« Déchéance Absolue »
By Jeremy Angel and Max Devil
FanFiction Angel Sanctuary
Yaoi Rochel / Katan
Petit Mot de Jeremy : Waaah ! C'est trop gentil de ta part Mimi ! Pour la peine... Je ne vais finir que pour toi ! Nan... pour les autres aussi quand même ^_^ ;
Chapitre 3 - Aimer autrement
Je m'assois en face du bureau de Raphaël. La pièce est plutôt sombre. Une veste de femme est jetée sur le canapé à quelques pas de là. Elle appartient sûrement à cette jeune fille qui est sortie d'ici il y a quelques minutes. Une immense bibliothèque admirablement remplie est posée contre le mur blanc de droite. Une fenêtre se découpe dans la façade en face de nous, normalement disposée ici pour permettre à la lumière de mieux éclairer le bureau. Mais les rideaux tirés assombrissent la pièce.
Le Maître des Vertus s'assoit à son tour et pose ses bras sur les accoudoirs de son fauteuil. Il se racle la gorge et engage enfin la conversation.
_Eh bien... De quoi souffrez-vous ?
Sa demande est plutôt maladroite, mais étant, en apparence, embarrassé, il est tout excusable.
_Je ne sais pas.
_Pardon ?
_Venir ici était tout bonnement une excuse.
_Une excuse ? Envers votre maître ?
_Si on peut dire.
_Et puis-je savoir pourquoi ?
_Votre indiscrétion ne me plait guère.
_Veuillez m'en pardonner.
_...
_... Bon, alors... Vous pouvez partir. Je dirais à votre Maître que vous êtes bien passé.
_Je vous en remercie.
Je me lève et m'apprête à partir, mais un claquement brutal de porte se fait entendre. Je me retourne mais c'est Raphaël qui prend la parole :
_Mikaël ? Que nous vaut l'honneur de ta visite ?
_Raph... Raphaël ! ! ! Qu'est-ce que t'as foutu nom de [censuré] ! ! !
_Je t'en prie ! Reste poli voyons !
_Ne fais pas l'innocent ! Pourquoi t'as interdit aux gardes de me suivre jusqu'en...
_Tu sais très bien pour quoi Mikanou !
Je reste silencieux, mais je suis très surpris par le surnom que Raphaël donne au maître des puissances. Il est très familier avec lui. Il semble remarquer ma surprise car il paraît gêné. Mikaël ne le souligne pas -vu sa bassesse d'esprit il ne remarquerait même pas un loup parmi des brebis- et continue de râler très vulgairement :
_Mais [censuré] ! ! ! Je fais ce que je veux quand je veux !
_Le danger était bien trop présent pour que je te laisse y aller. Tu es une tête de mule et tu fais toujours ce qui t'arrange. Mais là, je ne te laisserai pas faire. C'est...
_Je ne veux plus t'entendre sale hypocrite ! Puisque tu as fait en sorte que les gardes ne me suivent pas jusqu'à l'antre de ces sales démons qui sont assez culottés pour pénétrer ce royaume où seuls les anges ont accès, j'irai sans eux !
Sur ce, il se retourne et sort en prenant bien soin de claquer violemment la porte derrière lui. Je tourne la tête vers Raphaël qui venait de se lever brusquement. Il se laisse tomber dans son fauteuil, et une lueur de mélancolie -de tristesse même- assombrit son regard. Je l'entends murmurer :
_Je ne souhaitais que te protéger Mikan...
Il ne termine pas. Il relève brusquement la tête, et une teinte rouge apparaît sur son visage m'indiquant l'embarras soudain qui l'a saisis quand il s'est rendu compte qu'il venait de parler à voix haute. Il jète un regard perdu et confus vers moi tout en me demandant :
_De quoi parlions-nous ?
_Je m'apprêtais à partir.
_... Bien...
Je me lève mais la voix du Maître des vertus me retient :
_Il faut excuser son impolitesse.
_Pardon ?
