Disclaimer : rien ne m'appartient, pas même l'histoire, et je ne touche bien évidemment aucun dividende pour cela. C'est juste pour le fun, je ne suis que l'humble traductrice de la fic d'Achilles

REPONSE AUX REVIEWS : ces remarques concernent tout le monde, n'hésitez pas à les lire si vous ne comprenez pas tout

Lena : tu es vraiment très exaltée, et tu ferais peut-être une bonne commentatrice pour un match de boxe. Sinon, voilà la suite, j'espère que tu vas aimer.

Lisia : merci. Pour Harry et Rémus, je ne sais pas, mais je pense que oui. Leur relation est trop importante.

ThTomeWriter :merci, ça m'a fait plaisir. Tes fics sont pas mal aussi, tu as du voir que tu es l'un de mes auteurs préférés. J'ai particulièrement apprécié le message que tu m'avais laissé dans ta dernière fic, elle aussi est trop bien. Allez, voilà la suite.

Mymy : merci beaucoup, voici la suite

Andadrielle : merci beaucoup. Tiens, j'ai relu toutes les reviews que l'on m'avait postées, et tu ne peux imaginer comme tu m'as fait rire quelquefois. Tes reviews sont vraiment les meilleures et font vraiment plaisir, alors surtout continue à en envoyer. Pour l'attaque, comme je l'avais deviné, c'est la semaine prochaine. Allez, bonne lecture et @+

Aria lupin : merci pour ta review. Pour la bataille, c'est la semaine prochaine.

Sarah30 : merci beaucoup, ta review m'a vraiment fait plaisir. Pour les voyages dans le temps, moi aussi je les adore, mais je n'en ai pas encore trouvé d'assez bon en anglais, d'autant plus que je veux qu'il prennent en compte ce qu'il s'est passé dans le 5e tome. J'en ai trouvé un ou deux d'intéressant mais sans plus, ou bien l'auteur ne mets plus la suite, alors. sinon, voilà la suite, apprécies la bien.

Chapitre 15 : Le calme avant la tempête

« M. Potter, où étiez-vous ? Votre détention commençait il y a déjà quinze minutes », dit McGonagall avec un regard sévère sur son visage.

« Désolé professeur, j'ai du prendre soin de choses de dernière minute avant de pouvoir venir ici », dit Harry.

« Oh, et en quoi ces importants sujets vous concernaient-ils ? », demanda McGonagall.

« Rien que vous ne trouveriez intéressant professeur, juste des problèmes de gosses », dit Harry en essayant de garder sa voix égale. Il avait redouté cette détention toute la journée parce qu'il croyait que Dumbledore avait demandé à McGonagall de l'interroger sur ce qu'il avait fait à Sainte Mangouste.

« Professeur, est-ce que Voldemort planifie encore quelque chose ? », demanda Harry en espérant que McGonagall le prenne en pitié sur ce sujet. Elle était toujours celle qui, à la fin, lui parlait de certains sujets qui étaient gardés secrets envers lui, tels que Sirius et la Chambre des Secrets.

« Je ne peux répondre à cela Harry, et tu le sais », dit McGonagall.

« BIEN !, se froissa Harry, alors vous verrez que vous n'obtiendrez aucune information de ma part non plus. »

« M. Potter. Harry, je ne veux pas que tu ressentes ce que tu ressens envers nous, c'est juste que nous nous inquiétons pour toi, et nous voulons nous assurer que tu sois en sécurité. Je sais que tu ne veux pas de toute l'attention que nous te portons, mais c'est pour ton propre bien, que tu le voies ou non », dit McGonagall. Cependant, McGonagall réalisa qu'elle avait dit quelque chose qu'Harry n'avait pas bien pris, elle changea donc rapidement de sujet avant qu'il ne soit capable de dire ce qu'il voulait dire.

