Bonjour tout le monde ! Comment allez-vous tous ? Vous avez bien de la chance ! le chap 18 a failli ne pas arriver dans les délais, tellement je suis occupée, et j'arrive décidément pas à prendre de l'avance ! Mais le voilà et bonne lecture !
Chapitre 18
Myriam n'arrivait pas à se calmer. Elle marchait de long en large dans la chambre de Severus, mais elle avait posé sa baguette sur le bureau pour éviter de la déployer sans le vouloir.
- Oublie cette histoire. Tu y repenseras demain, conseilla Severus.
- Je ne peux pas. Je pense à Stéphanie. Cette Weasley n'arrête pas de créer des histoires. Je n'ai jamais vu un esprit aussi machiavélique qu'elle. Encore pire que Parkinson.
- Là, je suis bien d'accord. Mais je suis sûr que Dumbledore saura calmer Molly. C'est une femme sensée et raisonnable. . .
Devant le regard sceptique de Myriam, il esquissa un sourire.
- Si ce n'était pas le cas, elle n'appartiendrait pas à l'Ordre du Phénix. Elle est digne de confiance.
- Et pourtant, elle m'a insultée et rabaissée, traité Stéph' de menteuse. . .
- Sur les prétentions de sa fille. Une mère croira toujours sa fille en premier, plutôt que des inconnues.
- Tu n'as pas tort. Mais pourquoi ne s'est-elle pas manifestée plus civilement ? Elle m'a verbalement agressée !
- Elle s'emporte facilement. Allons, oublions ça, tu ferais mieux de te changer, et de dormir. Tu es fatiguée.
Elle lui sourit, plus détendue.
- Tu te soucies énormément de moi. Je te remercie.
- C'est normal que je m'inquiète pour toi.
Il l'embrassa doucement.
Stéphanie était assise dans un canapé avec Harry. Hermione était installée sur un fauteuil en face d'eux, Ron perché sur l'accoudoir, dans leur Salle Commune.
- Franchement, je suis désolé pour ma sœur, dit Ron.
- Je t'ai déjà dit que tu n'étais pas fautif. Ta sœur mériterait une bonne leçon. Enfin, ta mère s'est un peu calmée, c'est déjà ça, déclara Stéphanie.
- Cependant, elle ne s'entend pas du tout avec Myriam, constata Harry.
- Molly n'a pas confiance en les capacités de ta sœur, annonça Hermione. Mais je suis persuadée que si elle assistait à une petite démonstration des talents de notre Professeur de Duel, elle changerait d'avis.
- Vous avez entendu Dumbledore ? rappela Stéphanie avec un sourire. Il a dit que Rogue avait été battu en Duel par Myriam.
- Et Maman a rajouté que Rogue était imbattable.
- C'est un bon point pour Myriam, conclut Harry. Stéphanie, tu devrais aller te coucher, tu es fatiguée.
- Qu'est-ce que tu en sais ?
- Eh bien, tu as fait deux allers-retours à la Bibliothèque, il y a eu cours, les confrontations avec Ginny et l'arrivée de Molly. Ça te suffit ?
Stéphanie réfléchit un moment.
- Oui, ça suffit. Non, tu as raison, je suis exténuée. Bonne nuit !
- Je te raccompagne !
- Tu as peur que je me perde entre ici et les dortoirs ?
Ils rirent et disparurent dans l'escalier. Hermione sourit et secoua la tête.
- Ils sont adorables. Même Molly n'arriva pas les séparer.
- Maman se rendra vite compte qu'ils sont amoureux fous l'un de l'autre.
Hermione se leva et s'étira.
- Bon, je vais aller me coucher moi aussi.
- Hermione. . .
- Oui ?
Ron regarda songeusement Hermione.
- Tu. . . Tu as réfléchi à. . .
- J'y ai réfléchi Ron, répondit Hermione. Tu sais, nous sommes amis depuis sept ans, nous avons partagés les mêmes aventures aux côtés d'Harry, et c'est en quatrième Année que tu m'as vue comme étant une fille. . .
- Je reconnais que c'est peut-être l'impression que j'ai donnée. Mais tu m'intimidais.
- Je t'intimidais ?
