Chapitre 3 – Rites et formules magiques
Les rites des sorciers et sorcières d'autrefois font appel à divers objets : par exemple, la vertu des plantes (comme l'ortie ou le graines de tournesol) devant être cueillis à un certain moment (pleine lune, à la Saint Jean), les pierres, les débris d'animaux (dents de loups, cœurs de hiboux, serpents ou tête de chauve souris) et des matériaux comme le miel, la cire ou le plâtre, bref tout ce qui est en communion avec la nature. Le culte varie aussi selon les pays et les religions : le rite du culte du Soleil dans l'Egypte antique, le rite lunaire chez les Dayak (peuple de Bornéo) ou l'utilisation d'une main desséchée d'un pendu, communément appelé « la main de la gloire ». Mais le plus célèbre demeurant la culte du vaudou, figurine de cire ou de terre ressemblant à la victime, renfermant des rognures d'ongles, cheveux ou morceaux de vêtements, puis percer d'une aiguille au niveau du cœur, le brûler ou la noyer, provoquant la mort instantané de la personne visée. Ce rite est répandu chez les Africains fétichistes vit le jour à la cour de France. Cette « magie » résidait dans le fait que les partis fragmentés était encore soudés aux corps vivants (cheveux, poils, ongles, salive, sang...).
Science subtil, la fabrication d'une potion relève tout un défi, tant leur composition est compliquée. Quelque exemples : pour susciter la haine, la philtre est confectionné avec des extraits de la plante Promethea et le fiel de 4 animaux. Pour un philtre d'amour (un des thèmes obsédants de la magie noire), sa confection est plus délicate: diverses herbes, insectes pulvérisés et de l'hippomare (excroissance que les poulains portent sur la tête au moment de leur naissance). Des ingrédients répugnantes pour une si jolie potion...
Les formules magiques ou les incantations étaient utilisés pour conjurer les sorts, les maladies ou la mort. Par exemple, Le mot cabalistique « agla » sert à éloigner le démon, la formule « abracadabra » guérit la fièvre et « hocus pocus » ouvre les porte. L'exorcisme (qui puisait dans la magie blanche) consiste à expulser les démons d'un homme. Ce sont généralement les prêtres qui font appel à ce genre de pratique afin de libérer le malin qui sommeillait dans le corps de la victime.
Les mots et l'écriture sont aussi de bons moyens magiques pour se protéger contre les mauvais esprits : les hiéroglyphes gravés sur les pyramides empêche le mort d'oublier son nom lors de son passage de la pesée des âmes. Ces messages contenaient des prières et des requêtes afin que les dieu accueillent l'âme du mort, lui permettant d'entrer dans l'autre monde pour y mener une nouvelle vie et heureuse, comme nous le montre ce message :
« Un escalier déploie ses marches devant moi, afin que je puisses m'élever vers le Ciel...Puisse le Soleil renforcer ses rayons, afin que tu gravisses pour t'élever vers le Ciel... » (Textes des pyramides 284,523) ».
le talisman est un objet courant dans le milieu de la magie : crée par le magicien, il prévient le mauvais dort et doit ses vertus à quatre éléments essentielles : le moment de sa création, sa matière, les figures magiques et les inscriptions. L'amulette possède une force permettant à l'homme de faire croître sa vitalité, lui garantissant une meilleure condition après la mort, le préserver des maladies, lui assurer le bonheur terrestre et lui garantissant une meilleure condition après le mort. M'amulette est fournie par la nature, comme le scarabée, les feuilles de laurier, les herbes sèches...), s'attache autour du cou ou au poignet pour se préserver des maladies ou des dangers. Enfin, la pentacle est le nec plus ultra de la magie talismanique : il fait intervenir l'univers et ses influences cosmiques ainsi, le sorcier dessine autour de l'autel un cercle magique pour se protéger.
Le Sabbat, célébré par les sorciers ou les sorcières, voue le culte de leur « grand maître », c'est à dire le diable. Pratiquées surtout lors du Moyen âge, les rites du Sabbat rime généralement avec « procès », « bûcher », j'en passe et des meilleures... Deux types de réunion : le « Grand Sabbat » réunit quatre fois dans l'année, au changement des saisons, les sorciers de tous les pays le « Petit Sabbat » rassemble deux fois par semaine les sorciers d'une même ville. Ces assemblés nocturnes, dans lequel le diable se fait adorer sous la forme d'un bouc noir, prenait place dans des endroits sombres et mystérieux, tels que les forets d'Allemagne et d'Ecosse, les landes de Bretagne, les bocages de Vendée... Le Sabbat comporte des danses et des cérémonies magiques : hommages au diable, renonciation à Dieu et à ses saints, et se finissant généralement en orgie. Autre rite, la messe noire ou messe du démon apparaît au XIV° siècles et n'a jamais cessé d'être pratiquer. Même pratique que les messes chrétiennes, mais c'est au diable et non à Dieu que l'on adresse les prières. Elle se termine par un sacrifice d'enfants ou d'un animal.
OoOoOoOoOo
Encore un autre chapitre ? Ouah ! Je dirais même plus, Ouaouh ! En réponse à Shadox : j'ai fait un chapitre (le cinquième) sur toutes les tortures, et je peux t'assurer qu'ils étaient vraiment tarés à l'époque. Et puis, continue à ma critiquer, et c'est toi qui va finir dans un lac à des poids attachés au pieds ! Non mais, un peu de respect à votre professeur quand même ! Je plaisante, naturellement. C'est très gentil de ta part de me review, tu es la seule (snif...). Alors, MERCI et gros bisous... Narbeleth
PS : le prochain chapitre, intitulé « personnages historiques » verra le jour... jeudi ! Salut !