« Bon, ceci est une détention, je veux donc que tu nettoies tous les tableaux de cette pièce sans ta baguette, puis que tu nettoies les tables avec l'éponge posée là-bas. Je viendrai dans trente minutes pour vérifier ce que tu auras fais, puis nous partirons », dit McGonagall qui n'obtint rien d'autre qu'un signe de reconnaissance de la part d'Harry. « Très bien, alors je te laisse commencer », dit McGonagall en regardant Harry commençant à effacer son tableau depuis la porte de la classe. Mon pauvre petit, tu as eu une vie horrible, et elle s'empire constamment. Je désire seulement que tu aies tes parents ici avec toi pour t'aider dans la tâche qui s'étends désormais devant toi, pensa McGonagall en fermant la porte de sa classe, où son étudiant favori était.

Alors qu'Harry entendit la porte se fermer, il récupéra sa baguette de la poche de sa cape, et avec un rapide mouvement de sa baguette, les tableaux s'effacèrent d'eux- même, et l'éponge qui était posée sur les tables de la classe vinrent à la vie et commencèrent à nettoyer les tables sérieusement. « Merci Mme Weasley, ce sort est vraiment pratique », dit Harry en prenant le livre sur les sorts et sortilèges mortels que M. Lenoge lui avait envoyé tôt ce matin comme un don pour montrer sa gratitude, ainsi que celle de Marie et d'Avril, et ses regrets envers lui pour avoir été pris pendant qu'il les recrutaient.

( Le sort mortel est un des sorts les plus complexes à lancer par un Sorcier ou une Sorcière. Tout comme l'Imperio ou le Doloris, le Sort Mortel requiert un haut niveau de pouvoir magique et l'intention de causer une peine ou douleur physique. Si le niveau magique du Sorcier ou de la Sorcière n'est pas assez fort, ces trois sorts ne peuvent alors pas être lancés, et si l'intention du lanceur n'est pas de causer peine, mort ou douleur, le sort ne sera alors pas efficace. Le plus que le destinataire de ces sorts recevra s'ils ne fonctionnent pas vraiment sera qu'ils sentiront seulement une douleur minime avec le Doloris, une très petite légèreté de la tête avec l'Imperio, et peut-être un nez qui saigne ou une petite brûlure avec le Sort Mortel), lut Harry, alors qu'il était assis en attendant le retour de McGonagall.

« Très bien M. Potter, je vois que vous avez fait un travail efficace dans votre travail alors, au lieu de vous donner plus de devoirs, j'ai pensé que nous pourrions parler et peut-être pratiquer vos compétences en Métamorphose », dit McGonagall en marchant pour s'asseoir derrière son bureau.

« D'accord, dit Harry, mais je ne veux pas parler de ce qui s'est passé hier. »

« Harry. Ecoutes, je sais que tu a une très mauvaise passe pour l'instant, et je veux juste que tu saches que je suis là si jamais tu as besoin de parler. Je suis peut-être ton professeur et ton Chef de Maison, mais je me soucies pour toi plus que comme un simple étudiant », dit McGonagall.

« Alors, pourquoi trouvez-vous nécessaire de me mentir et de me cacher des choss ? », demanda Harry brusquement.

« Nous ne te cachons que ce que nous pensons que tu n'es pas prêt à entendre, mais nous ne t'avons jamais menti », dit McGonagall.

« Et pourquoi pensez vous que vous avez le droit de me cacher des choses qui me concernent. Tel que je vois cela, je devrais être celui qui décide quand vous devrez savoir ces choses », dit Harry.

« Harry, le professeur Dumbledore a fait de son mieux pour te faire savoir ces choses quand tu étais assez âgé, et il pensait que tu ne devais savoir cela qu'à ce moment là », dit McGonagall.

« JUSTE ALORS, IL N'AVAIT ABSOLUMENT AUCUN DROIT DE ME CACHER CES CHOSES. IL N'EST PAS MON GARDIEN, JE N'AI AUCUN VRAI GARDIEN », dit Harry perdant tout contrôle sur sa colère à ce moment.

