Bonjour tout le monde !! Je sais on est samedi, mais j'ai pas pu hier !! J'ai pas l'intention de répéter ce que j'ai dit dans Némésis donc vous irez voir !

            Par contre, ici je vais prendre quelques minutes pour les réponses aux reviews, vu que j'en ai pas des masses… * soupir *

            Bon, je vous laisse !! Bisous !

            Chapitre 14

            De nombreuses têtes se retournèrent quand Myriam et Severus arrivèrent. Certains se demandaient même qui était la ravissante créature au bras de leur Maître de Potions avant de réaliser qu'il s'agissait du Professeur de Duel.

            Hermione se trouvait avec Stéphanie et Valérie.

- Mince, ne me dites pas que c'est Myriam.

- Si, c'est elle, confirma Stéphanie. N'est-elle pas belle ?

- Tu veux rire ? Elle est métamorphosée ! Rien à voir avec la redoutable Duelliste ! C'est une véritable. . .

- Bombe sexuelle ? suggéra Ron en arrivant.

            Hermione le fusilla du regard. Myriam s'approcha d'eux.

- Hermione ! Tu es en beauté ce soir !

- Pas tant que toi ! Tout le monde te regarde !

- Oui, mais il n'y a que Severus à mes yeux !

- Mais comment tu fais pour le supporter ? demanda Ron.

            Hermione secoua la tête.

- C'est l'amour, idiot !

            Hermione, même si elle prétendait le contraire, était absolument adorable avec ses cheveux lâchés et lissés, sa robe violette lui moulant le corps, retenue par de fines bretelles, fendue des deux côtés jusqu'aux genoux. Elle était maquillée discrètement, juste ce qu'il fallait.

            Les Préfets-en-Chef furent invités à ouvrir le Bal avec leurs cavaliers, et aussitôt, Hermione et Drago entraînèrent Ron et Valérie sur la piste. Peu après, Harry et Stéphanie ainsi que Severus et Myriam les imitèrent. Le Bal débuta. Remus et Sniffle arrivèrent et stoppèrent net en voyant Severus radieux, en train de danser avec Myriam. . . D'ailleurs, la robe de Myriam était tout, sauf simple !

            Mme Kiang dansa avec Severus, Harry et Drago respectivement et put converser avec eux. Elle constata que Severus et Drago n'avaient pas toujours été recommandables, et Harry était lié avec Voldemort. . . Ce n'étaient pas les petits-amis idéaux mais si ses filles étaient heureuses, elle était prête à les accepter, d'autant qu'elle les trouvait sympathiques.

            Myriam avait accepté de danser avec Charles, et Severus les regardait évoluer sur la piste, de la table des Professeurs, convertie en buffet. Ron et Hermione le regardaient.

- Comment Myriam peut-elle le supporter ? demanda Ron.

- Il doit être différent dans l'intimité sans doute. Tu te rappelles cet été ? Il n'a presque pas été désagréable avec nous.

- Uniquement parce qu'il y avait Myriam, pour ne pas donner une mauvaise impression.

- Enfin Ron ! Il ne s'en est même pas pris à Harry ces derniers temps ! Avoue que ses cours sont devenus bien plus agréables !

            Ron la regarda comme si elle était devenue folle.

- Tant qu'on y est, tu n'as qu'à l'inviter à danser !

- Tu m'en crois incapable peut-être ?

- Chiche !

            Ils se défièrent du regard, et Hermione se leva et se dirigea résolument vers Severus Rogue. Il la regarda arriver sans rien dire. Il haussa juste un sourcil interrogateur quand elle se planta devant lui. Elle ne se décidait pas à parler.

- Qu'y a-t-il, Miss Granger ?

            Hermione le fixa, surprise. Miss Granger ? C'était bien la première fois qu'il l'appelait ainsi !

- Je. . . Est-ce. . . Accepteriez-vous de danser avec moi, Professeur Rogue ?

            Elle s'empourpra violemment devant sa surprise et baissa la tête.

- Ce sera avec plaisir Miss Granger.

            Devant le nouveau couple qui se dirigeait vers la piste de danse, Harry et Drago stoppèrent net. Stéphanie et Valérie rirent.

- Le Professeur Rogue s'est décoincé on dirait ! s'exclama Valérie.

