Coucou !! J'espère que tout le monde va bien !! J'ai du speeder grave pour taper ce chapitre et le mettre en ligne dans les temps, mais je m'en sors !!

            Disclaimer : je l'oublie tout le temps lui !! Alors, rien à moi, tout à JKR, malheureusement !

            Assez parl ! Bonne lecture !

            Chapitre 20

            Myriam reprit connaissance en début d'après-midi. Elle gémit de douleur. Quentin, Mme Kiang, Molly et Mme Pomfresh furent immédiatement à ses côtés. Elle ouvrit les yeux et vit Quentin.

- Salut Myriam ! Ravi de te revoir parmi nous.

- 'Lut Quentin. . . J'ai cru entendre ma mère pendant mon sommeil. J'ai dû rêver. . .

- Non, elle est là.

            Myriam écarquilla les yeux de surprise. Sa mère entra dans son champ de vision.

- Maman. . .

- Ma chérie, comment te sens-tu ?

- Bien. . . Enfin, je crois. . .

            Elle fronça les sourcils, essayant de se remémorer les événements.

- Harry devrait vraiment apprendre à canaliser son énergie. Malheureusement, cela dépasse mes compétences. . .

- Ne pense pas à ça, reprocha Quentin. Pour l'instant, rétablis-toi, c'est tout ce qu'on te demande.

- Combien de temps suis-je restée inconsciente ?

- Presque toute une journée. Il est 14h30 de l'après-midi, et tu t'es fait blesser hier soir. Tes cicatrices se sont rouvertes, et ton chéri m'a donné un coup de main pour trouver un baume apaisant pour ton dos.

- Severus a beaucoup de connaissances, mais je crains que mon dos ne soit un cas incurable. Ce sont des cicatrices à vie, causées par des Doloris externes. Tu le sais aussi bien que moi, Quentin.

- Tant qu'il y a de la vie, y'a de l'espoir ! La médecine fait des progrès extraordinaires de nos jours tu sais. Ne sois pas aussi défaitiste. Je t'ai connue plus coriace que ça !

            Elle esquissa un sourire.

- Contente-toi de me soigner au lieu de me faire la morale. J'aimerai reprendre mes activités. . . Qui me remplace ?

- Charles.

- Charles ? Il n'a aucune patience ! Les jeunes vont le massacrer !

- C'est déjà fait. Ce matin, il s'est plaint de ses classes et de l'insolence des jeunes, dont la petite Weasley en particulier.

            Myriam s'assombrit et jeta un regard à Mme Weasley.

- Ça ne m'étonne pas. J'espère que Stéphanie n'a pas eu trop de problèmes.

- Je me suis expliquée avec ma fille, déclara Molly. Et je suis désolée de vous avoir insultée. Ma fille vous a causé du tort et je m'en excuse.

- Ce n'est pas de votre faute, Mme Weasley. Mais je garderai un œil sur elle.

            Quentin et Mme Kiang s'occupèrent de Myriam. Elle mangea un peu, prit de la Potion Anti-douleur et dormit un peu. A 17 heures, Charles pénétra à l'infirmerie, exténué. Myriam s'éveilla, mais Charles ne le remarqua pas.

- Je jette l'éponge. Ils sont désespérants !

- Allons donc, rit Quentin. Que s'est-il encore pass ?

- Les seuls élèves à peu près doués sont les sœurs de Myriam, Potter, Weasley, Granger et Malefoy. Les Cinquième Année de Serpentard et Pouffsouffle, la classe de Valérie, sont de parfaits ignorants, et Londubat en Septième Année à Gryffondor est tout simplement à se taper la tête contre un mur ! Je me demande comment il a pu arriver jusqu'en Septième Année ! Dumbledore va se trouver quelqu'un d'autre ! Qu'il demande à Philippe, tiens !

- Dis-moi, comment as-tu pu être l'instructeur de Myriam ? demanda Quentin.

- Elle était douée ! Je n'ai pratiquement rien eu à lui apprendre. Rien que l'autre jour, quand je me suis battu contre elle, j'ai cru qu'elle allait gagner. J'ai dû faire un effort immense pour la battre !

- Myriam serait devenue numéro 2 ?

            Quentin émit un sifflement admiratif.

- T'as entendu ? demanda Quentin à Myriam.

- J'ai entendu. . . Bonjour Charles.

