N/A : Je sais, j'ai déjà mise cette fic sur mon site, cependant, je l'ai revu et j'ai changé quelques petites choses, peut-être n'est pas visible à la première lecture mais dans ma tête ça bouge tellement que j'ai du changer quelques items pour rendre mon histoire plus plausible. ATTENTION CETTE FIC SE PASSE LORS DE LA SIXIÈME ANNÉE DE HARRY ET SES AMIS. IL Y AURA QUELQUES SPOILER DU TOME 5. J'essayerai cependant de ne pas vendre trop de punchs pour ceux qui ne l'aurait pas encore lu.

Je sais, cela peut paraître un peu long à partir comme histoire mais cela devrait se replacer dans le quatrième ou cinquième chapitre. Désolée pour les fautes d'orthographes.

N'hésitez surtout pas à me dire ce que vous en pensez, j'adore les rewiews. Et tous les commentaires sont acceptés, bons ou mauvais, cela me permet de m'améliorer. OUP ! J'allais oublier, évidemment, comme vous, vous en doutez, je ne suis pas JKR et de ce fait, rien ne m'appartient, sauf quelques personnages venus directement de ma tête.

Prologue

« - Une pincée du parfum diurne correspondant à la journée de confection, nous sommes jeudi, alors ce sera le thym. Quatre feuilles de Laurier (frais de préférence.), bien sûr, voilà, un, deux, trois et quatre. Ajouter le poivre de la Jamaïque, bien, du poivre en grain devrait faire l'affaire. Terminer en ajoutant des graines de pin lorsque le mélange sera tiède mais pas froid. Laissons tiédir alors. »

Alors qu'elle refermait le vieux livre dans lequel elle avait trouvé cette vieille recette, la porte du petit loft où elle habitait s'ouvrait laissant entrer une jeune femme d'environ vingt-cinq ans qui tenait deux grosses boîtes qui semblaient très lourdes. Cette dernière les déposa et huma l'odeur qui s'échappait du chaudron d'un air ravi.

« - Hum, ça sent drôlement bon, qu'est-ce que c'est ?

Deux fois rien.

Mais encore ?

Une sauce à spaghetti que j'ai trouvé dans l'un de vieux livres de recettes de ma mère.

Peut-être que cette fois ce sera mangeable, chuchota presque la jeune femme.

Heh, je t'ai entendu, c'est pas parce que j'ai raté une fois un repas que je suis une mauvaise cuisinière tu sauras.

Une fois ? Tu veux dire que la fois du poisson qui même une fois qu'il fut supposé être cuit qui me regardait en ouvrant sans cesse la bouche, c'était normal ? Ou cette fois où le ragoût de b?uf goûtait les framboises, ou encore.

Ok, j'ai compris, la coupa l'autre jeune femme, pas besoin d'en faire un plat.

Mais c'est ça le problème, c'est que tu fais des plats.

T'as juste à cuisiner toi même si t'es pas contente.

Je le ferais bien mais moi j'ai du travail, vois-tu, je ne peux me permettre de rester sagement à la maison à me prélasser et à faire Dieu sait quoi encore.

Je ne me prélasse pas MADAME, je travaille également et aussi fort sinon plus que toi encore. », cria l'autre.

Elle était vraiment fâchée, pourtant, elles avaient l'habitude de se chamailler ainsi, c'était un jeu auquel elles jouaient depuis des années maintenant mais aujourd'hui, l'une d'entre elles n'avait pas le goût de rire.

«- Je sais Key, voyons, ton travail est super important, t'es sur le point de prouver à tout le monde à l'Université que ta théorie est meilleure que cette technique que l'on utilise depuis des siècles.

Excuse moi Aya, je suis à bout de nerfs ces temps-ci et c'est toi qui écope.

C'est pas grave, je suis habituée depuis le temps », déclara la jeune femme avec un sourire moqueur qui fut contagieux car son amie affichait maintenant un sourire également.

Les deux jeunes femmes continuèrent leur discussion tranquillement assise chacune sur leur fauteuil. Elles se racontaient comme s'était déroulé leur journée, comment avançait leurs travaux et des difficultés qu'elles rencontraient. Le regard de l'une d'elle fut attiré par une ombre s'approchant à vive allure de la fenêtre de leur coin salon.

Key se leva rapidement pour réceptionner l'énorme pélican qui volait vers elles, il ne fallait pas que des moldus s'en rendre compte, il était rare de voir cette sorte d'oiseau aussi loin de la rive.

« - Du courrier d'outre-mer, à en point douter.

Perspicace, à quoi vois-tu cela ?, demanda ironiquement Aya à son amie qui joua le jeu malgré tout en lui déclarant :

Voyons, chère, les pélicans sont renommé pour les voyage transocéaniques, ils sont fiables et rapides à condition de ne pas mettre la missive dans leur bec, car là tu risque de la retrouver mouillée et sentant légèrement le poisson.

