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alinemcb54 : Merci beaucoup pour tes bons mots, on apprécie grandement.
Liza_Black : MERLIN, on a failli s'étouffé lorsque l'on a vu ton nom apparaître dans nos reviews, en fait, c'est Joyce qui est tombée en bas de sa chaise mais t'en fait pas on l'a relevé. On est des fans inconditionnelles de tes fics mais on est vraiment vilaines puisque on ne laisse pas de review. On laisse ça à Joyce, elle est bien meilleure que nous dans ce domaine. On promet d'en laisser à l'avenir si tu continues à lire notre insanité. Pour le suspense, c'est toute la faute à Joyce, cette coquine adore le mystère et déteint sur nous à la longue, donc si tu as des boutons à cause de ta frustration, achemine tes requêtes à Joyce, nous on s'en lave les mains. Pour te consoler cependant, les couples commencent à se former réellement à partir du prochain chapitre... MERCI de ta review.
Alisa Adam : Merci pour ta review. Nous aussi on l'aime bien notre Gin ainsi et on croit bien que l'on a pas fini de changer son image, on a quelques idées pour la rouquine.
****************
Désolées pour les fautes qui pourraient se glisser dans nos textes, même à trois on en laisse encore passer, ce qui est pathétique selon nous mais que voulez-vous, c'est ainsi...
****************
****************
chapitre quatrième : Dodo, réception et gâterie.
****************
Joyce ! Ma toute belle. Ma fierté. Pourquoi refuses-tu de dormir une nuit comme celle-ci ? Ta maman et moi recevons des amis et toi tu veux être invitée ? Mais tu es bien trop jeune pour ce genre de rencontre barbante et insipide. Tu aurais bien plus intérêt à rester sagement dans tes appartements avec ta nounou. Au moins ici, tu n'as pas à endurer les éternelles divergences de points de vue qu'échangent maman et tante Luna. Je t'envie tu sais. Je préférais rester ici à jouer avec tes peluches et même à lire tous ces beaux livres que maman t'a offerts à la place de devoir faire semblant de m'intéresser à la vie de ce prétentieux d'Irlandais. Seul tonton Neville semble s'ennuyer autant que moi lors de ces « réunions ». Ton oncle Harry viendra te saluer lorsqu'il arrivera. S'il te plait mon amour, reste tranquillement en haut, ne vient pas déranger les « adultes ». Si je ne réussis pas à te convaincre, c'est maman qui va m'en vouloir et moi j'ai bien l'intention de tenter ma chance pour te faire un petit frère ce soir, alors soit compréhensive, d'accord ?
Voilà, c'est ça reste avec ta nounou. Moi je vais jouer à l'hôte accueillant et souriant. Quelle galère ! Je t'adore ma toute belle. J'ai jamais vu une enfant qui t'arrive ne serait-ce qu'à la cheville. Avec tes cheveux blonds platines, bouclés, indomptables comme ceux de ta mère, tes magnifiques yeux gris bleus comme les miens, ton air fier et sûr et cette lueur d'intelligence dans le fond de tes yeux. Un heureux mélange de ta maman et de moi. Ce que je préfère chez toi, c'est ton petit sourire que l'on devine ironique malgré ton jeune âge. Je me souviens de la tête de ta mère la première fois que tu lui as tenu tête. Pensais-tu pouvoir vraiment gagner contre elle ? Non, elle est bien plus intelligente que nous deux. On aura beau toi et moi jouer les maîtres de cette maison, on sait qu'en bout de ligne, c'est maman qui mène.
C'est ça, je te laisse et descends rejoindre nos invités qui ne doivent pourtant pas s'ennuyer de moi. Alors, voyons voir, Seamus et sa dernière petite copine, Merlin elle a dû dévaliser le comptoir cosmétique de son magasin favori. Neville et Luna qui attendent la cigogne pour le mois prochain. Il a bien changé le Neville, il est presque supportable maintenant. Padma Patil et son fiancé, Robert Huot, un homme bien, il travaille au Ministère tout comme ma douce et elle en entends que du bien mais pas exagérément, ce qui me laisse penser que c'est le genre que j'apprécie efficace et ne recherchant pas trop les honneurs. L'autre Patil avec son dernier copain, j'ai perdu le compte depuis le temps. Hannah Abbot et son mari, parfait, je suis bon pour une autre discussion sur l'efficacité de la poudre de cheminette améliorée. Merlin, préservez- moi ! Tant d'autres qui me sont indifférents.