- Enfin, tu es Hermione Granger, la fille la plus intelligente de Poudlard, et Préfète-en-Chef. . . La fille la plus intelligente et aussi la plus belle. . .
Hermione rougit violemment. Elle ignorait que Ron avait peur d'elle. Il la trouvait inaccessible. Mais elle lui prouverait le contraire.
- Ron. . . Je n'ai jamais cessé d'être moi-même, pendant toutes ces années, espérant que tu verrais en moi quelqu'un d'autre que ta meilleure amie. Je t'aime Ronald Weasley.
Ils se regardèrent pendant un long moment. Puis Ron se leva soudain, et prit Hermione dans ses bras, tout en capturant ses lèvres en un baiser passionné. Hermione se serra contre lui, répondant avec ardeur à son baiser.
Dans les escaliers, deux silhouettes s'éclipsèrent furtivement. Devant la porte du dortoir des filles, Stéphanie eut un rire satisfait.
- Enfin ! Ils en ont mis du temps !
- Tu es impossible, Stéphanie. Tu ne pouvais pas les laisser se débrouiller seuls ?
- Si je l'avais fait, je ne sais pas s'ils se seraient déclarés dans 50 ans ! Tu devrais être heureux pour eux !
- Qui te dit que je ne le suis pas ? Je suis ravi pour eux !
- Eh bien tant mieux ! Bonne nuit, mon Harry !
- Bonne nuit mon amour. . .
Il l'embrassa encore une fois, et elle referma derrière elle.
Myriam contempla les six adolescents devant elle.
- Bien. Tout le monde maîtrise les sorts d'attaque et de défense, et vous savez tous contrer Imperium et Doloris. On va passer au maniement de l'Epée. Stéphanie et Valérie, vous êtes concernées. Le Professeur Dumbledore m'a ouvert les portes de l'armurerie de Poudlard. . .
- Il y a une armurerie ici ? s'étonna Ron.
- Oui, Ron, sourit Hermione. Il faut que tu lises l'histoire de Poudlard, tu y apprendrais des tas de choses.
- Hermione, Stéph', Val', voici des épées légères et adaptées à votre main. Ron, Drago, voici deux Epées de guerrier. Quant à toi, Harry, le Professeur Dumbledore m'a confié cette Epée pour toi.
Elle lui tendit une longue Epée brillante, à la garde incrustée de pierres précieuses. Harry la reconnut immédiatement.
- L'Epée de Gryffondor. . . J'ai tué le Basilic avec.
- Décidément, tu as fait pas mal de choses depuis ta naissance, Harry : vaincre un Mage Noir, son esprit, tué un Basilic, affronté Dragon et Sphinx. . . Quoi encore ?
- Comme si je l'avais cherché, marmonna Harry.
- Potter est un aimant à problème, déclara Severus.
- Hé ! s'indigna Sirius. Harry. . .
- C'est bon ! coupa Myriam. Tous les six, je vais faire quelques passes d'armes avec Severus, et je veux que vous regardiez attentivement. Qui a déjà fait de l'escrime ?
Hermione leva la main.
- Tu seras avantagée par rapport aux autres, Hermione.
- Ça fait un moment que je n'en fais plus. . .
- L'art de l'escrime ne s'oublie pas. Bien, Severus, tu es prêt ?
Severus saisit son épée.
- Allons-y.
Myriam se mit en face de lui, mais à ce moment-là, le Professeur Dumbledore, Molly Weasley et Philippe Sinclair entrèrent dans la Salle. Myriam baissa sa garde.
- Quelque chose ne va pas ?
- Nous venons juste assister à ton cours, si ça ne te dérange pas, expliqua Philippe.
Myriam haussa les épaules.
- Ça m'est égal. On commence juste le maniement de l'Epée. Je vais exécuter quelques figures de base avec Severus pour leur montrer, c'est tout.
- Alors, continue. Fais comme si nous n'étions pas là.
- D'accord. Severus ?
- Je suis prêt.
- Harry, Ron, Drago, Hermione, Stéph' et Val', Severus va m'attaquer et je vais me défendre. Observez bien les différents gestes d'attaque et de défense.
Severus fit un grand mouvement que Myriam para. Ils enchaînèrent les mouvements, mais ils allaient volontairement lentement pour que les adolescents puissent suivre. Au bout d'une dizaine de minutes, ils cessèrent, même pas essoufflés.