- Tu es réveillée ? Quand reprends-tu ?

- Pas si vite ! protesta Quentin. Il lui faut au moins une semaine de repos.

- Tant que ça ! se plaignit Myriam. Mais je vais m'ennuyer à mourir !

- Ne discute pas. Philippe enseignera à la place de Charles.

- Philippe a été mon instructeur, dit Charles. Et il est plus patient que moi.

- Espérons-le, rit Myriam. Ces élèves ne sont pas faciles.

- A qui le dis-tu ? Le sommet de la bêtise a été atteint avec la classe de Valérie.

- Je sais, c'est pour ça que j'ai demandé à Valérie d'enseigner à ma place, tellement ils m'ont désespérée !

            Charles quitta l'infirmerie pour donner sa démission à Dumbledore. Severus entra quelques minutes après, alors que Quentin examinait Myriam.

- Ça va, c'est en bonne voie de cicatrication. Evite juste les chocs violents.

- Si tu crois que je l'ai fait exprès. . . Severus ! Je suis contente de te voir !

- Moi aussi. Tuu es en pleine forme on dirait !

- Grâce à vous deux ! Je suis bien entourée !

            Severus s'approcha et l'embrassa longuement. Quentin feignit de s'occuper de ses papiers. Comme Severus ne se résolvait pas à lâcher Myriam, elle le repoussa doucement.

- Nous ne sommes pas seuls. . .

- Quand sortiras-tu ?

            Myriam interrogea Quentin du regard.

- Ça dépend de ton évolution. Je dirais dans deux jours si ça continue comme ça. Mais pas question de reprendre le travail avant la semaine prochaine !

- Où est ma mère ?

- Elle est allée se reposer, dit Quentin. Elle a sauté dans le premier avion pour Londres et a pris le train quand elle a appris que tu étais blessée. Elle a voyagé de nuit, et te savoir dans cet état l'a empêchée de dormir.

- Elle devrait vraiment apprendre à transplaner. Elle n'est pas douée pour les Sortilèges donc ne sait pas faire un Portoloin et déteste voyager par cheminée.

- Elle n'arrive pas à faire un Portoloin ?

- Oh si, mais on ne sait pas où il nous mènera alors on préfère ne pas prendre de risques. Une fois, elle m'a fait un Portoloin pour Beauxbâtons, et j'ai atterri au sommet de la Tour Eiffel. Inutile de dire que tous les touristes présents ont eu la peur de leur vie. Comme je ne savais pas encore transplaner, j'ai dû me débrouiller pour me rendre au Boulevard des Sorciers et trouver une cheminée pour aller à Beauxbâtons. Je suis arrivée en retard, et ma prof m'a mise en retenue. Depuis j'ai appris à transplaner. Et j'ai appris à faire un Portoloin correctement.

- Que sait faire ta mère alors ?

- Elle douée en Potions et en Botanique, en Divination elle est imbattable, et sinon, elle se débrouille bien en Métamorphoses.

- En Divination ?

- Elle sait lire les lignes de la main et dans les feuilles de thé. Ça m'étonne d'ailleurs qu'elle n'ait pas encore lu les lignes de ta main.

            Severus fit la grimace.

- Je n'ai jamais cru à la Divination.

- C'est une science sérieuse.

- Mais bien sûr, murmura-t-il ironiquement.

            Myriam sourit.

- Tu es un être rationnel, pour un Sorcier.

- Que veux-tu ? Les prétendus dons de Trelawney m'ont dégoûté de la Divination.

- Trelawney est une vieille folle. Le don de ma mère est réel.

- Je le croirai quand je le verrais.

            Philippe entra dans l'infirmerie. Son regard s'éclaira.

- Myriam ! Tu es enfin réveillée ! Comment te sens-tu ?

- Bien, je vous remercie. Philippe, j'ai un service à vous demander.

- Tout ce que tu veux.

- Déjà, mes cours de Duel. Charles a laissé tomber.

- Oui, je sais. Dumbledore m'a déjà demandé de prendre le relais.

- Ensuite, je voudrais que vous vous occupiez d'Harry. Pour l'aider à canaliser son énergie. Pour éviter que ce qu'il s'est passé hier ne se reproduise contre un de ses condisciples, ou contre un Professeur. Il faudrait qu'il apprenne à s'en servir contre Voldemort.

