What of the Marauders ?
Bonjour à tous! Alors cette histoire n'est pas à moi, elle appartient à Scooterbug8515, qui m'a permis de devenir sa modeste traductrice. Cette histoire parle de sa vision de la rencontre et de la scolarité des maraudeurs.
Ce chapitre aussi gardera le titre original, le jeu de mot sera mieux perçu, mais dans le texte, j'emploierais les traductions françaises.
How Moody became Moony
"Tout commença alors que j'avais sept ans. Mes parents désiraient faire un voyage aux Etats Unis pour les vacances. Nous avions décidé de camper quand nous visiterions l'Ouest. L'endroit était complètement désert : le désert nous entourait et la région était célèbres pour ses loups. Mes parents prirent tous les précautions possibles en mettant un enchantement autour du camp empêchant quiconque d'entrer ou de sortir du camp à part nous. Et pourtant les animaux sauvages étaient le dernier de leurs soucis. Mon frère Romulus et moi étions connus pour nos escapades et nos séances d'exploration.
« Maintenant Remus, je voudrais que tu restes à l'intérieur de ta tente. Ta mère et moi ne voulons pas que toi et ton frère alliez vagabonder dehors ! Je l'ai dit à Rom et je m'attends à ce que vous obéissiez tous les deux. »
« Oui chef ! » fut la réponse obéissante de Remus tandis qu'il faisait semblant de faire le salut militaire devant son père.
« Bonne nuit Remus »
« Bonne nuit Papa » répondit Remus en se glissant dans son sac de couchage.
Je commençais alors à essayer de m'endormir, en ayant l'intention d'obéir à mon père. Ce que je fis, jusqu'à ce que mon frère Romulus vienne dans ma tente.
« Rem, pst, Rem »
"Hein?" grogna Remus, endormi.
"Eh, tu veux venir explorer? » s'enquit Romulus en faisant briller sa baguette devant Remus : il était en troisième année à Poudlard.
« Papa a dit de rester dans nos tentes. » rétorqua Remus. « Il y a des loups dehors. »
« Quoi, tu as peur ? »
« Non, c'est juste que Papa a dit de rester dans nos tentes. »
« Je dis toujours que tu as peur. »
« Je n'ai pas peur ! » s'énerva Remus.
« Prouve le ! » le défia Romulus. Il savait toujours comment avoir son frère.
« Très bien j'arrive ! »
Dès que j'eut rejoint mon frère, nous partîmes explorer. C'est la plus grosse erreur que j'ai jamais fait. Nous avions décidé de chercher les loups, ne réalisant pas les dangers en le faisant. Nous avons tranquillement suivi la combinaison des hurlements et des traces de pattes qui étaient par terre. Pour être sur que nous ne nous perdions pas mon frère laissa une piste magique qui partait du camp. Notre filature se termina quand nous arrivâmes devant une grotte. C'était vers cet endroit que les traces s'arrêtaient. Un silence de mort s'étendait sur l'endroit.
« Rentrons maintenant Rom. » supplia Remus, gêné par le silence les entourant.
« D'accord » accepta Romulus, le silence le rendait aussi très nerveux.
Juste au moment où les deux garçons se retournaient pour rentrer au camp, un loup surgit sur leur chemin en grognant. Juste après vint un autre grognement, plus fort, alors qu'ils se retournaient ils virent un autre loup au sommet de la grotte. Leurs visages étaient blancs comme des linges tandis qu'ils apercevaient deux autres loups se positionner sur leurs flancs. Ils étaient encerclés.
« Cours, Remus, je les retiens ! » ordonna Romulus en brandissant sa baguette.
Je me mit à courir le plus vite que je pus. Je n'allais pas loin hélas, un loup avait agrippé ma jambe et la mordait avec force. La douleur me brûla la jambe toute entière. J'ai pensé que j'allais y passer quand le loup s'est mis à secouer ma jambe dans tous les sens. Je fermais les yeux et faisait ma dernière prière quand je sentis le loup se détacher de moi. J'ouvris les yeux pour voir Rom le projeter magiquement loin de moi comme deux autres loups lui sautaient dessus. Ensuite je me mit à mi-courir mi- boitiller vers le camp.
Pendant que je retournais au camp, le soleil commença à se lever. Je m'évanouis au milieu du chemin, à cause de la perte de sang et de la fatigue. Mon premier souvenir après ça fut de me réveiller à l'hôpital. La seule source de lumière venait de la porte ouverte où se tenaient mes parents, silhouettes noires dans la lumière du soleil émanant du couloir. Ma mère était en train de sangloter dans les bras de mon père.
« Maman, Papa ? » appela timidement Remus.
« Oh, Remus, mon bébé ! Comment te sens tu ? pleura Mme Lupin en se précipitant pour serrer son fils dans ses bras.
