Je ne vois rien
Je n'entends rien
Seulement cette voix
Qui me répète sans cesser
De ne pas te délaisser
Alors où que je sois
Tout est tellement noir
Comme un sombre soir
Par magie te voilà qui arrives
Me faisant oublier cette torture
Et chassant mon amertume
Faisant naître en moi un joie vive
Seule la mort peut nous séparer
Mais même contre elle nous sommes parées
À accepter l'inévitable trépas
Amie pour toujours ne pleure pas
Car même si je suis partie
Notre amitié, elle, survie
@@@
Bon, ça rendre un peu dans le contexte du Seigneur des Anneaux au féminin, et puisque je ne peux pas publier… bref, dites-moi si ça vaut la peine que je continu à me pratiquer en poème… Et je me grouille de trouver une manière pour publier la suite, promis.