« M. Potter, ne criez pas dans ma classe. Je suis désolée que vous soyez en colère dans sa décision de vous cacher des choses, mais je ne changerais jamais ma position envers Albus. Il sait ce qu'il fait, dit McGonagall devenant elle- même un peu troublée. Il admire ce que tu essayes de faire avec ton Ordre et tout ça, il nous l'a dit d'innombrables fois. Cependant, nous savons tous que toi et ton Ordre êtes juste des enfants et les affaires auxquelles vous faites face sont largement au- dessus de vos têtes. Harry, nous ne voulons pas vous perdre plus tôt que nous ne le devons.

« Et c'est pourquoi je ne lui fais plus entièrement confiance professeur. En fait, je remets en cause tout ce qu'on me dit maintenant, parce que je sais qu'il y a probablement plus à dire dans chaque histoire que l'on me raconte, dit Harry. Il pense que je ne vois pas ce qu'il fait parce que mon esprit n'est pas capable de se débrouiller avec cela ! AH ! Je pense que je sais exactement ce qu'il essaye de faire avec moi en ne me donnant aucune information. »

« Harry, écoutes-moi, s'il te plaît. Parce que nous t'avons caché des choses ne signifie pas que nous te mentons. Nous ne faisons que ce que nous pensons être pour le mieux », dit McGonagall d'une voix quelque peu suppliante.

« Je lui ai demandé chaque année où j'étais à Poudlard pourquoi Voldemort était après moi et pourquoi il avait tué mes parents, et il ne me l'a jamais dit. Et alors, l'année dernière, quand les choses étaient de plus en plus menaçantes pour moi, il m'abandonna. Il ne voulait même pas me regarder de toute l'année. Je pensais qu'il me blâmait pour le retour de Voldemort. J'ai alors été forcé de prendre des leçons d'Occlumentie auprès de Rogue, et on ne m'a pas dit pourquoi, et maintenant mon parrain est mort à cause de cela. Personne ne m'a dit qu'il pouvait mettre des fausses pensées dans ma tête. PERSONNE, ET VOUS SAVIEZ TOUS QU'IL LE POUVAIT. Il était tout ce que j'avais professeur, et maintenant il n'est plus à cause de moi. Si seulement j'avais su pourquoi je devais prendre ce leçons.. IL NE M'A RIEN DIT ET MAINTENANT SIRIUS EST MORT ! AUCUN DE VOUS NE M'A DIS QUOI QUE CE SOIT ! Et alors, Dumbledore sent qu'il est approprié de tout me dire après que Sirius soit mort. La seule personne qu'il me restait, et il pense que c'est le meilleur moment. NON, NON, NON ! », dit Harry, sa baguette, qu'il agrippait férocement, commençant à émettre des étincelles rouges.

« Ha-Harry, calmes-toi mon petit. Là, prends du gingembre, et tu devrais peut-être aller ensuite au lit, tu as eu une longue journée », dit McGonagall en voyant était sur le point de fondre en larmes de nouveau.

« Je pense que je vais aller au lit maintenant, professeur, je ne veux plus parler à personne cette nuit », dit Harry.

« Oui, c'est une bonne idée, je vais m'assurer que personne ne t'embêtes cette nuit. Pourquoi ne mettrais-tu pas un sort de silence sur ton lit Harry, ainsi tu ne seras pas réveillé ?», dit McGonagall.

« D'accord », dit Harry en sortant du bureau de McGonagall, mais au lieu de se diriger vers la tour de Gryffondor, il se dirigea directement vers la Chambre des Requêtes.

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« Harry, que fais-tu ici ? », demanda Ron alors que tout le monde se retournait pour voir Harry rentrer.

« Tout le monde fait des progrès ? », demanda Harry alors que Ron s'approchait de lui.

« Oui, on dirais bien, et mon Patronus commence à prendre forme. Regarde », dit Ron.

« Attends Ron, c'est génial pour ton Patronus, mais je veux avoir un autre meeting », dit Harry.

