Salut ! Bon, la suite avec l'état de santé de Myriam, et Ginny qui persiste et signe ! Amusez-vous bien !
Chapitre 19
Le lendemain, Harry se leva très tôt. Il s'habilla et alla à l'infirmerie. Il devait être à peine 6h00. Il tomba sur Quentin Letellier, toujours éveillé, penché sur un chaudron.
- Maître Letellier, bonjour.
- Bonjour Potter. Vous venez voir Myriam ? Elle n'a toujours pas repris conscience.
- C'est de ma faute.
- Philippe m'a raconté ce qu'il s'était passé. Ce n'est pas de votre faute. Vous vous êtes défendu, et c'est justement le but de votre entraînement avec Myriam.
- Mais. . .
- Ne vous inquiétez plus. Elle va s'en sortir.
Quentin regarda sa montre.
- Il est tôt. Retournez donc finir votre nuit.
- Je n'arriverai pas à me rendormir. Mais je vais faire mes devoirs.
- C'est une bonne idée. Je dois dire que vous êtes plus sérieux que moi durant mes études à Beauxbâtons. Je ne me suis jamais levé à 6h pour étudier !
Harry eut un faible sourire et quitta l'infirmerie. Il retourna dans la Salle Commune de Gryffondor. Il récupéra ses affaires dans sa chambre et s'installa à une table dans sa Salle Commune. Il s'attaqua à un devoir particulièrement difficile de Potions pour oublier un moment sa culpabilité. Il était si concentré qu'il n'entendit pas une voix l'appeler. Il leva les yeux quand une main se balada devant ses yeux. Il se figea.
- Que veux-tu Ginny ?
- Je te demandais ce que tu faisais. Un devoir ?
- Ça se voit non ?
- Tu es bien matinal, dit-elle en s'asseyant à côté de lui sans y être invitée.
- A quoi joues-tu encore ? Faire venir ta mère n'a pas été suffisant ?
- Je ne l'ai pas fait venir, elle est venue toute seule. Et arrête de m'accuser de tous les torts ! Je suis Ginny, tu me connais depuis toujours. . .
- Je te connaissais. Depuis l'arrivée des sœurs Kiang, je découvre une nouvelle facette de ta personnalité.
- Oh, et elle te plaît ?
- Tu es jalouse et malveillante. Et dis-toi bien une chose : je ne t'appartiens pas. Mon cœur appartient déjà à Stéphanie. Maintenant, laisse-moi tranquille.
- Kiang va. . .
- Touche un seul cheveu de Stéphanie et. . .
- Tu vas quoi Harry ? Tu vas m'attaquer ? Me lancer un Doloris ? Tu es un lâche Harry. Tu ne lèveras pas la main sur moi parce que je suis une Weasley, la famille qui t'a accueilli depuis que tu es ami avec Ron.
- Si Harry ne t'attaque pas, je le ferai, intervint Stéphanie en arrivant avec Hermione.
- Oh oui, parlons-en de toi Kiang ! Ta sœur est trop occupée avec Dark Master pour. . .
- Laisse tomber Weasley. Tout le monde connaît ta nature machiavélique, y compris les Professeurs. Tu n'as aucune chance contre moi. Même si ta mère est derrière toi.
- Ecoute-moi bien Kiang. Ta sœur ne sera pas éternellement là pour te couvrir. Elle finira par se faire exploser par Dark Master, et j'espère que ce jour, il me débarrassera aussi de toi et de l'autre Kiang à Serpentard !
- Alors là c'est mal barré, parce que les Duellistes ont mis la pâtée à Voldemort, Dark Master et compagnie samedi dernier.
Ginny jeta un regard chargé de haine à Stéphanie et quitta la Salle. Hermione secoua la tête.
- Je ne la comprends pas.
- Cherche pas, elle est timbrée.
Stéphanie s'approcha de Harry en souriant.
- Ton cœur m'appartient ?
- Tu as tout entendu ?
- Oui. Ça te dérange ?
- Non. Je suis content que tu saches que je t'aime à ce point.