- Je me doutais que tu me demanderais ça. Et je suis naturellement d'accord.

- Merci Philippe.

- C'est tout naturel.

            Myriam se rétablit assez rapidement grâce aux bons soins de sa mère, de Molly Weasley et Quentin Letellier. Deux jours après, Quentin l'autorisa à quitter l'infirmerie, et Myriam émit le souhait de passer sa convalescence dans la chambre de Severus.

            Myriam leva les yeux de son livre quand Severus pénétra dans la chambre.

- Le dîner est terminé depuis plus d'une heure, tu étais o ?

- Dans mon laboratoire. Je terminais quelque chose.

            Il posa un pot sur la table et s'approcha de Myriam.

- Je m'inquiétais pour toi.

- Il ne faut pas. Tes élèves demandent de tes nouvelles.

- Ils sont adorables.

- Ce sont tes sœurs qui ont répondu. Et elles m'ont recommandé de bien m'occuper de toi. Que lis-tu ?

            Myriam leva le livre. Severus haussa un sourcil.

- Le Seigneur des Anneaux ? (nda : que voulez-vous ? J'étais en train de le lire quand j'ai écrit ça !)

- Tu connais ?

- Oui, je connais. C'est un ouvrage moldu assez célèbre pour avoir attisé ma curiosité. Et j'ai été agréablement surpris. L'auteur a un style particulier.

- Oui. J'aime la lecture, et particulièrement les livres moldus.

- Quel monde préfères-tu ?

- Chaque monde a ses avantages et ses inconvénients. Je mélange les deux !

            Ils rirent ensemble. Severus fronça les sourcils.

- Ce n'est pas une de mes chemises ?

            Myriam baissa la tête. Elle portait une ample chemise noire.

- Eh bien. . . J'ai pris une douche tout à l'heure. . . Et oui, c'est une de tes chemises. Elle est ample, et je ne sens pas trop son contact contre mon dos.

- Etait-ce bien prudent de prendre une douche ? Tes blessures. . .

- Quentin m'a dit que je pouvais. Ce n'est pas la première fois. Ça ne te dérange pas que j'emprunte ta chemise ?

- Tu peux emprunter ce que tu veux si tu te sens bien avec. Bon, allonge-toi sur le ventre. Je voudrais t'appliquer une pommade que j'ai confectionnée pour tes cicatrices.

- C'était ça ton projet ?

- Oui.

            Severus prit la potion qu'il avait posé sur la table et revint vers Myriam.

- Je travaille dessus depuis quelques mois. Ces derniers jours, j'ai mis mes connaissances en commun avec Letellier et je suis enfin parvenu à un résultat. En principe, tes cicatrices les moins profondes disparaîtront, et les plus graves se résorberont sans toutefois disparaître.

- C'est un progrès considérable.

- Par contre. . . l'application pourrait être douloureuse.

            Myriam se rembrunit.

- J'ai horreur de souffrir, mais s'il le faut. . .

            Elle déboutonna la chemise, mais ses mains tremblaient tant que Severus les écarta et se chargea lui-même le vêtement. Myriam se tourna, fit glisser la chemise sur ses hanches et s'allongea sur le ventre, ses cheveux de côté.

- Ça risque de brûler. . .

            Severus prit un peu de pommade et commença l'application. Il sentit Myriam tressaillir.

- Mais qu'est-ce que tu as mis dedans ? murmura-t-elle, la voix étouffée par l'oreiller.

            Severus ne répondit pas et continua d'appliquer le remède. Il nota que Myriam serrait le drap tellement fort que ses jointures étaient blanches. Il devina qu'elle devait se retenir pour ne pas crier.

- J'ai fini. Je suis désolé.

            Il remonta la chemise. Myriam se redressa, sans oser s'appuyer sur le dos et laissa Severus fermer la chemise. Elle était pâle, et ne disait rien. Severus lui prit le visage entre les mains.

- Je suis vraiment désolé, mais. . .

- C'est le seul moyen. Je ne t'en veux pas.

- J'essaierai de trouver un moyen de diminuer la douleur. Je te le promets.

- Je te fais confiance Severus.

            Elle s'approcha de lui et l'embrassa. Il sentit ses joues humides de larmes et la serra plus étroitement contre lui. Il l'allongea doucement sur le lit, et la regarda et lui sourit tendrement.

