A/N IMPORTANTE : Coucou, je n'ai pas une très bonne nouvelle à vous annoncer aujourd'hui. Ne m'en voulez pas trop mais je suis dans l'obligation d'arrêter cette fic. Je poste le dernier chapitre aujourd'hui mais elle n'est pas finie. Je crois également que je ne pourrais pas continuer les autres non plus et pense me retirer de fanfic. Toutes mes excuses encore. La raison pour laquelle je m'en vais est que je commence à sérieusement avoir peur pour ma vie. En effet, j'ai reçu des reviews de menaces telles : On t'adore à la moutarde ou on peut te torturer et te supprimer les doigts, tu taperas avec tes pieds, etc... Je vais donc devoir me retirer loin dans ma caverne où, vous vous en doutez bien, il n'y a pas d'internet, ni de fous furieux. Je vous fais mes adieux aujourd'hui et vous fais encore de gros bisous. LOL. JE PLAISANTE ! Bon, ce coup-ci pour être sérieuse, voici le 4ème chapitre de ma fic, j'espère qu'il vous plaira et qu'il n'y aura pas de problème avec la mise en page parce que vous avez dû le remarquer aussi, parfois fanfic regroupe tout en gros bloc et c'est impossible de rattraper cela, même en éditant. Il m'a aussi récemment bouffer des lettres (comme j'ai vu un de mes titres, il avait enlevé le é à réalité), je ne sais pas pourquoi mais c'est assez énervant. J'ai des doutes cette fois-ci, dois-je faire mes remerciements et réponses aux reviews ? On attente quand même à ma vie.^^ Bon, je le fais quand même.^^ Mais je vous signale coumême qu'il n'y a pas d'alternatives possibles pour les règles de base. Méh ! Quelle présomption !^^ Miya Black, Paradise1, Arcadiane (Maieuh, ze suis po sadique et ze t'aime moâ^^), MikaChan2andKochka, Athanea DarkShadow, Christine (Es-tu toujours vivante ? Si oui, le livre des records est pour toi^^), Lululle, Lyly, Altea, Diane23, Rowan, Clau, Lady Yoko Crystal ( ?), Meline Snape, Pandoria, Shakinem, Magnolia (Comment va le ch'tit bout au fait ? Et la maman ? Pas trop fatiguée ?), Arlein de Lioncourt, Nahamy, Céline s., Tolkiane, Flore, Kero, Saael, Iani, Maggie, Vinéa K. S. Malfoy, Hatori, Vyo (lol), Pitchouna, monsieur meuble, Dega, Orlina, Luwelin, Aurélia, Artemis (mici miss), Jo-hp5 (lol, j'ai bien rigolé au message de la maman de Sev^^), Desdemona : Bon et bien je dois dire qu'en lisant certaines de vos reviews, je me dis que je suis loin d'être la seule à être sadique. Je n'ai pas fait d'affreux cliffie cette fois-ci mais il y a une fin et comme d'habitude, la suite il faut l'attendre. Comme je vais émigrer dans ma caverne pour quelques mois... D'accord, je n'y vais pas ! ^^ En tout cas, je vous remercie pour vos reviews mais le poutoux, je suis réticente à vous le donner. Le méritez-vous réellement ? Là est la question... mais bon... poutoux quand même mais baveux. Voilà.^^ Henna-himitsu : M'est avis que tu n'as pas tout compris les règles de bases (comme beaucoup d'ailleurs).^^ La Salle de demande ou 'Room of Requirement' est la pièce de Poudlard où Harry a fait ses cours de AD. Là où tu vas que tu demandes des millions de tablettes de chocolat et que tu te retrouves noyée dessous, mais n'est-ce pas la plus belle mort ?^^ Ou alors, je veux Sevy nu sur un lit, il apparaît le bougre + du chocolat (l'auteur étant légèrement accro... aux deux bien sûr).^^ Voilà pour la ch'tite explication.^^ Wargate : Tiens, je ne savais pas que tu lisais mes slashs ! Heureuse de te voir ici... euh même si c'est pour me dire que euh... c'est pour m'arracher mes membres.^^ Pour les poutouxes, bah, je ne peux que les donner virtuellement mais le cœur y est. Moi aussi je t'aime beaucoup... avec une sauce bien relevée.^^ Non, non, je ne suis pas cannibale mais je rends ce qu'on me donne.^^ Amy Quirrell : Vi, j'ai hâte de voir ce que tu auras écris dans ta fic. J'espère la voir bientôt mais ne t'inquiètes pas pour les 'flames', les reviews qui incendient. Moi aussi j'en ai reçu. Ca ne fait pas toujours plaisir, ça c'est clair mais du moment que tu aimes ce que tu écris et que tu fais plaisir à d'autres lecteurs qui –eux – ont plus d'imagination et qui aiment ce que tu écris, ça va. Et pour ta sœur, dis-lui que je vais lui envoyer ma dragonne Candy, qui sait être très aimable avec les gens.^^ (Je crois que je regarde trop Astérix^^). Tia : J'ai bien aimé tes règles de bases du lecteurs.^^ C'était trop mignon.^^ C'est vrai que je suis sadique mais il y a pire je crois. J'update relativement rapidement. Ze fais ce que ze peux en tout cas.^^ Mara Snape : Mici. Pour la signification du nom de Harry, non. Aucun rapport avec Proust mais avec Elehyn.^^ En fait, j'aime bien faire montrer à quel point l'inconnu de la nuit est obsédé par Harry et donc les lecteurs comprendront mieux son comportement par la suite... pour le moins inhabituel. Poutouxes à tous et bonne lecture. Chapitre 4 : Merveilleuse inconscience  