Stéphanie embrassa Harry avec fougue. Hermione sourit.
- Vous êtes adorables tous les deux.
- Ron et toi, ça en est o ? demanda innocemment Stéphanie.
Hermione rougit.
- Euh. . . Nous. . .
- Vous sortez ensemble ?
- Je crois qu'on peut dire ça comme ça.
- Mais c'est merveilleux ! Vous faites un couple bien assorti ! Ron te regarde avec tant d'amour. . .
- Je regarde qui avant tant d'amour ? demanda Ron qui venait d'arriver.
- Hermione, répondit Stéphanie.
Ron regarda Hermione, de plus en plus rouge. Il sourit et l'embrassa, sous le regard ravi de Stéphanie.
- Je suis contente pour vous deux ! Bon, je vais à l'infirmerie voir comment va ma sœur ! A tout à l'heure !
Harry, resté seul, regarda Ron et Hermione.
- Quoi ? demanda Ron.
- Tous les deux, vous vous êtes enfin déclarés. J'attendais ça depuis la Quatrième Année.
- Il n'osait pas faire le premier pas, déclara Hermione.
- Ron est un grand timide ! se moqua Harry.
Stéphanie retrouva Severus et Valérie à l'infirmerie.
- Comment va-t-elle ?
- Toujours rien, répondit Valérie. D'après Maître Letellier, elle a eu une nuit agitée, et ses bandages se sont défaits deux fois. Elle n'arrêtait pas de répéter Dark Master, tout en criant. . . Il a dû lui donner une Potion calmante.
- Tu as prévenu Maman ?
- Oui. Elle devrait arriver ce matin. . . Je voudrais tellement faire quelque chose pour elle !
- Elle va s'en sortir. Elle s'en sort tout le temps. Et puis Maître Letellier est un excellent Guérisseur.
- Merci Miss Kiang, dit Quentin en arrivant.
Elle lui sourit.
Valérie se tourna vers Severus.
- Ça va ?
- Oui.
- Vous savez qui va assurer ses cours ?
- Duval.
- Maître Duval va remplacer Myriam ? s'étonna Stéphanie. Je me demande ce que ça va donner. . .
Valérie haussa les épaules.
- Assiste au cours et tu verras bien. Bon, faut y aller. Les cours ne vont pas tarder à commencer, et vous avez cours avec ma classe, Professeur Rogue.
- Et moi, je commence avec Maître Duval ! dit Stéphanie.
Ils sortirent. Quentin regarda Myriam, et posa une main sur son front.
- Rétablis-toi vite. Tu nous manques.
Tous les élèves, sauf Stéphanie, furent surpris de voir arriver Charles au cours.
- Bonjour. Je suis Maître Charles Duval, et le Professeur Dumbledore m'a demandé de remplacer le Professeur Kiang.
- Pour combien de temps ? demanda un élève de Serdaigle.
- Nous ne le savons pas encore.
- Qu'est-ce qu'elle al ? demanda Ginny.
- Une indisposition. Mais elle va vite s'en remettre.
- Une indisposition ? Due à Dark Master ?
Stéphanie fusilla Ginny du regard, et Charles fronça les sourcils.
- Non. Vous êtes Miss. . .
- Weasley. Ginny Weasley.
- Ah oui, la fille à maman. . .
Quelques rires s'élevèrent. Ginny n'apprécia pas.
- Maître Duval, comment se fait-il que la Guilde n'ait pas encore arrêté Dark Master ? Vous vous prétendez les 50 meilleurs Duellistes de France, voire d'Europe. . . A moins que votre réputation ne soit surfaite. Après tout, Myriam Kiang n'est pas si invincible que ça, elle n'enseigne même pas. . .
Stéphanie se leva d'un bond, baguette pointée.
- Insulte encore une fois ma sœur, Weasley, et je. . .
- Miss Stéphanie Kiang ! Veuillez vous rasseoir, ordonna Charles mais sans méchanceté.
