Disclaimer : rien ne m'appartient, pas même l'histoire, et je ne touche bien évidemment aucun dividende pour cela. C'est juste pour le fun, je ne suis que l'humble traductrice de la fic d'Achilles

REPONSE AUX REVIEWS : ces remarques concernent tout le monde, n'hésitez pas à les lire si vous ne comprenez pas tout

Harry Gryffondor : merci beaucoup, ça m'a fait très plaisir

Malco : oui, Harry va beaucoup mieux, et on rit énormément dans ce chapitre, bien que la fin soit quelque peu mouvementée. Sinon, voici la suite, j'espère que tu aimeras.

Andadrielle : merci beaucoup anda. Je crois que j'ai compris le message, mais je ne t'en veux absolument pas, et toi non plus apparemment. Tu es vraiment aussi mordue que moi, si ce n'est plus, et je peux dire que je connais d'autres personnes que moi-même qui passent autant si ce n'est plus de temps que moi à lire des fics sur le web. Comme ça, mes parents ne peuvent plus rien me reprocher, même si je ne vis plus avec eux (c'est vrai que je n'ai pas mis de bio, mais je ne vois pas comment la remplir, et je n'ai pas envie que tout le monde sache que j'ai 28 ans. Eh oui, je suis née en 75, c'est pourquoi j'écris aussi bien, puis j'ai toujours été bonne en grammaire et orthographe). Enfin, ton message m'as fait vraiment plaisir, et pour ta fic, c'est pas trop grave, merci de nous avoir tenu au courant ; il y en a qui n'écrivent rien pendant des mois et ne nous le disent que six mois plus tard. Bon, bonne lecture, je crois que tu vas aimer, on rit beaucoup, même si c'est court. Tant mieux, vous l'aurez beaucoup plus tôt.

Chapitre 18 : Noël

Le matin de Noël était froid et neigeux, mais l'ambiance à Grimmauld Place était légère et cordiale. Comme Harry se réveillait, le paquet de présents sur son lit l'empêchait de bouger, il choisit donc de simplement se redresser et d'ouvrir ses cadeaux de là où il était assis.

« Eh mon pote, encore un beau butin cette année ! », l'informa Ron qui rentrait soudain dans sa chambre en portant l'habituel pull marron des Weasley. « Je pense que maman ne comprendra jamais l'idée que je n'aime pas le marron, mais au moins le thème est sur le Quidditch », dit Ron, la bouche pleine de Dragées Surprises de Bertie Crochue. Merci pour le nécessaire à balais Harry, il est impressionnant, meilleur que celui d'Hermione, de nouveau-elle m'a donné un cahier de textes. »

« Aucun problème Ron », dit Harry en classant ses cadeaux et trouvant celui qui avait le nom d'Hermione dessus. Elle lui avait aussi donné un cahier de textes, ce à quoi Harry sourit affectueusement avant de le jeter à Ron pour qu'il le mette au fond de sa valise.

Tonks avait donné à Harry un fantastique livre sur comment devenir un Auror, et quelques tatouages. Rémus lui avait fourni un livre sur les instincts des animaux avec une carte disant que cela pourrait devenir utile dans l'avenir. Hagrid lui avait envoyé la peau du gryffon qui l'avait attaqué comme tapis, avec une note y-attachée également, déclarant que chaque personne devrait garder le premier animal qu'il a tué. M. et Mme Weasley lui avaient donné l'habituel pull cousu-main et quelques tartes à la viande, qu'il adorait, alors que Fred, Georges, Ginny et Ron lui avaient acheté tous les genres de bonbons imaginables.

« Waouh, mon pote, tu as un beau butin aussi, le cadeau de Sarah a l'air bien aussi », ricana Ron.

Harry avait essayé de cacher le cadeau à Ron avant qu'il n'ait eu la possibilité de voir de qui il venait, mais il n'eut pas cette chance. « Tais-toi Ron, c'est juste une photo de nous deux », dit Harry.

« Ouais, eh bien, ce n'est pas tous les jours qu'une fille vous envoie une image où tu baves pratiquement devant elle après qu'elle t'ait embrassé », dit Ron alors qu'Harry commença à lui jeter des oreillers depuis son lit quand, avec un crack bruyant, Tonks transplana juste sur lui.

« Salut Harry ! », sourit Tonks en commençant à se relever du lit. « Merci pour ton cadeau, je n'ai jamais été à une station thermale avant. »

« Ne t'inquiètes pas, j'en ai pris pour Mme Weasley, McGonagall et Ginny afin que tu n'y ailles pas toute seule », dit Harry.

« Putain de Merde Harry, c'était une superbe idée, j'ai regardé partout pour trouver un cadeau pour maman », dit Ron.

« Hey Ron, je pense que ta s?ur voulait te remercier pour le cadeau que tu lui as acheté. Elle n'a pas cessé d'en parler depuis qu'elle est sortie de sa chambre ce matin », dit Tonks avec un sourire narquois sur le visage.