« Je vais bien, où est Rom ? »
Mme Lupin éclata alors en de plus gros sanglots et se re-réfugia dans les bras de son mari.
« Il est mort Rem » expliqua Mr Lupin d'une voix rauque. « Les loups l'ont dévoré. »
Quand j'ai entendu ces mots « Il est mort Rem », c'était comme si le temps s'était figé. J'ai réalisé ce qu'avait fait Rom pour moi. Il avait sacrifié sa vie pour que je puisse m'enfuir. C'était ma faute si il était mort. Il était mort à cause de moi. Mais ce n'était pas fini.
« Mr et Mme Lupin » commença un médecin. « J'ai bien peur d'avoir de mauvaises nouvelles à vous annoncer. »
« Quoi, qu'est ce qu'il se passe ? » demanda Mme Lupin, entendant les mots que chaque mère redoute quand son enfant est à l'hôpital.
« Vu les conditions de la morsure que votre fils a reçu, il est fort probable qu'il soit atteint de lycanthropie, ou autrement dit de loup- garoutisme.
« Non ! » hurla Mme Lupin en se tournant de nouveau dans les bras de son mari.
« Y a-t-il quelque chose que nous puissions faire ? » demanda Mr Lupin avec espoir.
« Et bien, premièrement faire des tests pour vérifier si oui ou non il est atteint, et si oui, il n'y a rien que nous puissions faire. » répondit le médecin.
Et il fut prouvé que j'en étais un. Le loup qui m'avait mordu était un loup garou. Donc maintenant à cause de ma stupidité mon frère est mort et je suis devenu un loup-garou. »
Remus finit son histoire avec l'attention complète de James, Sirius et Peter. S'ensuivit un long silence alors que les garçons digéraient l'histoire. Remus brisa le silence. « Je comprendrais très bien si vous ne voulez plus être mes amis et si vous vouliez que je parte. »
Après un autre moment de silence James s'écria « Quoi ? Mais tu es fou ? »
« Tu penses qu'être quelque chose d'aussi stupide qu'un loup-garou va nous faire arrêter de t'aimer ? » demanda Sirius.
« Et bien, oui, toutes les autres personnes l'ont fait. » répondit Remus, cillant aux souvenirs douloureux de ses amis l'abandonnant.
« Nous n'allons pas le faire. » assura James.
« Oui, tu devrais être quelque chose comme un vampire pour que nous ne t'aimions plus. » plaisanta Sirius.
« Mais euh tu ne nous cache pas quelque chose de ce genre j'espère ? » s'inquiéta James en rentrant dans la plaisanterie.
« J'en suis un. » intervint Peter très sérieusement.
Cela coupa tous les rires alors qu'ils regardaient vers Peter, choqués.
« Oui, le jour je ne suis rien de plus que le modeste Peter Pettigrow, mais la nuit ! » commença Peter en s'avançant vers eux avec une cape imaginaire relevée sur sa figure. « Je suis votre pire cauchemar ! Muahahaha ! »
Tout le monde explosa de rire et une bataille d'oreillers s'ensuivit bientôt. Ce fut seulement à partir du moment où le sol fut recouvert de plumes et que les garçons furent à bout de souffle que le combat cessa.
« Je viens juste d'avoir une idée géniale. » dit Sirius.
« Pas encore une autre blague ! » se plaignit Peter.
« Tais toi Peter ! » rétorqua James en lui lançant un oreiller. « Donc quelle est ton idée Sirius ? »
« Vous savez que j'appelle notre petit Remus Lunatique. »
« Ne recommence pas ! » l'interrompit le dit Remus en envoyant un oreiller dans la direction de Sirius, qu'il évita.
« J'ai pensé que nous pourrions l'appeler Lunard. » finit Sirius comme si rien ne s'était passé.
« Quoi ? » demanda Remus en s'arrêtant à temps de lancer un autre oreiller sur Sirius.
« J'aime bien » intervint Peter. « Ca te va bien »
« Lunard ? » répéta Remus.
« Oui, pourquoi pas Remus ? Tu es toujours lunatique après la pleine lune. » approuva James.
« Lunard est donc accepté ! » s'écria Sirius avant de se prendre un oreiller dans la figure lancé par Remus.
Siurs visa ensuite Remus qui se trouvait devant Peter. L'oreiller frappa Peter alors que Remus l'esquivait. En vengeance Peter le renvoya sur Sirius mais son mauvais tir toucha James à la place. Ce fut l'étincelle qui mit le feu aux poudres pour une nouvelle bataille d'oreillers, mettant ainsi fin à une longue et plaisante journée de Noël.
Voilà ! ^^ Dites moi ce que vous en pensez svp ! Reviews ! Aimez vous cette version de la morsure de Remus ?