- Dites-moi que je rêve ! murmura Harry.

- Granger et Rogue ! On aura tout vu, marmonna Drago.

- Regardez la tête de Ron ! dit Stéphanie.

            Celui-ci faisait une tête d'enterrement. Les quatre jeunes adolescents éclatèrent de rire.

            A la grande stupéfaction d'Hermione, Severus dansait étonnamment bien, et menait la danse avec habileté. Il dut sentir sa gêne car il lui dit :

- Ne soyez pas aussi crispée. C'est Noël ce soir. Faisons donc une trêve.

- Vous êtes différent. Si vous étiez ainsi en cours. . .

- Myriam n'a pas réussi à me changer sur ce point. Ce ne sera pas vous qui y arriverez.

- Alors oubliez ce que j'ai dit.

            Hermione se détendait peu à peu. Severus Rogue était tellement différent ! Il n'était pas l'ours mal léché qu'elle pensait. . . Il était agréable !

- Myriam a de la chance de vous avoir.

- C'est moi qui m'estime heureux de l'avoir, confessa Severus.

            La danse se termina et Severus la ramena vers Ron qui avait été rejoint par Harry, Stéphanie, Drago et Valérie. Stéphanie se leva et demanda elle aussi une danse. Il accepta vu que Myriam dansait avec Albus Dumbledore. Hermione sourit.

- Le Professeur Rogue est adorable !

            Ron, Harry et Drago s'étranglèrent. Valérie et Hermione éclatèrent de rire.

- Tu es sérieuse ? demanda Harry.

- Oui ! C'est un danseur excellent. Franchement, Myriam a de le chance.

- J'y crois pas ! s'écria Ron.

- Arrête de faire le jaloux et viens danser avec moi ! dit Valérie en l'entraînant sur la piste.

            Drago se leva et s'adressa à Hermione.

- Viens avec moi chère collègue. Allons danser !

            Ginny vit qu'Harry était seul. Elle s'approcha.

- Tu es seul ?

- Ça se voit non ? répliqua-t-il froidement.

            Ginny se décomposa.

- Bon. . . Je vais te laisser puisqu'apparemment tu ne veux pas de moi, murmura-t-elle tristement.

            Harry ressentit du remords. Elle regrettait sûrement ce qu'elle avait fait à Stéphanie, et puis c'était Ginny ! Celle qu'il avait toujours considérée comme une sœur !

- Ginny ! Tu veux danser ? la rappela-t-il.

            Elle se retourna, un sourire tremblant aux lèvres.

- Tu ne m'en veux pas ?

- C'est Noël, non ?

- Merci Harry.

            Un slow débuta et Ginny se blottit dans ses bras, un peu trop étroitement à son goût mais il ne dit rien.

- J'ai toujours été attirée par toi Harry, révéla-t-elle contre son cou. Non pas parce que tu étais le grand Harry Potter, mais parce que tu incarnais le type idéal de l'homme de ma vie. Quand tu m'as sauvé la vie pendant ma première Année, j'ai pensé que cela nous rapprocherait, mais je me trompais. Et tu as rencontré Stéphanie. J'en ai éprouvé une violente jalousie. . .

- Et tu as voulu lui nuire.

- Oui, mais je le regrette. Stéphanie est gentille et charmante. . . Mais elle ne te connaît pas vraiment. Alors que moi, je connais exactement tes moindres désirs, ta moindre pensée. . .

- Où veux-tu en venir Ginny ? demanda Harry, méfiant.

- Je t'aime Harry, et tu m'as rejetée !

            Elle se mit à lui caresser le torse d'une main, tandis qu'elle glissait l'autre entre leurs deux corps. Harry la repoussa brutalement.

- Tu me dégoûtes ! Ne m'approche plus jamais !

            Ginny croisa le regard étincelant d'Harry et reporta son regard sur Stéphanie qui riait avec Severus.

- Tu as eu tort de réagir ainsi, Harry. Kiang va payer pour ça.

- Laisse Stéphanie en dehors de ça.

- J'aurai sa peau !

- N'essaye même pas. Elle te neutralisera à la première tentative. . .

- N'en sois pas si sûr.

            Ginny quitta la Salle en courant. Mme Kiang s'approcha d'Harry.

- C'est Ginny Weasley, l'ennemie de Stéphanie ?