« Evidemment », dit Ron.

« Tout le monde, je voudrais avoir une autre réunion. Je sais que Ron vous a tous parlé de la bataille à venir, et je veux juste entendre de chacun de vous que vous êtes prêts », dit Harry.

« Aussi prêt que nous ne le serons jamais », dit Lee Jordan.

« J'ai un peu peur Harry, mais je t'ai dis que je te suivrai toujours même si je ne t'ai pas cru l'année dernière, et j'ai vu comment tu t'es battu difficilement pour nous faire savoir la vérité. Et Parvati et moi avons fait nos Chartes Lunaires, et elles disent que tout ira bien », dit Lavande.

« Je ne peux assurer que tout le monde ira bien, apparemment ce ne sera pas une petite bataille comme celle que nous avons stoppée la dernière fois. Je pense que Voldemort amènera une petite armée avec lui parce qu'il veut que les Centaures lui disent quelque chose qu'il n'a pas trouvé l'année dernière. L'Ordre de Dumbledore pense probablement la même chose, puisqu'ils ont l'intention d'aller à cette bataille pour l'empêcher de joindre les Centaures », dit Harry.

« Harry, est-il vrai que les Détraqueurs se battent avec eux », dit Cho.

« D'après ce que Ron a entendu de l'extérieur du bureau de Dumbledore et leur étrange disparition, j'en suis à peu près sûr, dit Harry. Mais nous savons tous comment produire un Patronus, et beaucoup des vôtres ont pris une forme, je ne pense donc pas que nous devions nous en inquiéter trop. Tant que nous nous collons à nos tactiques, et que notre équipe aérienne lance leurs marques, je pense qu'alors tout ira bien. Rappelez-vous seulement de garder un ?il sur vos co-équipiers, et aidez notre équipe médicale pour les sortir de la bataille rapidement s'ils sont blessés », dit Harry.

« Tout le monde, ne vous inquiétez pas, j'ai vu comment Harry fait face aux situations urgentes l'année dernière, et je ne suis pas inquiet d'aller dans une bataille sous son commandement », dit Neville.

« Plus, je suis sûre qu'il y a des thestrals dans ces sortes de bois. Ils apportent la chance », dit Luna d'une voix rêveuse.

« M-m-mais, j'ai pensé qu'ils amenaient la mort avec eux parce que l'on ne peut les voir que quand on a vu quelqu'un mourir », dit Parvati peureusement.

Plusieurs personnes dans l'Ordre ne purent retenir leur rire et dans la seconde, l'Ordre tout entier rirent bruyamment et gaiement.

« Bon, sérieusement, dit Harry après que tout le monde se soit calmé. La bataille est dans une semaine et demie, et je veux que tout le monde continue à pratiquer. Je veux montrer à tout le monde que nous sommes un Ordre fort, et que nous allons vaincre Voldemort. »

« YEAH », s'exclama l'Ordre.

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Tandis que la semaine se déroulait et que la bataille s'approchait à grand pas, tout l'Ordre d'Harry sembla un peu anxieux à propos de ce qu'ils savaient qu'il allait arriver. Il ne restait plus maintenant qu'un jour avant la bataille qui était sensée avoir lieu, et tout le monde le sentait. Même les professeurs n'étaient pas dans leur état normal et avaient cessé de donner des devoirs, Harry et les autres suspectant que cela était parce qu'ils planifiaient également leurs stratégies. Même les détentions d'Harry avaient été stoppées, mais Harry suspectait que McGonagall avait prit pitié de lui après leur petite discussion durant sa première détention. Elle lui parlait souvent brièvement chaque matin pour s'assurer était toujours en un seul morceau. Harry cru presque qu'elle pensait qu'il allait se blesser lui- même, pas qu'il ne l'ai jamais pensé, mais maintenant tout ce qu'il voulait était de stopper Voldemort.

