Coucou !! Me voilà de retour avec un nouveau chap !!! Et avec la suite de l'enlèvement, rien que ça !!

            Au fait, comme c'est une fic en R, vous devez vous attendre très prochainement à un slash, essayez de deviner voir !!!

            Bon, assez de bla-bla, je vous souhaite bonne lecture !

            Chapitre 10

            Intérieurement, Valérie était terrifiée, mais en apparence, elle affichait un visage impassible. Elle savait qu'elle était un otage précieux, et qu'ils ne la tueraient pas. Mais elle serait torturée. Cependant, elle n'allait pas se laisser faire. Elle savait qu'elle pouvait se montrer insupportable, et très bientôt Voldemort et Turquin seraient bons pour l'asile, elle allait leur mener la vie infernale.

            Elle regardait autour d'elle, en feignant d'être intéressée par le décor.

- C'est là que vous habitez ? demanda-t-elle d'une voix assurée.

            Pas de réponse.

- On ne peut pas dire que ce soit très gai.

            Ils la menèrent dans le bureau de Voldemort, où les deux Mangemorts la jetèrent à terre, tandis que Voldemort et Dark Master prenaient place en face d'elle. Valérie se releva en époussetant ses robes.

- Aucune manière vraiment ! Dites, Voldie, vous pourriez dire à vos Mangemorts d'être moins violents ? Cela m'étonnerait qu'ils traitent leurs femmes de la même façon. . .

- Taisez-vous ! ordonna Turquin.

- Vous, la ferme ! répliqua-t-elle. Entre nous, je trouve ridicule de vous en prendre à moi ! Après tout, vos ennemis, ce sont Harry Potter et Myriam Kiang, ma sœur. Je ne vois pas ce que je viens faire là-dedans.

- Cette petite a du cran, apprécia Voldemort.

- Elle tient de sa sœur, grinça Turquin.

- Assez joué. . .

- Une minute, coupa Valérie. Vous comptez me torturer ? Avec le Doloris ?

            Comme Voldemort la contemplait, stupéfait, elle poursuivit.

- Comme ça, il faut que je m'entraîne à crier. Ça vous va si je crie comme ça ?

            Et là, elle poussa un cri perçant et strident et Turquin dut la faire taire avant d'avoir les tympans percés. Valérie le regarda innocemment.

- Ça vous va comme cri ?

            Voldemort se leva et se planta devant elle.

- Vous avez peur, mais vous ne le montrez pas.

            Valérie lui éclata de rire au nez.

- Peur ? De vous ? Désolée, mais les serpents ne m'ont jamais fait peur. Et, au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, je suis à Serpentard.

            Elle montra l'écusson sur sa robe de sorcier, son uniforme. Voldemort était surpris.

- Une Sang-de-Bourbe à Serpentard ?

- Vous pouvez parler !! Votre père était lui aussi moldu ! Vous êtes mal placé pour critiquer les moldus !

            Le regard rouge de Voldemort montrait sa fureur et sa surprise. Il s'adressa à un Mangemort.

- Emmène-là, fais-en ce que tu veux, mais qu'elle reste en vie.

            Et Valérie recommença à hurler.

- Quoi encore ? s'impatienta Voldemort.

- Quoi ? demanda Valérie, agacée. Je m'entraîne à crier puisque je vais être torturée cette nuit !

            Voldemort soupira.

- Réflexion faite, jette-là en cellule, mais ne lui fais rien. Je ne veux pas l'entendre.

            Le Mangemort l'emporta, tandis que Valérie l'assaillait de questions.

- Il y aura une couverture et un oreiller j'espère ? Je suis très frileuse. Ah aussi. . .

            La porte se referma. Turquin regarda Voldemort.

- On dirait sa sœur. Courageuse jusqu'au bout. Elle ne se laissera pas briser.

- Elle m'amuse. Elle a des cordes vocales très développées. Ne vous en faites pas, elle sera bientôt soumise.

            Valérie observa sa cellule. Aucun confort, comme elle s'en doutait, elle en avait fait la réflexion au Mangemort, mais celui-ci n'avait rien répondu, et s'était contenté de l'enfermer. Elle soupira et s'assit à même le sol et pensa à ses sœurs, et Drago. Elle avait fait preuve de stupidité. Ses sœurs l'aimaient, elles avaient toujours été proches. Comment avait-elle pu penser que Drago et Stéphanie. . . Myriam avait eu raison d'être furieuse. Oh, pourquoi avait-il fallu qu'elle soit aussi entêtée ? Elle faillit pleurer, mais se ressaisit. Pour se remonter le moral, elle imagina Voldemort chantant sous la douche, comme l'avait conseillé Myriam contre le Professeur Rogue. Et elle éclata de rire tellement l'image lui semblait improbable ! Elle s'endormit contre la pierre froide, un léger sourire sur les lèvres.