_Mikan... Mikaël ne vous a même pas dit quoique ce soit comme bonjour ou au revoir, en réalité, il ne vous a pas remarqué. Ces termes étaient également 'quelque peu' vulgaires. Et bien, il faut l'excuser. Il n'est pas très...
_Cela ne fait rien, je vous assure.
_Merci...
Je me dirige vers la porte mais quelque chose au fond de ma gorge ne peut s'empêcher de sortir :
_Raphaël ?
_Euh... Oui ?
_Vous êtes bien trop attaché à Mikaël. Faîtes bien attention, cela pourrait vous retomber dessus. C'est juste un conseil d' 'ami'.
_Je suis flatté que vous me considériez comme un ami, mais je n'ai nullement besoin de vos conseils.
_Hum... Excusez-moi, je crois avoir touché un point sensible.
_Oui, vous avez raison, bien trop sensible.
Il me lance interrogateur auquel ma réponse est :
_Ne vous inquiétez pas, cette conversation restera entre nous.
_Je vous en remercie.
_Sur ce, au revoir.
_Oui. Et donnez le bonjour à votre Maître de ma part.
_Je n'y manquerai pas.
Je sors alors de la pièce, un petit sourire aux lèvres. Ce secret dévoilé promettait de belles péripéties. Mais Raphaël ne peut aimer Mikaël plus qu'un frère. Un ange ne le peut. Oui, il doit l'aimer seulement comme un frère. J'en suis persuadé, comme moi j'aime Rochel comme un père. Cà ne peut aller plus loin.
&*&*&*&*&*&*&
Je me dirige vers LA porte. Celle qui mène à SES appartements. L'air chaud et lourd, l'atmosphère pesante qui règne dans le couloir ne laissent présager rien de bon.
J'ouvre la porte. Il est là, assis dans son habituel fauteuil. Son habituelle bouteille posée sur la table en face de lui. Il me voit, et alors son habituel sourire vient illuminer son visage.
_Katan ! Tu es revenu bien vite ! Alors, cette consultation ?
_Rien de spécial.
_Tu veux dire que ce cher Maître des Vertus n'a rien trouvé d'anormal ?
_Exact. D'ailleurs, il vous donne le bonjour.
_Bien, bien. Tu sais, moi j'ai trouvé quelque chose d'anormal chez toi.
_Hum ? Comment çà ?
_Eh bien, tu restes bêtement debout au lieu de venir t'asseoir avec moi !
_Excusez-moi...
Il laisse échapper un doux rire. Je m'assois donc sur une chaise non loin.
_Quoi ? Tu préfères une chaise en bois, dure et froide, alors qu'une place t'attend à mes côtés sur ce canapé moelleux ? !
_Je me sens mieux près de la fenêtre. L'air est bon dehors.
Son regard devient colérique. La rage vient crisper son blanc et fin visage.
_Katan ! Assis-toi ici !
_Mais il fait si chaud, je...
_Je t'ordonne de venir ici !
_...
_Katan ! ! ! Obéis !
_...
Il se lève brusquement, se dirige rapidement vers moi tel un félin, et m'agrippe par la gorge qu'il commence à serrer.
_Pourquoi ne te plies-tu jamais à mes ordres comme les autres ? !
_Vous... M'étouff...
_Pourquoi Katan ? ! Que t'ai-je fait ? !
Il me serre extrêmement fort à présent. Je n'arrive plus à respirer et la douleur s'empare de mon corps.
Soudain, une larme coule sur la joue de Rochel. Il desserre petit à petit son étreinte, et finit par me lâcher complètement. Je suffoque et lui se laisse tomber à terre. Seuls ses quelques sanglots brise le silence qui vient de s'installer, et des secousses agitent son corps frêle.
_Maître...
Je pose mes mains sur ses épaules. Mais il s'écrie :
_Ne me touche pas ! Si tu trouves qu'il fait si bon dehors, vas-y ! Pars, et laisses moi tranquille !
_Maître, je ne peux vous abandonner ainsi !
_Pars je te dis !
