Miya Black : Mais non, l'est po long le Riry à la détente. ^^ Il ne peut tout simplement pas concevoir que son maître des potions puisse avoir autre chose que de la haine et du mépris à son égard… pour le moment. ^^
Paradise1 : Tu ne peux pas savoir comme j'ai hâte de lire une prochaine HP/SS de toi. Je sens que tu vas recevoir la visite de ma dragonne, Candy, qui est très utile pour inciter les auteurs à updater. Lol. Poutouxes.
Meredith Black : Vi moi aussi je me demande. ^^ Et la réaction de Riry ne devrait pas se faire trop attendre à la découverte de son amant mystérieux.
Arlein de Lioncourt : Vi, l'est malin le Riry. ^^ Mais tu vas voir dans ce chapitre combien il peut l'être (surtout à la fin – même si, soit dit en passant, je vais me faire achever par tous mes lecteurs). ^^
Arcadiane : AAHH ! Ma Arca ! ^^ Je t'adore trop ! ^^ Tu es géniale. C'est gentil tout plein ce que tu me dis là. En fait, je suis contente de continuer cette fic surtout que, comme je te l'ai dit, j'ai peur que le déroulement ne plaise pas à tout le monde mais à moi, il me plait. C'est la première fois que j'écris (et vais écrire) une fic comme cela. Je n'en dis pas plus mais il y a quand même une certaine éthique 'malmenée' dans mon histoire. Tu comprendras un peu plus par la suite et par les indices que je laisse dans les chapitres peu à peu (même si chez moi, l'amour est toujours présent). Je t'enverrais un mail de toute façon pour t'expliquer. Tu pourras me dire ce que tu en penses. Chanceuse va ! ^^ Et je voulais aussi te dire que oui, ça doit faire drôle de découvrir que nos rêves érotiques n'en sont pas mais si c'est Sev, je veux bien. ^^ Tout plein de gros poutouxes.
Lady Yoko Crystal : Oui, à quoi a bien pu pensé Sevy voyant un Harry soumis à ses pieds et à son bon vouloir, le t-shirt transparent laissant voir son corps voluptueux. Je ne connais malheureusement pas la réponse. D'ailleurs, je me demande même pourquoi j'ai écrit ça. ^^ Peut-être voulait-il simplement montrer à Harry que sa célébrité ne valait rien à ses yeux mais pas ses petites fesses. Lol. Je crois qu'on ne le saura jamais. ^^ Bisous.
Lululle : Vi Harry va se rétablir… surtout s'il a les bons soins de Sevy. Bawahahahahaha. ^^ Quelle sadique fais-je ! Surtout avec la fin de ce chapitre. Toujours plus d'Elehynisme ! ^^
Clau : C'est vrai qu'au début, je ne savais pas trop si j'allais continuer ou pas. J'étais indécise et la suite dépendait vraiment des reviews. Maintenant, je suis contente d'avoir fait d'autres chapitres bien que ça prend du temps quand même à faire toutes ces fics. Je sais aussi que certaines one-shot resteront des chapitres uniques (je compte en réécrire d'autres HPDM, HPSS et peut-être d'autres avec des couples différents mais gardant HP). Je verrais mais cela ne sera pas pour tout de suite. Je suis également heureuse de pouvoir suivre la tienne. J'aime beaucoup ton Draco.^^
Pandoria : Et bien, je suis contente de voir ton enthousiasme débordant. ^^ J'espère que ce chapitre te plaira et que la suite également car il y a un élément de l'histoire qui ne va peut-être pas plaire à tout le monde par la suite (même si, je n'écris pas de chose très 'hard' ou choquant parce que ce ne sont pas mes goûts. Ca dépend comment l'histoire est écrite et je suis une romantique donc mes textes contiennent obligatoirement de l'amour). Bisous.