            Un coup de pied la réveilla en sursaut. Un Mangemort se tenait devant elle.

- Le Maître veut te voir.

            Elle fut remise sur ses pieds, et comme la veille, poussée à terre devant Voldemort. Elle se releva, indignée.

- Je proteste ! Vos toutous n'ont aucun respect ou quoi ? J'exige un peu d'eau pour ma toilette, une brosse à cheveux, et une cellule plus confortable !

- Vous êtes bien exigeante pour une prisonnière, constata Voldemort.

- Prisonnière ? Je ne vous sers à rien. Je suis brouillée avec mes sœurs. Vous pourriez me tuer qu'elles ne lèveraient pas le petit doigt pour me sauver. Par contre. . .

            Un plan venait de germer dans son esprit.

- Par contre ? répéta Voldemort.

- Je crois savoir que Drago Malefoy a changé de côté.

- En effet.

- Donc vous n'avez plus aucun appui du côté de Poudlard. Je vous propose mes services.

- Expliquez-vous.

- Vous avez besoin d'explications ? Je croyais que vous étiez intelligent. Je veux être une Mangemorte. C'est pas si difficile ! Je suis une Serpentard, c'est un début.

- Qu'est-ce qui me prouve que vous êtes sincère ?

- Qu'est-ce qui vous prouve que je ne le suis pas ? Contentez-vous de ma parole, c'est suffisant. De plus, j'ai quelques connaissances en Duel, et un niveau qui pourrait mettre vos meilleurs Mangemorts à genoux. Une espionne à Poudlard, sans que personne ne s'en doute. Quelques égratignures pour faire plus authentique, et je rentre à Poudlard pour raconter que j'ai réussi à m'enfuir. Qu'en dites-vous ?

- Ils se méfieront.

- Ma sœur est le Professeur de Duel, et ennemie jurée de votre copain Turquin. Ils ne me soupçonneront pas. Et une chose, je ne veux pas de la Marque. Elle est trop visible, et elle me fera remarquer.

- Je ne marque pas des jeunes élèves. Vous n'êtes qu'en Cinquième Année.

- A Serpentard. Et n'oubliez pas, j'ai un niveau élevé en Duel.

- Acceptez-vous une mise à l'épreuve ?

- C'est-à-dire ?

- Lucius !

- Oui Maître ? répondit un Mangemort.

- Affronte cette jeune fille en Duel.

            Voldemort lança sa baguette à Valérie. Elle comprit qu'elle avait Lucius Malefoy devant elle. Eh bien, elle se ferait un plaisir de lui donner une leçon, pour venger Drago. A ce moment, Turquin pénétra dans la salle et se figea.

- Que signifie. . .

- Taisez-vous Turquin. Et installez-vous. Valérie, allez-y.

            Valérie attaqua. Elle engagea le Duel, et Lucius Malefoy ripostait. Il était fort, mais n'avait aucune stratégie. Un point faible qu'elle exploita à son avantage. Malefoy lança une série de sorts qu'elle évita habilement en enchaînant trois roues, termina par un saut périlleux arrière, projeta ses pieds joints violemment dans le bas-ventre de son adversaire qui se plia en deux de douleur et en hurlant, puis lança un Stupéfix pour terminer. Elle rejeta ses cheveux dénoués derrière son dos.

- Il était nul.

            Voldemort esquissa un sourire.

- Vous m'avez convaincue Miss Kiang.

- Ravie de vous l'entendre dire.

- Cependant. . .

- Quoi ?

- Vous ne serez pas crédible si vous revenez à Poudlard indemne. Un Doloris. . .

            Valérie pâlit.

- Non. Je suis très douillette.

- J'insiste.

- Bon, si vous voulez. Allez-y.

- Endo. . .

            Il n'avait pas encore lancé le sort qu'elle se mit à hurler atrocement.

- Stop !! cria Turquin.

- Quoi ?

- Je n'ai pas commencé, déclara Voldemort.

- Je préfère être prête, dit Valérie en haussant les épaules.

            Turquin et Voldemort échangèrent un regard. Leurs oreilles n'allaient pas supporter de tels décibels. Valérie sourit.

