Coucou. Mici pour vos reviews. Et pour ceux à qui je ne l'ai pas dit BONNE ANNEE !!!
Pomfresh : Mici. Ce chapitre a de l'humour donc ça va changer un petit pue. Beaucoup d'interrogations en perspective. ^^
Arcadiane : Merci Miss. Là, c'est le dernier chapitre que tu as lu, ensuite c'est des inédits. ^^ En plus, je viens d'en réécrire deux. Mon inspiration est revenue et en plus, j'ai bientôt fini même si j'ai rajouté un chapitre mais il est très court, quoique indispensable. Pour Rusard, j'espère bien encore lui en faire voir de toutes les couleurs. ^^
Maelle : Mais non ! Non, non, non. ^^ Il n'y a pas que Prue qui peut faire de la projection astrale. En plus, z'aime po Charmed.^^ Pour la projection, c'est bien et pas bien. Harry aurait pu mourir s'il n'était pas parti de la forêt. Pour Dumbledore, vous le saurez plus tard pourquoi il est inquiet. Je vien d'écrire le chapitre en plus. Pour Rose, héhé, je ne dirais rien même sous la torture. Lol.^^
Gio : Maieuhh, je fais ce que je peux, j'ai plein de fic en court. Vous voulez vraiment me tuer à la tâche. ^^ Pauvre Elehyn. ^^ Non, je n'ai pas fini. En fait, théoriquement, il doit y avoir 26 chapitre en tout dont plusieurs sont déjà écrits (certains d'aujourd'hui même).
Archangel : Mici. Ce chapitre, je l'ai fait un peu loufoque (comme moi ^^) parce que je voulais y intégrer les interrogations de chacun, pour certains, quelques changements d'opinion et pour d'autres, un peu d'humour. J'espère que ce chap te plaira. J'aimais bien créer la réaction de Severus avec une étudiante enamourée. Je trouvais ça drôle et comme j'aimerais être la-dite étudiante, ben voilà. ^^
Bisous à tous.
Chapitre 17 : Pourquoi ?
Severus Rogue, maître des potions à Poudlard, école de Sorcellerie, ex-mangemort, terreur de tous les élèves et forme d'épouvantard de Neville Longdubat, avait une peine de cœur.
Assis devant le feu de sa cheminée, seule lumière dans cette nuit étoilée, il ne cessait de se répéter les paroles de Rose lors de cette fameuse nuit et lorsqu'il revoyait les images… non, il ne fallait pas qu'il revoit les images…
Il était malheureux !
Sa vie n'avait jamais été qu'une succession de tristesse, malheur, déception et désenchantement et c'était la première fois qu'il ressentait ses émotions et sentiments pour quelqu'un. Il avait aimé sa mère, bien sûr et c'était la seule à qui il avait donné son amour mais là, c'était différent. Il voyait Rose comme une femme dont il pourrait tomber amoureux. Lui… amoureux ! En plus, Rose était beaucoup plus jeune que lui. Une étudiante de surcroît. C'était le comble. Pourquoi lui ?
* * *
Assise, seule, devant le feu de la salle commune, Rose réfléchissait à ses sentiments envers son professeur de potions. Elle avait tellement honte de son attitude lors de cette fameuse nuit qu'elle avait envie de pleurer. Il ne l'aimait pas alors qu'elle, elle lui aurait donner son cœur, son âme, sa vie. Peu importante la différence d'âge quand l'amour est présent. Elle finirait toute seule. Elle ne pourrait jamais donner son cœur à un autre homme. C'était lui ! Lui seul et personne d'autre. Rose était plus malheureuse que jamais. Pourquoi elle ?
* * *
Hermione, allongée dans son lit, écoutait les faibles bruits de la nuit. Elle n'arrivait pas à dormir. Rose n'était pas encore venue se coucher et elle savait que son amie ne viendrait pas encore tout de suite. Hermione ne savait pas ce qu'elle avait fait mais depuis quelques jours, elle paraissait malheureuse. Ginny et elle avaient bien essayé de lui demander mais elle avait refusé d'en parler donc elles n'avaient pas insisté. Il lui fallait certainement du temps même si la voir comme cela leur brisait le cœur. Avec Ron, tout se passait bien mais pourquoi n'allait-il pas plus loin ?
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Ron était dans la cuisine. Une fringale nocturne. Il fallait qu'il soit discret pour ne pas avoir de retenue ou de déduction de points. Il pensait à Hermione. Elle était sa petite amie. Il en avait toujours rêver. Il l'aimait depuis tellement de temps.
Un sourire aux lèvres, il demanda à un elfe s'ils avaient encore ces délicieux éclairs au chocolat, servis au dîner. L'elfe secoua négativement la tête. Mais pourquoi n'avaient-il plus ces fameux gâteaux ?