Luwelin : Si tu trouves que le suspens était insoutenable dans les deux premiers chap, je vais vraiment me faire trucider à la fin de celui-ci. ^^ Pauvre Elehyn, paix à son âme. Lol. J'espère que ce chapitre te plaira.
Petit caca perdu : Oui, je crois que ma motivation pour écrire cette fic reste intacte. ^^ Mais tu peux rajouter des adjectifs si tu veux, ça ne me dérange pas. Lol. Bisous.
Saael : Vi, Harry est naïf pour l'instant parce que je pense que si on lui disait texto, 'Hey tu as vu comment Snape te dévore des yeux. A mon avis, il te veut nu dans son lit, chaud et haletant pour lui, illico presto', il nous ferait une attaque après un grand passage d'incrédulité donc bah voilà. ^^ Bisous.
Céline s. : Mici. J'espère que la suite (que j'essayerais de poster le plus vite possible, même si cette fic ne passe pas en priorité ^^) te plaira tout autant. Bisous.
Henna-Himitsu : J'ai fait référence dans ce chap au moyen que notre homme mystérieux ^^ a pour se rendre incognito et très rapidement – le malin ^^- dans les dortoirs des garçons et j'en reparlerais dans le suivant. S'il pouvait aussi venir chez moi d'ailleurs… ^^
Magnolia : Non, non, tu comprendras bien que je ne peux pas te révéler l'identité de l'inconnu aux longs cheveux noirs, expert en potion et qui vit bel et bien à Poudlard pou le moment. C'est du suspens. ^^ Je compte bien la finir, t'inquiètes pas.^^ Je pense qu'elle fera une bonne dizaine de chapitres. Je sais pas trop mais je connais le déroulement de l'histoire. Je sais ce que je veux y mettre, ce qui n'était pas le cas au début, d'où la one-shot initiale. Poutouxes et poutouxes aussi à Maximilien.
Amy Quirrell : Mais je serais contente que tu nous 'le ponde' ton slash comme tu dis. Il y en a malheureusement pas beaucoup et ça me ferais plaisir d'en lire un autre. N'hésite surtout pas, la porte des fanfics t'est grande ouverte.^^ Bisous.
Rowan : Et vi, j'ai fait le chapitre 3 avant le début 2005. ^^ J'ai estimé que ça faisait un peu trop long sinon. ^^ J'espère que ce chapitre te plaira. Bisous.
Je vous fais à tous de gros poutouxes et vous souhaite bonne lecture. Chapitre 3 : Mon bel étranger
Qui était-ce ?
Cette question, Harry se l'était posée des centaines de fois durant la journée qui suivit sa 'visite'. Et elle restait toujours sans réponse.
Quand il repensait aux évènements de la nuit, il ressentait de la stupeur et de la crainte, une curiosité tenace, une intense frustration de ne pas savoir qui était son amant inconnu et… un désir coupable qui lui brûlait le sang.
'C'était si bon !' se dit Harry. 'Il est si doué'.
A cette dernière pensée, il rougit violemment. Il aurait dû être furieux, écœuré, dévasté ! se répéta-t-il encore. Mais non ! Il en voulait encore et il avait honte de cette faiblesse.
'Bon sang Harry !' se reprit-il. 'Un homme se sert de toi pour étancher ses pulsions sexuelles. Ce qu'il te fait la nuit s'apparente étrangement à un viol et toi, tu en redemandes !'
Harry s'enfouit la tête dans les mains lorsqu'il entendit la petite voix de sa conscience lui souffler, 'Tant que ce n'est pas Rusard…'
Le jeune homme gémit et se mordit la lèvre, 'Tu parles d'une conscience !'
« Merlin, aidez-moi » marmonna-t-il entre ses dents.
« Harry ? Tu as dit quelque chose ? » demanda soudain Hermione en le regardant interrogativement.
« Non, non 'Mione, je réfléchissais juste à haute voix ».
Le jeune femme acquiesça d'un signe de tête et se replongea dans son livre des 'Sorts et enchantements niveau 7'.