- J'ai une meilleure idée.

            Elle déchira ses vêtements, s'infligea quelques coupures superficielles avec sa baguette, et se décoiffa.

- Ça va comme ça ?

- Pas tout à fait.

            Voldemort fit signe à McNair. Celui-ci s'approcha et gifla violemment la jeune fille. Valérie tomba à terre. Du sang coula de sa bouche.

- Je suppose que ça fait plus réaliste, grommela-t-elle, sa main sur sa joue meurtrie.

- Oui. J'attends votre premier rapport dans une semaine.

- Ouais, pas de problème.

            « Tu peux toujours courir » pensa-t-elle.

- McNair, tu transplaneras avec elle jusqu'à Pré-au-Lard, puis tu reviendras.

            Le Mangemort acquiesça. Valérie regarda Turquin et Voldemort.

- Ma sœur va me tuer quand elle apprendra ma trahison. Mais j'en profiterai pour la tuer, et avec elle, Malefoy, Rogue et Potter.

- Laissez-moi Potter.

- Et moi, je veux tuer votre sœur moi-même.

- Si vous voulez. Une dernière question : Voldemort, vous arrive-t-il de chanter sous la douche ?

- Quoi ?

            Elle éclata de rire, et fit signe à McNair qu'elle était prête à transplaner. Ce qu'il fit, plantant Voldemort sur cette dernière question moqueuse.

            Myriam avait fini par tomber dans les bras de Severus en sanglotant. Tout le monde était inquiet pour Valérie, et personne ne ferma l'œil de la nuit. Myriam voulait aller au QG de Voldemort pour le défier, mais c'était pure folie. Même Stéphanie regrettait cette dispute qui l'opposait à sa sœur. Drago était mort d'inquiétude pour elle. Dumbledore avait fini par leur ordonner de prendre du repos.

            Myriam marchait de long en large. Elle avait des cernes, le visage pâle et ses longs cheveux dénoués flottaient dans son dos. Severus la prit dans ses bras.

- Je t'en prie, essaie de te calmer.

- Ma sœur est entre les griffes de deux malades et tu voudrais que je me calme ? Si seulement nous ne nous étions pas disputées, elle serait encore ici. . .

- Tu n'y es pour rien.

- Si, c'est entièrement ma faute. Severus, je ne me le pardonnerais jamais si elle se faisait tuer. . .

- Elle est trop précieuse.

- Mais ils la tortureront.

- Mais elle sera en vie.

            Myriam se mit à pleurer dans ses bras.

- J'ai peur. . .

            Turquin regarda Voldemort.

- Vous croyez vraiment qu'elle va trahir ses amis ?

- Non.

- Alors pourquoi l'avoir laissée partir ?

- Tout d'abord, elle nous aurait mené la vie dure avec ses hurlements. Et je ne suis pas stupide. Je lui réserve une petite surprise. . .

- Dites-m'en plus.

            Voldemort sourit cruellement.

            McNair la quitta dès qu'ils atterrirent à Pré-au-Lard. Elle se mit en route pour Poudlard, dont la silhouette se découpait au loin. Tout en marchant, elle réfléchissait. Elle était soucieuse. Cela avait été trop facile. Voldemort et Turquin étaient dangereux et cruels, et pourtant elle s'en était sortie sans difficulté, moyennant quelques mensonges et une insolence déplacée alors qu'en réalité, elle était terrifiée. Mais elle était quand même satisfaite d'avoir pu infliger une correction à Lucius Malefoy. Elle arriva devant les grilles de Poudlard. Il était sept heures du matin, et on était dimanche. Les grilles étaient fermées et c'était tout à fait normal.

- Et comment je fais pour entrer ? marmonna-t-elle.

            Elle eut l'idée d'aller au Lac. Un élève la verrait peut-être des fenêtres du château et la ferait rentrer.

            A mesure qu'elle approchait des rives du Lac, elle vit une silhouette se découper. Son cœur se mit à battre plus vite. Elle aurait reconnu cette silhouette entre mille : sa cape de soie noire volant dans le vent, ses cheveux blonds décoiffés par la brise d'automne. . . Elle sentit enfin la fatigue s'emparer d'elle, plus à cause de la mauvaise nuit qu'elle avait passée plutôt que les mauvais traitements. Elle avait la joue douloureuse, mais ce n'était rien en comparaison des Doloris qu'elle aurait pu subir. Ses jambes ne la portaient plus, et cette longue marche n'avait rien arrangé, et puis, elle ressentait le contrecoup de son enlèvement. Ses nerfs lâchaient. Elle s'effondra à terre. La silhouette tourna la tête vers elle, et se figea. Puis, elle courut vers elle. Valérie esquissa un sourire, qui s'évanouit vite en voyant le visage fermé. Elle baissa la tête tristement, les larmes menaçant de couler. Est-ce qu'il pourrait lui pardonner un jour ? Il s'agenouilla à ses côtés, et releva son visage. Elle plongea ses yeux dans le regard bleu acier qu'elle aimait tant. Il l'inspecta longuement, effleurant sa joue blessée, ses yeux reflétant une lueur de surprise.