Harry était véritablement fatigué mais il n'arrivait pas à s'endormir. Il se disait que son amant mystérieux ne viendrait probablement pas ce soir vu qu'il n'était plus venu depuis la nuit où il avait failli être démasqué.

'Par quel moyen arrive-t-il à s'introduire et à repartir comme ça, aussi vite ?' se demanda le jeune homme en se retournant sur le côté gauche.

Tout le monde dormait dans son dortoir. Il pouvait entendre le faible écho des ronflements de Neville et la respiration régulière des ses autres compagnons de chambre.

'Et s'il venait tout de même ce soir ?' se dit le jeune Gryffondor, écoutant la moindre son provenant de la toute la pièce. Il se concentrait tellement sur cela qu'il pouvait entendre le résonnement intense de la salle. Il soupira.

Glissant la main sous son oreiller, il prit sa baguette et lança un sort de silence. 'Ainsi s'il vient, personne d'autre que moi ne pourra l'entendre et je pourrais hurler… ou gémir autant que je voudrais, personne ne m'entendra.' Harry savait pourtant que si un d'eux se réveillait, leur vision n'en serait pas entravée mais il ne pouvait tout de même pas les priver de tous leurs sens pour pouvoir avoir son explication avec l'inconnu de ses nuits.

Il ne devait pas utiliser de sorts mais laisser venir son amant à lui, en lui faisant croire qu'il était endormi. Il replaça donc sa baguette sous son oreiller, s'assit bien correctement sur son lit, resta immobile, guettant, tel un prédateur à l'affût de sa proie et attendit. Il fût bientôt récompensé de sa détermination à découvrir l'identité de son amant secret lorsqu'il entendit un bruit inhabituel, très léger mais perceptible, comme un souffle de vent – aérien. Le coeur battant, Harry se redressa silencieusement et attendit encore. S'il allait trop vite, il avait peur que l'homme s'en aille comme il était venu et il resterait, une fois de plus, sur sa faim. Il devait réellement se maintenir, maîtriser son impatience et rester calme. Tout devrait être fait en douceur. Tout à coup, il retint son souffle et ouvra de grands yeux. Ce qu'il pensa être une main se tendit en écartant doucement les rideaux. N'y tenant plus, il l'attrapa.

