoin d'aller dans la Rue Sorcière. Il fronça les sourcils en se rappelant celle-ci.

Mr Harry Potter,

Nous sommes tristes d'avoir appris la nouvelle de la mort de Sirius Orion Black, vu qu'il était un de nos meilleurs clients. Mais hélas, nous ne pouvons changer le passé, seulement nous adapter au futur. Bon, maintenant que les condoléances sont faites, passons au travail. Dans son testament il vous a tout laissé (pour une liste de TOUT, ce qui s'avère être beaucoup, veuillez consulter le parchemin séparé). Mais en nous quittant, il vous a aussi laissé accès à votre fortune de famille, qui était encore plus grande que celle des Black. Nous devons nous rencontrer avant que Poudlard ne recommence, afin de placer tous vos actifs pré-mentionnés en bon ordre. Comme recquis, veuillez nous rencontrer au Chemin de Traverse dès que possible, le plus tôt, le meilleur.

Merci, Griphook

Lui, même après un mois et demi, n'aimait toujours pas le sujet de Sirius, puisqu'il ne le rendait que triste et déprimé, mais il ferait réellement bien ce que Sirius voulait qu'il fasse depuis qu'il l'avait rencontré : profiter de la vie. Après la lettre du Ministre, il savait qu'il avait du pouvoir, non pas du pouvoir, il avait de l'influence. Il avait compris l'art de la Persuasion, et le maîtrisait rapidement. Il ne ferait que prouver son point en se rendant sur le Chemin de Traverse.

Il plaça différents charmes sur lui-même, certains qu'il avait trouvés dans son livre de charmes de 4e année, quelques uns qui le rendaient différent. Il avait cherché dans beaucoup de ses livres, cherchant différents charmes glamours pour modifier son visage, et il s'ajouta aussi de la hauteur.

Il rendit ses yeux légèrement onyx, ses cheveux blonds, mais à sa déception, quand il essaya avec sa cicatrice, elle ne voulait pas disparaître. Il essaya de nouveau, mais obtint le même résultat. 'Maudit Voldemort, maintenant cette chose ne disparaîtra même pas!' Après d'autres échecs, il abandonna finalement et rendit sa peau beaucoup plus bronzée ce qui, à sa surprise, dissimula rapidement sa cicatrice.'Cool! Ca a marché; je pense que je vais rester ainsi.'

Après avoir changé son apparence, écouté pour s'assurer qu'il n'entendait aucun membre de l'Ordre le suivant, ou qu'aucun moldu n'était aux environs, il sortit sa baguette et la pointa à un angle, et soudain un bus mauve apparut, comme par magie. Les doubles portes s'ouvrirent, révélant de nouveau un petit Stan Rocade.

"Bienvenue sur le Magicobus, transport d'urgence pour Sorciers et Sorcières en perdition, sautez dedans et nous vous emmènerons où vous voulez. Comment vous appelez-vous?" Harry dit rapidement le nom auquel il avait pensé,"Chris McCormick, et vous êtes Stan, un ami m'a signalé ce bus, alors pas besoin d'introductions, j'ai juste besoin d'une place pour le Chemin de Traverse." Stan récupéra vite de son état de choc.

« D'accord, ce sera 18 mornilles, 3 noises. » Harry paya Stan et trouva son lit à l'arrière du bus. Apparemment il était la seule personne sur le bus de nouveau. Il s'allongea, ayant l'intention de reposer ses yeux, mais se trouva subir le mal des voyages, et s'assit donc immédiatement. Juste assis ici, il commença à se demander tout ce qui était à lui maintenant que Sirius était mort. Il n'avait pas regardé la liste qu'il avait reçue, puisqu'il avait eu la lettre tard dans la nuit et été tombé endormi en la lisant.

Mais la lettre n'était pas tout ce pour quoi il allait au Chemin de Traverse. Il avait besoin de plus que cela, il avait besoin de fournitures. Et quand il disait fournitures, il voulait dire des fournitures pour le combat fournitures qui l'aideraient à gagner la guerre. Il avait déjà élargi sa chambre, plusieurs fois en fait, et elle avait maintenant la moitié de la taille du terrain de quidditch, si ce n'était plus. Avant qu'il ne s'en rende compte, il sautait hors du bus, heureux d'être hors de ce moyen de transport complètement fou.