- Je ne décevrai pas ta confiance. Maintenant, endors-toi. Tu es fatiguée.

            Elle essuya ses larmes.

- Merci Severus, murmura-t-elle, avant de fermer les yeux.

            La semaine passa rapidement. Philippe avait gagné le respect des élèves de Poudlard, même si certains le désespéraient énormément. Il avait également pris en main l'entraînement d'Harry, Ron, Hermione et Drago avec l'aide de Charles. Ceux-ci étaient moins durs que Myriam mais d'un niveau plus élevé. Myriam, elle, passa ses journées à corriger des copies ou à préparer ses cours dans la chambre de Severus. Sa mère venait souvent la voir avec Mme Weasley, mais toutes deux s'étaient trouvé un point commun : la cuisine. Elles passaient des heures entières à échanger des recettes.

            Quentin autorisa enfin Myriam à quitter la chambre.

- Ce soir, tu pourras prendre ton repas dans la Grande Salle.

- Enfin ! Je commençais à en avoir marre d'être enfermée entre les quatre murs de la chambre de Severus !

- Rien ne t'obligeait à rester dans sa chambre.

- Tu sais très bien ce que je veux dire, Quentin.

            Hanh Kiang fut mise au courant.

- Je suis contente que tu ailles mieux. Et je crois que je vais rentrer en France. Ton père doit commencer à s'inquiéter.

- Surtout que j'imagine l'état de la maison !

            elles rirent ensemble.

- Dis-moi, ma chérie, je tiens à faire quelque chose pour toi, avant mon départ. Qu'est-ce qui te ferait plaisir ?

- Ce qui me ferait plaisir ? Eh bien. . . Ta cuisine me manque. . . La cuisine anglaise est un peu particulière. . .

- Très bien, je m'en occupe !

            Mme Kiang sortit en coup de vent de la pièce.

- Mais qu'est-ce qu'elle va encore inventer ? se demanda Myriam.

            Myriam eut sa réponse le soir-même au dîner. D'ailleurs, Stéphanie et Valérie éclatèrent de rire quand elles virent les tables des Quatre Maisons. A la place des assiettes, il y avait des bols de porcelaine et des baguettes étaient disposées à côté de chaque couvert.

- C'est quoi ça ? demanda Neville.

- Je crois que j'ai deviné, dit joyeusement Stéphanie. Nous allons avoir droit à un menu purement asiatique !

            Valérie regarda Drago.

- Tu te sens d'attaque à recommencer à manger avec des baguettes comme cet ét ?

            Drago fit la grimace. Contrairement à Hermione et Harry, Ron, Severus et lui-même n'avaient jamais réussi à manier correctement des baguettes.

            Les Professeurs souhaitèrent la bienvenue à Myriam.

- Je suis ravi de vous revoir parmi nous, Professeur Kiang.

- Je suis contente d'être enfin sur pied, merci Professeur Dumbledore.

            Elle regarda la table et ouvrit de grands yeux.

- Elle n'a pas osé. . .

- Je dois dire que votre mère a attisé ma curiosité cet après-midi. Elle est venue me demander la permission d'utiliser les cuisines et de concocter un menu chinois pour Poudlard.

- Je sais que sa cuisine me manque, mais de là à le faire pour tout le Collège. . .

            Mme Kiang arriva.

- Alors, ça te plaît ? Tu vas découvrir un menu. . .

- Maman, je ne t'avais pas demandé de cuisiner pour tout le Collège !

- Il faut que ces jeunes goûtent de tout. Ça les changera de la cuisine anglaise ! Les Elfes de Maison m'ont bien aidée, ils sont adorables !

            Myriam leva les yeux au ciel et renonça à protester.

            Dumbledore attendit que tous les élèves s'installent et réclama le silence.

- Vous avez tous remarqué la mise des tables. Ce soir, exceptionnellement, nous aurons de la cuisine chinoise, spécialement préparée par Mme Kiang, ici présente.

- Tu étais au courant ? demanda Hermione à Stéphanie.

- Pas le moins du monde ! Mais je ne vais pas me plaindre. Je commençais à en avoir marre de la cuisine anglaise.

- Qu'est-ce qui ne va pas avec notre cuisine ? demanda Ron.

- Certains plats sont immangeables ! Excuse-moi, mais je n'ai jamais réussi à aimer vos chips au vinaigre, ou autres rôtis de bœuf à la confiture !