Je ne peux me permettre de lui désobéir de nouveau vu l'état dans lequel il se trouve. Il a besoin d'être seul. Alors je m'en vais.
Je marche, sans regarder où je me dirige. La confusion dans mon esprit guide mes pas. Que penser ? Que faire ? Mon Maître est si étrange depuis son 'réveil', depuis que j'ai brisé les scellés qui le retenaient prisonnier dans le néant. Ai-je bien fait ? Mon coeur me dit qu'oui. Je regarde enfin autour de moi. Une légère brise joue dans mes cheveux et s'amuse à faire valser les feuilles mortes. De somptueuses fleurs semblent me rire au nez. Je m'assois sur un banc. C'est alors que je me rends compte que je me trouve exactement là où j'ai tenu Rochel dans mes bras il y a quelques heures auparavant. Pourquoi ne puis-je pas m'empêcher de penser à lui, de m'inquiéter à son sujet ? Pourquoi ai-je tant besoin de le protéger ? Parce que je l'aime comme un père sans doute. Ou peut être que je l'aime autrement... L'aimer autrement... Quelle idée sotte ! Non, elle n'est pas idiote. Au contraire, elle expliquerait bien des choses... Non ! Non, je ne peux pas l'aimer plus qu'un père ! C'est impossible ! Ou plutôt, c'est interdit...
*** Fin du chapitre 3*** A suivre ***
T'es contente Mimi ? Je te signale qu'on l'a écrit vite rien que pour toi quand on a vu ta petite review ! N'empêche, tu dois pas être contente, y'a pas de lemon ! Nooon, patapééééé ! ! !
Merci aussi à Roxane, à Nina, à celle a qui on a répondu mais qui ne se manifeste pas, et aux autres ! Promis, on vous citera toutes la prochaine fois (mais là Jeremy est fatigué, donc sa mémoire à quelques failles... C'est qu'on a passé un après-midi torride lui et moi ! Non, je blague Jem', ne me frappe pas ! Pose ce couteau !) COUIC
By Jeremy Angel and Max Devil
FanFiction Angel Sanctuary
Yaoi Rochel / Katan
Petit Mot de Jeremy : Waaah ! C'est trop gentil de ta part Mimi ! Pour la peine... Je ne vais finir que pour toi ! Nan... pour les autres aussi quand même ^_^ ;
Chapitre 3 - Aimer autrement
Je m'assois en face du bureau de Raphaël. La pièce est plutôt sombre. Une veste de femme est jetée sur le canapé à quelques pas de là. Elle appartient sûrement à cette jeune fille qui est sortie d'ici il y a quelques minutes. Une immense bibliothèque admirablement remplie est posée contre le mur blanc de droite. Une fenêtre se découpe dans la façade en face de nous, normalement disposée ici pour permettre à la lumière de mieux éclairer le bureau. Mais les rideaux tirés assombrissent la pièce.
Le Maître des Vertus s'assoit à son tour et pose ses bras sur les accoudoirs de son fauteuil. Il se racle la gorge et engage enfin la conversation.
_Eh bien... De quoi souffrez-vous ?
Sa demande est plutôt maladroite, mais étant, en apparence, embarrassé, il est tout excusable.
_Je ne sais pas.
_Pardon ?
_Venir ici était tout bonnement une excuse.
_Une excuse ? Envers votre maître ?
_Si on peut dire.
_Et puis-je savoir pourquoi ?
_Votre indiscrétion ne me plait guère.
_Veuillez m'en pardonner.
_...
_... Bon, alors... Vous pouvez partir. Je dirais à votre Maître que vous êtes bien passé.
_Je vous en remercie.
Je me lève et m'apprête à partir, mais un claquement brutal de porte se fait entendre. Je me retourne mais c'est Raphaël qui prend la parole :
_Mikaël ? Que nous vaut l'honneur de ta visite ?
_Raph... Raphaël ! ! ! Qu'est-ce que t'as foutu nom de [censuré] ! ! !