- On va commencer par l'attaque. Hermione, tu as suivi ?
- Oui, j'ai pas eu trop de problème.
- Alors attaque-moi.
Hermione soupira.
- Pourquoi est-ce que j'ai l'impression que tu vas me battre ?
- Parce que ce sera sans doute le cas.
Hermione se fendit, elle porta un coup rapide en visant le cœur de Myriam, mais elle s'écarta vivement, para le coup avec son Epée, et désarma Hermione sans difficulté.
- Raffermis ta prise sur la garde. Serre-la, sans pour autant te crisper dessus. Harry, à toi.
Harry fit une attaque hésitante, mais Myriam secoua la tête.
- Drago, vas-tu faire mieux ?
Drago fut plus sûr que Harry, mais il fut désarmé encore plus vite qu'Hermione.
- Valérie.
Valérie tint un peu plus longtemps, mais elle finit par se retrouver à terre
- Ron.
Ron fut aussi maladroit qu'Harry.
- Stéphanie.
Stéphanie était beaucoup plus rapide que les autres, et tint bien plus longtemps, mais elle aussi finit avec l'Epée pointée sur sa gorge.
- Bon, je vais faire deux groupes. D'un côté, Stéphanie, Valérie et Hermione, et de l'autre, Harry, Ron et Drago. Les garçons, d'ici deux semaines, je veux que vous rattrapiez le niveau des filles. Et vous les filles, vous êtes douées, il ne manque que la technique. Si ça avance bien, Stéphanie, tu apprendras à Hermione à intégrer les arts martiaux à ses attaques.
- Les filles vont nous laminer, murmura Drago à Harry.
- A qui le dis-tu ? Connaissant Myriam, elle va finir par nous opposer à elles, et comme elles sont plus douées que nous. . .
- Harry, Drago, je vous ai entendus, coupa Myriam. Et vous avez tout à fait raison. Dans un mois, vous affronterez les filles pour la première fois.
- Si tu me mets avec Stéphanie, je pense que. . .
- N'y compte pas Harry. Stéphanie serait trop gentille avec toi. Non, tu auras. . . Valérie pour adversaire, Stéphanie se retrouve face à Ron, et Hermione face à Drago. Les Duels seront plus équitables. Je m'occuperai personnellement de votre entraînement les garçons. Vous les filles, Severus, Remus et Sirius se chargeront de vous.
Elles hochèrent la tête.
- Mais nous commencerons demain. Pendant le temps qui nous reste, je veux tester Harry.
- Hein ? sursauta Harry.
- Nous allons livrer un Duel magique avec uniquement des sorts et la baguette magique. Je ne sors pas mon Epée, et je n'engage pas le corps à corps. Juste des sorts d'attaque et de défense, et éventuellement Imperium et Doloris que tu sais contrer.
- Euh. . . Je veux bien essayer.
- Je vais y aller sur le mode Voldemort.
- Ce qui veut dire ?
- Je vais sortir tous les coups tordus que Voldemort pourrait utiliser.
- Génial. . .
- En position, Potter !
- A vos ordres, Professeur Kiang !
Myriam attaqua la première avec un Expelliarmus. Harry se protégea et contre-attaqua. Le Duel gagnait en intensité, et Harry était très concentré. Tout le monde était surpris des progrès qu'il avait fait, grâce à Myriam.
- Impero !
Le sortilège traversa le bouclier d'Harry, mais il dressa ses barrières et la repoussa. Elle ne se découragea pas.
- Endoloris !
Stéphanie sursauta. C'était la première fois que Myriam utilisait un Doloris à pleine puissance sur Harry. Mais il résista tant bien que mal, même si la douleur se lisait sur son visage.
Myriam renforça la douleur.
- Assez ! hurla Harry.
Une onde d'énergie émana de lui, et propulsa Myriam contre le mur. Elle retomba violemment à terre, sonnée et surprise. Le Duel cessa.
- Qu'est-ce que j'ai fait ? demanda Harry.
- J'aimerai le savoir. . .
Severus aida Myriam à se relever. Elle eut une grimace de douleur.
- Alors là, toutes mes félicitations Harry. . . souffla-t-elle, en tentant de reprendre son souffle.