Il ne pouvait décider ce qui était pire, le Magicobus, la Poudre de Cheminette, ou les Portauloins, mais quel que soit le plus mauvais entre le premier et le dernier, la Poudre était la pire. Il sourit en marchant dans le Chaudron Baveur, enchanté que personne ne bée à sa cicatrice et ne murmure des choses telles que « c'est Harry Potter ! », ou « le garçon qui survécu, c'est lui ! ». Il ne fit que passer au travers, tapa les briques correctes, et marcha droit à travers la foule, personne ne le remarquant sauf quelques filles, qui nota t'il murmuraient des choses espiègles. Il tomba presque à la renverse en tenant son ventre quand il vit Cho le fixant et le pointant en murmurant quelque chose dans l'oreille de son amie.

Il marcha dans Gringotts et regarda les alentours. Son regard tomba finalement sur un bureau qui portait les mots – Derniers Testaments & Héritages. Il se rendit à ce bureau et vit Griphook, le gobelin qui les avait aidés lui et Hagrid dans sa première année, le regardant d'en haut. D'un ton tranquille, il dit,

« Bonjour, j'ai reçu une lettre qui disait de vous rencontrer aussi tôt que possible, à propos de l'héritage de Sirius Black, mais je suis déguisé et ne veux pas être reconnu. » Le gobelin regarda en bas, comme s'il essayait de déterminer s'il était le réel Harry ou non.

« Si vous êtes qui vous dites que vous êtes, alors qui était le gobelin qui vous a aidé quand on vous a amené ici pour la première fois ici, et qui vous a emmené ici cette fois-ci ? » Harry sourit. Il s'était attendu à quelque chose comme cela.

« Pour votre première question. Vous. Pour votre seconde, un demi-géant nommé Hagrid. Maintenant allons-y, je veux qu'aucune attention ne me soit portée. »

La créature verte hocha, sauta de son siège, et fit entrer Harry à travers la porte, lui indiquant de le suivre. Harry resta tranquille tout le temps qu'ils marchaient les nombreux escaliers, passant devant un bureau chaque fois qu'ils atteignaient un palier. Ils s'arrêtèrent finalement à un bureau situé au 9e étage.

« Entrez, vous serez attendu. » fut tout ce qu'il dit en disparaissant à travers le mur, ce qui stupéfia Harry. Prenant une profonde inspiration, il ouvrit la porte.

A l'intérieur il y avait un petit bureau, pas plus grand que sa chambre régulière chez les Dursley, sans les sorts d'élargissement évidemment. Il y avait des étagères avec des livres, quelques choses qu'Harry ne reconnaissaient pas, et un bureau avec un gobelin qui avait un sourire amical sur son visage. Soudain Harry se reprit, Sourire Amical ? Cela ne correspondait pas du tout à la description d'un gobelin. Il savait que beaucoup de gobelins souriaient, mais ne le faisaient que pour faire de meilleures affaires et avoir plus d'argent.

« S'il vous plaît, asseyez-vous. Nous vous attendions, bien que je sois désolé de dire que vous m'avez pris à un mauvais temps, puisque j'ai un rendez-vous dans 15 minutes Mr Potter. Mais ne vous inquiétez pas, nous irons simplement directement à ce qui nous concerne. Tout d'abord, mon nom et Clutchhook, je suis un cousin de Griphook. Bon, maintenant que les introductions sont finies, à nos affaires.

« Tout d'abord, la mort de Sirius a affecté une multitude de choses. D'abord, cela fait de vous son seul héritier. Vous recevez tout ce que Sirius possède, et êtes à liberté de faire tout ce que voyez approprié avec cela. Mais aussi, cela modifie le testament de vos parents. Voyez-vous, dans le testament des Potter, il est dit que vous deviez recevoir tous les autres actifs qui n'étaient pas dans votre compte de sauvegarde, coffre n° 687. Voyez-vous Harry, les Potter étaient l'une des plus vieilles familles, datant d'avant même les fondateurs de Poudlard, seconds seulement après les Dumbledore, je crois. Le numéro du coffre était 2. Même les coffres des fondateurs étaient 5, 6, 7 et 8. Et durant tout ce temps, disons seulement que vous avez construit une fortune. Les Potter sont la famille la plus riche du monde, même par standards moldus. Vous êtes même plus riche que les Dumbledore et les Black. »

« Harry ce que je vous dis, est que vous êtes l'homme le plus riche au monde, en fait la personne la plus riche qui ait jamais existé. Tout l'argent du monde atteindrait à peine la quantité que vous avez une fois que vous combinerez les coffre 2 et 3, les Potter et Black. Oh, et si vous vous demandez, le coffre numéro 4 est celui des Dippets, qui au cas où vous ne le sauriez pas, le dernier héritier, Armando Dippet, était le prédécesseur d'Albus Dumbledore pour le titre de Directeur de Poudlard. » Harry était assis pensant à propos de ceci pendant un moment jusqu'à ce qu'une question surgisse dans sa tête.