_Je t'en prie ! Reste poli voyons !
_Ne fais pas l'innocent ! Pourquoi t'as interdit aux gardes de me suivre jusqu'en...
_Tu sais très bien pour quoi Mikanou !
Je reste silencieux, mais je suis très surpris par le surnom que Raphaël donne au maître des puissances. Il est très familier avec lui. Il semble remarquer ma surprise car il paraît gêné. Mikaël ne le souligne pas -vu sa bassesse d'esprit il ne remarquerait même pas un loup parmi des brebis- et continue de râler très vulgairement :
_Mais [censuré] ! ! ! Je fais ce que je veux quand je veux !
_Le danger était bien trop présent pour que je te laisse y aller. Tu es une tête de mule et tu fais toujours ce qui t'arrange. Mais là, je ne te laisserai pas faire. C'est...
_Je ne veux plus t'entendre sale hypocrite ! Puisque tu as fait en sorte que les gardes ne me suivent pas jusqu'à l'antre de ces sales démons qui sont assez culottés pour pénétrer ce royaume où seuls les anges ont accès, j'irai sans eux !
Sur ce, il se retourne et sort en prenant bien soin de claquer violemment la porte derrière lui. Je tourne la tête vers Raphaël qui venait de se lever brusquement. Il se laisse tomber dans son fauteuil, et une lueur de mélancolie -de tristesse même- assombrit son regard. Je l'entends murmurer :
_Je ne souhaitais que te protéger Mikan...
Il ne termine pas. Il relève brusquement la tête, et une teinte rouge apparaît sur son visage m'indiquant l'embarras soudain qui l'a saisis quand il s'est rendu compte qu'il venait de parler à voix haute. Il jète un regard perdu et confus vers moi tout en me demandant :
_De quoi parlions-nous ?
_Je m'apprêtais à partir.
_... Bien...
Je me lève mais la voix du Maître des vertus me retient :
_Il faut excuser son impolitesse.
_Pardon ?
_Mikan... Mikaël ne vous a même pas dit quoique ce soit comme bonjour ou au revoir, en réalité, il ne vous a pas remarqué. Ces termes étaient également 'quelque peu' vulgaires. Et bien, il faut l'excuser. Il n'est pas très...
_Cela ne fait rien, je vous assure.
_Merci...
Je me dirige vers la porte mais quelque chose au fond de ma gorge ne peut s'empêcher de sortir :
_Raphaël ?
_Euh... Oui ?
_Vous êtes bien trop attaché à Mikaël. Faîtes bien attention, cela pourrait vous retomber dessus. C'est juste un conseil d' 'ami'.
_Je suis flatté que vous me considériez comme un ami, mais je n'ai nullement besoin de vos conseils.
_Hum... Excusez-moi, je crois avoir touché un point sensible.
_Oui, vous avez raison, bien trop sensible.
Il me lance interrogateur auquel ma réponse est :
_Ne vous inquiétez pas, cette conversation restera entre nous.
_Je vous en remercie.
_Sur ce, au revoir.
_Oui. Et donnez le bonjour à votre Maître de ma part.
_Je n'y manquerai pas.
Je sors alors de la pièce, un petit sourire aux lèvres. Ce secret dévoilé promettait de belles péripéties. Mais Raphaël ne peut aimer Mikaël plus qu'un frère. Un ange ne le peut. Oui, il doit l'aimer seulement comme un frère. J'en suis persuadé, comme moi j'aime Rochel comme un père. Cà ne peut aller plus loin.
&*&*&*&*&*&*&
Je me dirige vers LA porte. Celle qui mène à SES appartements. L'air chaud et lourd, l'atmosphère pesante qui règne dans le couloir ne laissent présager rien de bon.
J'ouvre la porte. Il est là, assis dans son habituel fauteuil. Son habituelle bouteille posée sur la table en face de lui. Il me voit, et alors son habituel sourire vient illuminer son visage.
_Katan ! Tu es revenu bien vite ! Alors, cette consultation ?
_Rien de spécial.