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Ginny contemplait le ciel sans le voir, de la fenêtre de son dortoir. Harry pouvait se projeter astralement où il le voulait. Cela l'inquiétait beaucoup. Elle avait peur pour son amour. Ils en avaient tous discutés et pensaient tous la même chose. C'était à la fois fascinant et effrayant mais Harry les avait rassuré, il ferait tout pour se protéger des mauvais côtés et maîtriser sa volonté comme il le pouvait. Ginny aurait voulu qu'il se projète près d'elle. Elle aurait pu se blottir dans ses bras et lui répéter combien elle l'aimait. Pourquoi tout était si compliqué et dangereux ?
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Harry marchait vers la tour Gryffondor, suivi du professeur McGonagall après ses cours intensifs. Ils avaient commencé avec la maîtrise de sa volonté dans le domaine de l'inconscient comme du conscient et parfois, c'était très dur. Le professeur Dumbledore l'avait hypnotisé à plusieurs reprises et il devait lutter contre lui-même, un peu comme avec l'impérium. C'était très éprouvant. Mais pourquoi tout était-il si dangereux et compliqué ?
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Le professeur McGonagall suivait Harry le surveillant, comme le lui avait demandé le directeur. Il ne savait pas ce qui pesait sur lui et ne devait pas s'en rendre compte. Pas pour le moment tout du moins. Il lui fallait une relative tranquillité d'esprit pour que ses pouvoirs puissent s'accroître plus rapidement ainsi sa concentration était totale. Pourquoi une telle jeunesse devait elle se sacrifier pour la guerre ?
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Drago Malfoy était dans la salle commune des Serpentards et tenait un livre dont il n'avait pas encore lu une seule ligne. Potter lui avait sauvé la vie et lui avait sauvé la sienne. Ils étaient quitte. Il se sentait fier de lui en y repensant et aimait ce sentiment de valoir quelque chose et d'être autre chose que le fils de Lucius Malfoy, de savoir qu'il pouvait faire et penser sans les dictats de son père. Et il commençait à penser différemment de lui. Les moldus étaient-ils réellement des êtres inférieurs ? Hermione Granger était bien plus douée que d'autres sang-purs donc peut-être était-elle plus à appeler sorcière que les autres. Il se mettait à douter de tous ses acquis et préjugés. Il était un peu perdu. Peut-être devrait-il en parler avec quelqu'un. Mais qui ? Tout ce qu'il savait, c'est qu'il ne voulait pas être comme son père. Il ne voulait pas être un mangemort. Il ne voulait pas s'agenouiller devant Voldemort ni être tué pour un idéal qui n'en était pas un et qui n'était certainement pas le sien. Pourquoi, nous, étudiants, devons-nous nous sacrifier à la guerre ?
Harry est très doué. Il ne sait pas le danger qui l'entoure mais il faut qu'il se prépare à l'affronter. Je ne peux pas lui dire, pour l'instant, ce qui l'attend. Il faut qu'il s'expérimente, qu'il se renforce. Mais il le saura bientôt. Je devrais bientôt m'entretenir avec lui et tout lui avouer. Il est encore naïf mais il est jeune. Pourquoi n'a-t-il pas le droit de vivre et de grandir comme tout le monde ? se désola Dumbledore, le regard triste.
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Ce misérable est doué, je ne peux pas le nier. Mais il ne sait pas ce qui l'attend. Et je vais le plier avant qu'il ne puisse renforcer ses pouvoirs. Il ne sait pas encore que quelqu'un rôde près, tout près. Il ne se méfiera pas. Il est intelligent bien sûr mais pas aussi malin que Lord Voldemort, trop Gryffondor, trop naïf… tout à fait ce qu'il me faut. De toute façon, il sera bientôt mort. Pourquoi devrais-je donc m'encombrer avec cette vermine qui me pourrit la vie ? ricana Tom Elvis Jedusor, le regard avide.
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Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix…euh…onze, douze…euh…quatorze. Oh non, deux viennent de passer. C'était treize, quatorze mais maintenant, il y en a plus que quatorze. Je n'ai pas compté assez vite !
Goyle comptait les moutons pour s'endormir et regrettait de ne pas connaître parfaitement ses nombres et additions. Mais pourquoi était-il si bête ?
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Qu'est-ce que c'est ça ? Crabbe regardait une forme couleur chair immobile sur le sol. Il prit peur croyait que c'était un insecte venimeux, une sorte de verracrasse très dangereux. Il était plus ou moins rétablit de sa mauvaise grippe mais savait reconnaître une bête dangereuse lorsqu'il en voyait une…il n'avait pas suivi les cours sur les créatures magiques d'Hagrid pour rien. Il mit rapidement sa chaussure droite et écrasa la bête. Il poussa un hurlement lorsque sa chaussure broya son gros orteil gauche. Mais pourquoi ne suis-je pas plus intelligent ?