- Oui. Et elle est déterminée à lui nuire.

- J'en avertirai Myriam. Et veille sur elle Harry. Je compte sur toi.

- Ne vous en faites pas.

            Valérie et Drago dansaient ensemble, les yeux dans les yeux ne faisant pas attention à ce qui les entourait. Mais une voix stridente et désagréable les sortit de leur monde.

- Drago !

            Celui-ci soupira et releva à peine la tête pour toiser Pansy Parkinson, ridicule et vulgaire dans sa robe rouge vif honteusement décolletée, et un maquillage outrancier.

- Que veux-tu Parkinson ?

- Faire la paix. Je suis prête à te pardonner pour ce que tu m'as fait, et pour ta passade avec Kiang.

- Mais tu le fais exprès ou t'es carrément stupide ? s'écria Valérie.

- Ce n'est pas à toi que je parle, Sang-de-Bourbe. Tu as jeté un Imperium sur Drago et. . .

- T'as fumé la moquette du dortoir ou quoi ? murmura Valérie, agacée.

- Laisse-nous tranquilles Parkinson, décréta Drago.

            Au lieu de ça, Parkinson s'approcha et se colla à Drago.

- Elle t'a ensorcelé. . .

            Valérie la tira par les cheveux. Parkinson cria de douleur.

- Ne touche pas à Drago !

- Kiang ! Sale pute ! Endoloris !

            Valérie s'effondra en criant de douleur.

- Finite Incantatem !

            C'était Myriam. Elle s'approchait, ses yeux lançaient des éclairs.

- Je croyais vous avoir fait comprendre de ne pas vous approcher de ma sœur.

- C'est votre sœur qui a commencé. Elle a jeté un charme sur Drago.

- De toute manière, qui voudrait d'une grosse vache comme toi ? demanda Valérie.

- Espèce de. . .

- Parkinson ! intervint Severus.

- Professeur Rogue !

- Vous êtes expulsée de Poudlard.

- Et pour quel motif ?

- Vous avez utilisé un Impardonnable sur une de vos condisciples. Vous prendrez le premier train demain matin. Maintenant, veuillez quitter cette Salle.

- Je n'oublierai pas cet affront.

- Moi non plus, répliqua Myriam.

            Parkinson préféra se retirer. Myriam se dirigea vers sa sœur qui s'appuyait sur Drago.

- Ça va ?

- Non. Mais maintenant qu'elle n'est plus là pour polluer mon oxygène, ça ira mieux.

- Il faut que tu apprennes à maîtriser le Doloris.

- Un autre jour. Je vais aller me coucher.

- Je t'accompagne, dit Drago.

            Le bal se termina, mais il était déjà minuit passé. Les Professeurs veillèrent à ce que tous les élèves regagnent leurs dortoirs. Mme Kiang s'approcha de sa fille aînée.

- Qui était-ce ?

- Pansy Parkinson, la pire ennemie de Val'. Mais nous voilà débarrassées d'elle.

- Mais. . . il y a un risque pour qu'elle se venge.

- Valérie a un niveau largement supérieur au sien. Ne t'en fais pas. Va donc te coucher.

- Bonne nuit ma chérie.

- Bonne nuit Maman.

            Myriam rejoignit Severus dans le Hall. Il lui sourit quand il la vit arriver.

- Alors ?

- Tout va bien. J'ai rassuré ma mère.

            Il s'approcha et l'enlaça.

- T'ai-je dit à quel point tu es belle ce soir ?

- Oui, mais tu peux le répéter.

            Il l'embrassa. Un toussotement discret les fit sursauter.

- Est-ce que je dérange ? demanda Charles.

- Oui, répondit Myriam.

- Toujours aussi adorable, à ce que je vois. C'est sérieux entre vous deux ?

- En quoi ça vous regarde Duval ?

- Eh bien. . . J'aime beaucoup Myriam, et Philippe, notre Président, aussi.

- Merci de te préoccuper de moi, Charles, mais je suis parfaitement capable de me débrouiller seule.

- Si tu le dis.

- Bonne nuit Charles.

            Myriam entraîna Severus avec elle. Au détour d'un couloir, ils rencontrèrent Remus et Sirius.

- Une robe noire toute simple hein ? demanda Sirius.