'Qui est-ce que ça pourrait bien être ?'
Il voulait tellement connaître la réponse qu'il ne remarquait pas qu'il était en train de se martyriser les cheveux avec ses doigts crispés.
« Si tu n'aimes pas ta coiffure, Harry, il existe des coiffeurs tu sais » lui dit Ron en le voyant se les saccager.
'Mais qui est-ce bon sang ?'
« C'est Snape ? »
Harry releva vivement la tête, « Snape ? C'est Snape ? Non, c'est pas possible ! Comment le sais-tu ? Tu l'as vu ? Snape tu dis ? Tu es vraiment sûr ? Snape ? SNAPE ? AAAAAAHHHHHH !!! »
Ses deux amis sursautèrent, imités par les autres Gryffondors qui se trouvaient dans la salle commune. Tous regardaient le jeune homme avec une expression effarée ou inquiète pour sa santé mentale.
« Euh, non, je sais pas, » baragouina Ron, un peu perdu. « Je te demandais juste si tu massacrais les cheveux à cause de ce que t'a fait Snape hier. C'est tout ! »
« Oh ! » fit Harry, se sentait très stupide sur le moment. « Euh, euh, non. Enfin oui, c'est à cause de lui. Il m'a fait nettoyer le sol de son bureau avec une mini-brosse pour 3 malheureux éternuements alors tu comprends… »
Ron acquiesça vigoureusement, « Ca alors oui, on te comprend ! Il te file des retenues à tour de bras et pour n'importe quelle raison idiote. Vraiment, on se demande ce qu'il lui prend ! »
Harry vit que tous les étudiants présents écoutaient et étaient d'accord avec le rouquin.
« Oui, il abuse » disaient certains tandis que d'autres, s'exclamaient, « Il est de pire en pire avec l'âge » ou, « Tout le monde le déteste alors il se venge et c'est toujours le même qui prend. Pauvre Harry ! » ou encore, « Je ne comprends pas que Dumbledore le garde comme professeur »…
Harry en eût bien vite assez de se faire traiter en victime - même si d'un côté, il pensait sérieusement l'être avec son maître des potions - se leva dans le brouhaha ambiant et quitta la pièce.
Il se mit à marcher au hasard et se retrouva bientôt devant la pièce la Salle de demande. Il y entra et sourit en voyant un immense lit au drap satiné et aux oreillers à l'air douillet qui l'appelaient irrésistiblement. Il faisait encore jour mais Harry était si fatigué qu'il se glissa entre les couvertures, ferma les rideaux et s'endormit dans un profond sommeil.
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Pendant ce temps-là, dans une salle obscure du château, un homme remuait subtilement le liquide bouillonnant qui chauffait dans son chaudron depuis presque un mois. Elle était bientôt prête.
Il n'aurait plus besoin d'aller dans le dortoir du garçon pour pouvoir assouvir la faim qu'il avait de lui. Il l'aurait pour lui, chaque nuit, s'il le voulait… sans qu'il le sache.
Ce serait beaucoup moins dangereux et terriblement moins frustrant. Désormais, il n'aurait plus besoin non plus de partir sans s'être rassasier, au préalable, tant qu'il le pouvait de ce corps délectable… sans impunité et il resterait dans la légalité.
L'homme sourit à ces constats qui ne seraient plus chimériques mais celui-ci s'évanouit de ses lèvres à la pensée du jeune homme allongé sur son lit, se tordant sous ses caresses, haletant sous ses lèvres avides de goûter, écartant les jambes près à être pris fougueusement.
« Harry… » gémit-il en savourant le son de ce prénom sous sa langue. Il aimait le prononcer en un murmure. « Harry ». C'était aussi doux et sucré que de déguster une cuillère de miel. Cinq petites lettres faites de promesses et de pureté. Sensuel. La première syllabe était comme le cri d'extase que pouvait pousser un amant franchissant les portes l'amenant au plaisir… « Ha – rry ». Quand pour la deuxième, il s'agissait d'un soupir repu – dernière expiration d'un amant se noyant dans le bonheur final du péché charnel.