"Mais Monsieur, quel est l'argent dans mon coffre d'origine, le numéro 687 ?" Clutchhook ne sembla pas surpris par la question, et avait en fait déjà une réponse.

"Ah oui, je me demandais si vous alliez demander cela, ce sont les comptes de réserve que vos parents ont mis en place pour vous, jusqu'à ce que vous soyez assez âgé pour hériter le coffre numéro 2."

Harry avait des difficultés à penser à tout cela en même temps. Il décida de finir la conversation avec le gobelin amical aussi tôt que possible et posa deux questions qui marqueraient la fin du rendez-vous.

"Bon, ce n'est pas que je n'apprécie pas votre compagnie, mais c'est plutôt beaucoup à prendre d'un coup, et en si peu de temps, pourrais-je dire. Alors si nous pouvions terminer cela plutôt rapidement j'apprécierais cela beaucoup, alors je vais juste vous demander l'essentiel. Quelles sont les propriétés que je possède? Et combien ai-je d'argent maintenant que j'ai combiné les coffres 2 et 3?"

Clutchhook approuva, et analysa quelques données sur un parchemin.

"D'accord, vous avez un total de 27 manoirs tout autour du monde. Cette enveloppe contient chacun des noms et des localisations, ainsi que les barrières établies autour de chaque propriété, et de quelle famille elles viennent. Et pour l'argent, le voulez-vous séparé en gallions, mornilles et noises, ou juste gallions?"

"Gallions." Dit Harry.

"Très bien, tout ensemble vous avez maintenant 75.037.656 gallions. Félicitations Mr Millionnaire, je veux dire Mr Potter. Vous êtes la personne la plus riche qui ait jamais vécu. Oh, et si vous transformiez cela en livres, vous avez environ trois trillions de dollars. Maintenant tout ceci est fini, ce furent de très bonnes affaires avec vous. Peut-être nous reverrons-nous!" le gobelin tendit sa main, et Harry la serra.

"Oui, peut être. Au revoir." Et avec cela, Harry sortit par la porte.

Il fut surpris de voir Griphook se tenir là, tenant une lanterne. "Suivez- moi" fut tout ce qu'il dit, et il entamèrent la longue montée en haut des escaliers qui menaient au hall principal. Mais Harry ne réalisa pas qu'ils avaient commencé à grimper, ou étaient à mi-chemin, ou quand ils avaient fini. Il avait pensé intensément à tout ce qu'il venait de se passer. Il sortit de sa rêverie quand il entendit un mécontent 'Quelque chose d'autre, Monsieur?' d'un gobelin particulièrement impatient.

"En fait oui, je viens d'hériter d'une très grande somme d'argent et ai besoin de savoir s'il y a un moyen de payer sans avoir à porter de lourds sacs de gallions toute la journée. Je vais dépenser beaucoup de gallions aujourd'hui et ne me sens pas d'avoir à supporter tout le poids supplémentaire."

Le gobelin sembla découragé quand Harry avait dit oui, mais ses oreilles s'étaient redressées quand il avait posé la dernière question.

"Mais oui monsieur, il existe un carnet de chèques magique. Il est établi pour ne répondre qu'à votre voix et seul vous pouvez contrôler ce qu'il fait. Vous devez juste hausser le micro à votre bouche, dire le montant que vous désirez payer, et une note indiquant que Gringotts accepte s'imprimera, et vous n'avez plus qu'à donner au caissier cette note pour payer vos achats. Les achats ainsi sont très simples et très intelligents." Harry n'avait même pas besoin d'en entendre plus.

"Je vais prendre cela, combien?" Le gobelin sembla surpris, et tira alors la manche d'Harry, le menant à un bureau. Il prit ce qu'il sembla être une imprimante miniaturisée, mais avait en fait la forme d'une fine boîte à CD. "Ce sera 57 gallions monsieur." Harry réalisa alors qu'il n'avait pas d'argent avec lui, mais réalisa aussi qu'il pourrait marchander avec la petite créature verte.

"Oh, désolé, je n'ai aucune monnaie avec moi." Le gobelin commença à rentrer le chéquier, mais Harry sourit de façon narquoise, et continua."Pouvez-vous prendre cela hors du coffre deux ou trois?" Les yeux du gobelin s'arrondirent soudainement et celui-ci semblait être sur le point de demander s'il était qui il disait qu'il était, si bien qu'Harry lui tendit ses clés.

"Certainement monsieur, c'est très possible. Voilà votre objet, merci d'avoir acheté à Gringotts, et passez une bonne journée."

Harry sourit, il avait raison. Il savait persuader. Et maintenant il pouvait le faire avec une race qui méprisait complètement les humains. Il pouvait dire que c'était un voyage plutôt excitant.

