Et bien, nous voici au début de la deuxième partie! ;) bon, je tiens à dire que j'ai prit de l'avance, dans l'écriture de cette fic, et que je suis rendu où les ourouk se font massacrés par les Rohirrim.

Autre chose : n'oubliez pas de review mes autres fic, si vous plait! Ça me ferait plaisir! :'( ^^

Frodounette23 : bien sur, puisque j'ai plus de temps, ayant laisser de côté mes autres fic pour l'instant! ;)

Eleclya111 : SADIQUE! Moi, j'aimerais pas être toi, et mourir à… bon, disons jeune, même si on sait que Boromir a 40 ans.

Kristaline : moi aussi, j'espère! ^^

Carand : peut-être, mais ce sera plutôt des allusions à son courage, et blablabla, enfin, l'une des compagnes va sans doute rêver d'elle. En passant, j'adore la musique de la bande annonce que tu as fait! ^^

Clem : bof, pas vraiment, je ne suis pas si traumatisable. Pour être franche, le seul perso qui m'a traumatisée, c'est Frodon! **évite un frigo, une porte, une TV, etc, lancés par tout les fans de Frodon**

Siria : hey! Pédalo= T'AURAS PAS TON DESSIN! MWAHAHAHAHHA!

La vache : NON! faut pas que tu meurs! Sinon, qui m'enverrait des reviews! et dit a mirou que ça fait un moment que j'ai pas eu de ses nouvelles!

Elanor : BON SANG! Mais t'es comme Albane, toi, tu ramènes tout à Pippin! (bien qu'elle en parle bien plus que toi ^^) Es-tu aussi égoïste (en fait, je pense pas que tu sois égoïste! ;)), et ne pense-tu pas à Frodon et Sam, qui ont apprit la mort de Boromir que bien après les autres, à Aragorn, qui l'a vu mourir dans ses bras? À Legolas et Gimli, qui l'ont aussi vu mourir? À Gandalf, qui est tombé, et à ce pauvre Boromir qui est mort d'une mort affreuse, bien que digne? Moi, je te dis, Pippin n'est pas le seul à avoir affreusement souffert, et, sans faire de favorisme, je crois que c'est Frodon, Sam et Gollum, peut-être Aragorn, qui, de tout les personnages, ont le plus souffert, bien que les autres aussi. (ya, tu as eu droit à la plus longue réponse! ^^)

Légolia : pour capitaine, c'est possible, je n'en suis pas certaine. Mais puisque j'appel toujours Iuliana capitaine… enfin, c'est comme ça.

Lasgalina : mais alors, vas reviewer! ^^ VITEUH! Oui, bien entendu que je vais faire tout le volets du Seigneur des Anneaux. Et je pense même faire, après : Beladonna la hobbite! Lol! Encore merci pour les compliments! ^^

Eryna Khan : Tu l'as enfin, ça y est? Mais… Aragorn ne t'as pas frappée? MIRACLE! ^^

IMPORTANT

Voici la réponse d'une review que j'ai eu pour une autre fic. J'espère que la personne en question verra rapidement sa réponse :

Seikana : **rouge comme une tomate** Meuh non! mes fic ne sont pas super et toute plus belle les unes que les autres, qu'est-ce que tu racontes! (aille, en plus, je suis vraiment rouge, moi!) Bon, ça me ferait plaisir de te dire comment publier, mais, il faudrait que j'ai ton adresse e-mail, ou MSN, si tu en as une. Ce sera plus facile. Où je trouve mes idées, hein? ;) je ne sais pas… en fait, ce sont les cours de math qui m'inspirent! ^^

Chapitre 1

Une corde elfique

L'Emyn Muil. Les montagnes au nord-ouest du Mordor. Le vent était sec, les plus rare, et il n'y avait que très peu le végétation. Hanna et Salvia descendaient un de ces profonds ravins.

-Voyez-vous le fond? Demanda Salvia à Hanna.

-NON! répondit Hanna. Ne regarde pas en bas, Salvi, laisse-toi seulement descendre!

Salvia perdit à ce moment une petite boîte, qui tomba, tomba, tomba………

-Ma boîte! Hurla cette dernière. Hanna! Rattrapez ma boîte!

Hanna, qui était un peu plus bas, tendit la main, et attrapa le petit objet en bois qui avait l'air si précieux pour Salvia. Mais elle perdit pied, avant de tomber avec un grand cri.

-HANNA!!!!!!! Cria Salvia.

Mais elle ne tomba que de quelques mètres, avant que ses pieds ne touchent le fond du ravin. Elle arriva debout, mais, perdit l'équilibre, et tomba sur le derrière. Elle resta un moment assise, incrédule.

Salvia se dépêcha de descendre rejoindre son amie au bas de la crevasse. Elle trouva celle-ci par terre, encore assise sur son séant, observant attentivement la petite boîte de bois.