« Harry, péché de mon cœur, péché de mon âme ».
Ces dernières nuits, il n'avait pas pu s'empêcher d'aller le visiter et de le toucher alors qu'il savait qu'il n'aurait plus longtemps à attendre maintenant pour pouvoir le posséder, comme cette pensée le hantait sans relâche depuis bientôt deux ans. Il en devenait fou.
Harry était son obsession, sa damnation sans espoir de salut. Et il serait bientôt sien… bientôt sien.
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Cette nuit-là, grâce à la longue sieste qu'il avait faite durant l'après-midi, Harry se maintint éveillé jusqu'à ce que l'aube commence à éclaircir le drap noir de la nuit et se réveilla le lendemain pour le petit déjeuner. Personne n'était venu. Son amant inconnu n'avait pas fait une seule apparition.
Harry soupira, en essayant d'étouffer le sentiment de déception qui lui étreignait la poitrine. 'Qu'attendais-je de toute façon ?'
Il tentait de se convaincre que seule la découverte de l'identité de cet homme l'intéressait.
« Je veux savoir de qui il s'agit pour que cela cesse ! » murmura-t-il tandis qu'une petite voix résonnait dans sa tête, 'Qui veux-tu en convaincre ?'
Harry soupira de nouveau. Ses mains lui manquaient. Il avait eu si froid sans elles cette nuit, sans ce corps brûlant pressé contre le sien.
Rouge de honte, il se recroquevilla sur lui même et enfouit sa tête contre ses genoux.
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Le week-end se passa sans aucune 'visite' nocturne pour le jeune homme mais le laissa une fois de plus épuisé par ces longues veillées infructueuses.
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L'homme laissa tomber un des cheveux noirs ébène dans le liquide bouillonnant de sa potion. Pure magie noire mais il n'en avait cure. Il fallait qu'il le voit, il fallait qu'il le touche… une dernière fois.
Il l'avait vu toute la journée aller et repartir de ses cours de sa démarche qui ne manquait jamais d'enflammer ses reins de déjeuner ou de dîner en amenant sa fourchette à sa bouche gourmande et savourant comme il aurait savourer sa virilité d'homme avide de lui. Il l'avait aperçu à la bibliothèque et était resté là, à l'observer à travers les rayonnages des livres, tourner les pages des oeuvres qui l'aideraient à faire ses devoirs. Il avait été si excité de le voir faire galoper ses doigts fins le long des pages, se concentrant sur sa lecture, de le voir se mordre la lèvre, perdu dans ses réflexions, de le voir tout simplement lire, faire cette activité anodine et innocente qu'il en avait eu affreusement mal. Seuls les coups d'oeil étonnés et perplexes de Madame Pince l'avait décidé à sortir de la bibliothèque, la faim au ventre.
Il lui faudrait d'autres cheveux sinon, il ne pourrait pas l'avoir.
Il fallait qu'il le possède. Cette pensée ne le quittait plus. Il n'en dormait plus, ne se nourrissait plus que de l'odeur et de l'image du jeune homme. Il était plus pâle que jamais et savait que Dumbledore et ses autres collègues, avaient commencé à s'inquiéter pour lui. Leurs regards et leurs paroles les trahissaient. Et les siens allaient le faire également s'il ne mettait pas un terme à ce désir impérieux qui le détruisait à petit feu. Il ne voulait surtout pas blesser Harry et c'est pour cela qu'il avait conçu un plan – un plan que personne n'aurait approuvé à Poudlard mais il le garderait secret comme tout ce qui faisait partie de lui et de sa vie.
Il fallait qu'il le fasse tout bonnement parce qu'il avait de plus en plus de mal à se contenir. Cela faisait deux ans qu'il souffrait comme il n'avait jamais souffert, deux ans de silence, deux ans de rêves interdits.