Merci pour ce cours, professeur Scamander, avouez que je suis une élève parfaite.

Question de point de vue je suppose, trêve de plaisanterie, c'est pour toi.

Pour moi, mais c'est toi qui a de la famille sur le vieux continent.

Oui mais ce n'est pas de mon père et c'est ton nom qui est inscrit sur l'enveloppe, en fait c'est une série de noms qui me sont familiers je pourrais croire que c'est pour mes recherches mais c'est ton nom de famille qui clôture le tout. : Ayael Vehuiah Haamiah Cahetel Mac Kenzie.

Argg, mon nom complet, je croyais qu'il y avait seulement ma mère qui le connaissait .

Tu veux dire que ta mère t'a donné le nom de quatre grands génies des invocations ?

Oui, elle était vraiment, pas folle, ce n'est pas très gentil mais. disons obsédée par les invocations et elle croyait que de me nommer en l'honneur de ses quatre « Anges » ferait que je serais continuellement sous leur protection.

Tu ne m'avait jamais dit ça, la taquina son amie.

C'est déjà assez difficile d'expliquer aux gens la signification de mon premier prénom sans que je me lance dans un discours assommant sur l'origine de mes quatre prénoms. Elle ne pouvait pas simplement m'en donner deux, un m'aurait amplement suffit .

Ce n'aurait pas été un discours assommant pour moi, on est plusieurs à part de ta mère à croire en ses « Anges » et à leur protection.

J'y crois, Key, le problème c'est que j'ai grandi avec une mère obsédée par cela et qui me les a fait étudier dès que j'ai eu l'âge de parler. Elle mettait tellement d'espoir dans le fait que je continue son ?uvre. Le choc qu'elle a eu lorsque je lui ai dit que je préférais un autre domaine d'étude.

J'imagine, concéda son amie, alors, tu l'ouvres cette missive ? »

Ayael observa longuement le sceau, un « H » dans un écusson entouré d'un lion, d'un aigle, d'un blaireau et d'un serpent. Elle connaissait ce sigle mais d'où ? Elle ouvrit lentement la lettre, faisant étriver sa copine qui était très curieuse. Un morceau de parchemin où l'on pouvait nettement voir une écriture distinguée et régulière s'étendre pour former le message. L'écriture féminine détaillait le contenu de cette missive en anglais. Ce détail l'intrigua, non pas qu'elle ne savait pas lire la langue de Shakespeare, elle maîtrisait l'anglais, l'allemand et l'espagnol ainsi que le français, sa langue maternelle mais elle ne correspondait avec personne en provenance de l'Angleterre. Elle laissa aller sa curiosité finalement et lu à voix haute pour son amie :

Chère mademoiselle Mac Kenzie,

Peut-être ne vous souvenez-vous pas même de moi, la dernière fois que nous nous sommes rencontrées, vous n'aviez probablement pas encore toutes vos dents, ce qui ne me rajeunit pas. Je garde pourtant un excellent souvenir de la petite fille aux cheveux blonds, aussi frisés qu'un mouton et au regard vif qui me posait un tas de question sur le travail que j'effectuais et l'endroit où je travaillais.

Malgré le fait que je ne pouvais vous rendre visite très souvent, j'ai entretenu une correspondance régulière avec ma cousine, votre mère et j'ai été très peinée d'apprendre son décès récent. J'en profite donc pour vous souhaiter toutes mes sympathies et mes excuses les plus sincères pour n'avoir pu assister à ses funérailles.

J'aurais aimé, si cela vous est possible, vous demander un entretient dans le courant de l'été. Je prévois faire un court voyage en Amérique pour des raisons personnelles, je pourrais peut-être accommoder mon voyage en fonction de vos disponibilités si vous voulez bien me les faire savoir.

J'espère que votre santé est bonne et que vos études vont bien, malgré le fait que je ne m'en fait peu puisque selon votre mère, vous vous débrouilliez déjà fort bien.

Veuillez agréer mes salutations sincères

Minerva Mc Gonnagall

« - Mc Gonnagall, qui s'est ?, demanda Key.

C'était une cousine de ma mère, du côté de sa mère, une branche de la famille qui vit encore en Écosse je crois. Elle est professeur dans un collège de sorcellerie de premier cycle, ce qui explique le sceau, Poudlard si je me souviens bien.

Poudlard, mon grand-père y a fait ses études ainsi que mon arrière-grand- père, c'est la seule école de sorcellerie d'Angleterre. Elle a une excellente réputation.

Évidemment, si le grand Newt Scamander y a fait ses études.

Pourquoi tu crois qu'elle veut te voir ?, demanda Key.

Je ne sais pas, mais je suis certaine que ce n'est pas pour m'entretenir de la température du Royaume-Uni. Ça ne sent pas le brûlé ?

Ma sauce », s'écria Key en courant vers le désastre.