Puis, elle ! Mon aimée. Elle est ravissante dans cette robe que je trouvais tellement simple lorsqu'elle l'a acheté. Je dois avouer qu'elle lui va à ravir. J'aime quand elle remonte ses cheveux ainsi et non pas l'affreux chignon qui me rappelle MC Gonnagall. Ainsi j'ai le loisir de déposer de tendre baisser dans sa nuque qui m'ensorcelle toujours autant. Elle a vite retrouvé sa taille après l'accouchement mais j'avoue que j'aimais bien ses nouvelles rondeurs, elles lui allaient à merveille.
Je me demande encore comment, et me fustige de ne pas avoir vu avant qu'elle beauté elle était. Quelle femme merveilleuse elle est. Elle n'est pas seulement un cerveau sur jambes comme je le pensais pendant nos années d'études. Non, elle est tout, tout pour moi. Celle pour qui j'ai risqué ma vie, celle pour qui j'ai changé, celle pour qui mon cœur bat. Elle est la principale raison de ma prise de position dans la guerre qui nous déchira tous. C'est pour elle que j'ai mis ma vie en danger, pour elle que j'ai tué mon père, pour qu'elle ait la vie sauve, pour pouvoir continuer à la voir sourire et même pour l'entendre me dire encore et encore que je ne suis qu'un inconscient. Elle doit aimer ça les inconscients puisque avec Potter Weasley et moi elle est bien servie. Weasley. Jamais je n'aurais pu imaginer que sa perte me ferait quelque chose. Ma chérie a été sous le choc mais c'est rapidement reprise pour mener à bien sa mission. Je me souviens très bien dans quel état elle était lorsque l'on a finalement vaincu le Lord Noir. Elle est tombée par terre, je me suis précipité vers elle mais trop tard. Je me suis alors assis derrière elle et l'ai approché de moi. Et là elle a pleuré, nous avons pleuré tout ce mal qui nous avait été fait. Comme si nos larmes pouvaient nettoyer et rendre à la vie sa beauté.
Je sais que Weasley lui manque terriblement, elle en parle parfois en disant qu'il vaut mieux dire ce que l'on a sur le cœur plutôt que de tout garder à l'intérieur. Je sais que c'est une dure perte pour plusieurs. Même pour moi. On venait tout juste de lui demander d'être parrain de notre enfant et je me souviens très bien de la fierté qu'il avait éprouvée à ce moment. Un inconnu aurait pu croire que c'était lui et non moi le père tellement il était heureux. Dire qu'il n'aura jamais pu voir sa filleule, c'est triste.
Bon ça suffit. Revenons sur terre et agissons en bon mari et en bon hôte. D'abord, un baisser dans cette nuque qui me nargue depuis quelques instants. Hum, elle sent divinement bonne et semble apprécier mon traitement, peut-être que ce soir finalement on pourra se retrouver un peu seuls tous les deux... Elle discute avec la plus jeune Weasley qui me sourit gentiment. Je l'ai toujours plus apprécié que les autres, peut-être que c'est son ouverture d'esprit. Elle a bien changé la rouquine. La guerre nous a tous changés. Elle s'est avérée une complice hors pair dans nos combats. Nous avions été jumelés pour combattre ensemble, ayant rejoint l'Ordre en même temps. Je lui ai appris quelques subtilités Malfoyienne et elle m'aida à conquérir l'élue de mon cœur. Je lui dois une fière chandelle. C'est d'ailleurs pour cela que je l'ai choisi pour être la marraine de notre petite Joyce. La petite est folle d'elle et s'est visible à l'œil nu que c'est réciproque.