« Harry, je ne t'embêterais plus mon amour… Juste cette fois… Juste une dernière fois, little love. »
La potion s'éclaircit en un bleu très clair, brillant, intense. Une image se forma à sa surface tel un miroir trahissant l'intimité d'une humanité inconsciente d'être visitée, inconsciente de cette violation de vie privée.
L'homme chercha le lit et il le vit.
« Harry ».
Il se positionna assis sur le rebord du chaudron, pivota sur lui-même, glissa une jambe dans le liquide glacé, puis une autre et se laissa tomber.
Il atterrit aussi léger et aérien qu'une bulle de savon sur le sol, se redressa souplement et sans bruit dans le dortoir des septièmes années. Présence invisible pour tout autre que la personne désirée. Mais il n'avait pas peur. Son amour ne le verrait pas. Il le savait trop exténué pour pouvoir se réveiller. Les cernes qu'il avait vu sous ses yeux trahissaient son état de fatigue.
Tout le monde dormait paisiblement et profondément dans la pièce. Il sourit. Se rapprochant des rideaux écarlates du lit à baldaquin qu'il connaissait si bien à présent pour les avoir observés un nombre incalculable de fois avant d'oser enfin les franchir presque cinq jours auparavant, il les écarta et se retrouva devant la vision enchanteresse qui hantait sa chair et son esprit inlassablement.
Il avait détaillé déjà la finesse de ses traits, la couleur ivoire, dorée ou bronzée de sa peau suivant les saisons où il l'avait espionné à son insu pendant deux ans, jours et/ou nuits. Il en connaissait chaque grain et pouvait dessiner les contours de son être les yeux fermés. Il pouvait tracer au crayon ces petits détails anodins qui pour lui étaient chéris avec tendresse et passion. Personne ne connaissait aussi bien le visage et le corps de Harry que lui. Personne. Et il en connaissait aussi le goût. L'odeur. La texture. La douceur. Le velouté. La fraîcheur ou la chaleur. La sensibilité.
Il s'était approprié tout cela. Tout ce qu'était Harry. Il en savait peut-être plus sur lui que le jeune homme lui même. Il avait passé des heures à l'apprendre par cœur, à décrypter sa gestuelle, à analyser sa démarche, devinant au fur et à mesure du temps quel pas allait suivre le précédent, quel geste allait faire suite à tel mouvement. Il était presque devenu son âme. Son âme soeur. Et de le connaître aussi bien, lui donnait l'impression de le détenir comme il le voulait tellement. En quelque sorte ainsi, Harry était à lui.
C'était la seule manière de le posséder qu'il avait trouvé depuis maintenant presque deux ans. Jusqu'à ce qu'il conçoive son plan. Un plan qui le lui donnerait tout en le maintenant éloigné. Harry ne le saurait jamais et c'était mieux ainsi. Pour lui. Seulement et toujours pour Harry.
Tremblant d'un désir aussi intense qu'inassouvi, il tendit le bras et les doigts pour toucher celui qu'il aimait et sursauta lorsqu'une autre main attrapa la sienne.
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Rappel des règles de base :
1. Ne pas tuer l'auteur.
2. Ne pas avoir envie de tuer l'auteur.
3. Ne pas acheter de poupée vaudou et l'appeler Elehyn.
4. Ne pas dire ou penser que l'auteur est sadique.
5. Ne pas lancer de dragon à la recherche de l'auteur.
6. L'auteur a toujours raison.
7. L'auteur essayera d'updater rapidement tout en vous rappelant que vous voulez la suite de chacune de ses fics et qu'elle n'a que dix doigts et que si vous l'attaquez, elle en aura moins donc tapera ses textes beaucoup moins vite.
8. L'auteur tient à ses membres. Elle les voit depuis plus de vingt ans donc y est très attachée.
9. L'auteur vous fait encore de gros poutouxes et un ros, ros câlinou.