-Vous allez bien? demanda-t-elle.

-Oui, répondit pensivement Hanna.

La hobbite se releva, continuant à tourner la boîte dans ses mains.

-Qui a-t-il là dedans? Dit-il soudain, brisant le silence.

-Rien, enfin, rien d'important, répondit rapidement Salvia.

Hanna soupira. Elle savait que son amie lui cachait quelque chose.

-Salvi, dit-elle. Dis-moi sincèrement ce qu'il y a à l'intérieur. Il est impossible qu'il n'y ait rien, car sinon, tu ne m'aurais pas demander de la rattrapée. À moins qu'elle n'ait une valeur sentimentale importante pour toi. Si c'est cela, je veux que tu me dises ce que c'est.

Elle avait dit cela très rapidement, sans reprendre son souffle, sur un ton que Salvia ne lui connaissait pas. Soit elle était fâchée, soit l'Anneau commençait déjà à prendre possession de son être. Salvia espérait que ce soit le choc qui l'avait quelque peut sonnée, mais elle savait au fond de son cœur que la deuxième solution était la plus probable. L'Anneau.

Hanna, quand a-t-elle, commençait à ressentir plus cruellement son terrible fardeau. Pas seulement en voyant agir les autres membres de la Communauté à son égard, comme elle avait vu Eleclya, mais aussi dans son corps. Depuis longtemps elle avait remarquer que sons poids changeait, si elle était fatiguée ou non, mais il finissait toujours par diminuer. Contrairement à maintenant, car son poids augmentait sans diminuer pour autant.

Hanna lança vers son amie une regard interrogateur. Salvia su alors que la période de gêne était passée.

-Du sel, répondit-elle, espérant que ce soit vrai. C'est très rare, c'est pourquoi j'en ai apporter de chez nous. J'espérais faire un poulet grillé.

-Un poulet grillé? Répéta Hanna, le sourire aux lèvres. Ce serait une excellente chose, si nous arrivons à sortir d'ici un jour.

-Oui, du poulet grillé, avec des patates, et des légumes verts! Un plat délicieux, je vous le garanti!

-Oh, mais je n'en doute pas! Dit Hanna. Et puis, ça me rappellerait la maison. C'est un peu de chez nous.

Sur ces mots, elle ouvrit la boîte qui devait contenir ce fameux sel. Mais ce n'était pas ce qu'il y avait à l'intérieur. Une petite poudre bleue pale qui n'avait rien à voir avec un assaisonnement s'y trouvait.

-Qu'est-ce? Demanda Hanna, tandis que ses yeux s'agrandissaient de surprise. Salvi, tu m'avais dit que c'était du sel!

-J'ai dû me trompée de boîte, se défendit Salvia Gamegie.

-Tu ne t'es pas trompée de boîte! Répliqua Hanna, élevant dangereusement le ton. Tu ne voulais simplement pas me dire ce qu'il y avait à l'intérieur!

Ses yeux bleus semblaient voilés par les ténèbres. Mais bientôt, elle se ressaisie, et secoua la tête.

-C'est l'engrais que m'avait donner le Seigneur Carand, avoua finalement Salvia. Je ne voulais pas que vous le voyez, cela vous à sans doute fait perdre espoir.

-Au contraire, dit Hanna d'une petite voix faible. Cela m'a redonner l'espoir que j'avais perdue. Peut-être qu'un jour rentrerons-nous à la maison.

Elle se secoua, avant de lever les yeux vers le haut de la crevasse.

-Nous ne pouvons laisser cette corde ici, quelqu'un pourrait nous suivre, dit-elle.

-Mais qui oserait? Demanda Salvia.

Elle regarda à son tour vers le haut. Elle savait ce à quoi Hanna pensait. Où plutôt, à qui. C'était cette créature, cette Gollum. Depuis la Moria elle les suivait, et même dans ce labyrinthe, elle n'avait pas perdu leur traces. Mais, depuis deux nuits déjà, elles n'avaient pas revu ses yeux bleus pâles qui les observaient avec rancune, surtout dans le cas d'Hanna.

-C'est désespérant, soupira Salvia. Ce sont les elfes qui m'ont donner cette corde. En tout cas, c'est un de mes nœuds, il ne lâchera pas si facilement. Une vrai corde elfique.

Elle tira sur sa corde, en signe d'adieu. Mais, à leur grande surprise à toutes les deux, le nœud se défit, et la corde tomba silencieusement.

-Une vrai corde elfique, hein? Demanda Hanna, sarcastique. Et bien, je me demande bien ce qui serait arriver, si ton nœud s'était défait alors que nous descendions!

Salvia eu une air outré, mais Hanna éclata de rire. Salvi sourit à son tour : voilà un moment que son amie n'avait pas émit le moindre rire, et n'avait pas sourit.