- Pour moi, c'était une robe simple, répliqua Myriam.

- En tout cas, tu étais radieuse.

- Merci, Sirius. Ça fait plaisir.

- Myriam. . . commença Severus.

- Qu'est-ce qui se passe Rogue ? On est jaloux ? se moqua Sirius.

            Severus lui jeta un regard venimeux.

- Occupe-toi plutôt de tes affaires de cœur au lieu de flatter Myriam.

            Sirius regarda Myriam.

- Il sait ?

- Oui, désolée ! Bonne nuit tous les deux !

            Remus se tourna vers Sirius.

- C'est quoi tous ces secrets avec Myriam ?

- Rien de spécial. Juste un truc entre nous.

- Et depuis quand y a-t-il des secrets entre nous ? demanda Remus, légèrement vexé.

- Allez viens, ne fais pas cette tête.

            Remus le suivit à contrecoeur.

            Stéphanie embrassa longuement Harry et monta se coucher dans son dortoir. Harry se tourna vers Ron et Hermione qui le regardèrent.

- Vous êtes si mignons tous les deux, dit Hermione.

- C'est elle qui est adorable. Je vais dormir. Tu viens Ron ?

- Je te rejoins. Hermione ?

- Je n'ai pas sommeil. Je vais juste me changer et terminer le devoir de Potions.

- Tu n'arrêtes donc jamais ?

- Quoi donc ?

- Etudier.

- J'aime étudier. Mais visiblement, ce n'est pas ton cas. Bonne nuit Ron.

            Elle monta dans son dortoir, se démaquilla, enfila un pyjama et une robe de chambre, prit ses affaires et redescendit dans la Salle Commune. Ron était assis dans un fauteuil.

- Tu es toujours là ?

- Je t'attendais.

- Pourquoi faire ?

- Je voulais m'excuser de ce que j'ai dit. Après tout, si tu aimes étudier, je n'ai rien à redire et. . .

- Ça va Ron, je ne t'en veux pas. Tu devrais aller te coucher.

- Ça te dérange si je reste ?

- Non pas du tout. Ta présence ne m'a jamais dérangée.

            Elle s'assit à une table et commença à ouvrir un livre. Mais elle n'arrivait pas à se concentrer. Elle sentait le regard de Ron sur elle, ce qui la troublait. Elle finit par lever les yeux et rencontra son regard.

- Pourquoi me fixes-tu ainsi ?

- Tu es belle.

            Hermione le fixa, stupéfaite. Ron se leva et s'approcha d'elle. Il avait décidé d'avouer son amour pour Hermione, et il ne reculerait pas. Il s'arrêta à quelques centimètres d'elle. Elle leva les yeux mais resta assise. Il lui caressa doucement la joue, et glissa une mèche de cheveux derrière son oreille.

- Tu étais magnifique ce soir.

- Merci, souffla-t-elle, hypnotisée par ses yeux bruns.

            Lentement, il se pencha et doucement, il posa ses lèvres sur les siennes. Il passa la main dans ses cheveux incroyablement doux. Sans se détacher, elle se leva et noua ses bras autour de son cou. Il en profita pour lui caresser la lèvre inférieure de sa langue, et la glissa à l'intérieur de sa bouche. Hermione soupira et répondit au baiser. Il s'éternisa, aucun des deux ne voulant rompre le contact, mais Ron se recula lentement, à regret. Hermione rouvrit les yeux. Leurs visages était proches. Il lui sourit.

- Cela faisait un moment que je rêvais de ce baiser.

- Pourquoi ne pas l'avoir fait plus tôt ?

- J'ignorais que tu étais si pressée. . . Je t'aime Hermione.

- Ron. . .

- Prends ton temps. Bonne nuit.

            Une fois arrivés dans la chambre de Severus, il regarda Myriam. Celle-ci commença à ôter les épingles de son chignon, et bientôt, les tresses se déployaient de chaque côté de son visage. Elle les défit également.

- Tu es bien silencieux, dit-elle.

- Tu as l'air très proche de Duval.

            Myriam sourit.

- C'était mon instructeur. Et. . . nous sommes sortis deux fois ensemble, rien de plus. Nous avons préféré rester amis. Ne t'en fais pas.

- Et Philippe ?