Bon si on passait à table maintenant. Question que vous partiez plus rapidement et que je monte profiter du corps de ma femme. Avec son travail et son acharnement, elle rente souvent très tard et est trop fatiguée pour faire autre chose que dormir. Ce soir, je compte bien tenter ma chance, c'est dimanche demain après tout.
*************
Ouf ! Quelle soirée. J'ai eu peur qu'ils restent tous à coucher. Non, mais, ils ne pouvaient pas partir plus tôt ? J'ai envoyé ma douce prendre un bon bain pendant que je me chargeais avec les elfes de ranger un peu. Je crois que mes intentions sont inscrites sur mon front car elle m'a sourit tendrement lorsque je lui ai servi mon sourire le plus lubrique que je possède.
Voilà que je monte quatre à quatre les marches menant à nos appartements. Elle doit être toujours dans son bain. Je me déshabille et me glisse sans un bruit dans la salle de bain. Elle est là, dans la baignoire, les yeux fermés, entourée d'une quantité incroyable de mousse qui dégage une odeur envoûtante. Elle est magnifique. Je l'observe quelques instants et je l'entends me dire « Qu'est-ce que tu attends pour venir me retrouver ? »
Draco Malfoy n'a d'ordre à recevoir de personne. SAUF de Hermione Granger Malfoy. Je m'exécute donc, aussi pressé qu'un puceau devant une fille nue. Je ne suis plus puceau depuis longtemps mais ma femme est nue et m'attend. Je me glisse derrière elle et elle appuie son dos contre mon torse, j'en profite pour glisser mes bras autour d'elle. Cette position me donne le privilège de bénéficier à volonté de son cou qui m'ensorcèle toujours et encore. Je ne peux m'empêcher de laisser mes lèvres s'y promener et de déguster cette fine peau tentatrice. Je m'empare de son lobe d'oreille et lui arrache un petit gémissement de plaisir. Oh ! La nuit promet d'être des plus intéressante.
Mes mains se font plus baladeuses, je continue à embrasser son cou mais je m'amuse également à caresser sa poitrine et son ventre. Je la sens qui se laisse aller de plus en plus. C'est une chose qu'elle m'a apprise, les préliminaires. Avant elle, je n'avais jamais connu le plaisir de caresser et de titiller certains endroits de la chair autres que les organes génitaux. Je sais maintenant où sont ses zones érogènes, ses petits endroits qui réagissent si bien à mes stimulations. Elle tourne lentement la tête pour quémander un baisser que je me fais un devoir de lui procurer. J'aime l'embrasser, c'est si doux, si voluptueux. Sa langue taquine mes lèvres et moi je frémis comme un gamin devant une glace. Elle aussi connaît mes points faibles.
Je poursuis mes caresses tout en continuant de l'embrasser avec passion. Mes mains trouvent le passage vers ses cuisses, qu'elle entrouvre légèrement. Elle anticipe ce qui s'en vient et je ne veux pas la décevoir. Je sais qu'elle aime bien lorsque je lui caresse tendrement le dedans des cuisses. Lorsque je pars de son genou et que je remonte lentement jusqu'à son aine. La position par contre n'est pas l'idéal. On aura mal dans le cou ainsi sous peu à force de ne pas vouloir quitter la bouche de l'autre. Bon, c'est moi le mâle dans cette histoire, alors aussi bien prendre les devants. Je la force à se retourner complètement pour me faire face. Elle passe ses genoux de chaque côté de mes hanches et lorsque son basin retrouve sa place près du mien, elle est à même de constater que mon désir d'elle est de plus en plus pressant.
On continue tout de même à s'embrasser. Elle me caresse tendrement la nuque de ses doigts. J'aime tellement ça. Mes doigts à moi sont quelques part entre ses reins et ses fesses. Je peux sentir ses mamelons durcis contre ma poitrine, comme une invitation à la dégustation. Je ne me fais pas prier, je m'en saisi et commence à agacer la pointe de son sein gauche de ma langue. Je l'entends soupirer d'aise. Ma main gauche remonte donc s'occuper de son sein abandonné. Elle bascule légèrement vers l'arrière en se mordant la lèvre inférieure tout en se raccrochant à mon cou comme à une bouée. Je l'entends gémire et cela ne fait qu'augmenter mon niveau d'excitation.
