BOUH :

Vous n'y croyiez plus, ben moi non plus !!!! 

Je suis malade, coincée chez moi, et ce matin me suis dit : « ben on va essayer âmes sœurs.. »

J'ai ouvert le document… Et le déclic… Je vous ai fait le chapitre !!!! Il est un tooooooout petit peu plus long que d'habitude, et j'ai la trèèèèèèèès nette impression que ce n'est pas ce chapitre ci qui va vous ôter l'envie de me torturer….

Bon, j'arrête de déconner (avec 39 de fievre, c'est + facile de délirer ) ), et je vous met le chapitre… Mais seulement après leeeees… RAR !!!!!!! Nierk !!!!

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RAR :

Orlina : Chuis léééégèrement en retard pour ce chapitre… Tu m'en veux pas hein ???? T'as tjrs pas de PC ? Une pensée pour toi )

Serpentine : Je sais pas du tout ce qu'il va se passer… lol… Mais vous devez avoir une pitite idée…. Merlin, pourquoi j'ai commencé cette fic moi ? ^^*

Lululle : Merci ma chtite Lulu !!!!!! Ravie que ça te fasse triper )

Ambre Black : Le hic c'est que les chapitres longs, c'est pas mon truc… Quand je vois Zelda3 qui en fait des de 26 pages, je suis affolée….

Célinette : Ptdr… Ouais, je vous fait réviser lol… Mais toi aussi )  Pas grave si tu prend du retard en reviews, lol ) C'est pas mortel… Enfin je crois… La carte postale n'est pas encore arrivée, aux dernières nouvelles… Ou alors Antoine et Cléo sont trop occupés pour l'envoyer… A méditer… Besos ma choute :)

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FIC :

VIII/ Cornouaille ¤ Dragon…

- Levez l'ancre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 Hein ? Quoi ? Comment ??? Piti !!!  Pas un bateau !!!! Pas encore !!!

Le jeune homme était accoudé au bastingage, ses longs cheveux flottants au vent.

Où ai-je encore atterri ?

Il ouvrit sa main, qu'il tenait serrée sur la garde d'une épée, comme si elle le brûlait.

Il contempla son reflet dans l'eau… Et soupira… Il ne vit pas le visage qu'il connaissait depuis tant d'années, mais un visage qui lui était inconnu… Ce jeune homme là avait de longs cheveux bruns, flottant au vent, de grands yeux bruns, et un visage dur. Tellement beau, mais si dur… Comme si la personne avait subie maintes épreuves.

Mais QUI suis-je cette fois-ci ?

Il examina alors sa tenue.

Il portait un pantalon marron, assez ample, et une sorte de grand t-shirt vert foncé, assez rigide, mais chaud, en dessous d'une grande cape noire qui pendait le long de son dos.

Avec ça, je ne suis pas dépaysé…Mais alors pas du tout… Et puis ça gratte ce truc vert…

Il tata son costume, et découvrit des poches.

Il glissa une main à l'intérieur, et en sortit un long cheveu d'or.

Késako ?

Il contempla le cheveu un moment, se disant que ça lui rappelait quelque chose…

Oui mais quoi ?

Fixant l'horizon, il voyait les côtes de leur destination se rapprocher. Des falaises blanches se détachant sur le ciel.

Mais le navire ne se dirigea pas vers elles… Il les contourna de loin, pour finalement s'en éloigner…

Mais où va donc ce fichu bateau ?

Bientôt d'autres côtes apparurent, et l'on vit de vertes plaines se rapprocher.

Le navire pénétra dans un port désert.

Ben où qu'ils sont les gens ?

Au loin, un rugissement, des nuées de fumée. Des cris de peur. Des bruits de cavalcade.

Où suis-je tomb ? Merlin !!!!!

Des gens approchent… Presque automatiquement, le jeune homme porte la main à son épée, pensant trouver sa baguette, et soupira…

Ah, oui, c'est vrai…. Une épée… Un truc long, gris, et pointu… Coupant…

Des gens traversèrent le village portuaire en courant. Remarquant les arrivants, un des fuyards s'arrêta, et se dirigea vers eux.