L'homme essaya tant bien que mal de retirer sa main de celle qui l'enserrait dans un étau puissant. Son cœur battait très fort dans sa poitrine et une sueur froide lui coulait le long du visage. Harry ne devait pas le voir. Il ne devait pas savoir que c'était lui qui le visitait certaines nuits lorsqu'il dormait.

Harry sentait la main de l'homme se tordre dans la sienne pour essayer de s'extirper et son amant reculait, effrayé. Le jeune homme essayait, de son côté, de le tirer vers lui sans blesser la main qu'il tenait toujours.

'Mon dieu, je le croyais pourtant endormi. Je n'aurais jamais dû venir… ni aujourd'hui, ni la première fois. J'aurais dû savoir me contrôler, même - surtout - lorsqu'il s'agit de Harry.'

Harry n'arrivait pas à distinguer la personne qui lui faisait presque face. Il faisait trop sombre pour qu'il aperçoive autre chose qu'une forme humaine. La main de l'homme glissait de plus en plus dans la sienne. Il ne lâchait pas prise pour autant mais son amant été aussi déterminé à lui échapper que lui l'était à le dévoiler. Comme il n'arrivait pas à l'attirer à lui, il adopta une autre tactique. Il sauta de son lit et fonça sur l'homme.

Il vit le changement d'attitude que le jeune homme opéra. Il savait que l'obscurité quasi totale de la pièce, empêcherait Harry de le reconnaître mais, tel un aveugle, il pourrait le voir avec ses mains ou utiliser le sort de lumière de sa baguette. 'Harry serait vraiment stupide de faire cela', pensa-t-il. 'Etant donné que ses camarades pourrait le voir avoir un comportement des plus bizarre.' S'ils se réveillaient et le voyaient, il verrait leur compagnon de dortoir lutter avec un esprit invisible vu qu'il n'était perceptible que pour la personne désirée. Il fallait donc que l'homme s'en aille au plus vite. Il ne voulait pas que son amour le surprenne.

Harry se retrouva bien vite dans les bras de l'homme qu'il reconnaissait être son amant mystérieux. Il reconnaissait son corps. Mais apparemment, ce dernier ne voulait pas être identifié car il le repoussait de toutes ses forces.

« Attends ! » s'écria Harry, en le sentant se dérober. L'homme eût un mouvement d'hésitation, revint sur ses pas, enfouit sa main dans la chevelure en bataille de son jeune amour, lui renversa la tête en arrière et lui ravit ses lèvres.

Harry gémit, se plaqua contre son amant et l'embrassa avec une même passion. De ses mains, il chercha la peau brûlante qui se cachait sous sa robe mais l'homme les lui prit entre les siennes et se déroba vivement de nouveau. Cette fois-ci, Harry n'eût pas le temps de lui bondir dessus et vit seulement un reflet bleu, obscure mais brillant, tel un miroir dans la nuit se dévoiler et engloutir son bel inconnu.


De retour dans ses quartiers, l'homme sourit, le cœur toujours battant la chamade. Non seulement Harry ne l'avait pas vu mais il lui avait volé un baiser auquel le jeune homme avait promptement répondu. A ce souvenir, il éclata d'un rire ravi et excité. Qui l'aurait cru ? Qui aurait pu dire que Harry Potter avait envie de son amant mystérieux et interdit ? Qu'il avait envie de lui ?

Peut-être devait-il revoir son plan après tout. Et si… Il leva le bras et ouvrit sa main. Il fixa la demi-douzaine de cheveux qu'il tenait en son creux et une bataille fit rage dans son coeur et dans sa tête.

Non.

Il n'avait pas le droit.

Il en avait déjà eu suffisamment. Harry devait rester, pour lui, un amour lointain, à jamais inaccessible et intouchable.

Il l'aurait d'une autre manière.

Il serra les cheveux dans son poing, le porta à sa bouche et embrassa longuement et tendrement la fine mèche noire ainsi formée, en respirant avidement son faible mais perceptible parfum.