Stéphanie le regarda et finit par obéir. Après tout, Charles n'allait pas laisser cette folle insulter la Guilde et Myriam.
- Je vous prierai de vous calmer, Miss Weasley. Au cas où vous ne le sauriez pas, c'est Voldemort qui a délivré Dark Master. Donc c'est à se demander ce que font le Ministère et ses brillants Aurors pour stopper Voldemort. Quant à Dark Master, il était en cellule chez nous et ce, grâce à Myriam Kiang. Si vous insultez encore une fois le Professeur Kiang, je me verrais contraint d'appliquer une sanction sévère à votre encontre.
- Une sanction sévère ? défia Ginny. Mais vous n'êtes que remplaçant. . .
- Le Professeur Dumbledore m'a donné tous les privilèges dont jouissent tous les Professeurs. Et je ne crois pas que vous résisteriez longtemps à un Doloris.
Ginny pâlit, et tous les élèves sursautèrent.
- Vous n'oseriez pas ! C'est un Impardonnable !
Charles sourit sadiquement.
- Il y a des choses que vous ignorez de la Guilde. Alors ne parlez pas sans savoir. Bien, passons au cours. Stéphanie, où s'était arrêtée votre sœur ?
- Nous en étions aux bases de l'attaque à l'Epée.
Quentin était parvenu à confectionner un baume de sa composition, et avec l'aide de Molly Weasley et Mme Pomfresh, l'appliqua sur le dos de Myriam. A ce moment, la porte de l'infirmerie s'ouvrit à la volée. Mme Pomfresh et Molly Weasley froncèrent les sourcils de désapprobation, et Quentin esquissa un sourire amusé.
- Myriam ! cria l'arrivante.
- Bonjour Mme Kiang. Je suis ravi de vous revoir.
- Comment va-t-elle ? Valérie m'a dit qu'elle était gravement blessée. . .
- Non, elle va s'en sortir.
Mme Kiang tressaillit à la vue du dos mutilé de sa fille aînée.
- Les cicatrices se sont rouvertes. C'est de la folie. Quand ce cauchemar s'arrêtera-t-il ? Qui lui a fait ça ? Valérie ne m'a donné aucune précision.
Quentin hésita.
- Philippe et le Professeur Dumbledore vous en diront plus. Je me contente de la soigner.
Mme Kiang s'aperçut de la présence de Mme Pomfresh et Molly Weasley. Elle connaissait déjà l'infirmière.
- Bonjour, dit-elle. Je suis Hanh Kiang, la mère de Myriam.
- Molly Weasley.
- Weasley ? Comme. . .
- La mère de Ron et Ginny.
Elles se regardèrent. Ginny et Stéphanie étaient ennemies, et chacune protégerait sa fille envers et par-dessus tout.
La cloche de midi sonna. Valérie arriva la première à l'infirmerie. Dès qu'elle vit sa mère, elle se précipita vers elle, laissant Drago sur le seuil.
- Maman ! Câlin !
Mme Kiang esquissa un sourire et serra sa benjamine dans ses bras, l'embrassant tendrement et lui caressant les cheveux.
- Mes câlins te manquent ?
- Oh oui !
- Et ceux de ton petit-ami ?
- C'est pas pareil ! protesta Valérie en se séparant de sa mère, et se blotissant dans les bras de Drago.
- Je commençais à croire que tu préférais ta mère. . . murmura Drago.
- Je viens de dire que c'était pas pareil. Tu m'écoutes parfois ?
Stéphanie, Harry, Ron et Hermione arrivèrent. Stéphanie eut les larmes aux yeux en voyant sa mère.
- Maman, enfin, tu es là.
- Ma chérie. . .
Stéphanie eut droit au même traitement que Valérie. Harry s'éclaircit la gorge.
- Euh. . . Mme Kiang. . . Je suis désolé. Si Myriam est dans cet état, c'est à cause de moi. . .
- A cause de toi ?
- Ne sois pas stupide Harry ! s'écria Stéphanie, excédée. Tu ne canalises pas ton énergie, et ce qui est arrivé est le fruit du hasard, c'est tout !