- Tu n'as rien. . .

- Drago. . .

            Elle fondit en sanglots, se jetant dans ses bras.

- Excuse-moi !! J'ai été stupide ! Pourras-tu me pardonner tout le mal que je t'ai fait ?

- C'est déjà fait, répondit-il en refermant ses bras sur elle. Viens, tu as besoin de repos, et tout le monde s'est beaucoup inquiété pour toi, particulièrement tes sœurs.

- Elles ne voudront jamais me parler.

- Ne crois pas ça.

            Il la souleva dans ses bras, et se dirigea vers le château. Valérie s'accrocha à son cou, et posa sa tête sur son épaule.

- Je n'ai pas cessé de penser à toi. Même quand Voldemort et Turquin me menaçaient.

- Tu nous raconteras ça plus tard.

            Il entra dans l'infirmerie sans frapper, et Mme Pomfresh, déjà levée, les regarda, surprise. Puis elle se précipita vers Valérie que Drago installa dans un lit.

- Miss Kiang ! Quelle joie de vous revoir vivante ! M. Malefoy. . .

- Je vais prévenir les Professeurs.

            Il sourit à Valérie et sortit de l'infirmerie. Il savait que Myriam se trouvait dans les appartements du Professeur Rogue. Ce fut Severus qui ouvrit.

- Qu'y a-t-il ? chuchota-t-il. Myriam s'est endormie il y a à peine quelques minutes.

- Valérie est revenue, elle est à l'infirmerie.

            Severus fronça les sourcils.

- Bon, allez prévenir Granger, elle se chargera de prévenir Kiang et Potter. Nous vous rejoignons à l'infirmerie. Le mot de passe de Gryffondor est Phénix.

- Merci.

            Severus referma la porte et revint vers le lit. Il secoua doucement Myriam.

- Myriam. . .

- Mmm. . .

            Elle se redressa d'un bond.

- Severus ! Il y a du nouveau ?

- Valérie est à l'infirmerie. Drago vient de me. . .

            Elle ne le laissa pas finir. Elle enfila une robe de sorcier par-dessus son pyjama et se précipita à l'infirmerie, n'attendant pas Severus. Elle fit irruption dans l'infirmerie et se rua vers Valérie et la serra fougueusement dans ses bras.

- Valérie ! Seigneur, merci ! Oh, je suis soulagée, tu n'as rien de grave !

- Myriam. . . pleura Valérie. Je suis désolée. . .

- Chut, c'est oublié.

            Elle s'écarta un peu et l'observa longuement, en caressant ses cheveux.

- Tu n'as pas subi de Doloris. . . ni rien d'autre. . .

- C'est inhabituel, remarqua Severus en arrivant et refermant la porte de l'infirmerie. Madame Pomfresh ?

- Elle n'aura qu'un bleu sur la joue gauche pendant quelques jours.

            Myriam sourit et serra à nouveau sa sœur dans ses bras.

            Drago mit un moment à atteindre la Salle Commune de Gryffondor, et la Dame du tableau hésita à le laisser entrer malgré le mot de passe. Il fallut que Drago la menace de tout rapporter à Dumbledore pour qu'elle consente à libérer le passage. Il fut un instant déconcerté par le décor, mais ne s'attarda pas et monta l'escalier menant à la chambre d'Hermione, Préfète-en-Chef. Il entra sans frapper, et la secoua.

- Granger !

            Elle ouvrit les yeux et sursauta.

- Malefoy ! Qu'est-ce que. . .

- Valérie est revenue. Préviens Stéphanie, et rejoignez-moi à l'infirmerie.

            Hermione acquiesça et Drago se retira. Elle se leva, et se dirigea vers le dortoir des garçons de Septième Année. Elle ne frappa pas. Stéphanie avait dormi dans le lit d'Harry, malgré l'interdiction dans le règlement. Harry s'était assis à ses côtés, puisqu'elle lui avait demandé de ne pas la quitter. Ron, malgré son sommeil lourd, se réveilla quand il entendit la porte s'ouvrir. Il se redressa et ouvrit les rideaux de son lit. Il écarquilla les yeux en voyant Hermione.