Une fois qu'il fut sorti de Gringotts, il pensa à ce dont il aurait le plus besoin : une deuxième baguette. Evidemment, sa baguette était puissante, très puissante en fait, mais elle était inutile contre Voldemort et sa baguette. Il se dirigea alors chez Ollivander, et commença à penser à ce qu'il pourrait dire pour que Mr Ollivander lui permette d'acheter une deuxième baguette, et surtout sans que personne d'autre qu'eux ne le sache.

Il entra, et la même atmosphère qu'il avait ressentie avant afflua vers son visage : celle de bois moisi. Il rit silencieusement à sa blague, mais cela sembla suffisant pour Mr Ollivander. Harry l'entendit avant de le voir.

"Je ne peux dire que je vous attendais en ces temps, Mr Potter. Mais je peux deviner pourquoi vous êtes ici. Mais c'est exactement cela : une supposition. Alors puis-je vous demander pourquoi vous êtes ici, Harry?" Harry grimaça. Il jurerait que cet homme connaissait la Légilimentie, ou qu'il était un devin. Mais pour l'instant il ignora cette pensée, et continua la conversation.

"Eh bien je n'ai aucun doute que vous êtes sage, alors je devine que votre théorie est correcte. Je suis ici pour une seconde baguette; je crois que vous connaissez les circonstances?" Ollivander approuva de la tête, et se rendit à l'arrière. Il retourna en une minute, lévitant déjà plusieurs boîtes pour baguettes. Harry sembla choqué, et se demanda ce qu'il pouvait en faire.

"Au cas où vous vous demandiez, je me rappelle la première fois où vous étiez ici, et cette fois-ci je viens préparé. Ha! Maintenant essayez celle- ci...10,5 pouces, chêne, cheveu de licorne..." et il continua ainsi, juste comme la première fois...essayant baguette après baguette, mais toujours rien. Trente baguettes : rien. Quarante baguettes : rien. Ils abandonnèrent à 50 et Harry laissa échapper un soupir de déception, mais Ollivander avait un grand sourire sur le visage. Harry regarda en haut, se sentant insulté, et demanda-

"Excusez-moi, non que je veuille être rude, mais qu'y a t'il pour être aussi heureux? Nous venons d'essayer cinquante-sept baguettes, et aucune d'entre elles ne laissa échapper une étincelle d'espoir, pas une!", finit Harry épuisé.

"Particulièrement vrai Mr Potter. La chose pour laquelle je suis heureux est que vous venez de vous qualifier." Harry regarda en haut, confus mais intéressé. Harry approuva, et Mr Ollivander continua." Vous voyez, après avoir fait essayer plusieurs baguettes, et ne recevant aucune réaction, je dirige mes clients quelque part ailleurs, pour quelque chose de plus puissant, un bâton de commande. Un bâton de commande, voyez-vous, triple presque le pouvoir d'attaque. Par exemple, vous tentez de désarmer un adversaire avec un simple sort de désarmement. Les effets seraient les mêmes qu'avec le sort, mais particulièrement désastreux. Au lieu de simplement désarmer votre adversaire, il volerait en arrière d'au moins 30 à 40 pieds si vous pouvez manier le bâton de commande efficacement. Aussi, contrairement aux baguettes, vous choisissez ce type de bâton, il ne vous choisit pas. Suivez-moi donc, et nous vous en choisirons un."

Harry suivit le vieux sorcier, maintenant complètement fasciné par l'idée de devenir plus puissant, afin de pouvoir exercer sa vengeance sur le monstre qui a détruit sa vie, et tant d'autres. Il pensa à toutes les personnes qu'il avait tuées. Ses parents, Cédric, Bertha Jorkins, Sirius, et tant d'autres qu'il ne pouvait compter. Il pensa alors à quelqu'un qui avait vécu encore pire, Neville. Il devait supporter le fait que ses parents n'étaient pas morts, mais l'étaient en réalité plus qu'ils n'étaient vivants. Il devait aller voir ses parents, leur parler, mais ils n'entendaient pas, n'écoutaient pas, ou ne répondaient pas.'Pauvre Neville, mais au moins il a été éduqué de façon correcte, bien pour lui.'pensa Harry, sympathisant avec et enviant son camarade de classe en même temps. Il remarqua alors qu'ils s'étaient arrêtés. Ils étaient devant une porte qui disait : Personnes Autorisées Seulement. Mr Ollivander ouvrit la porte, indiquant à Harry de le suivre, ce qu'il fit.

Et voilà pour le premier chapitre, vous aurez la suite dans quelques jours, dès que j'aurais traduit le deuxième chapitre. A plus, et merci d'avance à tous mes reviewers.

Serena