- Fuyez !!! Vite !!!

- Pour quelle raison ? – demanda notre héros.

- Le… Le dragon !!! Il arrive par ici !!!

- Dra… Dragon ?

- Oui. Le roi d'Irlande, notre roi, a promis de donner sa blonde fille en mariage à celui qui vaincrait le Dragon. Mais personne ne s'y est risqué… Pourtant la fille du roi vaut bien tous les tourments de l'enfer… Elle est si belle…

- Et où est ce Dragon ?

- Y'a qu'à suivre la fumée et les cris… Euh, je voulais vous prévenir… Vous comptez combattre le Dragon ?

- C'est envisageable…

- Pauvre fou… Fou que vous êtes…

Et l'autochtone s'enfuit…

Un dragon… Bah, ça peux pas être pire que Snape rageant après nous…

Soupirant, prenant son courage à deux mains, il se dirigea vers les volutes de fumée noire.

Contournant les maisons, il se retrouva à coté d'un bois. Et au milieu du bois… Le dragon…

Immense, tout feu tout flamme, vert et noir, sentant le graillon… Le dragon…

Pas si facile… J'ai pas mon balai là… Maman, comment je vais faire moi ?

Il contempla le dragon, priant silencieusement pour que celui-ci ne le remarque pas.

Mais…

Le dragon se retourna, et un grondement ressemblant à un ricanement sortit de son gosier.

Il tendit une de sas pattes vers le jeune homme, l'attrapa, et l'approcha de son museau. Il le renifla, et laissa transparaître une grimace de dégoût.

Il a pas senti son haleine celui l !!!

Alors que le Dragon levait le jeune homme au dessus de sa gueule ouverte, celui-ci, au moment de tomber dans l'ouverture béante parvint à se retenir à un bout de « lèvre » et à grimper sur la tête. Le dragon secoua son crâne, mais accroché à une oreille, l'assaillant tint bon.

Et vive le Quidditch !!!

Il réussit tant bien que mal à sortir son épée du fourreau noir et or, et la plongea dans un des yeux du dragon, se dépêchant de s'accrocher à nouveau au monstre. Celui-ci, fou de rage et de douleur rugit, et secoua la tête dans tous les sens… Avant de se laisser tomber à terre, remuant toujours…

Profitant d'une « accalmie », il planta son épée dans le second œil [Appelez la SPA bordel !!!] réveillant le dragon qui secoua la terre plus violemment que jamais, projetant le téméraire jeune homme à terre.

Il tituba quelques instants, et s'écroula, le souffle court, gémissant, le sang rouge et poisseux coulant de ses yeux…

Le « chevalier » se releva, examinant son épée poisseuse de sang d'un air dédaigneux, et s'approcha de la bête, tout en époussetant ses vêtements.

Pouah ! Ça schlingue !!!

Il leva son épée, et entreprit de trancher le cou massif et vert du monstre. Sa tâche achevée, il soupira d'aise…

Les gens arrivèrent de partout…

Le jeune homme fut porté en triomphe au village, déshabillé, lavé, nourri, et porté jusqu'au palais du roi, avec l'équipage de son navire.

Et à coté du roi, son âme sœur, dans une délicieuse robe d'un vert pâle…

- Bonjour, étranger. A qui devons-nous notre libération ?

Le jeune homme s'avança, suivit de celui qui semblait être son page, fit un signe de tête au page en question, qui annonça :

- Tristan, fils de Rivalen, roi du Loonois, et de Blanchefleur, et Neveu du roi Marc de Cornouailles.

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NOTE : Nous vous rappelons qu'il est bien évidemment interdit de taper sur l'auteur, de le torturer, ou quoi que ce soit d'autre… Nous vous faisons également remarquer que l'auteur aurait pu attendre samedi pour publier, mais a pensé à vous…