Les rites des sorciers et sorcières d'autrefois font appel à divers objets : par exemple, la vertu des plantes (comme l'ortie ou le graines de tournesol) devant être cueillis à un certain moment (pleine lune, à la Saint Jean), les pierres, les débris d'animaux (dents de loups, cœurs de hiboux, serpents ou tête de chauve souris) et des matériaux comme le miel, la cire ou le plâtre, bref tout ce qui est en communion avec la nature. Le culte varie aussi selon les pays et les religions : le rite du culte du Soleil dans l'Egypte antique, le rite lunaire chez les Dayak (peuple de Bornéo) ou l'utilisation d'une main desséchée d'un pendu, communément appelé « la main de la gloire ». Mais le plus célèbre demeurant la culte du vaudou, figurine de cire ou de terre ressemblant à la victime, renfermant des rognures d'ongles, cheveux ou morceaux de vêtements, puis percer d'une aiguille au niveau du cœur, le brûler ou la noyer, provoquant la mort instantané de la personne visée. Ce rite est répandu chez les Africains fétichistes vit le jour à la cour de France. Cette « magie » résidait dans le fait que les partis fragmentés était encore soudés aux corps vivants (cheveux, poils, ongles, salive, sang...).
Science subtil, la fabrication d'une potion relève tout un défi, tant leur composition est compliquée. Quelque exemples : pour susciter la haine, la philtre est confectionné avec des extraits de la plante Promethea et le fiel de 4 animaux. Pour un philtre d'amour (un des thèmes obsédants de la magie noire), sa confection est plus délicate: diverses herbes, insectes pulvérisés et de l'hippomare (excroissance que les poulains portent sur la tête au moment de leur naissance). Des ingrédients répugnantes pour une si jolie potion...
Les formules magiques ou les incantations étaient utilisés pour conjurer les sorts, les maladies ou la mort. Par exemple, Le mot cabalistique « agla » sert à éloigner le démon, la formule « abracadabra » guérit la fièvre et « hocus pocus » ouvre les porte. L'exorcisme (qui puisait dans la magie blanche) consiste à expulser les démons d'un homme. Ce sont généralement les prêtres qui font appel à ce genre de pratique afin de libérer le malin qui sommeillait dans le corps de la victime.
Les mots et l'écriture sont aussi de bons moyens magiques pour se protéger contre les mauvais esprits : les hiéroglyphes gravés sur les pyramides empêche le mort d'oublier son nom lors de son passage de la pesée des âmes. Ces messages contenaient des prières et des requêtes afin que les dieu accueillent l'âme du mort, lui permettant d'entrer dans l'autre monde pour y mener une nouvelle vie et heureuse, comme nous le montre ce message :
« Un escalier déploie ses marches devant moi, afin que je puisses m'élever vers le Ciel...Puisse le Soleil renforcer ses rayons, afin que tu gravisses pour t'élever vers le Ciel... » (Textes des pyramides 284,523) ».
le talisman est un objet courant dans le milieu de la magie : crée par le magicien, il prévient le mauvais dort et doit ses vertus à quatre éléments essentielles : le moment de sa création, sa matière, les figures magiques et les inscriptions. L'amulette possède une force permettant à l'homme de faire croître sa vitalité, lui garantissant une meilleure condition après la mort, le préserver des maladies, lui assurer le bonheur terrestre et lui garantissant une meilleure condition après le mort. M'amulette est fournie par la nature, comme le scarabée, les feuilles de laurier, les herbes sèches...), s'attache autour du cou ou au poignet pour se préserver des maladies ou des dangers. Enfin, la pentacle est le nec plus ultra de la magie talismanique : il fait intervenir l'univers et ses influences cosmiques ainsi, le sorcier dessine autour de l'autel un cercle magique pour se protéger.
Le Sabbat, célébré par les sorciers ou les sorcières, voue le culte de leur « grand maître », c'est à dire le diable. Pratiquées surtout lors du Moyen âge, les rites du Sabbat rime généralement avec « procès », « bûcher », j'en passe et des meilleures... Deux types de réunion : le « Grand Sabbat » réunit quatre fois dans l'année, au changement des saisons, les sorciers de tous les pays le « Petit Sabbat » rassemble deux fois par semaine les sorciers d'une même ville. Ces assemblés nocturnes, dans lequel le diable se fait adorer sous la forme d'un bouc noir, prenait place dans des endroits sombres et mystérieux, tels que les forets d'Allemagne et d'Ecosse, les landes de Bretagne, les bocages de Vendée... Le Sabbat comporte des danses et des cérémonies magiques : hommages au diable, renonciation à Dieu et à ses saints, et se finissant généralement en orgie. Autre rite, la messe noire ou messe du démon apparaît au XIV° siècles et n'a jamais cessé d'être pratiquer. Même pratique que les messes chrétiennes, mais c'est au diable et non à Dieu que l'on adresse les prières. Elle se termine par un sacrifice d'enfants ou d'un animal.
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Encore un autre chapitre ? Ouah ! Je dirais même plus, Ouaouh ! En réponse à Shadox : j'ai fait un chapitre (le cinquième) sur toutes les tortures, et je peux t'assurer qu'ils étaient vraiment tarés à l'époque. Et puis, continue à ma critiquer, et c'est toi qui va finir dans un lac à des poids attachés au pieds ! Non mais, un peu de respect à votre professeur quand même ! Je plaisante, naturellement. C'est très gentil de ta part de me review, tu es la seule (snif...). Alors, MERCI et gros bisous... Narbeleth
PS : le prochain chapitre, intitulé « personnages historiques » verra le jour... jeudi ! Salut !