- Philippe Sinclair est le président de la Guilde, et il a ses préférences pour les Duellistes. On va dire que je suis l'une de ses préférées. Et c'est un adorable monsieur de 63 ans.

- Duval m'inquiète plus.

- Severus, Charles et moi c'est fini. Quand je me suis retirée du monde sorcier après Turquin, j'ai également mis fin à ma relation avec lui. Nous n'avons échangé que deux baisers. Il n'y a rien eu de plus. Ecoute, c'est toi que j'aime et personne d'autre. Tu n'as aucune raison d'être jaloux.

- Je ne peux m'empêcher de l'être.

            Myriam sourit.

- Alors, ça veut dire. . . que tu m'aimes ?

- Comment peux-tu en douter ?

            Elle ne répondit pas et il l'embrassa. Myriam cacha sa déception. Elle savait que Severus l'aimait, mais pourquoi ne le disait-il pas ? Que craignait-il ? Par ses gestes, son comportement, elle voyait que Severus lui prouvait son amour, mais elle voulait entendre juste trois mots. Trois mots.

            Remus s'adossa à la cheminée et regarda sévèrement son ami depuis si longtemps. Sirius restait debout en face de lui, à l'autre bout de la pièce.

- Alors ? demanda Remus.

- Tu fais toute une histoire pour pas grand-chose.

- Sauf que même Rogue semble être au courant. Tu me caches quelque chose.

- Lunard. . .

- Patmol. . . ces noms que nous avons adopté quand James, Peter et toi êtes devenus Animagus. . .

- Les Maraudeurs n'existent plus.

- Malheureusement. Mais notre amitié est sacrée pour moi. Tu ne sembles pas partager la même opinion.

- Comment peux-tu penser ça ? s'indigna Sirius.

            Il traversa la pièce, et s'appuya d'une main contre le manteau de la cheminée, face à Remus.

- Pour moi, il n'y a pas que l'amitié.

            Il plongea son regard noir dans les yeux ambrés de Remus. Et presqu'inconsciemment, il l'embrassa. Remus était trop surpris pour agir. Mais il ferma instinctivement les yeux et goûta la saveur des lèvres de Sirius. Mais celui-ci cessa très vite, et lui tourna le dos.

- Cela fait déjà plusieurs années. . . Depuis notre sortie de Poudlard en fait. Je n'ai jamais trouvé le courage de te le dire, et on ne peut pas dire que la situation était propice : la montée en puissance de Voldemort, le mariage de James et Lily, la naissance de Harry, leur mort et enfin mon emprisonnement. . . J'ai longtemps pensé à toi, seul, devant supporter tes métamorphoses sans aucun ami pour te soutenir.

            Il sentit une main sur son épaule et se retourna.

- Tout ça, c'est du passé, déclara Remus. Nous avons l'avenir devant nous.

- Oui, mais pour combien de toi ?

- Profitons du temps autant que nous le pouvons.

            Ce fut Remus qui prit l'initiative du deuxième baiser. Et Sirius se laissa embrasser sans se faire prier. . .

            Ça y est !! J'ai concrétisé Ron et Hermione, ainsi que Sirius et Remus ! Ne vous en faites pas pour Ron et Hermione, je vais approfondir un peu plus loin. A la semaine prochaine !

RAR :

Deedlit : coucou !! C'est pas grave pour le délai, je ne t'en veux pas ! Je suis contente de voir que tu aimes ! Enfin, tu verras bien la suite, et tu me diras si tu aimes ! Je réponds à ton mail après ça !

Harriette Potter : la voilà ta déclaration !! Qu'en penses-tu ?

Alisa Adams : merci pour le compliment !! A la prochaine !

Yoann : comment ça l'intrigue tourne autour de Ginny et Pansy ? Je ne donnais pas l'impression de les mettre en valeur pourtant. De toute manière j'ai viré Parkinson, et il ne reste plus que Weasley. Par la suite, ce qu'elle va faire va vraiment énerver tout le monde !! Mais tu verras bien !! Bisous !

Paradise 1 : salut !! T'habites dans le nord alors !! Je ne sais pas si tous les Nature et Découverte font passage dans le monde sorcier, mais comme c'est le cas dans Lyon alors peut-être que ça le fait aussi dans ta ville ! En tout cas, merci !!