Ma main libre tente de s'assurer qu'elle est ou sera bientôt prête à me recevoir mais avec toute cette eau, c'est difficile de juger. J'en profite donc pour taquiner ce petit repli de chair qui lui arrache toujours un petit cri de plaisir lorsque je le stimule. Elle aime et moi j'aime les mouvements de son basin sur le mien. Et si on sortait de cette baignoire ?
Je l'aide à sortir et à ne pas tomber sur les marches rendues glissantes par l'eau qui s'est échappé pendant nos activités sensuelles. J'observe avec envie ce corps ruisselant d'eau, j'aimerais être une de ces gouttes pour pouvoir me rouler ainsi partout sur sa peau. On dirait qu'elle a décidé de me récompenser de ma patience et de mes caresses. Elle s'agenouille devant moi et OH MERLIN ! Elle me damne à toutes les fois qu'elle fait cela. Personne, non personne ne peut ne serait-ce que s'imaginer à quel point ma douce est une experte dans ce genre de « gâterie ». Et c'est tant mieux, je peux vous assurer que ça restera ainsi également. Je serais le seul à le savoir et à en profiter. Moi qui ais cru pendant des années que cette langue n'était bonne qu'à répondre aux questions des professeurs. Si jamais elle a appris cela dans un livre, je le recommande immédiatement à toutes femmes désirant envoyer leur homme au septième ciel.
Il faut que je la relève sinon elle ne pourra pas profiter de l'état dans lequel m'ont mis ses prouesses orales. Viens ici ma belle. Oup ! Désolé, j'ai pas pensé que le mur pouvait être un peu froid. Disons que pour ma part j'ai terriblement chaud. Passe tes jambes autour de ma taille et laisse toi faire, je prends le contrôle des opérations. Tout ce que tu as à faire, c'est de t'accrocher à mon cou et m'indiquer par tes gémissements la vitesse de pénétration que tu désires. Je m'occupe de soutenir tes fesses et même d'embrasser ta poitrine en même temps que mon basin s'avance et se recule du tien. Plus fort ? Très bien. Ma respiration est de plus en plus irrégulière et mon cœur s'emballe de plus en plus. Tu présentes les même symptômes ma chérie, serais-tu sur le point d'en venir au point culminant également ? J'espère parce que je ne pourrais plus tenir très longtemps. À moins que...
Oui, je sais, j'arrête mais ce n'est que pour mieux reprendre mon amour, t'en fais pas. Si on allait profiter un peu de ce merveilleux fauteuil. Prend place au-dessus de moi, voilà, parfait. Plus que parfait. Maintenant, c'est toi qui as le contrôle de tout mon amour, moi je ne fais que suivre lâchement le mouvement de tes hanches où reposent d'ailleurs mes mains. Donne-moi ta bouche. Hummm, oui... On devrait recevoir plus souvent si cela te met toujours dans cet état.
Tu te contractes, c'est un spasme ça. Ça y est, tu y es arrivée ? Fabuleux parce que moi ça ne saurait tarder. En fait.... MMMMphmRMM.
Je ne sais pas ce que j'aime le plus entre sentir son souffle court dans mon cou ou sentir ton corps nu tout contre le mien, tous deux repus et satisfaits. Prenons le temps de bien s'en remettre, reste collée ainsi contre moi, je peux caresser tes cheveux et tracer de petits cercles hypnotiques dans ton dos.
D'accord, c'est pas très confortable, allons retrouver notre lit. AIIIEEE ! Je viens de m'arracher la peau de dos. Un fauteuil de cuir et un homme qui sort du bain ne sont pas deux items à associer en temps de passion. Oui, c'est ça. Viens me consoler et béquer bobo...
alinemcb54 : Merci beaucoup pour tes bons mots, on apprécie grandement.