« Je me demandais, dit soudainement Hermione au dîner, comment allons-nous savoir quand il est temps pour nous de partir pour la bataille ? »

« J'ai pensé que nous pourrions utiliser Dobby pour voir quand Dumbledore et son Ordre partent. Ils semblent toujours être dans son bureau actuellement, alors j'ai pensé que quand ils partent, nous pourrions partir quelques minutes après eux », dit Harry.

« Penses-tu que Dobby va les espionner pour nous ? », demanda Ron.

« Oui, vraiment. Dobby désire toujours m'aider depuis que je l'ai libéré. Vous savez, une fois l'année dernière, il m'a demandé si je l'autoriserais à être mon elfe de maison après que j'ai quitté Poudlard », dit Harry.

« Cool, seules les personnes les plus riches ont des elfes de maison. Tu n'auras plus jamais à faire ton lit. Hey, penses-tu qu'il pourrait passer par mon appartement de temps en temps le mettre un peu en ordre. Maman dit qu'elle va arrêter de ramasser après moi quand je déménagerai », dit Ron.

« Ron, Harry ne laissera jamais Dobby être son elfe de maison », dit Hermione.

« Evidemment qu'Harry acceptera l'offre de Dobby, parce que c'est une grande disgrâce pour un elfe de maison s'il est rejeté par le maître qu'il a choisi, et qui veux nettoyer après eux de toute manière ? », demanda Ron.

Harry rit et caressa Ron dans son dos pendant qu'Hermione semblait horrifiée, et que Sarah les regardait amusée.

« Bon, au moins, c'est samedi, alors nous pouvons pratiquer notre entraînement cette nuit », dit Hermione.

« Oui, c'est une bonne idée. Au fait, quels sont vos plans, à toi et Sarah, pour les vacances de Noël ? », demanda Ron.

« Oh, mes parents veulent que je rentre à la maison cette année et que je les voies. J'attends cela impatiemment cela puisque je n'ai pas passé Noël avec eux l'année dernière. Je n'ai pas pu passer beaucoup de temps avec eux depuis longtemps, et mon père et ma s?ur me manquent vraiment », dit Hermione.

« Je vais aussi à la maison. Ma famille et moi passons toujours Noël ensemble », dit Sarah.

« Je suis content que tu ne passe pas Noël ici cette année. Avec Voldemort de retour, personne n'autorise ses enfants à rester à Poudlard cette année, et je ne veux vraiment pas te laisser ici tout seul », dit Hermione.

« J'attends impatiemment de passer Noël avec Ron et sa famille, Tonks, et le reste », dit Harry.

« Et pour Rémus ? », demanda Ron.

« Je suis encore assez en colère contre lui, mais j'ai peur de lui porter rancune trop longtemps parce que j'ai peur de le perdre aussi », dit Harry.

« HUMMMM ! HUMMMM ! M. Potter, monsieur », dit Dobby en tirant frénétiquement le bord de la robe d'Harry.

« Dobby, quel est le problème ? », demanda Harry.

« Dobby a entendu par hasard le Directeur Dumbledore monsieur. M. Potter a demandé à Dobby de lui dire si quoi que ce soit survenait à propos de la bataille », murmura Dobby.

« Et », dit Ron.

« Cela ce passe cette nuit. L'Ordre se prépare à partir maintenant », dit Dobby avec des larmes dans les yeux.

« M. Potter monsieur doit être prudent cette nuit. Dobby ne veut pas voir M. Potter et ses amis blessés, mais Dobby comprends ce que monsieur et ses amis loyaux font », dit Dobby.

« Merci, Dobby, et ne t'inquiètes pas, si je passe à travers tout cela, je serai plus que content que tu sois mon elfe de maison », dit Harry.

« Ooooohhhhh. Dobby est si content d'entendre cela de M. Potter monsieur. Dobby est fier de prendre soin de Harry Potter puisque il a fait libérer Dobby », dit Dobby.