Lyby
Bonjour à tous! Alors cette histoire n'est pas à moi, elle appartient à Scooterbug8515, qui m'a permis de devenir sa modeste traductrice. Cette histoire parle de sa vision de la rencontre et de la scolarité des maraudeurs.
Ce chapitre aussi gardera le titre original, le jeu de mot sera mieux perçu, mais dans le texte, j'emploierais les traductions françaises.
How Moody became Moony
"Tout commença alors que j'avais sept ans. Mes parents désiraient faire un voyage aux Etats Unis pour les vacances. Nous avions décidé de camper quand nous visiterions l'Ouest. L'endroit était complètement désert : le désert nous entourait et la région était célèbres pour ses loups. Mes parents prirent tous les précautions possibles en mettant un enchantement autour du camp empêchant quiconque d'entrer ou de sortir du camp à part nous. Et pourtant les animaux sauvages étaient le dernier de leurs soucis. Mon frère Romulus et moi étions connus pour nos escapades et nos séances d'exploration.
« Maintenant Remus, je voudrais que tu restes à l'intérieur de ta tente. Ta mère et moi ne voulons pas que toi et ton frère alliez vagabonder dehors ! Je l'ai dit à Rom et je m'attends à ce que vous obéissiez tous les deux. »
« Oui chef ! » fut la réponse obéissante de Remus tandis qu'il faisait semblant de faire le salut militaire devant son père.
« Bonne nuit Remus »
« Bonne nuit Papa » répondit Remus en se glissant dans son sac de couchage.
Je commençais alors à essayer de m'endormir, en ayant l'intention d'obéir à mon père. Ce que je fis, jusqu'à ce que mon frère Romulus vienne dans ma tente.
« Rem, pst, Rem »
"Hein?" grogna Remus, endormi.
"Eh, tu veux venir explorer? » s'enquit Romulus en faisant briller sa baguette devant Remus : il était en troisième année à Poudlard.
« Papa a dit de rester dans nos tentes. » rétorqua Remus. « Il y a des loups dehors. »
« Quoi, tu as peur ? »
« Non, c'est juste que Papa a dit de rester dans nos tentes. »
« Je dis toujours que tu as peur. »
« Je n'ai pas peur ! » s'énerva Remus.
« Prouve le ! » le défia Romulus. Il savait toujours comment avoir son frère.
« Très bien j'arrive ! »
Dès que j'eut rejoint mon frère, nous partîmes explorer. C'est la plus grosse erreur que j'ai jamais fait. Nous avions décidé de chercher les loups, ne réalisant pas les dangers en le faisant. Nous avons tranquillement suivi la combinaison des hurlements et des traces de pattes qui étaient par terre. Pour être sur que nous ne nous perdions pas mon frère laissa une piste magique qui partait du camp. Notre filature se termina quand nous arrivâmes devant une grotte. C'était vers cet endroit que les traces s'arrêtaient. Un silence de mort s'étendait sur l'endroit.
« Rentrons maintenant Rom. » supplia Remus, gêné par le silence les entourant.
« D'accord » accepta Romulus, le silence le rendait aussi très nerveux.
Juste au moment où les deux garçons se retournaient pour rentrer au camp, un loup surgit sur leur chemin en grognant. Juste après vint un autre grognement, plus fort, alors qu'ils se retournaient ils virent un autre loup au sommet de la grotte. Leurs visages étaient blancs comme des linges tandis qu'ils apercevaient deux autres loups se positionner sur leurs flancs. Ils étaient encerclés.
« Cours, Remus, je les retiens ! » ordonna Romulus en brandissant sa baguette.
Je me mit à courir le plus vite que je pus. Je n'allais pas loin hélas, un loup avait agrippé ma jambe et la mordait avec force. La douleur me brûla la jambe toute entière. J'ai pensé que j'allais y passer quand le loup s'est mis à secouer ma jambe dans tous les sens. Je fermais les yeux et faisait ma dernière prière quand je sentis le loup se détacher de moi. J'ouvris les yeux pour voir Rom le projeter magiquement loin de moi comme deux autres loups lui sautaient dessus. Ensuite je me mit à mi-courir mi- boitiller vers le camp.
Pendant que je retournais au camp, le soleil commença à se lever. Je m'évanouis au milieu du chemin, à cause de la perte de sang et de la fatigue. Mon premier souvenir après ça fut de me réveiller à l'hôpital. La seule source de lumière venait de la porte ouverte où se tenaient mes parents, silhouettes noires dans la lumière du soleil émanant du couloir. Ma mère était en train de sangloter dans les bras de mon père.
« Maman, Papa ? » appela timidement Remus.
« Oh, Remus, mon bébé ! Comment te sens tu ? pleura Mme Lupin en se précipitant pour serrer son fils dans ses bras.