« Vraiment, j'ai du faire bien alors ? Mais ne lui dis pas, je n'ai aucune idée de ce que c'est. Je ne suis pas bon pour acheter des cadeaux, alors j'ai juste demandé à la femme du magasin si elle avait des suggestions pour ce que je devrais lui acheter, et elle m'a dit qu'elle en prendrait soin. Tout ce que j'ai eu à faire était de lui donner un peu d'argent et elle a dit qu'elle s'assurerait que le cadeau sera là à temps pour être ouvert à Noël. Elle aime vraiment alors ? », demanda Ron se sentant fier de lui.

« Ouais, elle n'a pas tari d'éloges à propos de cela de toute la matinée, je te le dis. Viens, je pense qu'elle veux te dire elle-même combien elle aime cela », dit Tonks. « Viens Harry, elle veut te voir aussi », dit Tonks en aidant Harry à se lever de son lit.

Son rétablissement avait été miraculeux après que l'infection dans sa jambe ait été jugulée. Maintenant, tout ce qui semblait le faire souffrir est qu'il était un peu faible, mais cela diminuait très rapidement étant donné que Mme Weasley s'assurait qu'il mange plus que qui que ce soit à chaque repas.

Alors que tous trois descendaient les escaliers, la voix de Ginny pouvait être entendue venant du salon, mais elle était presque complètement noyée par les rires qui en venaient également.

« J'ai réellement du me surpasser », dit Ron en souriant à Harry alors qu'ils entraient dans le salon.

En entrant dans le salon Fred et Georges miaulèrent alors que Maugrey passait une bouteille de Brandy à Ron. « Ron, tu t'es vraiment surpassé cette année », dit Fred alors que lui et Georges s'approchaient et commençaient à le caresser dans le dos.

« Hé bien, l'important est qu'elle aime cela, c'est tout », dit Ron en fanfaronnant.

« Oh elle aime cela bébé frère, comment as-tu jamais trouvé un si beau cadeau pour elle ? », demanda Fred.

« Je ne sais pas, je l'ai juste vu et cela criait Ginny, alors je me suis senti obligé de le lui acheter », dit Ron.

« A quoi joues-tu Ron, ne pense même plus m'acheter de culottes, tu m'entends », tempêté Ginny.

« QUOI ! », dit Ron semblant horrifié.

« Ouais Ron, mais je ne pense pas qu'elle est en état de te les montrer », dit Tonks alors qu'elle était désormais sur le sol avec Harry qui était plié en deux en riant bruyamment.

« Ron, Dean ne sera pas très content avec toi », dit Harry alors que des larmes s'écoulaient sur son visage.

« MAIS, MAIS ! », bégaya Ron, son visage de la couleur de son pull. « Maman, ce n'est pas ce que tu penses », dit Ron.

« Tu en es sûr », dit elle avant de commencer également à rire.

« Ne t'inquiètes pas Ron, la femme a envoyé une lettre il y a quelques minutes, en expliquant tout. Elle t'as donné une leçon sur le fait que tu n'ais pas mis une pensée dans ce que tu offrais aux autres », dit Rémus. « Sandy a été comme ça aussi loin que je m'en rappelle. »

« MERCI MON DIEU ! », dit Ron alors que tout le monde s'installait pour manger un cordial petit-déjeuner de Noël.

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La joyeuse humeur de chacun n'avait pas diminué de la journée, et maintenant ils bavardaient et buvaient un chocolat chaud dans le salon. Dumbledore était arrivé avant que le dîner de Noël ne commence et avait apporté avec lui quelques Crackers anglais qu'il disait avoir trouvés fascinants. Alors que tout le monde s'était installé dans une discussion à deux vues sur qui gagnerait la Coupe du Monde cette année au Quidditch, une chouette entra dans le salon et fit tomber une lettre sur les genoux d'Harry puis sortit par le chemin par lequel elle était venue sans attendre pour une réponse.

« C'est bizzarre », dit Harry en prenant la lettre avec hésitation, essayant de décider s'il devait l'ouvrir ou non.

« Harry, poses la lettre sur la table, je veux prendre quelques mesures de précaution avant de l'ouvrir », dit Dumbledore.

Harry, obéissant, posa la lettre sur la table, mais dés qu'il enleva sa main, la lettre vint à la vie et la voix de Voldemort remplit la pièce.

« Harry Potter, l'épingle toujours présente dans mon côté. Je ne peux te dire combien j'ai aimé les sentiments que je recevais de toi quand tu supportais la douleur que mon petit ami t'as infligé. C'était même mieux que les sensations que je recevais quand ton Oncle te frappait impitoyablement durant l'été. Oh, je pense que tu ne leur as pas parlé de cela n'est-ce pas. Eh bien tu peux remercier ton Directeur pour ce cadeau. Tu vois, il a passé des heures innombrables cachant ta maison de moi, mais il n'a jamais pensé à te protéger quand tu étais hors de la maison. Eh bien, alors que ton Oncle te ramassais à la gare l'année dernière, un de mes loyaux serviteurs plaça ton Oncle sous l'Impérius, ce qui était la raison pour laquelle tu étais si durement frappé. Choqué Potter ? Hé bien rappelles-toi juste que ton jour approche et j'ai l'intention d'aimer cela autant que j'ai aimé tuer tes parents. »

La lettre, après avoir fini sa dernière phrase, éclata en flammes alors qu'Harry semblait stupéfait par ce qui venait d'arriver. « Putain Harry, tu ne nous as pas dis que ton Oncle te battait », dit Ron.