« Harry. »

Fermant les yeux, il lécha ses lèvres doucement. Il pouvait encore sentir le goût de son amour sur sa langue.

Il alla contrôler sa potion et vit qu'elle bouillonnait toujours dans son chaudron. Demain elle serait prête. Demain...


Harry se laissa tomber sur son lit lourdement, terriblement déçu et malheureux. Pourquoi est-ce que son amant mystérieux ne voulait pas qu'il le voit ? Le jeune homme se redemanda qui était-il. Il n'avait pas pu découvrir son identité malgré les tentatives qu'il avait faites. Il avait essayé de le voir mais l'obscurité ambiante l'en avait empêché. Il avait essayé de le sentir mais son parfum – très subtile au demeurant - ne lui était pas familier. Il avait bien reconnu l'odeur de la peau de l'homme mais il n'aurait jamais pu associer un visage à cette délicieuse senteur. Il avait aussi tenté de le toucher mais à dire vrai, il était beaucoup trop excité et s'il l'avait caressé, c'était plus dans l'espoir de d'éveiller le désir de son amant plutôt que d'en définir les contours. Donc, maintenant, il se retrouvait aussi avancé qu'auparavant.

Il soupira. Il n'aurait jamais dû attraper sa main aussi vite. Il aurait dû attendre un peu plus, le laisser venir.

Il soupira de nouveau. Voilà une fois de plus la preuve que son caractère parfois impulsif n'était pas toujours un avantage. Loin de là.


SPPLLLLLAAASSSHHH

« Potter, retenue ! »

Harry grommela lourdement et entendit son maître des potions ajouter, « Et dix points de moins à Gryffondor pour vous plaindre. »

Le jeune Gryffondor, à l'instar de ses camarades de Maison, serra les dents et répara le bocal rempli d'eau qu'il venait de faire tomber. Puis, d'un mouvement souple de sa baguette, il en fit s'évaporer le liquide.

Le cours se passa sans autre incident notable mais Snape le retint à la fin du cours.

« Je veux vous voir ce soir, dans mon bureau, à 19h00 précises. »

« 19h00 Professeur ? » répéta Harry, étonné par cet horaire inhabituel. En règle général, les retenues qu'il donnait avait lieu à 20h00.

« 19H00 Potter ! Vous avez bien entendu. Et ne soyez pas en retard. »

C'est donc ainsi que le soir venu, après avoir pris son dîner un peu plus tôt que d'habitude, à la grande joie de Ron, il se dirigea vers les cachots. Il frappa à la porte du bureau professoral et entra, sous l'ordre de Snape.

« Vous allez me nettoyer tous ces bocaux Potter et une fois que vous aurez tout nettoyé, vous déguerpirez. »

'C'est si gentiment demandé' se dit Harry, sardonique.

« Oui Professeur » dit-il à la place en se dirigeant hâtivement vers les bocaux de verre. Il y en avait beaucoup et Harry évalua la tâche à deux bonnes heures de nettoyage s'il faisait vite. Il en fût étonné car d'habitude, Snape prenait un malin plaisir à le garder très longtemps dans la soirée, tout en le fixant intensément pour ajouter à son humiliation. Harry se souvenait encore du récurage de sol au son professeur l'avait forcé à se mettre à genoux pour ce travail et où il s'était retrouvé dans cette position dégradante devant lui. Tout ce que voulait Snape c'était l'avilir encore et toujours davantage. Rien qu'en ce moment, Snape le regardait. Harry avait retroussé ses manches et plongé ses mains dans le large bac rempli d'eau chaude et mousseuse en y déposant le premier bocal.

Il voulu commencer à le nettoyer mais se rendit compte soudain qu'il n'y avait pas d'éponge.