« Je vais bien, où est Rom ? »
Mme Lupin éclata alors en de plus gros sanglots et se re-réfugia dans les bras de son mari.
« Il est mort Rem » expliqua Mr Lupin d'une voix rauque. « Les loups l'ont dévoré. »
Quand j'ai entendu ces mots « Il est mort Rem », c'était comme si le temps s'était figé. J'ai réalisé ce qu'avait fait Rom pour moi. Il avait sacrifié sa vie pour que je puisse m'enfuir. C'était ma faute si il était mort. Il était mort à cause de moi. Mais ce n'était pas fini.
« Mr et Mme Lupin » commença un médecin. « J'ai bien peur d'avoir de mauvaises nouvelles à vous annoncer. »
« Quoi, qu'est ce qu'il se passe ? » demanda Mme Lupin, entendant les mots que chaque mère redoute quand son enfant est à l'hôpital.
« Vu les conditions de la morsure que votre fils a reçu, il est fort probable qu'il soit atteint de lycanthropie, ou autrement dit de loup- garoutisme.
« Non ! » hurla Mme Lupin en se tournant de nouveau dans les bras de son mari.
« Y a-t-il quelque chose que nous puissions faire ? » demanda Mr Lupin avec espoir.
« Et bien, premièrement faire des tests pour vérifier si oui ou non il est atteint, et si oui, il n'y a rien que nous puissions faire. » répondit le médecin.
Et il fut prouvé que j'en étais un. Le loup qui m'avait mordu était un loup garou. Donc maintenant à cause de ma stupidité mon frère est mort et je suis devenu un loup-garou. »
Remus finit son histoire avec l'attention complète de James, Sirius et Peter. S'ensuivit un long silence alors que les garçons digéraient l'histoire. Remus brisa le silence. « Je comprendrais très bien si vous ne voulez plus être mes amis et si vous vouliez que je parte. »
Après un autre moment de silence James s'écria « Quoi ? Mais tu es fou ? »
« Tu penses qu'être quelque chose d'aussi stupide qu'un loup-garou va nous faire arrêter de t'aimer ? » demanda Sirius.
« Et bien, oui, toutes les autres personnes l'ont fait. » répondit Remus, cillant aux souvenirs douloureux de ses amis l'abandonnant.
« Nous n'allons pas le faire. » assura James.
« Oui, tu devrais être quelque chose comme un vampire pour que nous ne t'aimions plus. » plaisanta Sirius.
« Mais euh tu ne nous cache pas quelque chose de ce genre j'espère ? » s'inquiéta James en rentrant dans la plaisanterie.
« J'en suis un. » intervint Peter très sérieusement.
Cela coupa tous les rires alors qu'ils regardaient vers Peter, choqués.
« Oui, le jour je ne suis rien de plus que le modeste Peter Pettigrow, mais la nuit ! » commença Peter en s'avançant vers eux avec une cape imaginaire relevée sur sa figure. « Je suis votre pire cauchemar ! Muahahaha ! »
Tout le monde explosa de rire et une bataille d'oreillers s'ensuivit bientôt. Ce fut seulement à partir du moment où le sol fut recouvert de plumes et que les garçons furent à bout de souffle que le combat cessa.
« Je viens juste d'avoir une idée géniale. » dit Sirius.
« Pas encore une autre blague ! » se plaignit Peter.
« Tais toi Peter ! » rétorqua James en lui lançant un oreiller. « Donc quelle est ton idée Sirius ? »
« Vous savez que j'appelle notre petit Remus Lunatique. »
« Ne recommence pas ! » l'interrompit le dit Remus en envoyant un oreiller dans la direction de Sirius, qu'il évita.
« J'ai pensé que nous pourrions l'appeler Lunard. » finit Sirius comme si rien ne s'était passé.
« Quoi ? » demanda Remus en s'arrêtant à temps de lancer un autre oreiller sur Sirius.
« J'aime bien » intervint Peter. « Ca te va bien »
« Lunard ? » répéta Remus.
« Oui, pourquoi pas Remus ? Tu es toujours lunatique après la pleine lune. » approuva James.
« Lunard est donc accepté ! » s'écria Sirius avant de se prendre un oreiller dans la figure lancé par Remus.
Siurs visa ensuite Remus qui se trouvait devant Peter. L'oreiller frappa Peter alors que Remus l'esquivait. En vengeance Peter le renvoya sur Sirius mais son mauvais tir toucha James à la place. Ce fut l'étincelle qui mit le feu aux poudres pour une nouvelle bataille d'oreillers, mettant ainsi fin à une longue et plaisante journée de Noël.
Voilà ! ^^ Dites moi ce que vous en pensez svp ! Reviews ! Aimez vous cette version de la morsure de Remus ?
Lyby