« Ca ne compte pas », dit Harry.

« Evidemment que ça compte mon c?ur », dit Mme Weasley en le prenant dans une étreinte maternelle.

« Ce n'est pas aussi mal que vous le pensez », dit Harry.

« Je suis terriblement désolé mon cher garçon, la pensée ne m'a jamais atteint comme quoi ils se serviraient de tes parents pour te toucher. Je suis désolé Harry », dit Dumbledore en penchant la tête.

« Ce n'est pas votre faute », dit Harry.

« Pourquoi ne l'as-tu pas dis à quelqu'un Harry. Tu peux toujours m'écrire si tu as besoin d'aide, je suis ton responsable de Maison, et nous sommes désignés pour aider nos étudiants sur et hors des limites de l'école », dit McGonagall.

« Je-Laissons juste cela derrière nous, d'accord ? Aucun dommage permanent n'a été fait, et je suis toujours debout ici », dit Harry.

« Hum, hum, au moins il ne nous a pas envoyé une paire de culottes roses Harry », dit Ginny, ce qui apporta quelques légers sourires.

« Merci Gin », dit Harry alors qu'elle le prenait dans une étreinte attentionnée.

« Ce bâtard a toujours un moyen d'interférer dans tout », dit Ron. Molly était toujours trop choquée à propos des nouvelles qu'elle ne lança même pas un ?il à Ron pour son langage indécent.

« Ouais, cela semble être le cas », dit Rémus.

« Au moins, nous avons tous décidé que les Chudley Cannons vont gagner la Coupe », dit Ron.

« Quoi, oh non, ils ne vont pas, je vous ai dit que les Puddlemere allaient gagner », dit Tonks en attrapant l'idée de Ron, et enlevant l'attention de tous sur Harry.

« Tu es folle Tonks, Puddlemere est affreux », dit Harry.

« Je vous ferai savoir qu'ils sont seconds dans leur division cette année », protesta Tonks.

« L'année où Puddlemere battre mes Chudley Cannons sera l'année où je mangerai les culottes de Ginny », dit Ron.

« RON ! », dit Ginny, alors qu'Harry s'écroulait sur la moquette avec une crise de fou rire qui fut suivie de peu par tous les autres dans la pièce, alors que Ron essayait désespérément de lui expliquer que ce n'était pas sorti comme il faut.

Bien que l'ambiance n'était pas aussi légère qu'elle n'avait commencé, alors qu'Harry était allongé là-bas haletant derrière Tonks et Rémus sur le sol, Mme Weasley regardait amusée les deux plus jeunes frères et s?ur se disputer. Harry sut alors que quoi qu'il puisse arriver dans le futur entre lui et Voldemort, il ne laisserait jamais rien arriver à ces gens. Il les aimait de tout son c?ur et il mourrait volontiers pour eux ainsi que pour Hermione, Sarah, et tous les membres de son Ordre Secret.

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Le dernier jour des vacances scolaires était finalement arrivé et Harry, Ginny et Ron recevaient leurs aux-revoirs de tout le monde alors qu'ils repartaient avec McGonagall et Maugrey.

« Au revoir, Harry, prends soin de toi », dit Mme Weasley, le serrant dans les bras.

« Ecris et dis-nous si tu penses à une quelconque invention qui pourrait nous servir », dirent Fred et Georges.

« On se revoit Harry », dit M. Weasley, serrant sa main.

« Au revoir », dit Harry qui fut étouffé dans une étreinte d'ours par Tonks alors que Rémus le caressa dans le dos.

« Je pense que je vous verrai bientôt », dit Harry à Tonks et Rémus en se tournant pour partir.

« Hey, Harry, j'ai complètement oublié de te dire », dit Lupin juste au moment où Mme Weasley fermait la porte.

« Qu'est-ce que c'est Rémus ? », demanda Harry.

« Dumbledore a fait en sorte que tu viendras ici durant les vacances d'été avec nous. Il a dit quelque chose comme ne prendre aucun risque », dit Rémus en voyant le visage d'Harry s'éclairer.

« Génial, je vous verrai donc alors », dit Harry en partant, se sentant inexplicablement bouillonner à l'intérieur.

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Voilà, c'est fini. C'est beaucoup plus court que d'habitude, mais vous l'aurez plus tôt que d'habitude. Je pense que ça vous a plu. Pour la suite, c'est comme d'habitude pour dans une semaine. En attendant, bonne lecture, et encore merci à mes reviewers, je vous adore tous (les silencieux aussi, bien que je vous remercie d'avance si vous appuyez sur le petit bouton bleu en bas à gauche de cette page)

@+

Selena