« Bien, maintenant Dobby, assures toi que la Chambre des Requêtes est prête pour nous quand nous y reviendrons, d'accord », dit Harry alors que lui, Hermione et Sarah se levèrent tous de la table.

« Evidemment, tout pour Harry Potter monsieur », dit Dobby.

Alors qu'ils se rendaient à la Chambre des Requêtes, Harry convoqua le reste de l'Ordre.

En quelques minutes tout le monde dans l'Ordre, y compris Marie, Avril et M. Lenoge étaient présents et dans leurs robes.

« Harry, je pense que tu a besoin de nous donner un petit discours d'encouragement », dit Hermione avec un frisson dans sa voix, et elle était un peu pâle.

« D'accord, dit Harry. Ecoutez, je ne vais pas mentir, ce sera notre plus grosse bataille, et je ne sais pas comment cela va tourner. Tout ce que je sais est que si ma vie est prise cette nuit alors je sais.. Je sais que nous serons tous morts pour une bonne cause », dit Harry.

« Harry, ce n'était pas très motivant. Je pense que tu as plus apeuré tout le monde que tu ne les as aidés, dit Ron. Je veux dire, ce discours m'a apeuré. »

Alors qu'Harry regardait son Ordre qui se tenait devant lui dans les robes bleue nuit avec l'emblème d'un phoenix sur le dos, il vit réellement combien ils étaient effrayés. « Ecoutez tout le monde, commença Harry ne sachant vraiment pas que dire. Tout le monde autour de lui était plus pâle que d'habitude. Marie, Avril et M. Lenoge s'agrippaient à la cape d'invisibilité d'Harry si serré qu'il avait peur qu'elle ne se déchire, et l'équipe aérienne tenaient leurs balais si fort que leurs articulations étaient devenues blanches. Que faisons-nous, pensa Harry. Cependant, alors que son esprit commença à dériver de nouveau, il commença à entendre la chose qu'il avait entendue de si nombreuses fois dans ses rêves et aux alentours des redoutés Détraqueurs qu'il voulait si désespérément arrêter.

« NON, S'IL VOUS PLAIT NON, PAS HARRY ! PAS MON BEBE, S'IL VOUS PLAIT ! », les mots de la mère d'Harry commencèrent à jouer dans l'esprit d'Harry alors qu'il se leva en face de son Ordre.

« Harry, tu es là ? », demanda Ron.

« Harry, ça va ? », dit Sarah.

« NON ! ECOUTEZ TOUS. Le temps de l'inquiétude est fini. Voldemort a envahi mes rêves depuis trop longtemps, et je ne le supporterai plus. Si cela signifie la mort, alors ce sera cela. Nous n'allons pas rester là et laisser notre monde être pillé et détruit parce qu'un homme décide qu'il veut tuer tous ceux qui ne veulent pas le servir. Je serai plus heureux de mourir plutôt que de le joindre, et je sais que c'est vrai pour vous aussi. Nous allons nous battre cette nuit non parce nous le craignons, mais pour que apportions la peur à Voldemort », dit Harry.

« Nous sommes avec toi partout », dirent Fred et Georges.

« Comme moi », dit Neville.

« Nous avons toujours été à tes côtés quoi qu'il se passe, et nous n'allons pas partir maintenant », dit Ron.

Alors qu'ils étaient tous rassemblés autour des portoloins, Harry engloba son Ordre. Ils semblaient tous un peu anxieux, un peu comme les joueurs avant un match de Quidditch, pensa Harry. Cependant, il put voir dans chacun de leurs yeux qu'ils avaient trouvé leur force interne et étaient préparés à prendre tout ce qui les attendait.

« Dans quatre, trois, deux, un », dit Harry, et ils étaient partis.

Voilà, c'est fini. La semaine prochaine, comme vous pouvez vous y attendre, c'est la bataille. J'espère que vous aurez bien aimé ce chapitre entre- temps. Et merci à tous mes reviewers. Bonne semaine à tous mes lecteurs.