« Professeur, il n'y a pas d'éponge... »

« Utilisez vos mains Potter. Vous n'allez pas me dire qu'elles sont si délicates que vous ne pouvez pas vous en passer. Peut-être voulez-vous également des gants pour ne pas abîmer votre peau si sensible et fragile ? »

Harry serra les dents et réprima un soupir exaspéré. Il fusilla tout de même Snape du regard et entreprit de nettoyer le bocal comme il le pût, avec ses mains.

'Avec ma baguette, ça irait plus vite' se dit-il, écoeuré par cette injustice. 'C'est toujours à moi qu'il donne des retenues alors que Malfoy a fait brûler sa potion et il ne lui a rien dit.'

Après avoir rincé et posé le premier bocal sur une table carrelée, il en prit un second et le plongea dans l'eau. Il pouvait encore sentir le regard chaud et sombre du professeur glisser sur lui. N'arrêterait-il jamais ? Snape était vraiment sadique. Il poussait l'humiliation autant qu'il pouvait. C'est dans ces moments-là que Harry se rendait réellement compte à quel point son professeur le haïssait.

Il prit un troisième bocal puis un quatrième et refit toujours les mêmes gestes. Bientôt, il y eût plus de récipient propre que de sale et Harry commençait à sentir ses mains fatiguer. Les bocaux étaient d'une taille assez grande et donc lourds. A force de les manier, il ressentait ses poignets devenir moins mobiles, moins souples et ses mouvements devenaient plus mécaniques. Une heure et demi était passée et il se répétait 'un de moins' à chaque bocal lavé.

Ses mains étaient rouges à présent et la peau de ses mains s'était détendue ou légèrement fripée et elle avait ondulé par endroit en prenant une teinte étrange signe qu'elles étaient restées trop longtemps dans l'eau.

Harry arriva bientôt au dernier récipient à nettoyer et réprima un sourire de soulagement. Non seulement, sa retenue allait prendre fin mais sa torture également. Snape ne l'avait pas lâcher une seconde du regard. Harry avait pensé, au début, que son maître des potions allait se lasser de le fixer ainsi et qu'il allait retourner à ses corrections de parchemins et bien non ! Harry avait pu sentir ses yeux sur lui et sur ses mains pendant toute la durée qu'avait pris sa tâche, soit deux bonnes heures comme il l'avait prévu.

'A croire qu'il n'a rien d'autre à faire' se dit Harry en faisant glisser une de ses mains mousseuses sur l'arrondi extérieur du bocal. Même s'il pouvait facilement le réparer, il faisait très attention à ne pas casser le récipient pour ne pas énerver son professeur. Il ne se rappelait que trop bien que c'était la raison de sa retenue ce soir et il ne tenait pas à en avoir une autre le lendemain. Ses gestes étaient donc doux, presque tendres, parfois lents lorsqu'il le fallait, parfois plus rapides. Il caressait les parois rondes de verre de ses doigts recouverts de mousse blanche nacrée et alternait les mouvement circulaires d'avec les mouvements droits, horizontaux ou verticaux.

Il rinça le verre maintenant éclatant et totalement transparent puis le mit à s'égoutter avec les autres sur le torchon qui recouvrait la table carrelée.

Lorsque Harry s'essuya les mains sur une serviette en papier jetable et la mit à la poubelle, Snape sembla sortir d'une transe silencieuse, comme s'il venait de sortir d'un rêve hypnotique.

Snape regarda sa montre, se mit debout et sortit sa baguette. Harry tressaillit et entendit son professeur lancer le sortilège de séchage pour que les bocaux soient secs.

« Vous pouvez y aller Potter » dit son professeur d'une voix rauque.

Harry acquiesça de la tête et pour lui montrer son affirmation et pour lui dire au revoir. Il savait que c'était sec et impoli mais il n'allait pas quand même être civil avec Snape alors qu'il venait encore de lui donner une retenue pour une raison idiote et injustifiée. Il sortit de la pièce.


L'homme ferma les yeux et soupira, « Harry. »

Il resserra sa cape autour de lui pour cacher ses vêtements moldus et sortit de ses quartiers.

La potion était prête.

Ce soir, Harry serait à lui.