Pomfresh : Merci beaucoup, beaucoup. Le chapitre qui suit n'est pas très long mais essentiel car il y a le destin qui frappe. (Ou que c'est jeulie ce que je dis là.) ^^
Sin : Moi, j'aime le couple Harry/Ginny et je pense que c'est celui-là qui sera dans les œuvres de J. K. Rowlings. Et ma fic, c'est pas un slash. Lol. ^^ Je trouve aussi que Snape est plus jolie que Rogue mais personnellement, ça ne me dérange pas. Je l'ai connu avec ce nom depuis le début étant donné que les 4 premiers livres, je les avais lu en Français d'abord puis après en Anglais. De plus, c'est une fic Française pour des francophones donc je ne vais pas dire Snape.
Arcadiane : MDRRRRR. Moi ? Crabbe et Goyle ? Je ne suis pas zoophile ! LOL !!!!! Si je les mets dans ma fic c'est qu'avec eux, tu es sûr d'avoir un passage drôle. Ils sont tellement bêtes que tu peux leur faire faire n'importe quoi. Donc très important dans l'histoire.
Voilà. Merci encore et j'espère que vous aimerez mon chapitre.
Chapitre 9 : La lettre
Ron regarda Harry qui lui retourna son regard. Toutes les semaines apportaient son lot de meurtres, accidents ou disparitions en tout genre côté sorcier ou moldu. Personne ne savait si son voisin était un partisan de Voldemort alors personne ne se faisait confiance. Les espoirs du monde des sorciers reposaient sur Dumbledore et bien sûr sur Harry dont ils espéraient tous qu'il saurait à nouveau le faire disparaître, mais cette fois définitivement. Bien sûr Harry avait conscience de cette charge qu'il n'était pas sûr de pouvoir assumer mais il s'entraînait très dure pour pouvoir, si c'était nécessaire, se défendre correctement en contrant les sorts du grand mage noir et peut-être réussir à le détruire.
Ses pensées furent interrompues par un bruissement d'ailes et il tourna la tête vers le hibou grand duc qui fonçait droit vers lui. Il intercepta la lettre qui tombait à sa hauteur tandis que l'oiseau repartait, sa mission accomplie. Harry était étonné. Il ne savait pas de qui pouvait provenir ce hibou qu'il ne connaissait pas. C'était sûrement un de la Poste. Il déchira l'enveloppe qui était faite dans un papier très fin, de bonne qualité et où une écriture ronde à l'encre dorée avait écrit ses coordonnées. Le sceau qui l'avait cacheté représentait un balai et un vif d'or. Extrêmement intrigué, il sorti la lettre et la déplia. Bouche-bée, il lut son contenu et cru que son cœur allait s'arrêter. Il se rendit compte qu'il avait arrêter de respirer lorsque son cerveau l'implora de lui rendre un peu d'oxygène. Les mains tremblantes, il ne pu que balbutier :
Harry prit une nouvelle inspiration, avala sa salive et répondit plus clairement cette fois-ci.
Seamus Finnigan qui passait derrière lui au même moment, s'arrêta en entendant ce mot, intéressé par le sujet. Quand il vit l'entête de la lettre, il cru étouffé et son visage devint rouge d'excitation. Sans aucun scrupule , il lu le message qu'Harry tenait toujours à la main et sautant sur place, de joie et de fierté pour Harry. Sans s'en rende compte, tous les élèves et les professeurs qui étaient dans la grande salle pour prendre leur petit déjeuner, le fixait d'un regard mi-étonné, mi-inquiet. Quand son ami Dean Thomas qui se tenait à côté de lui, lui demanda ce qu'il y avait, il répondit presque en hurlant.
Harry entendait le murmure de stupéfaction et d'envie qui commençait à emplir la salle. Il n'avait pas eu l'intention de le crier sur les toits mais maintenant que c'était fait il devait l'accepter. Il regarda Draco Malfoy qui avait le visage rouge, crispé de dégoût. La jalousie déformait ses traits et il avait l'air plus haineux que jamais. Ensuite, il regarda Rogue qui avait à peu près la même expression que Malfoy puis se détourna d'eux au profit de Ron qui lui demandait :
Harry chercha Ginny du regard et la trouva. Elle avait l'air contente pour lui et lui adressait un large sourire auquel il répondit, se sentant fondre sous ses yeux d'émeraude. Il se détourna pour cacher son trouble. Hermione se leva suivie de Ron et Harry qui traversèrent la salle devant les regards médusés des centaines d'élèves qui fixaient le déjà très célèbre Harry qui peut-être, si cela était possible, le deviendrait encore plus.
* * *
Harry se traîna dans son dortoir épuisé. Dès qu'il eu atteint son lit, il ferma les rideaux et sombra dans un lourd sommeil. Ron et Hermione venaient également de rentrer d'un très éreintant cours de défense mais ils ne montèrent pas immédiatement dans leur dortoir respectif. Ron avait encore le devoir de potion à faire et Hermione voulait lire un peu. Seuls les cinquième et les septième années étaient encore debout à cette heure tardive, qui en raison de leurs prochains diplômes, avaient trop de devoirs pour regagner leur lit plus tôt.
Hermione ferma son livre et regarda Ron fixement. Lorsqu'il s'en rendit compte il lui demanda pourquoi elle le regardait comme ça. Avait-il une tâche sur le nez ? Sans répondre, Hermione se leva tout doucement tout en continuant de fixer Ron d'un regard intense. Elle fit courir l'ongle de son index sur le dos de la main de Ron qui regardait sa main à présent comme s'il ne l'avait jamais vu. La pointe de l'ongle remonta le long du bras du jeune homme puis sur son torse. Il avait suivi son long parcours, hébété, et il avait du mal à respirer. C'est alors qu'il entendit la voix d'Hermione – une voix différente de d'habitude, plus sensuelle, plus rauque – lui dire :
Ce disant, elle attrapa le col de la robe de sorcier de Ron et fermement, presque brutalement, l'amena vers elle avant de lui prendre les lèvres dans un baiser fougueux. Leurs langues se caressaient, se mouvant en un ballet voluptueux. Hermione se pressa davantage puis tout aussi brusquement que précédemment, elle le relâcha. Ron vacilla quelques instants avant de se reprendre.