Je ne vois rien

Je n'entends rien

Seulement cette voix

Qui me répète sans cesser

De ne pas te délaisser

Alors où que je sois

Tout est tellement noir

Comme un sombre soir

Par magie te voilà qui arrives

Me faisant oublier cette torture

Et chassant mon amertume

Faisant naître en moi un joie vive

Seule la mort peut nous séparer

Mais même contre elle nous sommes parées

À accepter l'inévitable trépas

Amie pour toujours ne pleure pas

Car même si je suis partie

Notre amitié, elle, survie

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Bon, ça rendre un peu dans le contexte du Seigneur des Anneaux au féminin, et puisque je ne peux pas publier… bref, dites-moi si ça vaut la peine que je continu à me pratiquer en poème… Et je me grouille de trouver une manière pour publier la suite, promis.