- Bon appétit à tous ! souhaita Dumbledore. Et utilisez vos baguettes !

            Des dizaines de plats apparurent sur les tables. Stéphanie, Valérie et Myriam se servirent aussitôt du riz et du bœuf sauté aux épices. Hermione et Ron prirent des raviolis frits et la sauce aigre-douce, et Harry se servit des rouleaux de printemps. Drago observa les plats devant lui.

- Tu ne manges pas ? demanda Valérie. Tu connais la cuisine de ma mère pourtant.

- Ta mère cuisine très bien, mais je ne sais pas bien que prendre.

            Valérie soupira. Elle prit son bol et fit une sélection de raviolis frits, de rouleaux de printemps, de riz et d'autres plats, puis reposa le bol garni devant lui.

- Bon appétit ! dit-elle en lui tendant les baguettes.

- Je préfère la fourchette.

- Trouillard !

            Quelques Serpentards imitèrent Valérie, mais ouvrirent de grands yeux stupéfaits en la voyant manier ses baguettes. Ils abandonnèrent vite et se reportèrent sur les fourchettes.

            Hermione, Harry et Stéphanie donnèrent des cours aux Gryffondors et certains arrivèrent à manier les instruments sans trop de problèmes, mais la grande majorité préféré la traditionnelle fourchette après avoir tenté sans succès de saisir leurs aliments.

            Severus n'avait pas touché à sa paire de baguettes. Myriam conseillait avec un sourire Albus et le Professeur Flitwick. Minerva avait abandonné ses baguettes pour la fourchette, comme les autres professeurs. Par contre, les Duellistes n'avaient aucune difficulté. Albus réussit enfin à saisir un ravioli avec un rire ravi. Le Professeur Flitwick abandonna. Myriam s'adressa à Severus.

- Alors ?

- C'est très bon, comme d'habitude.

- Tu ne te décides vraiment pas à utiliser des baguettes ?

- Je ne préfère pas.

- C'est dommage que Remus et Sniffle ne puissent pas assister au dîner. Mais c'est la pleine Lune ce soir. . . Tant pis, je leur garderai quelque chose au chaud.

            Albus et Minerva félicitèrent Madame Kiang.

- C'est absolument délicieux ! s'exclama Minerva.

- Cela nous change agréablement de nos plats habituels.

- Merci, Professeurs. A vrai dire, vous devriez remercier Myriam. C'est elle qui a dit que ma cuisine lui manquait. Je voulais lui faire plaisir, c'est tout.

- Et vous avez parfaitement raison !

            Le dîner fut une réussite. Tous les élèves apprécièrent le changement de cuisine et regrettèrent que Madame Kiang repartit le lendemain.

            Myriam lui confectionna un Portoloin. Elle serra ses filles dans ses bras, recommanda à Myriam d'être prudente, à Stéphanie et Valérie d'être sages et partit par le Portoloin.

            Les Duellistes aussi regagnèrent la Guilde, sauf Charles qui représente la Guilde en Angleterre et à l'Ordre du Phénix.

            La vie reprenait son cours.

            Voil !! J'espère que vous avez aim ! A la semaine prochaine !

RAR :

Deedlit : Harry se réveille enfin ! Et moi je me réveille dans ce chap ! Alors, tu en penses quoi ? Ginny est vraiment pénible, rien à voir avec les autres fics ! Je t'embrasse bien fort !

Kyarah : merci à toi ! J'aime bien Molly Weasley aussi ! Bisous !

Kaorulabelle : merci !! Pas grave pour les fautes de frappe, tant que j'arrive à comprendre !

Alisa Adams : en effet ! Je fais de mon mieux pour tenir mon rythme ! Mais c'est pas toujours évident !

Melanie Jonson : merci, et je continue t'inquiète pas !

Paradise 1 : la fièvre t'a chamboulé ou quoi ? J'ai rien contre Cat's Eyes mais bon. . .

Solar : Ginny est vraiment méchante si tu veux tout savoir ! Tu verras bien par la suite !

Yoann : coucou ! Bon, tu as eu mon mail… Et je vais t'envoyer la réponse dans la journée je pense ! Ginny ne va pas en rester là, mais elle se calme pour un ou deux chapitres ! Le temps que je m'occupe de Valou et Dray ! Bisous !