Liza_Black : MERLIN, on a failli s'étouffé lorsque l'on a vu ton nom apparaître dans nos reviews, en fait, c'est Joyce qui est tombée en bas de sa chaise mais t'en fait pas on l'a relevé. On est des fans inconditionnelles de tes fics mais on est vraiment vilaines puisque on ne laisse pas de review. On laisse ça à Joyce, elle est bien meilleure que nous dans ce domaine. On promet d'en laisser à l'avenir si tu continues à lire notre insanité. Pour le suspense, c'est toute la faute à Joyce, cette coquine adore le mystère et déteint sur nous à la longue, donc si tu as des boutons à cause de ta frustration, achemine tes requêtes à Joyce, nous on s'en lave les mains. Pour te consoler cependant, les couples commencent à se former réellement à partir du prochain chapitre... MERCI de ta review.
Alisa Adam : Merci pour ta review. Nous aussi on l'aime bien notre Gin ainsi et on croit bien que l'on a pas fini de changer son image, on a quelques idées pour la rouquine.
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Désolées pour les fautes qui pourraient se glisser dans nos textes, même à trois on en laisse encore passer, ce qui est pathétique selon nous mais que voulez-vous, c'est ainsi...
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chapitre quatrième : Dodo, réception et gâterie.
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Joyce ! Ma toute belle. Ma fierté. Pourquoi refuses-tu de dormir une nuit comme celle-ci ? Ta maman et moi recevons des amis et toi tu veux être invitée ? Mais tu es bien trop jeune pour ce genre de rencontre barbante et insipide. Tu aurais bien plus intérêt à rester sagement dans tes appartements avec ta nounou. Au moins ici, tu n'as pas à endurer les éternelles divergences de points de vue qu'échangent maman et tante Luna. Je t'envie tu sais. Je préférais rester ici à jouer avec tes peluches et même à lire tous ces beaux livres que maman t'a offerts à la place de devoir faire semblant de m'intéresser à la vie de ce prétentieux d'Irlandais. Seul tonton Neville semble s'ennuyer autant que moi lors de ces « réunions ». Ton oncle Harry viendra te saluer lorsqu'il arrivera. S'il te plait mon amour, reste tranquillement en haut, ne vient pas déranger les « adultes ». Si je ne réussis pas à te convaincre, c'est maman qui va m'en vouloir et moi j'ai bien l'intention de tenter ma chance pour te faire un petit frère ce soir, alors soit compréhensive, d'accord ?
Voilà, c'est ça reste avec ta nounou. Moi je vais jouer à l'hôte accueillant et souriant. Quelle galère ! Je t'adore ma toute belle. J'ai jamais vu une enfant qui t'arrive ne serait-ce qu'à la cheville. Avec tes cheveux blonds platines, bouclés, indomptables comme ceux de ta mère, tes magnifiques yeux gris bleus comme les miens, ton air fier et sûr et cette lueur d'intelligence dans le fond de tes yeux. Un heureux mélange de ta maman et de moi. Ce que je préfère chez toi, c'est ton petit sourire que l'on devine ironique malgré ton jeune âge. Je me souviens de la tête de ta mère la première fois que tu lui as tenu tête. Pensais-tu pouvoir vraiment gagner contre elle ? Non, elle est bien plus intelligente que nous deux. On aura beau toi et moi jouer les maîtres de cette maison, on sait qu'en bout de ligne, c'est maman qui mène.
C'est ça, je te laisse et descends rejoindre nos invités qui ne doivent pourtant pas s'ennuyer de moi. Alors, voyons voir, Seamus et sa dernière petite copine, Merlin elle a dû dévaliser le comptoir cosmétique de son magasin favori. Neville et Luna qui attendent la cigogne pour le mois prochain. Il a bien changé le Neville, il est presque supportable maintenant. Padma Patil et son fiancé, Robert Huot, un homme bien, il travaille au Ministère tout comme ma douce et elle en entends que du bien mais pas exagérément, ce qui me laisse penser que c'est le genre que j'apprécie efficace et ne recherchant pas trop les honneurs. L'autre Patil avec son dernier copain, j'ai perdu le compte depuis le temps. Hannah Abbot et son mari, parfait, je suis bon pour une autre discussion sur l'efficacité de la poudre de cheminette améliorée. Merlin, préservez- moi ! Tant d'autres qui me sont indifférents.