_Tu veux dire que ce cher Maître des Vertus n'a rien trouvé d'anormal ?
_Exact. D'ailleurs, il vous donne le bonjour.
_Bien, bien. Tu sais, moi j'ai trouvé quelque chose d'anormal chez toi.
_Hum ? Comment çà ?
_Eh bien, tu restes bêtement debout au lieu de venir t'asseoir avec moi !
_Excusez-moi...
Il laisse échapper un doux rire. Je m'assois donc sur une chaise non loin.
_Quoi ? Tu préfères une chaise en bois, dure et froide, alors qu'une place t'attend à mes côtés sur ce canapé moelleux ? !
_Je me sens mieux près de la fenêtre. L'air est bon dehors.
Son regard devient colérique. La rage vient crisper son blanc et fin visage.
_Katan ! Assis-toi ici !
_Mais il fait si chaud, je...
_Je t'ordonne de venir ici !
_...
_Katan ! ! ! Obéis !
_...
Il se lève brusquement, se dirige rapidement vers moi tel un félin, et m'agrippe par la gorge qu'il commence à serrer.
_Pourquoi ne te plies-tu jamais à mes ordres comme les autres ? !
_Vous... M'étouff...
_Pourquoi Katan ? ! Que t'ai-je fait ? !
Il me serre extrêmement fort à présent. Je n'arrive plus à respirer et la douleur s'empare de mon corps.
Soudain, une larme coule sur la joue de Rochel. Il desserre petit à petit son étreinte, et finit par me lâcher complètement. Je suffoque et lui se laisse tomber à terre. Seuls ses quelques sanglots brise le silence qui vient de s'installer, et des secousses agitent son corps frêle.
_Maître...
Je pose mes mains sur ses épaules. Mais il s'écrie :
_Ne me touche pas ! Si tu trouves qu'il fait si bon dehors, vas-y ! Pars, et laisses moi tranquille !
_Maître, je ne peux vous abandonner ainsi !
_Pars je te dis !
Je ne peux me permettre de lui désobéir de nouveau vu l'état dans lequel il se trouve. Il a besoin d'être seul. Alors je m'en vais.
Je marche, sans regarder où je me dirige. La confusion dans mon esprit guide mes pas. Que penser ? Que faire ? Mon Maître est si étrange depuis son 'réveil', depuis que j'ai brisé les scellés qui le retenaient prisonnier dans le néant. Ai-je bien fait ? Mon coeur me dit qu'oui. Je regarde enfin autour de moi. Une légère brise joue dans mes cheveux et s'amuse à faire valser les feuilles mortes. De somptueuses fleurs semblent me rire au nez. Je m'assois sur un banc. C'est alors que je me rends compte que je me trouve exactement là où j'ai tenu Rochel dans mes bras il y a quelques heures auparavant. Pourquoi ne puis-je pas m'empêcher de penser à lui, de m'inquiéter à son sujet ? Pourquoi ai-je tant besoin de le protéger ? Parce que je l'aime comme un père sans doute. Ou peut être que je l'aime autrement... L'aimer autrement... Quelle idée sotte ! Non, elle n'est pas idiote. Au contraire, elle expliquerait bien des choses... Non ! Non, je ne peux pas l'aimer plus qu'un père ! C'est impossible ! Ou plutôt, c'est interdit...
*** Fin du chapitre 3*** A suivre ***
T'es contente Mimi ? Je te signale qu'on l'a écrit vite rien que pour toi quand on a vu ta petite review ! N'empêche, tu dois pas être contente, y'a pas de lemon ! Nooon, patapééééé ! ! !
Merci aussi à Roxane, à Nina, à celle a qui on a répondu mais qui ne se manifeste pas, et aux autres ! Promis, on vous citera toutes la prochaine fois (mais là Jeremy est fatigué, donc sa mémoire à quelques failles... C'est qu'on a passé un après-midi torride lui et moi ! Non, je blague Jem', ne me frappe pas ! Pose ce couteau !) COUIC