Elle vacilla, mais Severus la retint fermement.
- Ça va ?
- Je crois que oui. . .
Des gouttes de sang tombèrent à terre. Severus s'aperçut que le dos de la robe de Myriam était imbibé de sang. Philippe s'en aperçut également. Il se précipita vers elle.
- Ses cicatrices ont dû se rouvrir, à cause de la violence du choc.
- Je suis désolé, murmura Harry.
- Ce n'est rien. . .commença Myriam, avant de perdre connaissance.
Myriam fut amenée d'urgence à l'infirmerie, où Philippe insistât pour que Quentin Letellier, le Duelliste Guérisseur de la Guilde assiste Mme Pomfresh, qui accepta, vu qu'il connaissait les antécédents de la jeune fille. Cependant, elle refusa fermement que Severus, Stéphanie ou Valérie y entrent, et demanda à Molly Weasley de l'aider à déshabiller Myriam. Harry ne cessait de présenter ses excuses.
- Je suis vraiment désolé. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé. . .
Stéphanie se blottit dans ses bras.
- Ce n'est pas de ta faute. Myriam savait ce qu'elle risquait. Tu as un fort potentiel magique, mais tu ne sais pas le canaliser. Ce soir, ton instinct de survie t'a protégé quand Myriam a renforcé son Doloris. . .
- Elle a violemment percuté le mur, certes, mais il était tapissé. Comment ses cicatrices ont-elles pu se rouvrir ? demanda Drago.
- C'était un choc très violent, se remémora Valérie. Tu as entendu le bruit ? J'étais adossée contre le mur adjacent et je l'ai senti vibrer. Oh mon Dieu. . . Myriam. . . Il faut prévenir Maman. Je vais à la Volière.
- Je viens avec toi, dit Drago.
Dumbledore conseilla aux quatre Gryffondors de retourner dans leur Salle Commune, et ordonna à Severus de retourner dans ses appartements. Quant à Philippe, il partit retrouver Charles.
Mme Pomfresh et Molly Weasley enlevaient précautionneusement les vêtements de Myriam, tandis que Quentin préparait un baume à base des potions de Mme Pomfresh, tout en surveillant la respiration et le pouls de son amie. Molly ne savait pas à quoi s'attendre, et ignorait la nature des cicatrices de Myriam, tout comme l'infirmière. Quand elles découvrirent son dos, elles retinrent un cri d'effroi, ainsi qu'un sursaut d'horreur.
- Oh la pauvre, se ressaisit Mme Pomfresh, habituée à ce genre de blessures.
- Qui donc a pu lui faire ça ? murmura Molly.
- Dark Master, répondit Quentin. Par Doloris externe.
Il laissa Mme Pomfresh nettoyer le sang, puis appliqua le baume.
- Elle était dans un état lamentable quand nous l'avons retrouvée après son Duel contre Dark Master. Le Doloris externe laisse des cicatrices horribles, à vie. Et elles remontent à plus de deux ans. . . donc encore récentes. Le choc de tout à l'heure à dû être particulièrement violent.
- Alors l'affrontement contre Dark Master était la pure vérité. . . réalisa Molly.
- Myriam ne sait pas mentir. Mais elle cache très bien ses émotions, sauf quand elle est en colère et n'arrive plus à se contrôler.
Myriam gémit de douleur et remua.
- Chut, Myriam, tu es en sécurité.
- Dark Master. . . bredouilla-t-elle, dans son cauchemar.
- Il n'est pas là. Dors tranquille.
Myriam se calma grâce à ses paroles apaisantes. Quentin fronça les sourcils.
- Elle fait encore des cauchemars sur lui. Il faut que j'en parle à Rogue.
Quentin frappa à la porte de Severus.
- Comment va-t-elle ? demanda instantanément Severus.
- Elle est toujours inconsciente. Mais elle a glissé dans le sommeil. Est-ce qu'elle fait encore des cauchemars ?
- Oui. Le jour où elle a appris que Dark Master était en liberté, elle a rêvé de lui. Elle est encore perturbée.
Quentin fronça les sourcils.
- C'est ce que je pensais.
- Que comptez-vous faire ?