- Hermione ? chuchota-t-il. Stéphanie a pleuré toute la nuit. Harry et elle viennent à peine de s'endormir, et moi aussi.

- Désolée de t'avoir réveillé, mais Valérie est revenue.

- Quoi ?

            Il se leva et secoua Harry, tandis qu'Hermione réveillait Stéphanie en douceur.

- Hermione ? dit Stéphanie.

            Elle avait les yeux rouges et gonflés. Hermione sourit.

- Lève-toi et habille-toi. Je t'emmène à l'infirmerie.

- Pourquoi ?

- Ta sœur y est.

- Quoi ?

            Stéphanie se leva d'un bond, et enfila la première robe qu'elle trouva, c'est-à-dire une robe d'Harry, mais elle ne s'en soucia guère et, sans attendre ses amis, elle courut à l'infirmerie. Elle y entra plus lentement que sa sœur aînée, mais dès qu'elle vit Valérie dans son lit et blottie dans les bras de Myriam, elle laissa libre cours à ses larmes et se précipita vers elle. Myriam s'écarta et laissa la place à Stéphanie.

- Oh, Val' !!

- Stéphanie, excuse-moi. . .

- Je ne t'en veux pas. Jamais de la vie.

- Ravi de vous revoir parmi nous, Miss Kiang, intervint une voix.

            Ils se retournèrent. Le Professeur Dumbledore se tenait sur le seuil, suivi d'Hermione et Ron qui avaient eu la présence d'esprit d'aller le prévenir. Valérie les regarda tour à tour.

- Je suppose que vous voulez savoir. . .

- Pas maintenant, dit Myriam. Repose-toi d'abord. Tu nous raconteras tout à ton réveil.

- D'accord.

            Elle s'allongea, et Madame Pomfresh les fit sortir. Mais Valérie voulut que Drago restât à ses côtés, ce qu'il fit.

            Une fois dehors, Myriam laissa parler son étonnement.

- C'est étrange. . . Elle s'en est sortie sans aucune blessure, à part cette ecchymose.

- Nous en saurons plus dès son réveil, dit Dumbledore. Mais allez tous vous reposer vous aussi, vous êtes tous épuisés.

            En effet, ils avaient tous très peu dormi, torturés par l'angoisse. Ils acquiescèrent et regagnèrent leurs chambres.

            Bon, avant de poser vos questions, une petite précision, Valérie ne va pas avoir la vie rose dans quelques chapitres, vu que notre Voldie lui a réservé une petite surprise. Donc, ne vous étonnez pas que son retour fut trop facile, c'est fait exprès. Et puis connaissant ma sœur, elle peut vraiment être insupportable si elle le voulait, je ne crois pas que Voldemort aurait pu la supporter plus de cinq minutes, et je sais de quoi je parle !!!

Réponses aux reviews :

Cirisse : j'ai rien contre les Drago-Hermione !!! Mais le couple vraiment mignon, c'est Dray-Ginny. Ou Harry-Ginny. Mais à chacun ses goûts !! Non, ce n'est pas ma période d'enlèvement !! J'ai écrit les deux histoires à deux moments différents, et c'est pas ma faute si la publication tombe au même moment !! Simple coïncidence !!

Sanou : pitié pas la torture !! Je suis comme Val !! J'ai horreur de ça !! Et je peux crier aussi ! Dray n'a pas embrassé Parkinson, c'est elle qui l'a embrassé !!! Enfin, il a cru qu'il allait vomir aussi… Non j'ai pas un faible pour les enlèvements, c'est juste la publication qui tombe pile au même moment !!! Sinon l'écriture s'est faite à plusieurs mois d'intervalle !

Deedlit : bon j'ai répondu à la majeure partie de la review dans mon mail… A part ça, merci !!!

Paradise 1 : tes frères, pires que Drago Malefoy ? Ca m'étonnerait !!

Kyarah : je suis rassurée !!! Au fait, ta fic est toujours aussi bien et même si j'ai pas tellement le temps de mettre des reviews, sache que je te suis avec avidité et assiduité !! Bisous !!

Yoann : tu vois bien que ça n'a rien à voir. J'ai pas fait de réponse à ta review du chap 14 de Némésis. Et je vais répondre à ton mail concernant le chap 24. Bisous !!