- Mais. . .
- Que s'est-il vraiment pass ? demanda Mme Kiang.
Stéphanie et Valérie relatèrent la scène à leur mère. Elle regarda Harry.
- Ce n'est pas de ta faute Harry. Il faut juste que tu apprennes à canaliser ton énergie.
A ce moment, le Professeur Dumbledore, Philippe et Charles arrivèrent. Quentin fronça les sourcils et échangea un regard avec Mme Pomfresh. Il y avait trop de monde dans cette infirmerie. Mme Pomfresh mit les adolescents dehors et les pria d'aller déjeuner. Severus arriva à ce moment. Sur un hochement de tête de Dumbledore, elle le laissa entrer.
- Comment va notre Myriam ? demanda Philippe.
- Elle ne s'est toujours pas réveillée, répondit Quentin. Son sommeil est agité, mais j'ai bon espoir. J'ai confectionné un nouveau baume et je l'ai essayé, mais ça ne semble pas l'apaiser.
- Demandez donc de l'aide au Professeur Rogue, suggéra Dumbledore. C'est un expert en Potions, il pourra sans doute vous aider.
Quentin hocha la tête.
- Fais tout ce que tu peux, mais soigne-la, dit Charles à Quentin.
- Quoi ? Tu en as déjà marre d'enseigner ? se moqua Quentin.
- Le cauchemar. Je ne sais pas comment fait Myriam face à une telle bande d'insolents. Ce matin, en première heure, la petite Weasley a pratiquement insulté la Guilde, sans parler de Myriam. . .
Quentin regarda Molly Weasley.
- Qu'a fait ma fille ? demanda-t-elle à Charles, dangereusement calme.
Charles ne se laissa pas impressionner et raconta tout à Molly Weasley. Le regarda de Molly flamboya.
- Ginny va trop loin ! Je découvre tout d'abord que tout ce qu'elle a raconté à propos des Kiang est erroné, et en plus elle persiste ! Elle va m'entendre !
Molly sortit de la pièce en trombe.
- Je crois que je ferais mieux de la suivre pour la calmer au besoin, annonça Dumbledore en sortant à sa suite.
Mme Kiang se tourna vers Quentin.
- Soignez-la, c'est tout ce que je demande.
- Je fais de mon mieux.
Philippe lui mit une main sur son épaule.
- Quentin est notre Guérisseur. Il l'a déjà sauvée une fois, il réussira une seconde fois.
- Maître Sinclair, Myriam est ma fille aînée. Je ne supporterai pas qu'il lui arrive quelque chose. J'ai cru mourir quand Dark Master l'a enlevée. Je ne souhaite qu'une chose : qu'elle quitte la Guilde. Je vous apprécie beaucoup, mais cette vie de danger finira par la tuer.
- Je ne la retiendrai pas si elle décide de quitter la Guilde. Mais la décision est entre ses mains.
Stéphanie, tout comme Valérie à la table des Serpentards, n'avaient pas d'appétit.
- Tu devrais te nourrir, conseilla Hermione. Tu as cours cet après-midi.
- Je n'ai pas faim. Myriam n'est toujours pas réveillée. Ça m'inquiète. Maître Letellier a pourtant dit qu'elle n'avait rien de grave. Alors pourquoi est-elle toujours inconsciente ?
- Ta sœur a-t-elle un problème ? demanda Ginny.
- Oh la ferme, Ginny ! rabroua Ron.
- Ne me parle pas comme ça Ron !
- Je te parle comme je veux ! Fiche un peu la paix à Stéphanie !
- Je fais ce qu'il me plaît ! Alors, à ce qu'il paraît, la brillante Duelliste est inconsciente ? Elle n'est pas si invincible que ça, alors ? Qui est le responsable, que je le félicite ?
Stéphanie se leva.
- Weasley ! J'en ai plus qu'assez. . .