- Je l'ignore. Dark Master lui a infligé un traumatisme sévère, et elle aura besoin de toute notre aide pour oublier. Elle a besoin de se sentir entourée d'affection, et particulièrement la vôtre.
- Et vous ?
- Je ne dis pas que je ne l'aime pas. Myriam est comme une sœur pour moi, comme pour Rémi, Romain ou Sébastien. Philippe la considère comme sa fille, et Charles l'aime encore, même si elle a rompu. . . et vous aime à présent.
- Vous êtes très protecteur.
- Ne soyez pas jaloux. Les femmes à la Guilde sont surprotégées. Et pour cause, il n'y en a que cinq sur les cinquante membres. Myriam est la seule à avoir un grade aussi élevé alors qu'elle a à peine vingt ans. Les quatre autres femmes ne sont pas très proches d'elle, et sont surtout jalouses de son succès. Myriam est, de plus, la préférée de Philippe.
Severus resta songeur.
- Puis-je aller la voir ?
- Non, pas ce soir. Mais si elle se réveille demain, oui.
Harry s'effondra dans un fauteuil, et se prit la tête entre les mains.
- Ce n'est pas de ta faute, Harry, répéta Stéphanie pour la énième fois.
- Si. Ce ne serait pas arrivé si je m'étais contrôlé. Je ne fais que le malheur autour de moi. . .
- Mais qu'est-ce que tu racontes ? s'indigna Hermione. Je t'interdis de dire ça !
- Harry, ma sœur va s'en sortir, je la connais. Et elle dira elle-même que tu n'y es pour rien. En attendant, tu vas me faire le plaisir d'aller dormir ! Ron, s'il te plaît, tu peux veiller sur lui ?
- Bien évidemment. Bonne nuit les filles.
- Bonne nuit.
Stéphanie soupira et s'assit dans un fauteuil.
- Tu es inquiète pour Myriam. . . constata Hermione.
- Oui, mais je sais qu'elle va s'en sortir. Ses cicatrices se sont rouvertes, mais c'est Maître Letellier qui s'occupe d'elle. Je ne me fais pas de souci. Je crains plutôt que ma mère débarque quand elle apprendra ce qui est arrivé. Je m'attends à la voir demain matin à la première heure.
- Ta mère vous aime beaucoup toutes les trois.
- Elle est beaucoup plus protectrice avec nous depuis que Myriam a été confrontée à Turquin. Elle m'a même confié une fois qu'elle voudrait que Myriam quitte la Guilde. Mais Myriam ne ferait jamais une chose pareille. Elle s'est entraînée dur pendant de nombreuses années pour arriver au niveau où elle est. Elle n'abandonnera jamais la Guilde, même si elle a quitté un an le monde de la magie après Turquin pour faire une pause.
Stéphanie et Hermione finirent par se séparer et allèrent se coucher.
Pas de panique !! Myriam va aller mieux dans le prochain chapitre, mais le comportement de Ginny Weasley va aller en empirant !! Bisous !
RAR :
Sanou : merci !! Non, Ginny ne va pas être renvoyée… Enfin, tu verras bien ! Désolée pour le mail, mais tout ce que j'ai reçu de toi, c'est un mail tout blanc, vide et je me suis demandée ce que tu voulais… J'aurais peut-être du te renvoyer un mail de réponse, mais comme j'étais en pleines révisions j'y ai pas pensé… Désolée !
Yoann : merci !!
Melanie Jonson : merci !!
Solar : un chapitre entier pour réaliser ton erreur ? Ben dis donc !! Enfin, je suis contente que tu aimes !
Alisa Adams : merci ! Ginny va s'en prendre plein la figure pour rester correcte !!
Deedlit : le truc sur Val est cool ? Non mais tu vas bien ? Val elle-même trouve que c'est bien ! A croire qu'elle est maso ! J'espère que ça te plaît ! Pas trop frustrée de ne pas avoir la suite en avant-première comme dans Némésis ? Et c'est pour quand la suite de Pré pré, seconde enfance et le premier chapitre de Célibataire ? Je trépigne d'impatience moi !!
Kyarah : pour l'instant tout s'arrange… Enfin, tout va rester au beau fixe pour le moment, parce que ça va pas durer, tu me connais !
Paradise 1 : cette Ginny alors…