Puis, elle ! Mon aimée. Elle est ravissante dans cette robe que je trouvais tellement simple lorsqu'elle l'a acheté. Je dois avouer qu'elle lui va à ravir. J'aime quand elle remonte ses cheveux ainsi et non pas l'affreux chignon qui me rappelle MC Gonnagall. Ainsi j'ai le loisir de déposer de tendre baisser dans sa nuque qui m'ensorcelle toujours autant. Elle a vite retrouvé sa taille après l'accouchement mais j'avoue que j'aimais bien ses nouvelles rondeurs, elles lui allaient à merveille.
Je me demande encore comment, et me fustige de ne pas avoir vu avant qu'elle beauté elle était. Quelle femme merveilleuse elle est. Elle n'est pas seulement un cerveau sur jambes comme je le pensais pendant nos années d'études. Non, elle est tout, tout pour moi. Celle pour qui j'ai risqué ma vie, celle pour qui j'ai changé, celle pour qui mon cœur bat. Elle est la principale raison de ma prise de position dans la guerre qui nous déchira tous. C'est pour elle que j'ai mis ma vie en danger, pour elle que j'ai tué mon père, pour qu'elle ait la vie sauve, pour pouvoir continuer à la voir sourire et même pour l'entendre me dire encore et encore que je ne suis qu'un inconscient. Elle doit aimer ça les inconscients puisque avec Potter Weasley et moi elle est bien servie. Weasley. Jamais je n'aurais pu imaginer que sa perte me ferait quelque chose. Ma chérie a été sous le choc mais c'est rapidement reprise pour mener à bien sa mission. Je me souviens très bien dans quel état elle était lorsque l'on a finalement vaincu le Lord Noir. Elle est tombée par terre, je me suis précipité vers elle mais trop tard. Je me suis alors assis derrière elle et l'ai approché de moi. Et là elle a pleuré, nous avons pleuré tout ce mal qui nous avait été fait. Comme si nos larmes pouvaient nettoyer et rendre à la vie sa beauté.
Je sais que Weasley lui manque terriblement, elle en parle parfois en disant qu'il vaut mieux dire ce que l'on a sur le cœur plutôt que de tout garder à l'intérieur. Je sais que c'est une dure perte pour plusieurs. Même pour moi. On venait tout juste de lui demander d'être parrain de notre enfant et je me souviens très bien de la fierté qu'il avait éprouvée à ce moment. Un inconnu aurait pu croire que c'était lui et non moi le père tellement il était heureux. Dire qu'il n'aura jamais pu voir sa filleule, c'est triste.
Bon ça suffit. Revenons sur terre et agissons en bon mari et en bon hôte. D'abord, un baisser dans cette nuque qui me nargue depuis quelques instants. Hum, elle sent divinement bonne et semble apprécier mon traitement, peut-être que ce soir finalement on pourra se retrouver un peu seuls tous les deux... Elle discute avec la plus jeune Weasley qui me sourit gentiment. Je l'ai toujours plus apprécié que les autres, peut-être que c'est son ouverture d'esprit. Elle a bien changé la rouquine. La guerre nous a tous changés. Elle s'est avérée une complice hors pair dans nos combats. Nous avions été jumelés pour combattre ensemble, ayant rejoint l'Ordre en même temps. Je lui ai appris quelques subtilités Malfoyienne et elle m'aida à conquérir l'élue de mon cœur. Je lui dois une fière chandelle. C'est d'ailleurs pour cela que je l'ai choisi pour être la marraine de notre petite Joyce. La petite est folle d'elle et s'est visible à l'œil nu que c'est réciproque.