- Virginia Mary Weasley ! (nda : j'ai complètement inventé le deuxième prénom, faites pas attention)
Ginny pâlit et se retourna. Sa mère ne l'appelait jamais comme ça, sauf quand elle était furieuse. Celle-ci s'avançait vers eux, le regard flamboyant de colère. Le silence s'était fait dans la Grande Salle. Valérie se leva, prête à courir au secours de Stéphanie si les choses dégénéraient.
- Tu as osé me mentir !
- A quel propos, Maman ?
- Des sœurs Kiang ! Elles sont tout à fait correctes et non pas assoiffées de sang et hystériques !
Ron, Harry et Hermione échangèrent un regard perplexe et surpris. Assoiffées de sang ? Mais qu'est-ce que Ginny avait raconté à sa mère ?
- Elles ne se montrent pas sous leur vrai visage, répondit calmement Ginny. D'autant plus qu'elles ont une étrange fascination pour les Serpentards : le Professeur Myriam sort avec Rogue, la benjamine sort avec Drago Malefoy, et cela ne m'étonnerait pas que la cadette n'ait ensorcelé Harry, Ron et Hermione. . .
Molly se tourna vers Ron.
- Je t'assure que je suis normal, se défendit Ron. Stéphanie est tout ce qu'il y a de plus adorable au monde. C'est chez elles que nous avons été logés cet été. . . Mais. . . Tu dois le savoir, je t'en ai parlé. . .
- Alors. . . Leur nom m'était sorti de l'esprit. . . Je n'avais pas fait le rapprochement. Alors ces Kiang, c'était cette famille-l ! Ginny ! Tu m'as menti sur toute la ligne !
- L'ensorcellement doit remonter à cet été alors !
Molly Weasley gifla sa fille. Ginny porta la main à sa joue, les larmes aux yeux.
- Ça suffi t ! Je ne veux plus d'histoires de ce genre. Je ne t'ai pas éduquée comme ça que je sache ! Tu me fais honte !
- Je te déteste ! hurla Ginny, en s'enfuyant de la Grande Salle.
Molly Weasley se tourna vers Stéphanie, toujours debout.
- Je suis désolée.
- Ce n'est rien. J'espère seulement qu'elle finira par se calmer.
- Ron, je te charge de veiller sur ta sœur et de la corriger si besoin est.
- Oui, Maman.
Molly quitta la Grande Salle. Les bavardages reprirent. Tout le monde parlait de la dispute qui venait d'avoir lieu, les élèves commentant les événements, désapprouvant le comportement de Ginny Weasley. Les trois sœurs Kiang étaient devenues assez populaires alors que quelques mois auparavant, elles n'étaient même pas connues en Angleterre.
Voil ! J'espère que vous avez aim ! Bisous tout le monde !
RAR :
Sanou : Ginny n'a pas encore fini si tu as lu le chapitre !
Melanie Jonson : heureusement que je ne me mélange pas avec mes fics, parce que tu m'as parlé de l'Héritier dans une review pour Double Menace !! J'avais bien compris que tu me parlais de Némésis ! Enfin, merci !
Deedlit : merci ma chérie ! Merci pour toutes ces images ! Harry se déchaîne mais il est temps tu crois pas ? Je t'embrasse !
Kyarah : merci ! Harry est déchaîné, ouais ! Voldy et Darkinouchet n'ont qu'à bien se tenir ! La confrontation filles-mecs n'est pas pour tout de suite ! Mais elle va venir !
Alisa Adams : ouais, elle a enfin compris ! Je fais de mon mieux pour vous poster un chap par semaine, et on peut pas dire que j'ai beaucoup d'avance pour Menace, alors que pour Ténèbres et Némésis j'ai bien avanc ! Et c'est vrai que les devoirs ne sont pas super motivants !
Solar : merci beaucoup ! Bon ben Ginny… Pas gentille du tout !
Yoann : Ginny cherche vraiment la m**** ! Enfin, comme tu aimes pas Ginny, tu vas te plaindre tout de même ! Bisous !
Paradise 1 : moi non plus j'aime pas les saintes nitouches, mais pas les filles qui subissent sans rien dire ! Vive les femmes d'action !