Bon si on passait à table maintenant. Question que vous partiez plus rapidement et que je monte profiter du corps de ma femme. Avec son travail et son acharnement, elle rente souvent très tard et est trop fatiguée pour faire autre chose que dormir. Ce soir, je compte bien tenter ma chance, c'est dimanche demain après tout.
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Ouf ! Quelle soirée. J'ai eu peur qu'ils restent tous à coucher. Non, mais, ils ne pouvaient pas partir plus tôt ? J'ai envoyé ma douce prendre un bon bain pendant que je me chargeais avec les elfes de ranger un peu. Je crois que mes intentions sont inscrites sur mon front car elle m'a sourit tendrement lorsque je lui ai servi mon sourire le plus lubrique que je possède.
Voilà que je monte quatre à quatre les marches menant à nos appartements. Elle doit être toujours dans son bain. Je me déshabille et me glisse sans un bruit dans la salle de bain. Elle est là, dans la baignoire, les yeux fermés, entourée d'une quantité incroyable de mousse qui dégage une odeur envoûtante. Elle est magnifique. Je l'observe quelques instants et je l'entends me dire « Qu'est-ce que tu attends pour venir me retrouver ? »
Draco Malfoy n'a d'ordre à recevoir de personne. SAUF de Hermione Granger Malfoy. Je m'exécute donc, aussi pressé qu'un puceau devant une fille nue. Je ne suis plus puceau depuis longtemps mais ma femme est nue et m'attend. Je me glisse derrière elle et elle appuie son dos contre mon torse, j'en profite pour glisser mes bras autour d'elle. Cette position me donne le privilège de bénéficier à volonté de son cou qui m'ensorcèle toujours et encore. Je ne peux m'empêcher de laisser mes lèvres s'y promener et de déguster cette fine peau tentatrice. Je m'empare de son lobe d'oreille et lui arrache un petit gémissement de plaisir. Oh ! La nuit promet d'être des plus intéressante.
Mes mains se font plus baladeuses, je continue à embrasser son cou mais je m'amuse également à caresser sa poitrine et son ventre. Je la sens qui se laisse aller de plus en plus. C'est une chose qu'elle m'a apprise, les préliminaires. Avant elle, je n'avais jamais connu le plaisir de caresser et de titiller certains endroits de la chair autres que les organes génitaux. Je sais maintenant où sont ses zones érogènes, ses petits endroits qui réagissent si bien à mes stimulations. Elle tourne lentement la tête pour quémander un baisser que je me fais un devoir de lui procurer. J'aime l'embrasser, c'est si doux, si voluptueux. Sa langue taquine mes lèvres et moi je frémis comme un gamin devant une glace. Elle aussi connaît mes points faibles.
Je poursuis mes caresses tout en continuant de l'embrasser avec passion. Mes mains trouvent le passage vers ses cuisses, qu'elle entrouvre légèrement. Elle anticipe ce qui s'en vient et je ne veux pas la décevoir. Je sais qu'elle aime bien lorsque je lui caresse tendrement le dedans des cuisses. Lorsque je pars de son genou et que je remonte lentement jusqu'à son aine. La position par contre n'est pas l'idéal. On aura mal dans le cou ainsi sous peu à force de ne pas vouloir quitter la bouche de l'autre. Bon, c'est moi le mâle dans cette histoire, alors aussi bien prendre les devants. Je la force à se retourner complètement pour me faire face. Elle passe ses genoux de chaque côté de mes hanches et lorsque son basin retrouve sa place près du mien, elle est à même de constater que mon désir d'elle est de plus en plus pressant.
On continue tout de même à s'embrasser. Elle me caresse tendrement la nuque de ses doigts. J'aime tellement ça. Mes doigts à moi sont quelques part entre ses reins et ses fesses. Je peux sentir ses mamelons durcis contre ma poitrine, comme une invitation à la dégustation. Je ne me fais pas prier, je m'en saisi et commence à agacer la pointe de son sein gauche de ma langue. Je l'entends soupirer d'aise. Ma main gauche remonte donc s'occuper de son sein abandonné. Elle bascule légèrement vers l'arrière en se mordant la lèvre inférieure tout en se raccrochant à mon cou comme à une bouée. Je l'entends gémire et cela ne fait qu'augmenter mon niveau d'excitation.
Ma main libre tente de s'assurer qu'elle est ou sera bientôt prête à me recevoir mais avec toute cette eau, c'est difficile de juger. J'en profite donc pour taquiner ce petit repli de chair qui lui arrache toujours un petit cri de plaisir lorsque je le stimule. Elle aime et moi j'aime les mouvements de son basin sur le mien. Et si on sortait de cette baignoire ?
Je l'aide à sortir et à ne pas tomber sur les marches rendues glissantes par l'eau qui s'est échappé pendant nos activités sensuelles. J'observe avec envie ce corps ruisselant d'eau, j'aimerais être une de ces gouttes pour pouvoir me rouler ainsi partout sur sa peau. On dirait qu'elle a décidé de me récompenser de ma patience et de mes caresses. Elle s'agenouille devant moi et OH MERLIN ! Elle me damne à toutes les fois qu'elle fait cela. Personne, non personne ne peut ne serait-ce que s'imaginer à quel point ma douce est une experte dans ce genre de « gâterie ». Et c'est tant mieux, je peux vous assurer que ça restera ainsi également. Je serais le seul à le savoir et à en profiter. Moi qui ais cru pendant des années que cette langue n'était bonne qu'à répondre aux questions des professeurs. Si jamais elle a appris cela dans un livre, je le recommande immédiatement à toutes femmes désirant envoyer leur homme au septième ciel.
Il faut que je la relève sinon elle ne pourra pas profiter de l'état dans lequel m'ont mis ses prouesses orales. Viens ici ma belle. Oup ! Désolé, j'ai pas pensé que le mur pouvait être un peu froid. Disons que pour ma part j'ai terriblement chaud. Passe tes jambes autour de ma taille et laisse toi faire, je prends le contrôle des opérations. Tout ce que tu as à faire, c'est de t'accrocher à mon cou et m'indiquer par tes gémissements la vitesse de pénétration que tu désires. Je m'occupe de soutenir tes fesses et même d'embrasser ta poitrine en même temps que mon basin s'avance et se recule du tien. Plus fort ? Très bien. Ma respiration est de plus en plus irrégulière et mon cœur s'emballe de plus en plus. Tu présentes les même symptômes ma chérie, serais-tu sur le point d'en venir au point culminant également ? J'espère parce que je ne pourrais plus tenir très longtemps. À moins que...
Oui, je sais, j'arrête mais ce n'est que pour mieux reprendre mon amour, t'en fais pas. Si on allait profiter un peu de ce merveilleux fauteuil. Prend place au-dessus de moi, voilà, parfait. Plus que parfait. Maintenant, c'est toi qui as le contrôle de tout mon amour, moi je ne fais que suivre lâchement le mouvement de tes hanches où reposent d'ailleurs mes mains. Donne-moi ta bouche. Hummm, oui... On devrait recevoir plus souvent si cela te met toujours dans cet état.
Tu te contractes, c'est un spasme ça. Ça y est, tu y es arrivée ? Fabuleux parce que moi ça ne saurait tarder. En fait.... MMMMphmRMM.
Je ne sais pas ce que j'aime le plus entre sentir son souffle court dans mon cou ou sentir ton corps nu tout contre le mien, tous deux repus et satisfaits. Prenons le temps de bien s'en remettre, reste collée ainsi contre moi, je peux caresser tes cheveux et tracer de petits cercles hypnotiques dans ton dos.
D'accord, c'est pas très confortable, allons retrouver notre lit. AIIIEEE ! Je viens de m'arracher la peau de dos. Un fauteuil de cuir et un homme qui sort du bain ne sont pas deux items à associer en temps de passion. Oui, c'est ça. Viens me consoler et béquer bobo...
